Soumis À Ma Femme Infidèle - Partie 6
Chapitre 8 : pipe et photos, une journée infernale au boulot
Jessica et moi-même entrions dans un nouveau chapitre de notre mariage. Comme je l'avais déjà mentionné, elle s'était découvert au contact de son amant une personnalité perverse et dominatrice, tandis que je creusais mon côté mari soumis... Mais l'amour entre Jess et moi était toujours présent, fort, puissant, ren certainement par ces jeux de rôles et de rapports de domination.
Nous refaisions l'amour comme jamais. Davantage libérée par Manuel, Jessica se laissait désormais aller à faire des cochonneries qui me faisaient halluciner. Pour ma part, sachant que je n'étais plus seul à profiter de son corps de déesse, je m'employais à la sauter aussi durement que passionnément, ravivant la fièvre charnelle qui nous unissait elle et moi.
Quelques jours après avoir invité Manuel chez nous (et surtout dans la chatte de Jessica), je me préparais un matin à partir au boulot. Jess avait pris sa journée pour se reposer. Je finissais mon café dans la cuisine lorsque j'entendis et sentis Jess se glisser discrètement derrière moi. Elle vint me murmurer des choses au creux de l'oreille à faire bander un mort.
Elle glissa une main dans mon boxer pour saisir mon sexe avec fermeté. Une branlette matinale avec la douce main de ma femme, ça ne se refuse évidemment pas comme ça ! Je me laissai donc faire avec un plaisir certain... Jess me branla pendant de longues et ravissantes minutes, jusqu'à l'orgasme.
-Jess, je... je vais jouir.
Jessica m'orienta alors vers... l'évier de la cuisine. Surpris, mais complètement soumis par sa main entourant ma queue, je me laissai aller.
-Tu vas jouir là-dedans, chéri. Tu vois, ton sperme finit dans l'évier... Celui de Manuel finit dans mon ventre.
C'était la première fois depuis la fameuse nuit passée avec Manuel qu'elle faisait mention de son amant. Mais il fallait qu'elle en parle maintenant, là, de bon matin, avec sa main branlant ma queue ! Il fallait qu'elle parle de cet autre homme en me prenant totalement par surprise, et avec des mots bien crus et bien humiliants pour moi !
Jessica la perverse faisait son retour.
Je tentais de reprendre mes esprits tandis que Jess me déposa quelques tendres baisers sur ma nuque, tout en me caressant doucement le ventre. Elle secoua la main au dessus de l'évier pour se débarrasser des quelques gouttes de sperme qui y avaient giclé, puis fit couler l'eau, laissant s'évacuer ma semence.
-Je t'aime chéri. File, tu vas être en retard...
Jacquiesçai d'un signe de tête, dans un souffle. Je me rhabillai en hâte et embrassai langoureusement ma femme. Elle m'accompagna ensuite jusqu'à la porte d'entrée pour me souhaiter une bonne journée. Nous nous embrassâmes une dernière puis j'ouvris la porte. Une drôle de surprise m'attendait...
Manuel se tenait sur le perron, un grand sourire aux lèvres.
J'en restai interloqué.
-Manuel ?
-Salut, mon pote. Je crois savoir que tu dois aller au boulot.
-Euh... Oui... Jess ?
Je me retournai vers elle. Ma chère femme se tenait juste derrière moi, les mains sur les hanches, avec un sourire malicieux. La garce savait que son amant allait se pointer ce matin... Elle m'avait gratifié d'une bonne branlette pour mieux faire passer la pilule, certainement.
Manuel m'asséna une petite tape sur l'épaule.
-Allez, passe une bonne journée !
Manuel passa devant moi sans ménagement et entra dans notre maison. La porte se referma sur cette étrange vision de Manuel entourant ma femme par la taille tandis qu'elle m'adressait un petit signe de la main.
Putain. Je restai quelques instants devant l'entrée. Jess et Manu... allaient passer la journée ensemble à la maison ? A baiser ? Pendant que j'allais travailler ? Je sentais que je n'allais pas tenir... J'hésitai à rentrer dans la maison (la queue de Manuel devait sans doute être déjà dans la chatte de ma femme), mais j'étais vraiment en retard pour le travail.
Elle le fut. Je passai la matinée à me représenter ma douce et belle femme se faisant sauter par son amant. Dans notre salon. Dans la cuisine. Dans notre chambre, sur le lit nuptial... Partout, dans toutes les pièces de notre maison. Cet enfoiré devait prendre son pied à la prendre au sein de notre nid conjugal...
Tourmenté par tant de pensées, je fus interrompu dans ma torpeur au bureau par la sonnerie de mon portable. La matinée se terminait. Mon cur se mit à battre plus rapidement. C'était un message avec une pièce jointe, envoyé par un numéro inconnu... Je pris soin de fermer et de verrouiller la porte de mon bureau et me décidai à ouvrir le message. Il s'agissait d'un mms... Mais un mms qui changea radicalement le cours de ma journée.
La photo qui s'afficha sur l'écran de mon téléphone me fila aussitôt une trique infernale. Il s'agissait d'un cliché de ma femme, à genoux, une bite dans la bouche. La vue était prise d'au-dessus, en plongée sur le visage de Jess : le mec qui se faisait actuellement sucer par ma chère épouse avait pris cette photo debout. Je reconnus bien sûr la queue de Manuel. L'enfoiré se faisait sucer par ma femme, et m'envoyait un gentil petit message pour me le signaler. Jessica regardait intensément l'objectif, ses lèvres entourant bien le gros sexe de son amant, comme pour m'adresser un petit bonjour. Pour couronner le tout, une légende bien salace accompagnait la photo.
« Je baise la bouche de ta femme. On s'y sent vraiment bien dedans ! Branle-toi bien mec »
Les mots de Manuel claquèrent comme un ordre. Résigné, mais diablement excité, je m'exécutai. Je sortis ma queue de mon pantalon et et me branlai vigoureusement dans mon propre bureau. Le plaisir fut cependant court : trop énervé, je ne pus mastiquer bien longtemps... D'autant plus que Manuel ne tarda pas à m'envoyer d'autres photos.
Je m'éjaculais partout sur mon pantalon, et même jusque sur mon bureau, tellement la photo était excitante et enivrante. Je me fis violence pour ne pas gémir.
La troisième et dernière photo s'afficha sur mon téléphone et m'acheva. Jessica avait la bouche fermée, mais passait sa langue sur ses lèvres souillées. Elle avait visiblement avalé. La légende confirma ce fait de dingue :
« J'ai bien giclé dans sa bouche, l'ami. Elle a avalé la totalité de mon sperme. Bonne branlette »
Malgré moi, je me remis à me branler. En quelques mots et avec une photo équivoque, Manuel et ma femme m'avaient de nouveau excité. Mais cette branlette fut inhabituelle. Disons que je me branlais pour éjaculer à nouveau. Mon cerveau était en ébullition, mes couilles vibraient, et ma bite était vraiment en feu. J'astiquai de nouveau mon gland, très fortement, et j'expulsai à nouveau du foutre. J'en avais sur les cuisses, un peu sur le pantalon, une petite giclée avait atterri sur mon bureau.
Lorsque je me levai pour nettoyer, je vis que quelques traînées de sperme allèrent s'étaler sur le sol, tâchant la moquette grise. J'en avais littéralement mis partout, et je sentais au fond de moi que mon bureau n'avait pas fini d'être souillé par ma semence...
Le déjeuner passa à une lenteur infernale. Mes collègues discutaient toujours des mêmes conneries, tandis que je me repassai en tête les images qui m'avaient fait jouir dans la matinée. Je guettais avec attention chaque vibration du portable que j'avais dans ma poche, attendant avec impatience le prochain message ou une nouvelle photo des deux amants infernaux.
Je reçus effectivement un texto au milieu du repas : Jess me souhaitait un bon appétit, suggérant qu'elle allait se régaler d'un autre grand et délicieux repas... La garce savait y faire en allusions salaces !
Le reste de la journée fut tout aussi horrible. Je n'eus plus de nouvelles photos de ma femme et de son amant. En revanche, je reçus quelques textos bien gratinés. Des petits commentaires de Jess ou de Manu...
Petit florilège d'extraits de sms rien que pour votre plaisir, de la part de Jessica : « Désolée mon cur, mais j'ai dégusté le foutre de Manu à midi. C'était délicieux. J'adore me faire baiser par lui, chéri. C'est trop bon. J'aurais aimé que tu sois là pour voir ça, il me pénètre comme jamais... J'ai son sperme plein la chatte...et la bouche. Je t'aime. »
Ou encore de Manuel : « Ta femme hurle son plaisir avec moi. Qu'est-ce qu'elle est bonne. Ma queue est bien au chaud dans sa chatte. On en profite bien. J'espère que ça ne dérange pas tes voisins. Au fait, que vont-ils penser en te voyant arriver ce soir ? Ils vont comprendre aux cris de ta femme que tu es bien cocu. Passe une bonne journée branleur. »
Putain. Cet enfoiré avait raison. Comme ma voiture n'était pas là et que j'allais rentrer le soir, les voisins allaient bien comprendre que ma salope de femme se faisait plaisir à la maison avec un autre !
Le pouvoir de ces pensées perverses était incroyable. Ma bite me faisait mal tellement je bandais. J'arrivais à faire mon travail, mais je ne pouvais m'empêcher de me branler à nouveau et à plusieurs reprises dans l'après-midi grâce aux textos équivoque de Jessica et Manuel.
Mais j'avais surtout hâte de pouvoir quitter le boulot pour filer retrouver ma chère et tendre (et surtout très salope!) épouse. Et peut-être même la surprendre avec son amant en plein acte... Je n'en pouvais plus, tout cela était nouveau à vivre, et bien excitant. Mais je ne me doutais pas encore de ce qui m'attendait à mon retour...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!