Laissez Passer L'Orage
LORAGE
Très chaude journée de juin. Je me trouve au bord dun lac de montagne plutôt fréquenté. Quelques familles, des couples, des hommes seuls, comme moi, des femmes seules aussi.
Cest la fin de laprès-midi. On dit souvent que le temps peut changer brutalement en montagne. Cest le cas. Le vent fraîchit et, en moins de dix minutes, le chaud soleil cède la place à un violent orage. Je suis pris. Mes vêtements complètement trempés, juste un arbuste pour mabriter ; autant dire, rien. Tout le monde est parti. Tout le monde ? Pas sûr.
- Retourne-toi, viens me rejoindre, jai de la place dans mon abri.
Dabord je ne vois rien. Puis, japerçois une main qui me fait signe. Il y a une sorte de grotte, et quelquun dedans. Je me dépêche de monter. Bien que, mouillé comme je le suis, la vitesse ne changera pas grand-chose.
Sitôt dans labri, je me rends compte quil y a juste une femme. Je devrais plutôt dire « une dame » ; elle a plus de soixante ans, quarante de plus que moi.
- Approche-toi, tu ne peux pas rester comme ça.
En effet, je grelote. Sans faire de chichi, elle menlève mon t-shirt, mon bermuda, et menveloppe dans une grande serviette éponge quelle manie avec énergie. Je me retrouve en slip à la merci dune Mammie. Et je commence à avoir chaud, tandis que dehors lorage redouble.
- Je crois bien quil faut enlever ton sous-vêtement. Pour être bien sec. Ensuite tu vas te reposer.
Pas le choix. Je me mets à poil, sous la grande serviette. Pudique, malgré mes vingt ans, et le caractère inhabituel de la situation. Je mendors un moment.
Lorsque je me réveille, lorage a cessé. Il fait à nouveau beau et chaud. Japerçois mes vêtements au soleil. Et japerçois la Dame . Pas nue, mais
presque. Ses dessous et sa tunique sèchent à côté de mes habits. Elle est juste couverte dun genre de chemisier transparent.
- Désolée ; je nai que ça de sec. Je vais métendre à côté de toi et dormir un moment ; laisse moi un peu de place sous la serviette de bain.
Sitôt dit, sitôt fait. Me voici maintenant à poil, dans une grotte, seul avec une dame dun certain âge, bien foutue au demeurant. Pas à poil, mais tout comme.
Je fais semblant de dormir, mais ma main ne peut sempêcher de filer vers ses tétines magnifiques. Jeffleure, je caresse, je pince. Dort-elle vraiment ? Pas sûr, elle gémit, la cochonne !
- Viens me téter, ça nous réchauffera tous les deux. Tu veux bien ?
Je nen reviens pas, je passe dun sein à lautre, les tétins sont droits comme des i et durs comme des bougeons. Elle continue à gémir ; non, elle crie un peu, elle se lâche.
- Mords moi si tu as envie, mais pas trop fort.
Alors là, cest plus fort que moi, dune main je tripote un sein comme si cétait un trayon, pendant que je suce et que je mords le second. Et je change pour quil ny ait pas de jaloux. Alors, elle hurle « Merci, merci, continue encore, encore, encore
». Je navais jamais vu ça. Et tout à coup, terminé. « Un gros merci, Trésor, reposons nous un peu, nos vêtements ne sont toujours pas secs. Sauf ton slip, tu peux lenfiler si tu veux.
Après lorage, le calme. Nous somnolons côte à côte. Pas un dans lautre, même si ça y ressemble. Voilà que, tout à coup, je sens la main de la vieille dame sur mon genou ; comme je ne bouge pas, elle continue. La cuisse à présent ; je commence à bander. La voici au niveau de léchancrure du slip. Elle ne va pas oser ? Si, elle ose ; elle prend possession. Elle approche son visage du mien. « Chut, laisse-moi faire, tu vas aimer
» Elle nattend pas de réponse. Les longs doigts de sa main droite semparent de ma bite et ceux de la main gauche sattaquent à mes couilles. « Je peux ?... » Pas de réponse, ça vaut approbation. En fait elle voulait avant tout menlever mon slip, mavoir à elle entièrement à poil. Elle me la avoué plus tard.
« Je vais te serrer les couilles, tu auras un peu mal, mais tu tiendras plus longtemps ». Ah, la cochonne, elle sait y faire.
- Tu as aimé ?
- Que pourrais-je dire dautre ? Cest fabuleux ; surtout avec le doigt dans le trou du cul
- Oui, la pipe royale. Peu la connaissent ; il faut faire au bon moment.
- Mais
et Vous ?
- Pour aujourdhui, cest bon. Ta séquence sur mes nénés ma fait le plus grand bien. Regarde, ils sont encore rouges et durs. Et, je ne te lai pas dit, mais tu mas fait jouir, jen avais tellement envie.
- Daccord, mais tout de même
- Regarde-moi, Regarde-moi bien, dit-elle en se levant, exhibant sa chatte, ses fesses et son cul. Cela te plait ?
- Oh
Oui, bien sûr. Mais
- Il n y a pas de Mais, ce sera pour le prochain orage.
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