Les 1001 Perversions De Nathalie (13) Douze Motards
Dans la chambre, malgré la baie ouverte, la chaleur demeure étouffante.
Allongée sur le lit, les pensées de Nathalie sont obscènes. Elle revit sa nuit de débordements dans la villa sordide où Juan l'avait emmenée la veille. Ses seins sont gonflés et sa vulve gluante. Car Marc, ne voulant pas être en reste, lui a promis une surprise pour la nuit à venir...
Elle se masturbe jusquà lorgasme, mais narrive pas à trouver le sommeil. Il fait trop chaud. Elle se lève. Par la baie vitrée, une légère brise vient caresser son corps nu.
Elle fait quelques pas sur les dalles menant à la piscine. Elle perçoit des petits cris provenant de la chambre de Juan. Intriguée, troublée, elle prête loreille. Il y a quelque chose dinhabituel dans ces plaintes. Elle est incapable de dire si cest sous leffet de la douleur ou du plaisir.
La lumière passe entre les rideaux mal fermés de la chambre. Le store n'est pas baissé, la porte-fenêtre est entrouverte. Elle s'approche. Reste figée.
Léa est allongée sur le lit, les yeux bandés, les poignets et les chevilles liés aux quatre montants. À proximité, un coffret contenant des godes est ouvert.
Juan tient une cravache quil promène sur le corps de Léa. Il la caresse tantôt avec une extrémité, tantôt avec lautre. Le pommeau glisse lentement de la base du cou à lentrée béante du vagin, non sans avoir titillé le bout des seins et le clitoris, au passage.
À voir ses contorsions, à entendre ses plaintes et ses supplications, le manège de son amant la met au supplice, mais Juan, imperturbable, la caresse toujours, sarrêtant quand il la sent sur le point de jouir.
Derrière la porte, son trouble saccroît quand elle remarque les stries rouges qui parsèment les seins, le ventre et le haut des cuisses de Léa. Par moments, Juan remplace le pommeau par la courte mèche de cuir de la cravache.
Ses caresses se font alors plus brutales. Il tapote les mamelons, le clitoris, les petites lèvres.
Le jeu dure un long moment. Appuyée dune main contre lencadrement de la porte, Nathalie se masturbe de lautre. Elle ne peut pas résister tant le spectacle lexcite.
À la fin, Juan monte sur le lit. Il saccroupit entre les jambes de Léa et lui lèche la chatte. En même temps, il glisse ses doigts sous les fesses pour lui forcer lanus. Hors delle, elle le supplie de la faire enfin jouir, mais il ignore ses exhortations. Au bout dun moment, il sempare d'un gode en métal. Il le pose entre les fesses de Léa, contre son anus.
Il prend ensuite le plus gros de ceux qui se trouvent dans la boîte. La fausse queue est impressionnante, tant par sa longueur que par son épaisseur.
Nathalie nose croire que Léa va être possédée par les deux bites artificielles en même temps. Cest pourtant ce qui arrive.
Juan commence par écarter les fesses, prend le gode métallique et le positionne contre lanus, après lavoir mouillé en lui faisant faire quelques allers-retours dans le sexe détrempé. Il lenfile ensuite sans difficulté dans létroit canal. Léa pousse un cri aigu. Après, c'est au tour du gros gode dentrer dans le vagin. La chatte parait pouvoir tout absorber.
Elle supplie toujours Juan de la faire jouir. Il se réinstalle entre ses jambes puis lui lèche le clitoris. Elle se tord en tous sens, criant son plaisir avec une telle force que Nathalie en est effrayée. Elle nimaginait pas que quelquun puisse jouir avec une telle violence.
Quand Léa se tait, un silence pesant envahit la chambre. Après tant de démonstrations bruyantes, cen est presque inquiétant. Juan, lui, doit avoir lhabitude, car il ne semble pas impressionné. Il retire avec précaution les deux godes du corps de Léa et la détache ensuite. Elle se laisse passivement retourner sur le ventre.
Juan la prosterne en lui repliant les jambes sous elle.
Elle ne bouge pas, même lorsque Juan la défonce violemment de ses terribles coups de boutoir. Il jouit à son tour en poussant un cri puis retombe de tout son poids sur le dos de Léa.
Nathalie en est à son deuxième orgasme. Elle se malaxe les nichons, les pressant comme si elle voulait en faire sortir du lait. Juan s'est retiré de Léa, la verge molle. Il se penche pour lui lécher lanus alors quelle se laisse glisser sur le ventre, inerte.
Nathalie comprend que cest le moment de regagner sa chambre.
Peu avant de sendormir enfin, elle entend Léa râler très fort dans la chambre voisine. Elle vagit, cela ressemble aux cris dun bébé. Nathalie recommence à mouiller et elle s'endort, la main entre les cuisses...
*********
Nathalie est installée sur la banquette arrière de la voiture. Un masque de velours noir lui cache leur destination. Ils filent depuis une demi-heure sur une route déserte. Où Marc la conduit-il ? Quel est le but de leur excursion ? La chaleur est enivrante. Après quelques virages, la voiture arrive devant un corps de ferme abandonné, s'arrête devant un portail de fer.
Il coupe le moteur. Personne. La pleine lune se dégage tout à fait des nuages, et il fait presque aussi clair qu'en plein jour. Il n'a pas besoin d'utiliser la moindre lampe pour l'aider à sortir de la voiture.
- Où sommes-nous ?
- Ne posez pas de questions !
- Je peux retirer mon bandeau ?
- Vous plaisantez ?
Il la guide, il pousse l'un des battants du portail et ils pénètrent dans la cour de la ferme abandonnée.
Le second battant du portail est resté fermé : il la plaque contre, et en quelques secondes, elle s'y retrouve attachée, les bras en croix.
Elle se tortille :
- Qu'allez-vous me faire
Où sommes-nous ?
- Cessez vos jérémiades inutiles
Vous êtes ici car tel est mon bon plaisir.
Il entreprend de caresser son corps, sa main remonte le long de ses cuisses, flâne jusqu'aux abords du con qui, à peine effleuré, s'ouvre sous ses doigts. Déjà, elle coule. Il ne lui reste plus qu'à sortir son petit vibro-masseur, lequel ne quitte jamais sa poche en cette occasion.
Son clitoris ainsi flatté se gonfle, palpite comme un coeur en furie puis se relâche, avant de se tendre à nouveau en quête d'orgasme. Elle jouit à perdre haleine, ses cris résonnent dans la cour de ferme.
Il s'écarte pour savourer le spectacle d'une femelle assaillie par le plaisir, ici, dans cet environnement pouilleux, accrochée à une grille et entièrement soumise à ses vices.
Soudain, un bruit de moteur, d'abord lointain, puis se rapprochant peu à peu, immerge Nathalie dans la panique.
- On vient !
- Taisez-vous...
Une minute s'écoule et une nuée de Harley Davidson fait son entrée dans la cour de ferme. Les motos pétaradent, s'immobilisent devant eux. C'est tout un groupe de bikers vêtus de cuir, tatoués à outrance, tous affublés d'un bandana rouge.
Aveugle, elle tremble d'appréhension, alors que la chaleur nocturne atteint des records. Pour ajouter à son épouvante, les bikers entament une sorte de circuit assourdissant dans la cour, poussant leurs engins à leur puissance maximale, frôlant sa robe avec leurs bottes, se livrant ainsi à un ballet où son corps attaché apparaît dans les phares. L'atmosphère se charge de vapeurs d'essence, d'odeur d'huile chaude et de sueur qui imbibe le cuir des combinaisons.
Marc fait un signe : quelques moteurs s'arrêtent, les autres continuent de tourner ; la troupe de bikers s'avance vers elle. Des mains nombreuses et entachées de cambouis tâtent ses formes, maculent sa belle robe blanche puis s'enhardissent, pétrissent ses grosses outres, ses hanches, son ventre, ses cuisses sans ménagement, avec une rudesse de fauve.
Des dizaines de doigts rugueux, mais vicieusement habiles, relèvent puis arrachent maintenant sa robe, explorent son con à plusieurs, ne laissent pas un millimètre de chair disponible du haut en bas de la vulve, investissent tout comme une armée terriblement efficace, lui soutirant des frissons et des gémissements de plaisir.
Alors qu'elle savoure cette brutalité primaire, tout en la fouillant avec de plus en plus de férocité, ils l'insultent tant qu'ils peuvent, la couvrent d'injures que ses oreilles n'ont probablement pas souvent l'occasion d'entendre. Excitante humiliation.
Marc estime qu'il est temps de la détacher de son portail, et de la livrer à ces taureaux en rut. Elle est immédiatement traînée vers l'une des Harley, on la plaque en travers du siège. En une seconde, un sexe géant force sa bouche, l'investit jusqu'au tréfonds de sa gorge.
Sur ces entrefaites, une bite plantureuse la pénètre, s'active sans tarder, y va franchement, sans retenue, pour éjaculer vite et fort. Une autre se hâte dans son fondement qu'elle laboure par saccades. Les moteurs des engins tournent toujours, la dizaine de bikers est pressée de l'enfiler, à la suite, comme une salope dépravée.
La scène dure une demi-heure à peine. Douze membres se succèdent aux trois orifices, sous les cris, les hurlements de jouissance qu'elle glapit lorsque sa bouche n'est pas remplie par une queue ou déborde de foutre.
Puis les braguettes des pantalons de cuir se reboutonnent, un à un les bikers apaisés enfourchent leurs engins et se rangent dans la cour, bien alignés.
Le chef des motards s'offre une gâterie : il la met à quatre pattes dans la poussière et l'encule longuement devant tous les autres qui jubilent, appuyés sur leur guidon.
Marc l'empoigne alors par les cheveux et la traîne jusqu'au portail. Épuisée, elle n'oppose aucune résistance lorsque qu'il l'attache à nouveau. C'est le moment de lui retirer son bandeau : elle peut ainsi contempler le tableau de sa soumission, et constater par qui elle a été pénétrée de toutes parts.
Les moteurs pétaradent, elle voit disparaître ses baiseurs dans un nuage de poussière et de fumée.
Nathalie retrouve peu à peu ses esprits, regagne sa condition normale. Du moins presque, car l'aspect qu'elle offre, fixée au portail, les bras en croix, les cheveux hirsutes, le corps couvert de sueur, de sperme, de sable et de cambouis, est plutôt celui d'une pouffiasse malpropre.
Marc sort de sa poche le petit vibromasseur. Il se colle contre elle, glisse le vibro entre ses cuisses, contre son clito, et le met en marche. Elle pousse une plainte en se cambrant autant que le lui permettent ses liens.
Marc prend sa bouche qui sent le sperme des bites qui l'ont remplie, il suce sa langue. Elle jouit encore en vagissant de plaisir. Elle frotte ses tétons bandés contre sa poitrine. Elle râle. Il sort sa queue. Il bande comme une bête en rut. Elle supplie, elle quémande la bite, mendie le mâle, dans son délire, elle le tutoie maintenant :
- Pine-moi
Pine-moi tout de suite
Pine tous mes trous avec ta grosse bite !! Fais-le moi comme un porc que tu es !
Il se colle entre ses cuisses, s'empale d'un seul coup dans son con et lui enfonce deux doigts dans le cul. Elle beugle :
- Oui
Par le cul
Prends-le fort, mon gros cul !
Il la détache et la retourne. Pris d'une excitation bestiale, il précipite sa queue au fond de son cul.
Elle délire, les pointes de ses tétons sont bandées à mort et allongées, dures. Elle dégouline de partout. L'orgasme la foudroie, elle se tétanise, comme sous leffet dune décharge électrique :
Ouiiiiii
Vas-y, élargis-moi ! Fais-moi un cul de putain
Je ten supplie, fais-le, oui, mon porc... Encule-moi fort ! Plus fort !!!
Alors, il sagite comme un déchaîné dans son trou et ils jouissent comme des bêtes, mêlant leurs cris et leurs plaintes.
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