Collection Les Chiennes. Sexe Extrême (1/1)

- Radia, je te quitte.
- Mon chéri, je t’aime tellement, tu as rencontré une autre femme.
- Pas le moins du monde, mais depuis trois ans que nous sommes mariés, j’aurais voulu avoir une femme plus portée sur le sexe que toi.
Baiser dans notre lit, tes jambes simplement écartées à attendre que je te remplisse la chatte, à la fin ça lasse et j’en suis à ce moment de notre vie de couple.
- Christian, tu sais que ça vient de mon éducation là-bas au Maroc où tu m’as rencontré.
Donne-moi une chance de changer et de devenir la femme que tu rêvais d’avoir dans ton lit.
Tient, je sais que des femmes suces les hommes, je croyais que tu trouverais cela dégradant de la part de ta femme, je vais te sucer.

J’aime Christian mon mari, je pensais qu’il m’aimait pour ce que notre couple formait et représentait, là je suis surprise mais je m’agenouille devant lui.
Je lui sors la queue, c’est drôle, je l’ai souvent en main quand je le masturbe afin de l’aider à bander.
Pour la première fois je la vois de très près et sans hésiter je la fais entrer dans ma bouche.
Naturellement ma main vient sur ses testicules.
J’ignorais qu’elles étaient aussi grosses, ma main a du mal à en tenir une, mais je m’attarde sur son gland que je gobe pour son plus grand plaisir.
Je veux plaire au maxi à mon homme et sans hésiter quand il décharge, j’avale son sperme.

Le repas est plus détendu, je voudrais lui demander s’il a aimé mais je me tais, réfléchissant à ce que je pourrais faire pour le retenir près de moi.
La nuit suivante, je n’arrive pas à dormir, je finis par passer ma main sur sa queue.
Je ne l’ai jamais fait.
Dort-il je l’ignore, mais il bande, j’enlève le drap et pour là encore la première fois je conduis le bal ?
J’ignorais que je pouvais autant jouir sous la queue de mon homme, il semble apprécier car il m’arrose le fond de mon vagin.

- Bonne nuit Christian !
- Bonne nuit Radia.

Au matin il part au travail, je dois dire que je viens de faire le tour de ce que je connais en matière de sexe.
Moi qui ai horreur de ça, je démarre son ordinateur et je me créer un compte.
Je tape « sexe ».
Des dizaines de vidéos, je sais ce qu’il faut que je fasse ce soir.
Pour commencer boutique de lingeries fines, culotte en dentelle, la guêpière qui m’a impressionné sur les fesses de la femme se faisant prendre par deux mâles et quels mâles !
Dîner aux chandelles et simplement mes sous-vêtements.

- C’est bien tu fait des efforts, j’ai apprécié cette nuit, pourquoi ces chandelles et cette tenue provocante ?
- Mon homme a trimé toute la journée, il est normal qu’il retrouve sa petite femelle à sa disposition lorsqu’il rentre.

Je lui sers son whisky avec les amuse-gueules que j’ai achetés chez le traiteur.
Me faire baiser pour le garder aucun problème, mais être obligé de faire la cuisine, très peu pour moi, je serais sûr de le faire fuir.

- Radia, samedi soir j’ai invité mon copain Romainro, tu le recevras aussi bien que ce soir.

Pendant qu’il me dit ça, je viens sur ses genoux, il bande.
Je me laisse glisser et je détache son pantalon.
Je lui fais comme hier une belle fellation, en peu de temps je suis devenue une experte.
Je me retourne quand il bande suffisamment.

- Prends-moi en levrette mon amour.

Sans problème j’ai fait comme dans un film la fille se fait sodomiser, je sens que je ne suis pas encore prête à faire ça.
C’est sûr, se faire baiser dans la position du missionnaire, je connais ce terme depuis que j’ai regardé le Kama-Sutra me montrant de nombreuses positions dont le missionnaire et la levrette.
Il a du mal à décharger mais je sens quelques gouttes entrer en moi.
Je dois reconnaître que je prends de plus en plus de plaisir à me faire baiser, Christian a eu raison de me poser un ultimatum.

Le samedi soir arrive, depuis le soir où j’ai failli être virée, je baise mon mari plus qu’il ne me baise.
Christian et Romainro sont allés voir un match à 17 heures au parc des Princes.
PSG contre Monaco.
Quand j’entends qu’ils sont de retour, les chandelles sont allumées et je suis en train de finir de me préparer.
Je suis retournée à la boutique de sous-vêtements.
Quand je les rejoins dans la salle, j’ai l’impression que mon mari va avaler son bulletin de naissance.
La tenue est rouge mais la guêpière montre la moitié de mes seins jusqu’à mes pointes que j’ai fait ressortir avec du rouge à lèvres comme je l’ai vu faire par une actrice.

- Christian, si je m’attendais à être reçu par ta femme dans une tenue aussi bandante, nous ne serions pas allés au Parc.
Radia, toi la petite Marocaine si réservée d’habitude.

Tout le repas je l’allume, Christian hagard doit se demander jusqu’à ou je vais aller.
Aucun problème, après le dessert c’est sur ses genoux que je m’assois.

- Radia, que fais-tu, à quel jeu joues-tu ?
- Mais c’est toi Christian, je me souviens très bien de la phrase que tu as dite quand tu m'as annoncé la venue de notre ami.
« Radia, samedi soir j’ai invité mon copain Romainro, tu le recevras aussi bien que ce soir. »
Hormis ma guêpière plus provocante qui est rouge, je le reçois comme je t’ai reçu !
- Je vais partir, je crois que je dérange.
- Toi tu restes là, Christian ton pote veut une salope dans son lit, pourquoi un lit, cette peau de bête fera très bien l’affaire.

Je me lève avant qu’il ait le temps de réagir, la petite Radia si réservée en temps normal s’empale sur la queue qu’elle a sortie de son écrin.

- Christian approche, Romainro me remplit la chatte, ma bouche est libre.

C’est ainsi que je jouis, que Romainro jouis dans ma chatte et que Christian me remplit la bouche.
Quand son copain est parti douche prise nous nous couchons.

- As-tu aimé ?
- Salope.

La semaine suivante, mon mari a de plus en plus de difficultés à suivre mon rythme.
C’est sur la table de salle à manger que j’ai préparé la prochaine étape de mon libertinage.

- Allo Christian, c’est Radia, tu as trouvé ton whisky, ta bière à la bonne température avec un sandwich jambon beurre, c’est ton préféré.
Devine où je suis, tu ne trouveras pas, place Clichy dans un bar, je viens de rencontrer Amadou.
Amadou, dit bonjour à Christian.
- Bonjour Christian, merci pour ta femme, c’est une belle pouliche, je vais l’éclater.
- Je te rappelle, Amadou m’emmène chez lui, tu sais dans les histoires cochonnes, les femmes aiment se faire sauter par des blacks montés comme des taureaux, il me dit que s’en est un.

Je suis Amadou, il habite un immeuble moderne au dernier étage.

- Christian, c’est moi, je suis de retour, tu verrais la vue que j’ai sur le Sacré-cœur, il va me baiser sous la protection de votre dieu moi la petite Musulman.
Tu sais que le ramadan, viens de débuter aujourd’hui, j’ai fait tout comme il faut, mais la nuit vient de tomber.
Oh, qu’elle est belle.
Ne te m’éprend pas, pas la lune, la verge que je viens de sortir.
25 sur 8 à ce qu’il me dit.
- C’est vrai Christian, je viens de mettre ta femme en levrette, je vais la sodomiser, il paraît que tu veux qu’elle soit la plus délurée des femmes, je crois qu’elle bat tous les records.
- Ah ! Il faut que ce soit pour toi Christian, par amour, il me déchire le cul à tout à l’heure, je m’occuperais de toi à mon retour.

Il est 2 heures du matin quand je rentre.

- Chéri, je fais ma valise, Amadou m’attend en bas, il est propriétaire de plusieurs clubs libertin en France.
Ce soir je commence dans celui ton je t’ai noté l’adresse sur un papier dans la salle à manger.
Je vais être payé pour animer les soirées, les clients qui voudront me baiser je serais tout à eux.
Si tu viens me voir, tu me verras me faire prendre par de nombreux mecs voire femelles.
J’ai envie de connaître les plaisirs féminins.
Tu m’excuses de te quitter comme ça, mais ta petite bite est devenue trop fade pour moi, tu as bien fait de réveiller en moi la salope qui était en sommeil.
Je te rappelle, si tu viens, tu seras le premier qui pourra me sodomiser, pour ce soir, je dois reconnaître que la bite d’Amadou il faut que je la digère.
J’ai cinq minutes si tu veux que je te suce.

Tout le temps où j’ai fait ma valise, il est retourné dans le lit, il n’a pas le courage de me regarder.
J’entends simplement.

- Salope.
- Merci Christian de reconnaître que je suis devenue celle que tu voulais que je sois.

Je tourne les talons, le taxi m’attend.