Weekend À La Montagne - Épisode 6 - La Ballade En Forêt
Weekend à la montagne - Épisode 6 - la ballade en forêt
Bin non, elles avaient pas toute fondu ces saloperies. Jobservais les stalactites suspendues en mengageant sur le chemin qui senfonçait dans la forêt, guidé par Léa et Pauline. Cest cette dernière qui tenait la laisse attachée à mon collier.
- « Tu as le droit à un vêtement pour sortir, choisis bien »
Cest tout ce que Pauline mavait dit 20 minutes plus tôt en revenant de la chambre. Elle avait revêtu sa tenue de domina de la veille, corset et pantalon en cuir noir agrémenté de fourrure, long manteau et botte haute. Elle était par ailleurs déjà équipée dun gode ceinture par-dessus son pantalon : le ton était donné.
Léa avait elle aussi un haut similaire, mais elle avait audacieusement opté pour une mini-jupe accompagnée de bas en laine épais. « Quoi ? » elle avait dit face au regard étonné de Pauline, « jaime bien sentir les petites vagues de froid sengouffrer sous ma jupe » appuyé dun petit clin dil.
- « Mon collier maitresse »
Je la jouais stratégique dans mon choix, jallais peut-être réussir à inspirer de la clémence.
- « Ça va pas te faire gagner de point dêtre un suce-boule tu sais, tes sur de ton coup ? » me balança Léa pendant que Pauline se fendait dun grand sourire.
- « euuuh dans ce cas-là plutôt mes bottes maitresses »
Pauline, maintenant ouvertement hilare, menfila quand même mon collier pendant que je mettais mes bottes. En dehors de ça jétais entièrement nu, plus dattaches ou de plug.
Jétais donc en train de suivre les filles sur le chemin qui séloignait du chalet. On était loin de tout ici, pas de risque de croiser qui que ce soit. Cest dailleurs ce qui nous avait fait décider du lieu. Ça, et le froid comme nouveau jouet de .
Parce quil faisait pas chaud figurez-vous. Heureusement que javais finalement opté pour les chaussures. Mais le reste de mon corps était à la merci du froid glacial.
Après seulement 5 min elles sarrêtèrent. Pauline désigna un arbre et se fendit dun simple.
- « Là »
Là quoi au juste ?
Léa, elle, semblait savoir ce quil allait se passer là. Elle posa le sac de sport quelle avait amené avec elle, farfouilla un peu et sorti une corde. Euh javais froid moi, ça allait durer longtemps cette histoire ?
Ignorant mes suppliques (non exprimée, donc je pardonne), Léa mattacha les poignets avec une corde quelle lança par-dessus la branche dun sapin. Elle tira ensuite sur cette attache jusquà la tendre, puis la lia autour de la base du tronc. Elle prit ensuite une seconde corde quelle fit passer autour de mon genou et quelle attacha ensuite de la même manière. Javais donc une jambe repliée en lair, le scrotum, le sexe et le cul accessible et soumis à la petite brise glacée qui passait entre les arbres.
Les deux filles se regardèrent, puis hochèrent la tête. Elles étaient satisfaites.
Elles prirent toutes les deux leurs clés dans leurs décolletés et, dune manière très solennelle, elles me libérèrent.
Au moins, je me rassurais en me disant que jaurais un peu de plaisir malgré le froid.
Pauline commença doucement à me branler en membrassant dans le cou. Je me mis à doucement ronronner. Sa main était glacée, mais ma verge sen foutait et était tendue avant même quelle ne la touche. Léa me titillait lanus et les tétons. Elles jouèrent à ça pendant quelques minutes, faisant courir leurs langues sur mon torse, leurs mains sur ma peau exposée. Mes sens étaient démultipliés par le froid et la frustration des heures passées. Il ne leur fallut que quelques minutes pour mamener à la supplication d un orgasme.
Soudain, les deux filles arrêtèrent tout ce quelles faisaient et se mirent face à moi, une expression dure sur le visage.
- « Supplie-moi de te prendre le cul avec un stalactite pour de faire pardonner de ton affront de ce matin »
What the fuck ?! Elle était sérieuse là ?
- « Supplie-moi »
- « euuuuh
»
Désolé, mais là javais pas mieux.
Léa souriait. Elle sortit ensuite de mon champ de vision en se plaçant derrière moi.
Pauline prit un air contrit.
- « Tant pis, je ne te limposerais pas. Ça doit venir de toi, ça doit être ton choix »
Jétais rassuré, je trouverais bien un autre moyen de me faire pardonner.
Mais soudain, un bâillon boule dune sacrée taille avec double attache me passa sous les yeux avant de forcer lentrée de ma bouche. Ma mâchoire était complètement immobilisée.
- « Je te laisse y réfléchir un moment »
Et les deux filles rebroussèrent chemin en papotant comme si elles mavaient déjà oublié. Je criais dans mon bâillon. Elles allaient quand même pas mabandonner comme ça si ??
Bin si.
Après une ou deux minutes dattente, je réalisais quelles étaient vraiment reparties au chalet. Je me mis rapidement à trembler. Ça en faisait vibrer la corde qui me tenait le genou. Une vraie crise de tremblement
probablement dangoisse aussi. Jétais seul dans la forêt, nu, gelé, pendant que les deux filles qui mavaient laissé là, ma compagne et sa meilleure amie, prenait un chocolat chaud au chalet vêtues des tenues les plus excitante qui soit
alors POURQUOI EST-CE QUE JE BANDAIS ENCORE ?
Eh bin oui, javais abandonné toute logique en cours de route. La situation était stressante, javais froid jusquau fond de mes tripes, mais lhypersensibilité de chaque parcelle de ma peau et la situation surréaliste mexcitait au plus haut point.
Après environ ¼ dheure, jentendis des voix que je reconnu immédiatement. Elles navaient pas dû prendre le même chemin quà laller puisque je les sentis arriver derrière moi.
Une morsure glacée sur ma rondelle me fit crier sous mon bâillon. Pauline, toute sourire, apparue devant moi en brandissant une énorme stalactite.
- « Tu vois, ça fait pas si mal ! »
Elle me caressa le visage et reprit.
- « Tu nas pas eu trop froid jespère ? » je lui jetait un regard suppliant plus éloquent quune réponse. « Moi jai eu très chaud ce matin à cause de ton cuni, tu as le droit davoir un peu froid »
Voilà, je savais que ça allait me revenir dans la gueule. Derrière Pauline, Léa était toute sourire. Elle tenait une caméra et nous filmais à distance.
Pauline jouait du bout de son engin de glace sur ma queue tendue.
- « Jaurais quand même tendance à dire que tu supportes plutôt bien la température, en tout cas elle na pas calmé tes ardeurs
Bon je te fais un deal : quand jaurais fini de te sodomiser avec mon nouveau jouet, je te laisserais jouir »
Ce machin
dans mon cul
Non mais cétait pas possible quoi !
- « Très bien, je vais taider à prendre ta décision
Léa, pourrais-tu ma chérie poser la caméra sur le tronc darbre là-bas et aller me chercher un bandeau dans le sac mystère sil te plais ?
- Avec plaisir
»
Léa posa ladite caméra sur ledit tronc darbre et se pencha sur le sac.
Cest ce moment-là que choisit Pauline pour, à la grande surprise de tout le monde, pousser son acolyte dans la neige. Celle-ci ayant les mains dans le sac ne put amortir sa chute et senfonça tête la première dans la poudreuse. Pauline continua sur sa lancée avant que Léa ne reprenne ses esprits et se mit à califourchon sur elle, plongea sa main dans la poche de son manteau et en sorti une paire de menotte quelle utilisa pour restreindre sa victime. Elle prit ensuite un collier et une chainette dans le sac et les utilisa pour immobiliser les mains menottées collée devant elle contre son cou. Cest à ce moment-là seulement quelle prit Léa par les cheveux et laida à se relever.
La scène avait duré moins de 10 sec au total. Jétais subjugué, le tableau me faisait littéralement baver. Ça plus le bâillon bien sûr.
Léa, relevée sur ses genoux, était en train de cracher de la neige et de sindigner.
- « Cest quoi ce coup fourré putain ?! On a dit quon le frustrait dans la forêt, il na jamais été question de ça !
- Dabord, tu mesures ton langage si tu veux pas finir avec des glaçons qui te sortent de tous les orifices. Ensuite, tu crois vraiment que jallais laisser passer laffront de ce matin ? Cest lui qui a exécuté, mais on sait tous les deux qui a eu lidée de faire de la sauce arrabiata avec ma mouille. »
Léa commençait doucement à comprendre sa situation.
Au fait, de mon côté javais toujours bien mais alors bien froid si jamais vous vous demandiez hein ? Par contre jen avais aussi considérablement rien à branler. Enfin si, javais à branler là justement. Mais Pauline avait décider de me délaisser et de faire monter mon envie en torturant sa nouvelle victime.
Elle laida à se relever en la tenant par les cheveux, puis la fit mettre à genou face à un tronc darbre coupé et poser sa poitrine à plat dessus. Elle récupéra dans le sac du lubrifiant dont elle commença à badigeonner son gode ceinture encore recouvert de neige de la bataille récente dans la poudreuse. Il devait être glacé. Léa prenait peur.
- « Non mais attends
faut quand même quon se concentre sur lui non ? On pourra régler ça toutes les deux au chalet plus tard. Attend-sil te plais. Mais attends je te dis ! Arrête tu vas
haaaaan »
Pauline, ignorant ses suppliques, sétait mise à genou derrière elle, avait écarté son manteau et relevé sa jupe, tiré une grande poignée de ses cheveux pour la relever à moitié et sétait enfoncé en elle dun coup. Elle la tira contre elle, maintenant complètement relevé, et lui murmura à loreille :
- « Dabord, tu mappelles maitresse et tu me vouvoies. Oh et puis non en fait, tu fermes ta gueule, je tai assez entendu »
Elle lâcha les cheveux de sa suppliciée et plaqua sa main sur sa bouche. Puis, elle prit de lautre main la stalactite qui était restée plantée dans la poudreuse comme un couteau dans du beurre et la glissa sous la jupe de sa soumise, contre son clitoris. Léa poussa un long cri étouffé.
- « Je tai dit de te taire, je fais ça pour toi ! Jarrondi les angles, je ne voudrais pas te blesser »
Elle restait plantée en elle sans bouger. Par contre, je voyais sa main sagiter avec son jouet congelé. Après une ou deux minutes de ce traitement elle sortit de sous la jupe un glaçon quelle avait en effet fait fondre dans une forme bien plus phallique. Cela-dit, la taille restait toujours énorme
- « Cest vrai quil est un peu gros
On va le préparer pour lui daccord ? »
Elle lâcha la bouche de Léa qui poussa un long soupir et se mit à haleter
Elle aussi devait être gelée. Pauline la tenait par le collier, inclinée de 45° vers lavant. Cette position déquilibre précaire poussait la soumise à moitié étranglée à chercher en permanence à basculer soit vers lavant, soit vers larrière
mais seul Pauline pouvait décider, et elle navait pas lintention de le faire.
A la place, elle enfonça son nouveau gode dans la bouche Léa pour une longue gorge profonde glaciale et se mit à la pilonner.
Mon sexe navait bien sûr pas débandé, et ce nétait clairement pas face à ça que ça allait commencer. La scène était un condensé de gémissement, de grognement rauque caractéristique dune pipe aussi intense, on entendait le bassin de Pauline claquer contre le cul de Léa, on voyait les mains de cette dernière se tendre vers lavant pour essayer de retrouver léquilibre, sétouffant elle-même au passage, on pouvait sentir leurs sueurs entremêlées, voir le membre énorme déformer la bouche de Léa, leau fondue mélée à la bave qui coulait sur sa poitrine maintenant à moitié exposée
Pauline fini par sortir le gode improvisé de la gorge de Léa qui aspira de grandes goulées dair. Elle se retourna de ¾ pour être face à moi et me le montra :
- « La, tu vois, il est plus si pire ! »
Je hochais la tête de haut en bas. Javais déjà pris ma décision il y a quelques minutes quand il était entré dans la gorge de Léa
jallais devoir y passer. Et puis javais tellement froid
jétais vaincu. Et en même temps tellement excité.
Les yeux de Pauline souvrirent en grand. Dans le fond, elle ny avait peut-être jamais vraiment cru. Elle sorti dun coup de Léa qui poussa un cri de surprise. Celle-ci, nétant plus tenue par sa maitresse tomba sur le côté dans la poudreuse sans pouvoir se retenir. Pauline sen foutait, elle était déjà devant moi en train de menlever mon bâillon.
- « Alors, tu as quelque chose à me demander ?
- Cest bon tu as gagné, jaccepte
» lui répondis-je avec un air résigné.
- « Ah
non, ce nest pas ce que je voulais. Tant pis, je reprends »
Et elle commença à me remettre mon bâillon pendant que Léa, qui comprenait que sa nétait pas finie, poussait une longue complainte déchirante. Je grognais et agitais la tête dans tous les sens pour lempêcher de le serrer. Elle me lenleva :
- « Quoi encore ?!
- Ok, sil vous plaît enculez moi avec ce gode
- Tu es sûr ? tu nas pas lair très convaincu
- Pitié maitresse, je vous en supplie, enfoncez-moi cette putain de stalactite dans le cul ! »
Le visage de Pauline sillumina dun grand sourire
Elle était tellement belle.
- « Si tu insistes, je veux bien essayer ! »
Elle récupéra la stalactite dans la neige et jeta un coup dil à Léa. Celle-ci avait eu le réflexe de rapprocher ses genoux de son buste pour sortir son cul probablement gelé de la neige. Elle était donc en équilibre sur sa tête et ses genoux, les seins dans la neige et le cul en lair. On pouvait voir une goutte de mouille qui avait glissé le long de sa cuisse en train de geler. Elle tremblait comme une feuille.
Pauline se dirigea donc dabord vers le sac et en sorti quelques objets avant de revenir vers moi. Elle sarrêta vers Léa, lui enfonça un uf dans la chatte sans obtenir de réaction de sa part. Puis elle laida à se relever et remit son manteau en place. Elle la tint par laisselle pour laccompagner jusquà devant moi. Elle me regarda droit dans les yeux, tenant sa soumise à bout de bras comme si elle me loffrait, avant de me demander :
- « Tu veux sa bouche, sa chatte ou son cul ? »
Ouhaou, javais commencé par croire quelle lavait prise en pitié mais pas du tout. Elle était encore en train de se venger de lépisode de la sauce piquante.
Je vis Léa tressaillir. Elle ne dit rien cependant, ayant accepté sa condition.
- « Sa bouche maitresse »
Cétait surement le moins pire pour elle, jespère quelle sen souviendra plus tard. Pauline hocha la tête, installa une couverture devant moi, la posa à genoux et enroula ses jambes dedans
bon ok elle lavait un peu pris en pitié quand même. Léa lui jeta un regard plein de remerciement. Mais notre tortionnaire était déjà passée à autre chose. Elle me glissa la télécommande de luf vibrant de Léa et me fit un clin dil.
- « A nous deux maintenant
»
A suivre
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