Karim (2)

Karim (2)

(Clotilde, infirmière libérale dans une petite bourgade de province, a entretenu durant quelques mois une liaison avec un homme qu’elle retrouvait parfois le soir, selon ses envies. Quelques temps plus tard, un mystérieux courrier lui révèle que leur liaison a été découverte et que des photos compromettantes ont été réalisées. Leur auteur menace de dévoiler ces photos si l’infirmière ne se soumet pas à sa volonté).
Que faire ? Pour le moment, je ne vois pas grand-chose d’autre à faire que d’obéir. Le jeu n’est pas bien méchant et je ne risque pas grand-chose. Avant d’aller me coucher, je choisis dans ma garde-robe une jupe verte qui tombe juste au-dessous du genou. Je mettrai des bas auto-fixant de couleur chair. Par contre, pas question que je m’exhibe devant mes patients.
La journée se passe, je ne fais même pas attention à ma tenue, veillant toutefois lorsque je m’accroupis à ne pas écarter mes jambes.
Le soir, le coup de téléphone attendu ne me surprend pas. « Bonsoir Madame l’infirmière. Sympa votre jupe verte. Pas assez courte à mon gré, mais ne grillons pas les étapes. Par contre, j’ignore si vous aviez des bas ou des collants. Demain, je veux pouvoir le voir ! Bonne nuit, Madame l’infirmière ». Comment veut-il que je lui montre mes bas ? Je ne sais même pas qui il est, où il est ? Je suis de plus en plus persuadée que ce n’est pas un des patients, sa voix ne correspondant à aucun autre. J’appelle mon mari pour faire le point de la situation avec lui. Il faut cibler et essayer de localiser le fameux Karim. Donc demain, je scinderai ma tournée en quatre, en changeant de jupe à chaque quart. Il me faudra juste me changer rapidement dans la voiture, ce qui n’est pas trop compliqué, il suffira que je m’arrête en bordure de forêt.
Le lendemain matin, je commence avec la jupe verte de la veille, puis en milieu de tournée, je l’échange contre une blanche, un peu plus courte. L’après-midi je mets une jaune puis termine avec une bleue.

Et j’essaie discrètement de montrer la lisière des bas lorsque je fais certains mouvements. Cela reste bien entendu très furtif.
Le soir, le coup de téléphone attendu tarde un peu, mais à 22 heures, mon correspondant anonyme est là. « Bonsoir Madame l’infirmière. Je suis désolé de vous avoir fait attendre. Ah….. votre jupe…… quelle classe….. mais le blanc doit être bien salissant….. j’ai entre-aperçu …je crois bien que vous avez mis des bas…. Mais demain, montrez-moi plus, relevez votre jupe de façon à ce que je puisse voir vos si belles cuisses….. vous verrez, c’est très excitant….. tenez, pour vous remercier, je vous envoie une photo…bises ». Quelques secondes plus tard, je reçois une photo : je suis avec Paul, debout dans son salon, chemisier ouvert sur mes seins nus dont il titille un bout avec sa langue….
Mon voyeur fait donc partie des patients que je vois en deuxième partie de matinée. Cela correspond à huit possibilités. Le lendemain, je mets une jupe rouge et des bas couleur chair. Je ressens une excitation monter au fur et à mesure que je me rapproche des huit « finalistes ». Avant d’arriver chez le premier, assise dans ma voiture, je passe rapidement une main sous ma jupe, et insinue un doigt sous ma culotte. Je suis mouillée, excitée….
Le premier est un homme de quatre-vingts ans à qui il faut soigner une plaie ulcéreuse de sa jambe et mettre des bas de contention. Je m’accroupis au pied du fauteuil dans lequel il est assis. J’écarte mes cuisses pendant que je refais le pansement. Un coup d’œil vers lui, il……regarde l’écran de la tél酅 et ne me prête aucune attention.
La deuxième est une octogénaire fatiguée à qui il faut préparer et donner ses médicaments. Je m’arrange pour faire tomber un comprimé et m’accroupis pour le ramasser, laissant passer quelques longues secondes avant de le retrouver.
Puis c’est au tout de l’injection de Monsieur Rocier, un artisan d’une cinquantaine d’années qui a déclaré une infection de la main.
Timide, il se tourne pendant que je fais glisser son slip sur ses fesses pour faire la piqure. Je m’accroupis pour réaliser l’injection. Légèrement décalée, je m’aperçois qu’il est face à une glace. L’image me renvoie sa haute silhouette, son slip légèrement baissé laissant apparaitre la racine de son sexe, et moi, accroupie, les jambes disjointes, dévoilant mes cuisses jusqu’à la lisière des bas dont on voit nettement la couture. Excitée, j’écarte largement les cuisses, laissant voir ma culotte. Je laisse passer une bonne minute après l’injection, le temps que le produit diffuse. Je relève la tête, Monsieur Rocier a pris de belles couleurs et une bosse déforme son slip. Je me redresse, remonte son slip, range mon matériel et m’en vais en lui disant « à demain ». Je me traite de garce mais je me sens très excitée.
Aux cinq patients suivants, je recommence mon manège. L’excitation s’estompe un petit peu. Je finis la journée, troquant ma jupe contre un pantalon plus pratique.
Je rentre chez moi. Des huit, seul Monsieur Rocier a eu une réaction, mais c’est le seul qui a eu le loisir de me voir grâce à la glace.
Le soir venu, j’attends fébrilement le coup de téléphone. Mais rien. Je suis déçue.
Le lendemain, je reprends la tournée. J’ai mis un pantalon et des baskets, je me sens plus à l’aise pour travailler.
Le soir, à vingt-deux heures, coup de téléphone « Bonsoir Madame l’infirmière. Je suis très déçu par votre comportement. Ce n’est pas parce que je n’ai pas appelé que nos accords sont caducs. Pour la peine, demain, jupe, bas et pas de culotte. Et je veux voir ta chatte toute lisse. Sinon, tu sais de quoi je suis capable… ».
Il va me falloir être prudente. Je commence la matinée en pantalon, puis, avant d’arriver chez Monsieur Loubec, je m’arrête dans un chemin forestier, enlève pantalon et culotte et met une jupe qui s’arrête juste au-dessus du genou. Comme à son habitude, mon patient est absorbé par le feuilleton télévisé. Pas de risque qu’il me voit.
Préparant mon matériel dans son dos, je retrousse ma jupe sur mes reins et tourne lentement sur moi-même. Puis je fais son soin, au revoir et à demain. C’est à peine s’il me répond. J’ai observé la pièce, je ne vois pas où quelqu’un pourrait se cacher.
Vient le tour de Madame Desplanche. Profitant qu’elle somnole dans son fauteuil, je la contourne, att le pilulier, retrousse ma jupe pendant une trentaine de secondes, et lui donne ses médicaments qu’elle avale distraitement.
J’arrive chez Monsieur Rocier. Il se lève et se tourne vers la glace avec un petit sourire. Je prépare son injection, m’accroupis, le visage à hauteur de son postérieur que je dénude en tirant sur son caleçon. Coup d’œil vers la glace, cette fois son sexe est à moitié découvert et il semble en semi-érection. « Attention, je pique ». Ce faisant, il ferme les yeux, j’en profite pour écarter largement mes cuisses. Coup d’œil dans le miroir, mon sexe est nettement visible. J’injecte rapidement le produit, je sais qu’il donne alors une sensation désagréable de brulure. Monsieur Rocier a les yeux fermés, il grimace, et sa verge semble avoir repris une dimension civilisée. Je referme les cuisses. Ma dignité est sauve !
Puis, pour les patients suivants, la situation me permet, plus ou moins brièvement, de soulever ma jupe avant, pendant ou après les soins, sans que l’un d’entre eux puisse le remarquer.
Bien entendu, l’après-midi, je me rhabille normalement.
Le soir venu, je guette l’appel. Vingt-deux heures. « Bonsoir Madame l’infirmière. Ravissante, vous êtes ravissante. Merci de m’avoir, que dis-je, de nous avoir offert ce spectacle charmant. Bon, demain, vous allez mettre votre petite robe noire, vous savez, celle que vous mettiez le soir quand vous alliez vous faire sauter chez votre patient préféré. Bien entendu, bas, sans culotte ni soutien-gorge. Et quand vous aurez terminé votre soin, vous irez vous laver les mains dans la salle de bain. Ah et puis ne vous en faites pas, ils sont presque tous glaireux, ils n’y verront que du feu.
Tant pis pour eux, ils rateront une occasion de bander »
Bon, résumons, mon maitre chanteur a parlé de bander. Ce n’est donc pas une femme. Il me reste cinq patients. Non quatre puisque l’un d’entre eux a un rendez-vous à l’hôpital. Par contre, il faudra que je mette une veste car la robe est ultra-courte, au-dessus de la lisière des bas.
Je commence chez Monsieur Loubec. Après ses soins, je lui dis que je vais me laver les mains dans sa salle de bain. Je passe devant lui, c’est à peine s’il me prête attention. C’est presque vexant !
J’ai décidé de modifier l’ordre de la tournée, je ferai les hommes en premier, irait me changer et finirai par les femmes.
Je vais chez Monsieur Rocier. « J’espère que vous serez plus douce qu’hier, j’ai eu mal toute l’après-midi » me dit_il.
Il se lève, baisse son pantalon, descend son slip et se tourne vers la glace murale. Je constate que son sexe est presque entièrement dégagé. Un sexe lourd qui ne demande qu’à s’échapper du slip. Je prépare son injection, me plaçant de trois-quart par rapport à lui car j’imagine que ma position légèrement penchée dénude le bas de mes fesses.
Je me retourne. Monsieur Rocier affiche une érection, son sexe pulsant à l’horizontale. Cette vision provoque une chaleur au niveau de mon ventre, je sens mes lèvres s’écarter et une humidité envahir mon sexe. Lentement, je m’accroupis et avec ma compresse masse doucement la fesse pour désinfecter la peau. Je tire légèrement le slip vers le bas, puis plus franchement. J’ai envie de voir ce sexe. Le slip est tombé à mi-cuisse. Je m’accroupis lentement, je sens que le bas ma robe remonte. Rouge d’émotion, Monsieur Rocier, le sexe tendu, énorme, pointant vers le haut, me fixe des yeux. Il a une vue imprenable sur ma chatte. Je le pique et injecte lentement le produit. Comme un somnambule, je retire l’aiguille, masse la fesse pour que l’antibiotique diffuse dans les tissus. Sa verge n’a pas diminué de volume. Il se tourne lentement, amenant son sexe à hauteur de mon visage. « Vas y, suce moi salope. Il parait que tu es la reine de la pipe ». J’avance les mains, prend son sexe à la base et avance les lèvres. Le goût est acre. La bite semble grossir de volume dans ma bouche. Je me mets à le sucer, le branler, l’aspirer, parcourant la hampe dressée avec ma langue. « Oh putain… ça vient déjà, vas y ne te retire pas ». Un flot de sperme fuse soudainement, me remplit la bouche. Je n’ai pas envie d’avaler. Satisfait, Monsieur Rocier s’effondre sur un fauteuil, cuvant sa béatitude.
J’arrive à la salle de bain. Je tourne l’interrupteur. Flute, pas de lumière. Au-dessus du lavabo, je recrache le sperme et me rince la bouche.
« Bravo Madame l’infirmière » me dit une voix derrière moi. « A moi de profiter de toi maintenant »
Je sens deux mains se poser sur mes épaules et faire glisser les fines bretelles de ma robe qui tombe au sol en corolle. Uniquement vêtue de mes bas et de mes chaussures, je sens deux mains parcourir mon corps frissonnant, des doigts agiles titiller les pointes de mes seins, parcourir ma colonne vertébrale de bas en haut et de haut en bas, fouiller mon sexe trempé. Je sens un corps nu et chaud se frotter à moi. Je sens un sexe raide, dur et doux à la fois, habillé d’un préservatif chercher son chemin et investir d’une seule traite mon vagin. Je suis tellement mouillée que je n’ai pas mal. Je sens sa poitrine frotter contre mon dos. Il joue avec moi, accélérant les mouvements avant de ralentir, s’enfoncer au fond ou me pénétrant que deux ou trois centimètres. Je ne pense plus à rien. C’est si bon. Cet homme, que je n’ai toujours pas vu, me fait divinement l’amour. Je ne sais combien de temps dure notre accouplement. Cela semble sans fin. Je sens que je vais partir, une onde de plaisir est en train de naître au fond de mon ventre et s’apprête à me dévaster. Surtout, ne pas crier, ne pas hurler. Ca y est, la vague déferle, puissante. Il se retire de moi, arrache son préservatif, se frotte contre mes fesses et soudain se libère en longs jets crémeux.
« Merci pour tout » me dit-il. Il dépose un baiser dans mon cou et disparait. Le temps que je réagisse, il n’est déjà plus là. Je me rhabille. Monsieur Rocier dort dans son fauteuil. Je ramasse mes affaires. Je m’engouffre dans la voiture et file chez moi me doucher et me changer avant de reprendre et fiir la tournée.
Le soir, je repasse au cabinet infirmier pour récupérer du matériel pour les soins du lendemain. Un jeune homme brun, cheveux courts frisés, fait les cent pas devant le cabinet. « Bonjour Madame l’infirmière, je viens prendre rendez-vous. Il me faut maintenant connaitre votre bouche et votre cul. Vous verrez, vous allez adorer ».


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