Samia - 44 Julien Est-Il Gay ?
Il me pince une joue en disant :
Ouvre la bouche.
Aïe ! Jobéis et un jet de pisse menvahit la bouche, javale en faisant la grimace.
Il sassied sur les w.c. en disant :
Regarde comme ça mexcite de te voir avaler ma pisse.
Je baisse les yeux sur son sexe dressé, cest vrai quil bande bien. Il ajoute :
Faut te faire un dessin ?
Non, msieur.
Je voudrais faire une petite parenthèse, je ne suis pas gay, je fais ça pour obéir à Samia. Les sexes des hommes mintéressent parce que je les imagine fouiller le sexe de Samia, mon amour. Je les imagine dans des endroits inaccessibles pour ma langue. Quand jai la bite dun homme en bouche, jimagine que je suis devenue le sexe de Samia et...
***
Mais quest-ce que cest, ces conneries...
Je vais barrer tout ça, Samia !
Elle secoue la tête en levant les yeux au ciel, puis elle me demande :
Quand tu suces une bite, tu imagines que ta bouche est devenue ma vulve ?
Oui, mais...
Et quand tu as la bite dun mec qui vient de menculer dans la bouche, tu timagines être mon trou du cul ?
Euh... oui Samia... Je vais supprimer ça et...
Non laisse, cest marrant... Ça me plaît que tu tidentifies à mon trou du cul. Bon, continue !
***
Je me mets à genoux et, comme les lèvres de la vulve de Samia, je frotte ma bouche sur le membre dur de cet homme. Puis, je fais entrer le gland dans ma bouche/vagin... Comme ma femme quand elle va et vient sur un sexe dressé, ma tête va et vient sur le sexe... Jai envie quil jouisse et arrose ma luette/col de la matrice et quil me... qu'il mengrosse.
***
Pas mal, mon petit trou du cul, cest complètement dingue mais assez poétique... lyrique, même. Maintenant, passe à des choses plus prosaïques. Par exemple, est-ce que son sperme est venu rejoindre sa pisse dans ton estomac ?
Euh... non, il ma dit : "Debout et encule-toi sur ma bite !"
Ouch ! Je vais la sentir passer, même si jai copieusement mouillé son sexe avec ma salive.
Je me mords les lèvres pour ne pas crier... Ce type est vraiment costaud, il me fait aller et venir sur son sexe comme si jétais une poupée Barbie. Je dois avouer que... ça me fait de leffet, cest... euh... mécanique. Il accélère le mouvement et jouit en moi. Je ne peux pas mempêcher de jouir avec lui. Il me donne un claque sur les fesses en disant :
Allez, bouge ton cul.
Je me relève avec précaution... une partie de son sperme sort de mon anus et coule par terre, entre ses jambes. Il me dit :
Lèche !
Heureusement, le sol est propre. Jaspire le sperme, puis je me redresse. Il sort de la toilette et s'habille. Ensuite il ouvre la porte en disant :
Au suivant !
Quoi ? Oh non, il y a deux autres types qui attendent leur tour !
***
Samia est revenue lire, elle dit :
Normal, si tu es mon trou du cul, tu peux facilement te prendre trois bites. Allez, cest pas mal. Tu as un bon point, tu pourras le sortir pour supprimer une punition. En attendant, viens me lécher...
Elle sassied dans un fauteuil, une jambe sur un des accoudoirs et je redeviens une langue qui appartient à sa Maîtresse.
Fin du journal de Julien... pour le moment.
***
Samia.
Ce matin, je suis dans le bureau de mon beau-père qui mannonce :
Ton ami Max me fait chier.
Ce nest pas du tout mon ami..."Monsieur".
Cest vrai que tous ceux à qui tu suces la bite ne sont pas tes amis.
Absolument, à commencer par vous... et les clients que vous me faites rencontrer, Monsieur !
Gros soupir excédé... Il pianote sur son bureau, cest énervant, puis il me dit :
Il veut une augmentation de 5 % pour tous les ouvriers et la création dune crèche.
Tout ça me paraît très légitime, mais pas à lui :
Cest complètement délirant.
Ça, ça métonnerait... Mon beau-père poursuit :
Sois ferme ! On dirait vraiment que tu as peur de ce type. On dirait que Julien a déteint sur toi... Tu as lintention de te laisser faire ? Tu as lintention de sucer tous les ouvriers de lusine pour leurs anniversaires ?
Ah, merde, il sait ça ? Il a raison. Je suis folle de me laisser faire comme ça ! Je réponds :
Il se croit tout permis, cest vrai, mais il se trompe. Je vais le lui dire.
Cest ce que jattends de toi. On va boire à la nouvelle Samia.
Il sort une bouteille de whisky, deux verres et nous sert. On fait "tchin" et on boit. Le whisky, ça pique la bouche, mais ça fait du bien. Il nous ressert ! Je lui dis :
Si vous avez envie de moi, pas besoin de me saouler, Monsieur.
Il rit, cest rare... Je bois ce deuxième verre. Je suis en mode guerrière, maintenant.
Je vais dans latelier des femmes où Max passe son temps. Dès que je suis près de lui, je lui dis, en parlant un peu fort, cest vrai :
Monsieur Max, cette fois-ci nous ne céderons pas à votre chantage !
Très bien, vous voulez la grève, vous laurez. Je vais avertir les camarades !
Et moi, je vais avertir lavocat de la fédération. Vous vous croyez tout permis mais on va vous faire un procès qui vous coûtera la peau du cul.
Je suis remontée... Au lieu de crier comme moi, il me sourit et me dit calmement :
Tu es une gamine insolente et tu sais ce quon leur fait aux gamines insolentes ?
Je... je vous préviens, si vous me touchez, je dépose plainte pour voies de fait.
Les ouvrières se sont rapprochées et forment un cercle autour de nous. Jentends des filles dire « les gamines insolentes, on leur donne une fessée ».
Je vous préviens... je...
Et là, il matt par loreille en disant :
Tu la veux ? Tu vas lavoir !
NOOOOOOONNNNN, lâchez-moi vous me faites mal !
Il me fait basculer en travers d'une table, relève ma jupe et descend ma culotte jusquà la pliure de mes genoux.
Je me débats, mais je sens des mains me prendre par les chevilles pour me maintenir fermement.
Max pose sa large main sur mes fesses et les tapote en disant :
Pas de risque de manquer la cible.
Trop drôle ! Tout le monde rit, sauf moi. Il me demande :
Prête Samia ?
Je ne réponds rien. Ça changerait quoi ? Sa paume quitte mes fesses et ça fait « PAF ! ». Le bruit ressemble à celui dun gros pétard qui explose. Tandis que je fais :
Aaaaïïeee !
Il frappe mes fesses à toute allure !
PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF !
Je narrête pas crier :
Aaaaaiiiiieeeeeeeeeeee !!
Tandis que je me tortille pour essayer déchapper à cette volée de claques, une ouvrière lui dit :
Laisse-la un peu se reposer, Max, elle appréciera encore mieux les suivantes.
Je sens que mes fesses continuent à monter et descendre comme sous les claques. Je reste quelques minutes à geindre sur ses genoux de Max, avant quil ne dise :
J'y vais. Faut pas quelle att froid.
PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF !
Aaaaaiiiiieeeeeeee....
Cest vrai que japprécie encore mieux la douleur ! Mes fesses sont en enfer et mon visage est plein de larmes... Quand il arrête, plusieurs mains viennent me tâter les fesses.
Chacune y va de son petit commentaire comique, genre :
On pourrait faire cuire un uf sur son cul !
Quand elles ont presque toutes tâté mes fesses, dune façon plus ou moins brutale, Max me demande :
Tu as quelque chose à me dire ?
Pardon pour mon insolence, mais cest mon beau-père qui...
Pour toi, cette fessée était méritée ?
Oui Monsieur Max.
Bien, laisse ta culotte à tes genoux et ta jupe relevée. Tu vas faire le tour de latelier pour montrer à toutes tes grosses fesses rouges.
Il me remet sur mes pieds et je commence à faire ce honteux défilé en faisant bien la gueule, mais il ajoute :
Fais-nous un grand sourire, si tu ne veux pas une deuxième fessée.
Je lui obéis du mieux que je peux. Pas facile quand on a les fesses brûlantes et douloureuses et quon a connu une des pires humiliations de sa vie. Je ne mettrai plus jamais un pied dans cet atelier !
***
Je lencaisse mal, cette fessée ! Pas tellement pour la douleur, car ça passe... mais parce que jai subi ça devant toutes les ouvrières.
Jen ai vraiment marre de lusine ! Ça fait un moment que jenvisage de partir avec Julien sous le bras. Après tout, je peux le prosti dans nimporte quel pays. Mais je ne veux pas partir sans rien et jai un début de plan... Jai surpris des bribes de conversation téléphonique, mon beau-père disait : « Je réinvestirai la somme en... » Mais là, il a crié :
Gisèle, fermez la porte de mon bureau !
Jai limpression quil blanchit de largent en Malaisie ou en Chine... Tous les sens en éveil, jattends plus dinformations...
Ce matin jarrive au bureau, Gisèle me dit :
Il vous attend.
Tu sais pourquoi ?
Parler de gros clients...
Ah ouais, encore ! Ça fera trois fois cette semaine ! Il me prend vraiment pour une pute ! La seule chose qui mintéresse, cest quil devrait avoir un contact avec les gens qui vont lui remettre une grosse somme... mais on va aussi régler le problème de Max.
Madame de Préville... Samia !!
Oui ?
Cest Gisèle qui m'appelle, jétais perdue dans mes pensées.
Vous pouvez y aller.
Jentre en disant :
Bonjour Monsieur.
Bonjour Samia... tes fesses vont mieux ?
Mes fesses oui, mais pas... ma fierté. Il y a même une ouvrière qui a fait des photos et...
Oui, je les ai vues. Tu as des fesses très photogéniques.
Amusant !! Sauf que je ne mettrai plus un pied dans cet atelier.
Tout ça pour une malheureuse fessée... Bon, on en reparlera. Jai besoin de vous deux ce soir.
Ça fera trois fois cette semaine. Jaccepte à condition de ne plus être obligée daller dans cet atelier... à moins que Diesel ne maccompagne.
Oh ! Il n'aime pas du tout que je me rebiffe ! Mais je sais quil est accro aux soirées qui mettent les clients dans de si bonnes dispositions tout en lui permettant de réaliser des fantasmes... inavouables. Il pousse un soupir tellement gros que jen suis toute décoiffée, avant de me répondre :
On en parle demain.
A suivre.
Si vous voulez me joindre, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr
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