Cocufié Par Deux Femmes
À travers les minuscules trous des volets, le jour annonçait sa présence aux dormeurs via la lumière, quil peinait à répandre dans la chambre toujours sombre, lumière quil fixait en petites étincelles fixes derrière la vitre. Il serait bientôt 6H. Le soleil continuait à se soulever. K quitta le lit conjugal. Il saisit le téléphone intelligent puis neutralisa la sonnerie alarme avant quelle neut le temps déclater. P dormait encore, en tenue dÈve, sous le drap frais, loin de simaginer les nuits tortueuses quelle lui imposait depuis quelle avait pris lhabitude de dormir complètement nue près de son pénis encagé.
Tous deux se tenaient debout et nus sous les jets rectilignes qui les éclaboussaient, les mouillaient, tièdement, voluptueusement. Leau sinfiltrait dans la cage de chasteté métallique de P. Il ne sentait plus son pénis encagé depuis plusieurs jours.
Ils prirent ensemble le petit déjeuner préparé par K. P se rendit à son cabinet. Elle y travaillait comme avocat. K resta seul au domicile du couple, à faire lhomme de ménage. Il passa laspirateur, fit la vaisselle, lava les sous-vêtements de sa femme, etc. Toutes ces tâches, il les accomplissait en signe de soumission.
Cétait une citadine convertie en professionnelle recouverte de phrases marketing qui vous informaient quelle appartenait à un coiffeur et qui vous indiquaient ses coordonnées de contact, son emploi du temps, ses tarifs. K gara sa voiture professionnelle sur le parking quil connaissait bien. Il prit dans le coffre le sac contenant ses outils. Il envoya un SMS pour signaler son arrivée. Il se dirigea vers le portail de la villa.
Cliente régulière, D lui ouvrit. Cétait une quarantenaire. K shampouina D dans la salle de bain. Il bâcha une partie du sol au salon. Il se mit à coiffer D. Les courts bouts de cheveux atterrissaient sur la bâche, dautres restaient sur la blouse en plastique qui protégeait les habits de la femme.
La cliente.
K.-Merci ! Cest toujours un plaisir pour moi de tembellir.
La cliente.-Cest moi qui te fais cet effet-là ?
K.-Javoue que la grosseur est flatteuse et que jaurais vraiment aimé que ma bite ait cette taille, mais ce nest pas ma bite !
La cliente. -Si ce nest pas ta bite, quest-ce que ça peut bien être ?
K.-À toi de toucher pour savoir ce que cest ?!
Elle se rapprocha de K. Poussée par la curiosité, elle tendit le bras. Sa main toucha la devanture du pantalon. Ses doigts devinèrent une structure solide derrière le tissu.
La cliente.-Cest quoi ?!
Elle recula, surprise et effrayée. Le pénis des hommes était censé être mou, pas aussi dur !
K.-Cest à toi de deviner ce que cest !
La cliente.-On aurait dit que ton pénis est en fer ! Tu nes pas un robot jespère ! Une espèce de terminateur.
K.-Je vais te dire la vérité, toute la vérité. Je suis un prototype secret ! Jai été construit pour remplacer les humains au travail. Je suis dirigé par une intelligence artificielle. Très bientôt nous les robots nous remplacerons les hommes dans tous les domaines. Tu as raison, ma bite est en fer ! Je suis terminateur ! Le terminateur de la coiffure.
La coiffeuse.-Cest ça ! Fous-toi de ma gueule !
K.-Quest-ce que ça peut bien être alors si ce nest pas un pénis de robot ?
La cliente.-Jai trouvé ! Cest une coque ! un protège pénis ou un protège testicules ! Un truc dans le genre ou un pénis artificiel ! La greffe des pénis est réalisable. Il y a quelques années en Afrique du Sud, ils ont greffé à un homme la bite dun autre homme. Peut-être que toi, ils tont installé un pénis numérique et intelligent, une sorte de bite smartphone !
K.-Hou là ! Tu as beaucoup dimagination D, mais ce nest pas ça ! Ce nest rien de cela.
La cliente.-Cest quoi alors ?
K.-À toi de découvrir ce que cest !
D était perplexe ; elle ne savait pas si elle devait continuer à jouer le jeu quils étaient en train de jouer ou si elle devait fuir et appeler la police ! K était un coiffeur efficace et un homme bien qui devait sûrement avoir une part dombre comme tout le monde.
La cliente.-Ça ne te dérange pas si jintroduis ma main dans ton pantalon ?
K.-Non, fais ce que tu veux.
Elle se rapprocha une nouvelle fois de lui. Cette fois, elle introduisit sa main dans le pantalon puis dans le boxer de K. Sa main se saisit de la cage de chasteté. Impressionnée par ce quelle venait de toucher, elle baissa le pantalon de K, puis son boxer, elle se retrouva le visage face à un objet quelle navait encore jamais vu.
La cliente.-Quest-ce que cest ?
K.-Cest une cage de chasteté.
La cliente.-Il y a un cadenas dessus. Cest toi qui las installé ?
K.-Cest ma femme.
La cliente.-Pourquoi ? Elle a peur que ta bite senvole ?
Ils rirent.
K.-Non, cest elle qui contrôle ma sexualité. Cest elle qui garde la clé.
La cliente.-Elle est très intelligente ta femme !
K.-Pourquoi tu dis ça ?
La cliente.-Grâce à la cage, tu ne peux pas la tromper avec une autre femme. La preuve, on ne peut pas baiser ensemble si lenvie nous prend.
K.-Je vois. Cest ça qui est excitant. Le fait quon ne puisse pas baiser ensemble à cause delle, malgré le fait quelle ne soit pas là.
La cliente.-Je dois rencontrer ta femme ! Je dois en apprendre plus sur elle.
K.-Cest comme tu veux ! Je te promets un RDV avec elle. Je peux te faire un cunni ?
La cliente.-La proposition est généreuse, mais je crois que ta femme ne le souhaite pas. Elle a marqué son territoire en timposant le port de la cage de chasteté.
K.-Cest vrai, tas raison. Ne lui dis pas que je tai proposé un cunni, elle me ait pour ça !
La cliente.-Ne tinquiète pas je ne lui dirais rien. Si tu navais pas la cage on aurait peut-être baisé, mais comme tu las, on ne fait rien.
K rangea son matériel. Il sen alla. Il passa laprès-midi à honorer dautres rendez-vous professionnels. Il rentra chez lui le soir.
Les deux femmes étaient assises à la terrasse dun café. Elles causaient.
D.-Comment es-tu parvenue à lui faire porter la cage de chasteté ?
P-Cest lui qui ma proposé de la lui faire porter ! Au départ, cétait un moyen de pimenter notre sexualité. Comme toutes les relations, le début était génial, puis la routine sest installée. Nous avons adopté la cage de chasteté pour relancer notre libido en berne. Puis les choses ont évolué jusquà ce que le port de la cage devienne permanent pour lui.
D.-Jai du mal à concevoir quun homme puisse prendre du plaisir en étant encagé !
P.-Je crois quil prend du plaisir cérébralement. Cest le fait dêtre encagé par sa femme qui contrôle sa sexualité qui lui donne du plaisir. Les hommes sont très visuels, lacte en lui-même les excite certes, mais surtout tout le processus quil y a autour, tout ce qui tourne autour de lacte, la cérémonie avant le passage à lacte, le passage à lacte nest pas ment la pénétration. Lacte en lui-même ne dure pas longtemps, ce sont les préliminaires, vu ici pas seulement comme les caresses mais ce quil y a avant les caresses qui concentrent toute la puissance érotique. Lacte en lui-même nest que la décharge de cette pulsion. Une fois quils éjaculent, pour la plupart, ils sont sexuellement rassasiés, ils perdent leur tension sexuelle. La cage de chasteté permet de maintenir la tension sexuelle plus longtemps. Les mots, les stripteases, sont aussi importants dans ce processus. Après chacun est différent, chacun a sa manière à lui de jouir. Je sais que mon mari aime quand je le domine !
D.-Avant de venir, jai fait quelques recherches sur le sujet. Je suis tombée sur un groupe de femmes qui cocufient carrément leurs maris devant leurs maris ! Comment tu expliques ça ?
D rit.
P.-Cest la sexualité humaine je pense. Les hommes sont compétiteurs, cest un moyen de prendre du plaisir dans la compétition. Certains hommes prennent plaisir à voir leur femme se faire prendre par dautres devant eux. Cest un moyen aussi de se faire dominer par elles, de renverser lordre social.
D.-As-tu déjà cocufié ton mari devant lui ?
P.-Oui ça marrive souvent. Ce nest pas seulement le fait de baiser avec un autre homme qui mexcite, cest surtout le fait que je suis en train de prendre mon pied et que lui est encagé à me désirer en vain pendant quun autre me prend devant lui et quil ne peut rien faire contre cela. Cest le fait quil soit totalement impuissant et frustré sexuellement pendant que le processus du cocufiage.
D.-Je vois.
P.-Et toi, tu as déjà cocufié ton mari ?
P rit. D aussi.
D.-Oui jai déjà cocufié mon ex-mari. Je lai trompé avec un collègue. Mais je ne lai jamais fait porter une cage de chasteté. Je me rend compte que jaurais dû !
Elles rirent.
P.-Tu pourras faire porter la cage de chasteté à ton prochain mari !
D.-Pourquoi pas ? Actuellement je suis célibataire, je suis libre de fricoter avec qui je veux. Je nai jamais essayé avec les femmes, cest une chose jaimerais tenter un jour.
P.-Moi aussi je nai jamais essayé avec une femme. Je me suis toujours demandé ce que ça fait. Si ça te tente, fais-moi signe !
Elles rirent. Elles se donnèrent rendez-vous dans un hôtel pour le weekend prochain. Elles continuèrent de causer.
Il navait encore jamais vu sa femme avec une autre. Il se demandait comment cela pouvait être. P lui avait raconté sa conversation avec D, ce qui en était ressorti, D était amusée par le fait quil soit obligé de porter une cage de chasteté, elle voulait essayer avec P sa première fois avec une femme. Jusque-là, les amants de sa femme avaient été des hommes, ce serait aussi la première fois quune de ses clientes le cocufierait, une situation étrange quil navait jamais vécue. Durant toute la semaine, ce rendez-vous avec D gonfla, à mesure quil se rapprochait, il prenait de plus en plus despace.
Il faisait nuit. Tous les trois se trouvaient dans une chambre dhôtel possédant un lit, une petite table, des chaises. K en tira une puis sassit. Il se mit à observer le spectacle érotique qui se déroulait devant lui.
Collées lune à lautre, P et D sembrassaient debout. Leurs mains parcouraient leurs robes respectives. Leurs lèvres se découvraient. Tout en continuant à sembrasser, elles sallongèrent sur le matelas, entièrement vêtues. K monta sur son amante. Sa chevelure blonde se mélangea à la chevelure brune de D. Elles se déshabillèrent, faisant voler au milieu de leurs caresses et de leurs baisers gourmands, leurs robes, leurs chaussures féminines, leurs sous-vêtements. Elles se retrouvèrent totalement nues.
Cétait la première fois que K voyait des femmes forniquer devant lui. Il était doublement frustré et doublement excité par le spectacle. Il lui semblait quil aurait pu les satisfaire toutes les deux si son épouse navait pas encagé son pénis.
Elles se frottèrent, seins contre seins, tétons contre tétons, elles séchangèrent des caresses quelles navaient encore jamais échangées, mais quelles avaient déjà vu ci et là dans des pornos lesbiens. D se mit à sucer les seins de P, les téter délicieusement. Elle lécha le ventre de P, descendit au nombril, au bas-ventre, au pubis. Lorsque sa bouche atteignit le vagin, P frissonna profondément, lintimité découverte par la langue de sa copine.
Lérection de K sagrandit dans sa cage de chasteté. Il connaissait la saveur du vagin de sa femme. La voir se faire lécher par une autre lui montait leau à la bouche, mais il ne pouvait que regarder et bander en vain, la queue emprisonnée dans sa cage. Cétait une agréable.
P se mit à lécher D, à lui arracher des soupirs suaves. Cela la faisait mouiller de donner tant de plaisir à une autre. Intérieurement, elle riait de la frustration sexuelle quelle provoquait à son cocu chaste qui les regardait.
Elles se mirent en position 69. D se trouvait en dessous et P au-dessus. Elles se cunnitaient réciproquement. Elles étaient en symbiose sexuelle ! La bite de K contracté dans sa cage était au bord de lexplosion. Il défit son froc quil baissa jusquaux chevilles. Il baissa son boxer jusquaux genoux. Il tint sa cage-bite puis commença à se masturber à travers les barreaux de sa prison sexuelle. Quand les deux corps féminins en osmose se mirent à trembler, sa cage-bite shumidifia.
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