Us Autem Invictus (4-3) : Les Vacances Avec Mon Frère

Le lendemain matin, mon réveil se fit en solitaire. Le grand lit avait été déserté par mon frère. D'un côté c'est pas plus mal, ma pudeur ayant pris un sacré coup hier je préfère ne pas le croiser tout de suite de peur d'être trop gêné. Je commence à m'inquiéter lorsque je découvre qu'il n'est nul part à la maison. Et s'il m'avait quitté à cause d'hier ?? mon coeur bat de plus en plus vite et je cherche parmi ses affaires, un indice sur sa destination… Comme à chaque fois que je fouille son sac, je suis pris d'une envie folle de braver l'interdit… Tout au fond traine une boite neuve de capote XXL. Je ne pensais pas que trois lettres étaient à ce point capable de me faire rougir. Maintenant que j'y pense… Je me suis toujours demandé s’il avait été gâté par la nature de ce point de vu là… Apparemment oui… Mais comment ? Enfin… Non ça me regarde pas. Je préfère ne plus y penser sinon mes yeux ne vont faire que mater son entre-jambe à longueur de journée à la recherche d'un indice prometteur… Je tombe sur plusieurs lubrifiants différents. Je m'étonne de trouver tout ça dans son sac alors qu'il vient “seul” en vacances… Il est peut être prévoyant s'il sort en boite avec ses potes. Peur de pas contrôler sa soif de sexe, et de coincer direct une nana la bas? Au moins il est prévoyant c'est déjà ça… En tout cas son sac ne révèle rien de bien passionnant pour moi. Vous qui commencez à me connaitre vous savez bien ce que j'aurai adoré y trouver… En tout cas j'ai trouvé la raison de son absence. Ses chaussures de sport ont disparu. Il a du partir courir. Pour le remercier de m'avoir sauver la veille je lui prépare son petit déjeuner de A à Z. J'espère que ça lui fera plaisir. Je prépare tout ça en terrasse. Je n'ai plus que le jus d'orange à ramener. Et là, ce fut la honte internationale… Il était debout dos à la table du petit déjeuner. Le sourire jusqu'aux oreilles. Le débardeur en lycra déjà retiré pour s'éponger le visage. Il n'est qu'en short court d'entraînement.

La sueur perle sur son torse large et puissant. Les gouttes se perdent entre chaque rainure d'abdominaux. Ses pecs sont largement gonflés par sa respiration profonde. Ses tétons ont l'air tout dur surement à causes du froid provoqué par l'évaporation de sa sueur. Son cou musclé et veiné laisse apparaitre deux belles carotides qui se gorgent de sang à une vitesse phénoménale. J'ai envie de pleurer tellement je suis épuisé de l'effet que son corps a sur mon esprit… Me sentant encore un peu faible des mésaventures d'hier je lâche la carafe de jus d'orange par terre. Elle s'explose en mille morceau. Je plonge mon regard sur son corps de dieu grec. Je suis comme paralysé. Romain est mort de rire, il ne s'occupe même pas de la carafe mais s’approche vers moi pour m’ébouriffer les cheveux.

“ - Merci Axou ! C'est la première fois qu'on me prépare mon petit déjeuné tu es adorable !”
Sa peau luisante est collante, mais ça ne me dégoutte absolument pas. Je suis entièrement fan de mon frère. C'est incontestable. Du début à la fin. Dans n'importe quelle tenue, après n'importe quel effort…
“- De…. De rien…. Arrête avec mes cheveux ! C’est déjà assez le bordel là haut pour pas en rajouter encore ! - Désolé ! Mais je suis hyper content, tu as même fait gaffe à mon alimentation un peu particulière. Ça se voit que tu fais attention à moi c’est cool - C’est la moindre des choses après hier…. - Allez oublie ça. On veille l’un sur l’autre bébé”
Arrête de m'appeler bébé ! J'aime tellement ça… Plus tu me fera passer pour un petit être sans défense et plus je resterai fou de toi…
Il me repose doucement au sol, on prend notre petit déjeuner le plus sereinement possible, en reparlant un peu des événements de la veille. Je me répand en sincères excuses. Le remercie chaleureusement de son aide. Il me sent ému et change de conversation pour ne plus reparler de ce moment surement difficile et pénible pour lui. Je finis d'ailleurs par le faire s' avec du café en lui posant la question fatidique :
“C'est étrange je ne me souviens pas m'être couché dans ton lit avec ce boxer là”
A son tour de rougir et de ne plus savoir où se mettre.
“ - Axel je te le promet. Tu n'as rien à craindre de moi.”
Mais si !! Au contraire !! Laisse moi te craindre sombre idiot !! Tu comprends vraiment rien… Enfin je m'emballe…. Pour le coup c'est mon égo qui est surdimensionné. Romain est hétéro, pourquoi je me complique la vie ? L'espoir est vain, va faire la vaisselle et arrête d'y penser. Romain finit par m'embrasser sur le front pour me remercier à nouveau. Il prend le soin de bien ébouriffer ma crinière avant de monter se laver…. J'en profite pour aller me laver les dents et lui poser quelques questions par rapport à ses potes (quand est ce qu'ils arrivent ? Etc) jusqu'au moment où je vois son boxer trainer par terre. Je rougis et doit prendre une décision rapide. Je prétexte la préparation d'une machine de linge pour tout emmener. Je la lance en prenant le soin de conserver son boxer. Ça en devient addictif voir maladif. Et c'est si dégradant que jamais personne ne doit me savoir… Il finit sous mon oreiller. Soulager d'avoir réussi ma mission je pars pour une journée farniente et bronzage. Allongé au bord de la piscine sur le ventre je me détend avec de la musique. Romain ne tarde pas à me rejoindre avec de la crème solaire. Avant même que je lui dise non il me répond : “ - c'est hors de question. T'es blanc comme un cul, tu prends jamais le soleil alors tu vas la mettre cette crème !” Il me l'étale sur tout le dos et les cuisses. Avec délicatesse il descend mon boxer jusqu'à la naissance de ma petite raie pour être sûr de ne pas oublier une zone. Je me découvre quelques réactions empruntés au chat. Dès qu'il approche un peu trop du bas de mes reins je me cambre et relève de manière réflexe mon petit cul naturellement bombé.
“- Bon ça va là c’est étalé ! Aller dégage ! Y’a pas assez de place autour de la piscine ??? - Putain les parents c’est pas Axel qu’ils auraient tu t’appeler mais Rebelle !”
Un peu bougon, il part se poser sur le transat le plus loin possible de moi. Je m’en veux mais mes réactions sont primaires… Je n’arrive pas à m’en empêcher… Pourtant… je voulais tellement qu’il continu… La chaleur m’assomme et m’endort, je ne cherche même pas à le mater pendant qu’il prend lui aussi son bain de soleil…
Dans l'après midi ses potes arrivent enfin. Comme je l'avais prédis, Enzo arrive dans son audi TT tandis que Nassim et Kevin sont venus en décapotable. Jtape la bise à tout le monde comme à chaque fois. Ils me complimentent sur le fait que j'ai bien grandi depuis le temps puis ils descendent avec mon frère et un pack de bière à la crique. Dans un premier temps j'ai vraiment pas envie de les rejoindre. Ca va faire que parler de meuf, de technique de baise, d'expérience récentes, en tant que pti puceau j'en ai vraiment marre d'entendre ça, quand dans ma vie c'est le calme plat. Et puis j'ai aucune envie qu'ils se foutent de ma gueule encore une fois et gratuitement. Le soir venu je suis toujours pas en forme pour les accompagner en boite, surtout que je connais leur but. Celui qui en serrera le plus. Et quand je dis serré je dec pas ils comptent vraiment leur nombre de baise…. Si c'est pour me retrouver seul sur le dancefloor jprefere rester seul ici… Je reste juste avec eux dans le salon pendant qu'ils se préparent et font un before. Tfacon je peux pas boire plus d'un verre. Jme connais je suis tellement mince que j'imbibe rapidement l'alcool. Posé dans le canap j'écoute les conversations et c'est au tour d'enzo de raconter sa dernière expérience :
“Putain les mecs ! Si elles sont chaudes faut que je vous les présente…. Je n'ai qu'un seul indice à vous donner : jumelle”
Et là tout les autres mecs en rute se mettent a crier comme des beaufs. Mon frère me surprend vraiment quand il traine avec ses potes… Tellement tellement bas de plafond… L’homo sapiens sapiens qui découvre le feu ou à quoi lui sert sa queue…
“Les mecs je vous jure assis dans le canap jambes écartés j'ai cru jouir rien qu'en regardant leur deux petites langues se battre pour ma teub. Un main pour chaque tête, elles m'ont pompé pendant une demi heure et de mieux en mieux au fur et a mesure que mes insultes les excitaient”
Comment font ils pour supporter de parler de chose comme ça ? Je trique déjà à mort. Et eux ont l'air tranquille alors que j'ai une seule envie partir me branler.
“Je les ai foutu l'une sur l'autre en levrette. Putain les mecs j'avais 4 trous a remplir pour moi tout seul. Jleur ai d'abord défoncé leur chatte et en attendant jdoigtais leurs trous pour les détendre au max. Elles ont tellement couiner c'était ouf. Tour à tour je passais d'un trou à l'autre crachant sur ma queue et sur leurs trou. Une des deux jumelles m'a fait le plus grand plaisir. Elle s'est foutu sous la chatte de sa soeur et des que je sortais entièrement de son trou elle me pompait a fond la bite. Jleur ai demandé de fermer leur gueule si elle voulait que je continue alors elles se sont mis à se bouffer la chatte l'une l'autre pour avoir la bouche occuper de ne pas trop crier. Les mecs c'était un truc de malade mental cette baise…”
Finalement jvois le désir monter sur le visage et les pantalons des trois autres mecs. Ils caressent leurs queues à travers leur pantalon, de manière hyper subtile, mais moi j’ai l’oeil, et quand on veut voir quelque chose, on le voit… Ils ont trop envie de les sortir ça se voit. Enzo fait un pti sourire complice à romain :
“- Une vite fait avant d'y aller ?”
Romain hyper gêné me montre d'un signe de tête :
“- t'es fou toi ! Pas ce soir ! Pas ici ! Vous êtes prêt les mecs on y va ! Et franchement apprenez vraiment à fermer vos gueules dans ce genre de situations…” Mon frère a une espèce d’autorité naturelle sur ses amis. Certes ils sont tous très virils, ils se considèrent presque comme des frères, mais quand mon frère gueule… y’a personne qui bronche. Je n’ai d’ailleurs pas vraiment compris pourquoi il s’était énervé… Mais bon de toute façon, l’alcool rend stupide, et mon frère a beau être cortiqué et bogoss, il ne déroge pas la sainte règle du « verre de trop ».
Romain vient me voir pour me demander si j'étais sûr de ne pas vouloir venir. Il me conseille de mettre des boules quies si jamais ils rentrent tard et qu'ils sont un peu éméchés. Jle remercie du conseil et les laisse partir. J’ai l’impression d’être leur mère mais… interdit la voiture pour ce soir… J’ai caché les clefs. Je me fais pourrir par quatre grand gaillards face à moi (évidemment on sert bien mieux de la meuf avec une belle voiture), mais c’est pour leur bien. Zero alcool au volant, et ils sont déjà peut être à un gramme chacun. Ils me remercieront un jour… Enfin j’espère.
Jme retrouve dans la salle le cerveau encore plein d’interrogation… Pourquoi s’est il énervé ? Qu’est ce qu’il voulait me cacher à ce point de ce que qu’il fait avec ses potes ? Fumer un joint ? Ou peut-être même ?…. Noooon impossible…
Jrecois un message de sa part d'ailleurs : “Excuse-les frangin… Quand ils boivent ils ne savent plus ce qu’ils disent… Merci pour la voiture”
J'ai balancé mon téléphone à l'autre bout de la pièce tellement la colère montait en moi. Il me pourrit devant ses potes et après me remercie en privé ? Mon dieu quel orgueil démesuré ! Il faut toujours qu'il me prenne pour un ! A me cacher des choses et faire genre de rien n’était après. Alors que c’est pire ! Je me doute encore plus qu’il me cache quelque chose ! Je pars me coucher avec mes boules quies en ayant perdu l'envie de me branler… Pourquoi suis-je aussi pressé de perdre mon innocence ? Il est vraiment vieux jeu… J'ai 17ans… Nassim lui même m'a avoué que mon frère avait commencé à 14ans…. Alors pourquoi veut il que mes 18 ans représentent ma véritable liberté sexuelle ? Je ne sais pas mais finalement la suite des événements vont mettre à mal les projets qu'il avait pour moi…
Le retour de boite donna les scores suivant. Nassim 2, Enzo 3, Romain 4 (je ne sais meme pas comme dans une même soirée on peut en baiser 4 et se finir 4 fois…) et Kevin 0… Le drame de sa soirée. Faut dire que son look et son accent racaille n'aident pas trop. Ce sont les couilles pleines et le corps bien imbibé d'alcool qu'il monte se coucher dans la chambre à cote de la mienne. Vénère de ne rien avoir tiré, il rumine et ses basses pensées prennent le dessus. Ca fait déjà un moment que Kevin me regarde différemment. Etant trop focalisé sur Romain je n'avais jamais capté. Jusqu'à ce moment fatidique où il pénétra dans ma chambre mais mon sommeil de plomb et les boules quies m’empêchent de me réveiller à tant…
Kevin devint comme fou en voyant mon corps nu sur le lit car il faisait trop chaud pour me recouvrir d'un drap. Ce qui me réveilla ce fut la douleur de la fessée qu'il ne tarda pas a réitérer de l'autre côté sans retenir sa force. “Ta gueule ! Vide couille tu vas prendre cher !” Je me crois dans un mauvais rêve mais la douleur ressenti au niveau des fesses me rappelle à l'horrible réalité des faits…J’ai tenté de me retourner, mais il était tellement rapide qu’il était déjà à cheval sur mes cuisses, attrapant mes deux bras pour me les croiser dans le dos. Il appui fortement sur mon dos, pour m’obliger à enfoncer ma tête dans l’oreiller. Je suis complètement perdu. Suis je aussi faible que ça ? Est-ce la peur qui me paralyse ? Est ce que je ne suis pas bien réveillé ? Le résultat est le même… Je suis à sa merci et je me sens totalement impuissant… Je ne sens pas son boxer contre mes fesses mais belle et bien son sexe qu’il branle avec vigueur sur ma raie claquant son gland sur ma rondelle. “Pas de gel, pas de mouille. Tu vas gueuler ma lope. On est tous d'accord et on est tous sûr que t'es fait pour aimer ça” Je suis transit de peur mais dans un dernier élan de courage je sors mon visage du coussin et pousse le plus bruyant des cris possibles. J'espère vraiment que quelqu'un a pu m'entendre car mon cri semble avoir encore plus excité Kevin qui est fin prêt à faire de moi sa chose… Je le sens se préparer à me pénétrer, je finis par sangloter et ne plus me débattre. Quand soudain j'entend la porte se faire pulvériser. En 5 secondes Je ne ressens plus le corps de Kevin sur moi. J’ai du mal à comprendre ce qui se passe, ça cri dans tous les sens. L’énorme voix de mon frangin gronde et résonne dans toute la chambre. Enzo m’enveloppe dans le drap et me porte jusque dans une autre chambre. Je ne fais rien… Je ne peux rien faire, ni prendre Enzo dans mes bras, ni parler, ni pleurer. La seule chose que je remarque c’est Romain commencer à détruire Kévin et Nassim fermer lentement la porte de ma chambre. Juste avant de fermer la porte j’ai eu le temps d’entendre Kevin tenter de retourner la situation en expliquant que c'est moi qui n’arrête pas de le chauffer depuis quelques mois ! Puis plus rien… Je me dis que tout est fini… Romain va croire en la version de son meilleur ami, et moi ?… Moi je voudrais juste oublier tout ça… Enzo ne peut s’empêcher de me demander si ça va même s’il voit dans quel état de choc je suis…
“- c'est finit il ne te touchera plus… Ton frère va faire le nécessaire. On fera tous ce qu’il faut… - Ce qu’il faut ? - Laisse tomber, l’important c’est de ne plus t’inquiéter… - pourquoi… pourquoi moi ? Pourquoi il a fait ça ? - tu ne t’en doutes peut-être pas mais Kevin est homo… On s’en doutait tous et il a mis beaucoup de temps à nous en parler. C’est un vrai pote, on l’a accepté ainsi. Depuis peu tu lui as tapé dans l’oeil. On a pas fait trop gaffe au début… Je m’en veux tellement de pas avoir su lire entre les lignes Axel… Pardonne moi….»
Très étrange la manière dont il me dit ça. J’ai eu l’impression que lui même allait me dévorer du regard. Ses yeux emplis de larme qu’il ne laissera jamais couler devant moi. Ronger par la culpabilité :
«- Y’a deux mois quand il a voulu être honnête et l’avouer à ton frère, Romain s’est mis dans une colère noire. Je l’avais jamais vu dans cet état là. Il refuse qu’un mec te touche. - Tu crois qu’il est homophobe ? - Sérieusement je ne pense pas, je crois qu’il veut juste te protéger et te laisser choisir seul ton chemin. Pour ça il est assez vieux jeu… - Enfin je suis majeur, c’est peut-être un peu tard pour vouloir continuer de me protéger… - Oui mais Kevin est plus grand que toi… C’est différent et compliqué. Bref remercie ton frère c’est quelqu’un de bien qui pense sans cesse à ton bien. Même si tu ne le comprends pas toujours… »
Enzo me dépose dans le lit de Romain :
« - Tu veux que je reste un peu avec toi ? »
Gardant une expression du visage ine et mignonne, je lui décroche un sourire et il vient s’assoir à côté de moi pour continuer de discuter du comportement de Romain.
« - Tu crois qu’il va se passer quoi à présent ?… - Je pense que Romain a perdu un ami et que demain au réveil il n’y aura plus de trace de Kevin dans nos vies… - Et tout ça par ma faute. - C’est pas ta faute Axel ! c’est lui le fautif et toi la victime. T’es comme un frère pour moi et je comprend tout à fait les réactions de Romain… »
Mon frère finit par nous rejoindre. Je n’ai jamais vu autant de haine dans ses yeux… Enzo ne lui dit rien, ils se serrent juste dans leur bras et quand Enzo part retrouver Nassim, Romain ferme la porte à clé. Il se dirige dans la salle de bain attenante sans m’adresser un regard ou un mot. S’il y croit que je n’ai pas vu ses poings ensanglantés, il se trompe… J’entend qu’il prend une douche rapide et ressort avec juste une serviette autour de la taille.
« - Tu veux…. Te doucher aussi ? Ca te ferait peut-être du bien… - Je suis désolé Romain. vraiment je suis désolé ! - Ne t’excuse pas, dit il en s’asseyant à côté de moi. Tu n’as rien à te reprocher. C’est à moi de m’excuser de ne pas être assez présent pour toi et te protéger quand tu en as besoin… Mais c’est du passé. Kevin ne t’embêtera plus jamais. Dès qu’il a décuvé il reprend sa voiture et se casse. Si demain il est encore là quand je me réveil, je le viole moi même… »
Je m’enroule dans le drap et part sous la douche. Rien de tel pour oublier tous les mauvais moments. L’eau est brulante et je met le jet aussi fort que possible pour que le bruit de la douche atténue mes pleures… Je relâche enfin la pression, et comprend ce à quoi je viens d’échapper… Comme mon frangin je me retrouve juste avec un serviette autour de la taille. L’eau de mes cheveux perle encore sur mon torse. Romain me sort un boxer de nuit deux fois trop grand pour moi. Je rigole et rougis :
« - Retourne toi stp le temps que je me glisse dans le lit. - T’inquiète pas bébé, j’avais prévu de dormir sur le canapé en face du lit. - NON !! »
Mon cri le surprend, il doit encore penser que je m’énerve pour ce surnom je me sens donc obligé de m’expliquer.
« - Reste avec moi, et pas trop loin……. »
Il éteint la lumière et se glisse sous les draps aussi. Sur le dos il soulève son bras pour que je me glisse jusqu’à avoir la tête sur son pec. Je sens son bras longer ma colonne vertébrale et sa main finie la course sur le début de mes fesses. Je n’ai jamais ressenti ça auparavant. Je suis complètement nu près de lui et pourtant son bras est tellement imposant et collé à moi que j’ai l’impression qu’il m’habille avec son corps et sa tendresse. Je sais que c’est exceptionnel car ce soir j’ai besoin d’être rassuré mais j’en viendrais presque à être content que Kevin ai voulu abusé de moi quand je vois au final où cela me mène…
« - Axel j’ai éteints la lumière pour que tu te sentes mieux. Mais si tu as besoin de parler, de poser n’importe quelle question pour être rassuré je suis là… »
Si tu savais tout ce à quoi je pense…
« - Romain ? Avant de commencer… Kevin m’a dit quelque chose que j’ai pas compris. Il m’a dit : on est tous d’accord, on est sûr que tu es fait pour aimer ça. Il… il parlait de qui ? » Avant même la fin de ma question j’ai commencé à sentir le coeur de Romain se mettre à battre à toute vitesse… « - Je… Je sais pas Axou… Tu sais, il avait beaucoup bu, il était très attaqué par l’alcool, et puis il est pas net de penser ça. Il a un grain, oublie le… - Romain, j’ai peur… - Il ne faut pas je suis là. - Non, j’ai peur de moi… - Explique moi… - Quand Kevin a commencé à s’exciter sur moi et à m’insulter… j’avais peur, mais je me suis aussi mis à bander… »
Un grand moment de solitude m’envahit et un silence monacale inonde la pièce. Quand je sens qu’il ne va pas répondre, je me met directement à avoir honte et j’essaye de partir mais c’était sans compter la force de son bras pour me garder près de lui. Il trouve enfin les mots pour me faire comprendre qu’on peut avoir des réactions réflexes typiquement humaine qui ne retranscrivent pas ce qu’on ressent au fond. Mes autres questions sont beaucoup plus personnel mais je n’hésite plus à lui poser. Voici la conversation :
« - Dit moi Romain… avant de partir en boite, Enzo a sous entendu que vous vouliez vous taper une queue ensemble. - Hein ? quoi ? tu délires petit frère tu as du mal comprendre. - Ca va ! arrête de mentir t’es nul dans ce domaine la… - Oui tu as raison… - Et ça vous arrive souvent ? - C’est comme un rituel… depuis longtemps on fait ça de temps en temps. Quand l’envie nous prend. La toute première fois c’est parce qu’on voulait comparer nos queues… On fait souvent ça après nos séances de sport, sous les douches etc… - Et pourquoi avoir refusé alors ??? - Car tu étais là… Tu n’as pas à voir ça ni a participer. C’est pas de ton âge. - Tu parles ! je suis sur que tu as commencé bien plus jeune que moi ! Vous faites ça tout le temps, et moi ?? rien ! toujours mis à l’écart. Une fois tu me fais passer pour ton petit frère adoré, et l’instant d’après je suis qu’un inconnu… - Hey calme toi Axel… si aujourd’hui je te promet qu’un jour on essaiera ça ensemble. ça te va ? - Quand ça ?? - Quand toi et moi nous serons prêt… - Pfff. Promet le moi quand même, si tu respectes pas ta promesse ça va mal aller ! - Promis bébé ! - Je voulais savoir aussi… tu sais le concours en boite… c’est du fake ? c’est genre tu as embrassé 5 nana ? »
J’ai jamais entendu mon frère se marrer aussi fort :
« - T’es si mignon. Non non. quand je dis 5 c’est au total… - mais avec finition ?? - Ba bien sur avec finition ! - Mais comment est ce possible ? - De ? - De le faire 5 fois dans la même soirée ?!! - Tu as beaucoup de chose à découvrir. Un jour tu comprendra tout ça. et avec la pratique tu vas découvrir de quoi tu es capable. je te souhaite vraiment d’être épanouis dans ta sexualité. car un marathon comme ça… t’imagine même pas à quel point c’est bon. Les filles se donnent complètement à toi sans même vraiment te connaitre. et plus tu sens qu’elles aiment ce que tu leur fais, plus ta queue durcie, et devient un pilon que plus rien ne peux arrêter. Un jour tu découvrira le plaisir de sentir ta queue complètement serré dans une petite chatte. Tu verra à quel point rien que le fait de l'entendre soupirer de plaisir, te donne des ailes et te donne envie d'y aller à fond. Et physiquement aussi. Apres avoir jouis deux trois fois ta queue devient hyper sensible, et quand tu pénètres la quatrième de la soirée les sensations sont démultipliées. Tu n’as qu’une hâte lâcher ton jus pour trouver une cinquième puis une sixième etc… »
Je n’aurai jamais du lui poser ce genre de question… On dirait un passionné qui répond. et tous ces détails m’excitent au plus au point. Pourtant j’ai tellement d’autres questions :
« - et tu penses que c’est pareil pour les filles. Si tu t’occupes plusieurs fois de la même dans la même soirée tu crois que le sensation sont démultipliées ? - Oui c’est le cas, mais enfin je vois pas pourquoi tu te poses la question c’est pas vraiment comme ça que ça se passera si un jour tu fais le concours, tu dois changer de meuf à chaque fois pour que ça soit valider. - Ah non non t’inquiete je me posais juste la question… Faut quand même faire preuve d’endurance…. - Faut moi confiance tout se travail. Aujourd’hui je peux me faire pomper plus de deux heures en matant un film de cul. L’endurance ça me connait. et puis plus tu sens que tu fais du bien, plus ton corps t’autorise à continuer. - Une dernière question… j’ai un peu regardé dans tes affaires car je savais pas où tu étais parti…. j’ai trouvé des capottes XXL… - Tu penses que je mens ? que je garde un paquet pour entretenir le mythe. - Non j’ai jamais dit que tu étais prétentieux c’est juste que…. non oublie c’est hyper personnel. »
Je sens son bras me maintenir fort pour ne pas que je m’échappe.
« - si tu veux connaitre la vérité, même les médecins ont du mal à l’expliquer. Mais la croissance de ma queue ne s’est stoppée qu’a mes 25 ans (alors qu’en général c’est finit à 18-20 ans) le paquet que tu as trouvé ça ne se trouve pas dans le commerce, j’ai fais des tonnes de sites internet pour enfin trouver ceux qui pourraient en faire à ma taille. »
Je suis sur le cul. il reste toujours évasif sur les vraies mensurations mais rien qu’apprendre ça…. ça me perturbe au plus au point. Rien d’étonnant que je ne m’en sois jamais douté… En y réfléchissant je suis tellement tout le temps entrain de mater sa musculature que jamais un instant j’ai reluquer pour estimer la taille de son paquet.
« - je pense…. - oui romain ???? - je pense que si t’es d’accord, je pourrai honorer ma promesse dès ce soir. »
Je n’ai que pour seule réponse une sorte de bégaiement stressé.
« Détend toi Axel je te force pas… »
Incapable de lui dire oui ou non… vous en serrez plus au prochain épisode. (pour une fois les pensées de romain seront associées au prochain article)

@@@ Romain a vraiment beaucoup de chose sur le coeur :
Je crois que ce fut la nuit la plus horrible de mon existence. Comment puis je oser dire ça alors que j’ai dormis avec le plus doux des anges?… Et pourtant je ne suis pas honnête avec moi-même. Il est là, à côté de moi, calme et serein essayant de dormir et je n’ai qu’une seule envie, lui sauter dessus. Dire que j’en viens presque à être déçu qu’il soit nu car je n’aurai pas le plaisir de déshabiller son corps avec tendresse et douceur, le regardant dans les yeux pour qu’on profite ensemble de ce moment… Ne te pas, tu ne le touchera pas de toute façon, tu t’es fais une promesse… Faite qu’il ne se réveille pas… Ma queue grossit de minute en minute, s’il ouvre les yeux il ne verra que ça… C’est insupportable cette habitude qu’il a de gémir dans son sommeil. c’est tellement excitant… 5h00 du matin, je n’ai du dormis qu’une demi heure, ma queue est droite depuis que nous nous sommes couchés. Je bande à en avoir mal… impossible de me toucher sans qu’il s’en aperçoit… C’est une telle souffrance. SI seulement la bonne odeur de ma queue pouvait le réveiller juste assez pour qu’il aille y tremper les lèvres… Et quand je dis trempé je sais de quoi je parle… Je n’ai jamais autant mouillé que ce soir là… Arrête !!! Je me décide enfin à m’extirper du lit, mettre mes vêtements de sport et partir courir. Sport sport sport… le seul moyen d’oublier… Je choisi tout de même de passer dans un bois un peu spécial où en toute discrétion ou peut se faire du bien sans lendemain. La réputation de celui-ci est sans égal. Beaucoup de jeune pucelle y traine pour apprendre à devenir ce dont elle ont toujours rêvé… Celle-ci était faite pour moi… le meilleur moyen pour oublier mon petit frère qui devait dormir profondément, une vierge aux seins durs et gonflés. Même si elle eu peur en la voyant sortir de mon boxer, elle n’a pas eu le choix d’y goutter. elle tombe au meilleur moment. Le moment où ma queue est la meilleure : après avoir bandé en continue et mouillé comme un malade. Ma frustration est telle que l’animal en moi ne lui laisse absolument pas le choix de découvrir comment faire une gorge profonde. Il est rare que je n’y mette pas les formes mais c’était un cas d’extreme urgence, j’avais besoin de me soulager c’est tout… Je pense qu’elle l’avait compris et s’est complètement donné à moi. Sa petite chatte serrée n’arrivait pas à avaler toute ma bite. Encore trop étroite. Mais après plus d’une demi heure à l’entendre crier, je finis par y parvenir, ma main dans sa bouche pour que la discrétion des lieux soit respectée. Je crois que j’y suis allé tellement fort que même mes énormes jets de sperme lui ont été douloureux. Je m’excusais à chaque contraction de ma queue qui l’élargissait de plus en plus et la faisait souffrir. Quand je finis par sortir et me préparer a repartir. Elle était allongée essoufflée me demandant déjà un numéro de téléphone pour recommencer… Je fis un baisé à sa vulve complètement ouverte ramassant un peu de sperme que je lui déposa sur les lèvres. « souvient toi de son gout tu n’en n’aura surement jamais de meilleurs » Je suis repartis courir, l’esprit libéré d’un poids… Mais l’arrivée à la maison me prouva encore une fois que le problème était bien plus profond… Le voir là face à moi, si mignon et fier de lui d’avoir préparer le petit déjeuner… Pourquoi fait il ça ?? Tous les frères font ça ?? Font ils exprès d’être charmant ? Il me cherche c’est impossible autrement… ça me tue… Le sport a de moins en moins d’effet sur mes envies… Combien de temps vais je encore tenir ?… Heureusement que mes potes ne vont pas tarder à arriver… Un coup de chance, ma queue a tellement souffert de bander toute la nuit qu’elle a l’air en panne assez longtemps pour que je m’autorise à le prendre dans mes bras !
Ca me rend fou ! Le voir sortir sans crème solaire avec cette peau ??? les petits frères sont ils tous aussi inconscient ? Il cherche vraiment le contact… IL m’énerve quand il fait ça ! Et ça m’énerve encore plus de savoir que chez lui c’est totalement inconscient. Reste calme, tu vas juste lui passer de la crème. Dans une autre vie tu as déjà utilisé le monoï comme lubrifiant et ta copine avait surkiffé. Mais aujourd’hui ce n’est que la crème solaire à étaler sur ton petit frère…. Putain de vie de merde !!
Quand mes gros beaufs de poto sont arrivés ça à été un peu mieux. Il nous a laissé l’aprem entière à la crique pour discuter. Kevin a quand même réussi à me faire monter en pression en complimentait le corps d’Axel. Je ne supporte pas quand il en parle de cette manière là. Ce n’est pas de la jalousie, je sens bien qu’il a de basses pensées. Je l’ai déjà mis en garde, il faut vraiment qu’il fasse très très gaffe à lui… Pour nous calmer, on s’est adonné à notre petit rituel. On se raconte les uns aux autres nos derniers plans. et j’avoue avoir fait fort avec celui du matin même. J’en connais deux qui vont aller courir au bois demain matin pour lui en mette un petit coup. Ne sachant pas si mon frère allait nous rejoindre je leur ai déconseillé de se branler sur la plage en étant vague sur les raisons. On se branle régulièrement ensemble, devant des films de boule (hétéro je précise). Donc ça ne me dérange pas habituellement du coup ils n’ont pas trop compris ma réaction. J’aurai du leur dire pourquoi… car quand le soir ils en ont reparlé alors que mon frère était là… il a du tout capter…. LA honte internationale…. Partons en boite ça ira mieux ! Toutes plus bonnes les unes que les autres. Toutes hyper fraiches. La meilleure a été celle qu'on s'est faite à deux avec Enzo. Plus il l'a bourrinait, mieux elle me suçait. Encore une fois en boite j'oubliais tous pendant un moment. Je n'avais que le plaisir de voir toutes ces accros de la queue passer d'une branche à un tronc. Quand Enzo a jouit elle était tellement chaude qu'après m'avoir sucer elle ne m'a pas laisser le temps de me relever pour la démonter qu'elle était déjà sur moi entrain de m'utiliser comme un sexe toys, se servant de la mouille d'Enzo comme d’un lubrifiant… Enzo était sur le cul “a ce train là tu vas gagner mec !” Me disait-il hyper excité par la situation… Ma seule frustration fut d'essuyer un refus a chaque fois que je frottais mon gland sur leurs petites rondelles fermées. Je rêve de découvrir ces nouvelles sensations qui me sont toujours interdites par des filles prétendant que je suis trop long et large pour aller à cet endroit… Sur le retour j'ai senti Kevin très fermé. Nassim le narguait d'avoir perdu mais il ne bronchait pas… Si j'avais su que deux heures plus tard je le retrouverai sur mon frère à lui faire les pires atrocités au monde. J'ai préfère faire sortir Axel, pour ne pas me voir dans cet état de rage. Je lui ai refais le portait jusqu'à ce que Nassim me stop de peur que je le tue…J’étais incontrôlable, et fur et à mesure que mes poings se couvraient de sang je savais que je perdais un frère de coeur pour protéger un frère de sang. Et quand il a essayé de se défendre en disant que mon petit frère était un aguicheur et que j’étais juste jaloux de ne pas avoir pu le garder pour moi… Je lui en remis une couche en menaçant son cul de se faire violer si jamais demain au réveil il était toujours dans la maison…. J’ai tellement honte de moi… Comment ai je pu oser laisser cela se produire sous mon toit, sur mon frère ? Et si je n’avais pas entendu son cri ? J’ai préféré ignorer les perches que Kevin me lançait régulièrement sous prétexte que c’était un super pote… Comment ai je pu être aussi bête… Je n’arrête pas de dire que je lui suis plus dangereux pour sa sécurité qu’autre chose, et je m’aperçois aujourd’hui que c’est vraiment le cas. J’ai déjà réfléchi à plusieurs options pour ne plus que je sois un problème pour lui… Je crois que je vais finalement me décider à en choisir une… Le retour dans la chambre fut terrible… Je ne voulais pas soutenir son regard, de peur de retourner finir ce que j'avais commencer avec Kevin. Je dois aller rapidement me laver avant qu’il ne remarque le sang sur mes mains… Je sais que la violence lui fait peur, qu’il déteste ça. Qu’il ne comprend pas que parfois c’est nécessaire. Si on l’écoutait parler, on résoudrait tout avec des mots et des sourires. Mais la vraie vie ce n’est pas ça parfois. La vraie vie fait mal et tu as failli t’en apercevoir ce soir et j’en serai à jamais désolé… Je ferais tout pour que ça ne t’arrive plus jamais, et même si pour ça il faut recourir à la violence… J'ai été le plus calme et décontracter possible. Acceptant de répondre à ses questions je ne me doutais pas qu'il allait me parler de ça… Pourquoi essaye t’il de poser des questions aussi intimes ? Comment arrive t’il a parler de ça quelques heures à peine après qu’il ai failli subir le pire ? Il m’a beaucoup surpris par sa maturité ce soir là… Tellement surpris que je me suis fait piéger, et j'ai laissé passer un moment de faiblesse, acceptant de succomber à la tentation et lui montrer comment on s’amuse entre potes… Pourquoi j’ai fais ça ? Je ne sais pas… Je me dégoutte déjà assez comme ça…@@@