Mon Éveil De Soumise . Chapitre 3 : Première Séance
Mon éveil de soumise
Chapitre 3 : Première séance
Dans lascenseur qui me menait chez lui , je me remémorais les 3 règles quil avait énoncées lors de nos échanges ; ces règles sappliquaient dès que jaurai passé le pas de sa porte mavait il indiqué :
1-Nudité
2-Obéissance
3-Absence dintimité
Si les 2 premières règles métaient faciles à appréhender (je les avait bien intégrées), la 3eme mintriguait ; elle mintriguait et minquiétait aussi car javais déjà bien mesurer le degré de perversité de Pierre et son « talent » pour mhumilier .
Je chassais cette pensée pour revenir à cette soirée ou jallais être initiée ;javais peur et javais hâte .
Je sonnais , la porte souvrit ; Pierre était élégant et il me sourit en déposant un baiser léger sur mes lèvres . Il mattrapa la nuque , sans violence mais avec fermeté , se pencha vers mon oreille : « Tu es prête nest ce pas ? ».
Dans un souffle je mentendis répondre « Oui Monsieur , je suis prête »
Il me guida à travers une vaste pièce , un salon ; la lumière était douce et étudiée , Pierre ne laissait rien au hasard . En le traversant je pus furtivement découvrir des uvres dart de différentes époques mais qui formait un ensemble harmonieux et , comme lui , élégant .
Il me mena vers une pièce attenante ; «Tu te déshabilles en ne gardant que ta culotte » ; je navais pas oublié ses paroles à ce sujet et je tremblais de honte ! Mais jétais là . Il me laissa après mavoir demandé de le prévenir lorsque je serai nue ou presque .
« Je suis prête Monsieur » ; Pierre sapprocha et me mis un collier de cuir autour du cou a laquelle il crocheta une laisse .
Etrange sentiment de sentir le cuir autour de mon cou , étrange mais excitant aussi il me mena devant un canapé dans le quel il sassit et me regarda ; javais baissé les yeux et je sentais son regard me détailler ; une main vint prendre possession dun sein puis de lautre .
Visiblement satisfait de ma réaction , ile me demanda denlever ma culotte et de la lui présenter . Il me fallut lutter , vainement je le savais , contre ce quil me restait dorgueil .
Je décidais dobéir mais cette légère hésitation ne lui avait bien sur pas échappé ; il me dit simplement « Tu nhésiteras plus lorsque je te donne un ordre. Tu as bien entendu » ; je hochais la tête ; il avait gagné .
Je baissais cette culotte de coton blanc que javais porté jour et nuit depuis mardi ; lintérieur était humide et maculé et je la lui tendis . Il la regarda et me la mis sous le nez . « Tu ne pourras pas repartir avec une culotte aussi sale ! Tu devras la nettoyer » .
Je ne pus rien dire dautre que « Oui Monsieur » .
Il avait disposé sur la table basse qui se trouvait devant le canapé un martinet , une badine , des pinces , des poids et un plug .
Regard toujours baissé , je devinais quil prenait un de ces objets ; les pinces. Il en posa deux sur chacune des lèvres de mon sexe puis il enfila un large ruban de caoutchouc sur chacune de mes cuisses jusquà laine .
Les pinces furent glissées sous le ruban ; lèvres pincées et ouvertes ma chatte était béante .
Il linspecta longuement dans tous ses plis et termina par ces mots qui sans être inattendus mont mortifiés « Ta chatte est très sale et sent très fort » .
Humiliée certes mais comme il lavait remarqué très excitée « Tu aimes être humiliée Fabienne » .
Le simple fait de prononcer mon prénom rajoutait à mon humiliation ; oui cétait moi Fabienne nue , offerte et négligée devant un homme qui me soumettait posément et sans efforts à ces perversions .. et je mouillais !
« Tourne toi et penche toi en avant cuisses écartées » , je mexécutais .
« Maintenant écarte tes fesses » . Après ma chatte ouverte cétait mon cul quil pouvait inspecter ; il passa ses doigts le long du sillon jusquà atteindre mon anus quil caressa avant dy pénétrer un doigt puis deux .
« Ton cul est encore trop fermé pour ce qui tattend » . Je sentis ses doigts appliquer une pommade et , tournée vers la table je le vis prendre le plug quil fit pénétrer lentement et patiemment dans mon anus .
Je devais mavouer que jaimais cette présence bien enfoncée jusquau fond de mon cul ; je pus me relever .
Il retira les pinces de ma chatte pour les remplacer par dautres pinces japonaises celles-ci ; il les réunit et y accrocha un poids .
Je ressentais un étirement douloureux de ma chatte mais , Dieu que jaimais ça . Il me fit déambuler devant lui ; à chacun de mes pas maladroits le poids se balançait et métirait .
« Tu aimes que je maltraite ta chatte » ; « Oui monsieur ! Faites ce que vous voulez avec ma chatte »
Il se leva , et membrassa longuement tandis que sa main tirait sur le poids qui pendait entre mes cuisses ; jétais ruisselante .
Il retira alors avec douceur les pinces et celles qui me liront savent combien ce geste peut être douloureux mais , homme dexpérience , Pierre me massa longuement les lèvres et commença à caresser avec insistance mon clitoris tout en membrassant .
Il avait abandonné pour un instant mon bouton pour fouiller lintérieur de mes lèvres , de mon vagin et porta alors ses doigts vers nos bouches collées ; nous léchions chacun ses doigts imprégnés de mon intimité ; ce geste me transporta !
Il reprit ses caresses et au bord de jouir il ralentit et me murmura « Attends petite soumise tu jouiras plus fort tout à lheure » . Je retins mon orgasme avec obéissance et difficultés .
Il se rassit et mordonna de mallonger , agenouillée sur ses cuisses ; il commença par me caresser les fesses et je savais que ma première fessée viendrait .
Sa main sabattit sur chacune de mes fesses avec exactitude et constance ; elle dura longtemps , javais les larmes aux yeux mais jaimais aussi cette chaleur qui menvahissait ; il vérifiait dailleurs régulièrement que ma chatte coulait et lorsque ses mains sarrêtèrent , je ne bougeais pas comme si jattendais que la punition se poursuive .
Je crois quil lavait compris ; il me demanda de magenouiller sur le canapé bras reposé sur le dossier , il se leva et très vite je sentis des lanières meffleurer les fesses ; le martinet !
Là encore le martinet sabattit avec précision sur mon cul déjà rougi et je sentais ces lanières me fouetter avec une forme de plaisir ; cette punition dura elle aussi longtemps et lorsquelle cessa jétais en sueur . Pierre me caressa alors les fesses et me murmura que jétais une bonne soumise même sil me restait des progrès à faire . Jaimais ce mélange de punitions et de bienveillance . Toujours agenouillée il me caressa en faisant aller et venir le plug fiché dans mon cul ; jeus mon premier orgasme de la soirée puissant , violent ; il me laissa pantelante .
« Tu dois avoir soif » me dit-il ; je subissais humiliations et punitions depuis déjà plus dune heure et après avoir tant haleté et transpiré jétais en effet assoiffée .
« Tu trouveras dans la pièce à côté une bouteille de vin blanc , un verre et une écuelle . Apporte moi un verre de vin et remplis deau cette écuelle que tu apporteras elle aussi .
Je dus poser lécuelle par terre et il mordonna de boire à 4 pattes le cul tourné vers lui , cuisses écartées ; je me donnais limpression dêtre un animal , une esclave mais je me sentais consentante et fière ; je bus avidement en lapant leau ; une fois terminée je dus aller la remplir de nouveau et toujours dans la même position jingurgitais maladroitement son contenu . Javais du boire près dun litre deau et je craignais déjà les effets sur ma vessie .
« Nous allons continuer ton éducation petite soumise ; tu sais que le plaisir se mérite » .
Je ne le savais que trop :« Je le sais Monsieur, je suis prête ».
Il retira délicatement le plug de mon cul , me releva et la laisse entre ses mains mentraina vers une autre pièce , la chambre . Y tronait un vaste lit haut , de ceux quon trouve dans les palaces .
Une longue barre était fixée le long du mur semblable à celles quon peut trouver chez les tailleurs . Pendaient quatre liens avec dun côté des pinces japonaises et de lautre des poids ; chaque paire de liens était de longueur inégale .
Il me plaça dos à ce mur , prit la paire la plus courte et fixa deux pinces sur mes tétons ; il fixa lautre paire sur ma chatte .
« Maintenant tu vas me déshabiller » ; jallais enfin découvrir son corps et son sexe .
Déboutonner sa chemise se fit sans difficultés mais lorsquil sagit douvrir son pantalon , le lui retirer comme ses mocassins , il fallu magenouiller en entrainant les poids qui métiraient les seins et la chatte . Douleur vive mais à laquelle il mavait déjà entrainée ; la morsure sur mes tétons était à la hauteur de mes attentes , celle dune zone qui chez moi est très érogène .
Je découvrais son sexe déjà dressé , dune bonne taille sans être démesurée et jattendais avec impatience de le sentir pénétrer dans mes orifices .
Il sassit sur le lit ; « je vais te récompenser , tu vas avoir le droit de me lécher et de me sucer , dans cet ordre » .
Le lit se trouvait à quelques pas de lendroit ou je me tenais mais ses pas furent un doux supplice ; en avançant les liens se tendaient sous leffet des poids et il me fallu un certain temps pour enfin atteindre son corps ; là je dus magenouiller pour me plier à son désir .
Je commençais par lui lécher longuement les testicules , je les avalais goulument mais lorsque je voulus mettre son sexe dans ma bouche il me rappela :« Dans cet ordre tai je dit , retourne contre le mur ».
Je me relevais et reculais ; jattendis jusquà ce quil mintime lordre de venir le sucer .
De nouveau je mavançais avec la lenteur que mimposait les étirements et , enfin , je pus avaler son membre ; cétait si bon ! Ma bouche allait et venait je léchais son gland déjà humide des premières gouttes , jentrais dans un dérèglement de tous mes sens .
Après un long moment il repoussa doucement mon visage , défit avec la même délicatesse que précédemment les pinces et là encore massa longuement mes lèvres et mes tétons .
« Mets toi à quatre pattes sur le lit » ; allais-je être pénétrée , baisée , pilonnée comme jen rêvais ?
Je sentis son sexe se présenter à lentrée de mon anus tandis quune nouvelle paire de pinces était placée sur une surface encore intacte de mes lèvres .
Pierre mit le temps qui était nécessaire pour que mon cul souvre sous la pression insistante de son sexe ; une fois pénétrée , je ressenti une chaleur envahir mon fondement et au fur et à mesure je sentais également mon anus souvrir et lengloutir avidement .
« Ton cul souvre bien attends ce qui va venir » ; en effet sous leffet de ce nouveau plaisir je sentis son sexe glisser de mieux en mieux , mon cul mouillait ; cétait divin !
A partir de ce moment il mencula sans retenue en tirant sur les pinces .
Je gémissais , hurlait , haletais jusquà ce que les mots méchappent « Monsieur enculez moi plus fort , étirez moi , encore » et , dans un râle je me mis à jouir longuement pendant que le sexe de Louis me labourais .
Jamais je navais ressenti un tel orgasme ; je me remémorais sa phrase sur les plaisirs partagés ; jen prenais la mesure , jétais ivre de plaisir .
A suivre
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