Fiançailles

C'était en mai 2004, on fêtait les fiançailles d'Antoine, le petit frère de ma femme, et de Sara, une jeune femme femme d'origine catalane. La fête se déroulait dans le patelin de la jeune fille, près de Perpignan, dans les collines de l'arrière pays.
Les parents de Sara avaient réquisitionné le petit hôtel du village pour loger les invités qui venaient de loin.
C'était le cas de notre famille, nous étions descendus de nos Ardennes natales pour un weekend prolongé.
Les festivités commençaient en fin d’après-midi et se dérouleraient jusque tard dans la nuit, dans la salle de réception de l'hôtel.
À cette époque, ma femme Nora et moi venions juste de passer la trentaine.
Nous n'avions pas d's et même en travaillant tous les deux, nous étions un peu juste financièrement à cause de l'achat de la maison. Nous n'avions que rarement l'occasion de prendre du bon temps, alors quand nous avons été invités à la fête, nous étions déterminés à profiter au maximum de ce weekend pour prendre du bon temps.
La réception était champêtre et décontractée, mais Nora avait quand même soigné sa tenue.
Elle portait une robe noire évasée sans manches avec un décolleté plongeant.
Le décolleté plongeant était maintenu en place par une chaînette dorée. La robe était assez courte et s'arrêtait à mi-cuisse.
Autour de la taille, une autre chainette dorée complétait l'ensemble. Elle l'avait achetée exactement pour ce type de circonstance.
Une robe de cocktail pour une fête de famille où elle voulait paraître chic et décontractée, un peu habillée mais pas trop.
Comme il faisait assez chaud, elle était jambes nues et aux pieds, elle portait des escarpins noirs à bout ouvert avec un laçage autour de la cheville et des talons de 5 centimètres. L'ensemble lui donnait un look très sexy.
La fiancée d'Antoine, Sara, avait une très grande famille avec de nombreux cousins qui étaient venus des patelins environnants pour faire la fête.

Beaucoup de ses cousins avaient gitan dans les veines et mettaient une ambiance formidable.
Maintenant, les festivités commençaient par des chants et des danses et l'atmosphère était très joyeuse.
Tout le monde passait un bon moment. Il y avait des tables surchargées de victuailles et des tonneaux de vin de pays.
À charge pour chacun de se servir selon son bon plaisir, de s’empiffrer ou de se soûler puisqu'on dormait à l'étage.
Il fallait prendre des forces car la nuit allait être longue.
Du coup, je n'avais guère le temps de m'occuper de ma femme, Nora. J'avais beaucoup trop à faire avec tous ces mets délicieux.
Déjà, par principe, dans n'importe quelle fête, je n'aime rester collé à ma femme. Mais là, je traînais partout.
Je me mélangeais à différents groupes, parlant avec les uns, chantant et dansant avec les autres.
Nora faisait la même chose et de temps en temps on se croisait ou on s'apercevait de loin.
Elle traînait souvent avec un groupe de femmes, jusqu'à ce que je la vois discuter avec les cousins de Sara.
Lorsqu'on était arrivé à l'hôtel dans l'après-midi, Sara nous avait présenté succinctement la plupart des membres de sa famille.
Ils me semblaient tous très sympathiques, mais ces deux-là ressemblaient à des pirates, ou à des princes du désert.
Sara nous avait dit en riant que c'était ses cousins préférés, mais leurs hautes statures, leurs musculatures saillantes et leurs yeux de velours m'inspiraient de la méfiance autant que de l'envie. D'ailleurs, Nora avait rougi sous leurs regards de machos.
Si je me rappelais bien, l'un s'appelait Louis et l'autre Georges. Je ne comprenais pas bien pourquoi ma femme traînait avec ces deux séducteurs, mais une farandole commençait et je n'ai pas eu le temps de réfléchir à cette question.
À mesure que la soirée progressait, tout le monde se sentait de mieux en mieux, la danse me donnait soif et le vin était bon.
Je trinquais pas mal avec la famille de Sara et je passais du bon temps.

Moi qui chante comme une casserole, je pensais que je chantais de mieux en mieux.
Je chantais même en espagnol, alors que je ne parle pas la langue.
Où alors c'était du catalan, mais j'étais incapable de faire le distinguo.
À force, j'ai dû me rendre à l'évidence, j'avais du mal à me tenir debout.
Je suis sorti m'allonger sur un banc, sur la terrasse, pour récupérer un peu.
J'ai refait surface presque une heure après. J'ai commencé par aller boire un coup, car il faut soigner le mal par le mal.
Puis, je suis allé à la recherche de ma femme, Nora. J'ai regardé partout autour de moi, j'ai vu Sara mais je n'ai pas vu Nora.
J'ai demandé à Sara où était Nora. Elle m'a dit qu'elle n'avait pas vu Nora depuis un moment. Après avoir réfléchi un instant, elle s'est rappelée que la dernière fois qu'elle l'avait vue, elle dansait avec ses cousins et qu'elle avait l'air de bien s'amuser.
J'ai trouvé cette attitude un peu curieuse, puis j'ai commencé à devenir nerveux et paranoïaque.
Je pensais que les hommes de la famille de Sara m'avaient poussé à boire pour laisser le champ libre aux deux séducteurs.
N'importe quel prétexte était bon pour me dédouaner et m'imaginer innocent ou victime d'une machination.
J'ai commencé à chercher Nora partout dans l'hôtel. Je croisais beaucoup de gens sur mon chemin mais je n'osais pas les interroger!
En marchant dans les couloirs, mon anxiété augmentait. Mon envie de pipi aussi.
À force de boire comme un trou, j'avais accumulé pas mal de liquide, il fallait absolument que je me soulage.
En passant devant chaque chambre, j'essayais d'ouvrir pour trouver un WC. Mais toutes les portes étaient verrouillées.
Finalement, une porte s'est ouverte sous ma main indiscrète. Je me suis précipité dans les toilettes pour me soulager.
Délesté de ma surcharge de pipi, j'allais m'esquiver quand un bruit étrange, en provenance de la pièce voisine, a éveillé ma curiosité.

La porte de la chambre étant juste entrebâillée, je l'ai poussée un peu pour jeter un coup d’œil.
La pièce était dans la pénombre. Je faisais face au pied du lit. Sur le lit, une femme se faisait baiser par deux mecs.
Il faisait trop sombre pour que je puisse identifier les trois individus.
J’allais repartir discrètement lorsque j'ai vu au pied du lit, dans un léger rayon de lumière, la robe noire et les chaussures de Nora.
La poitrine serrée comme dans un étau, un bloc de glace dans l'estomac, je me suis approché doucement, incrédule et sonné.
Ma femme était allongée, entièrement nue, en travers du lit, sur le dos, la tête pendante, et ses bras étaient étendus en croix, comme si elle se cramponnait aux draps parce qu'elle avait peur de tomber.
Penché sur elle, un gars, Georges je crois, lui baisait la gorge avec son chibre tandis que ses mains pétrissaient les mamelons de Nora.
L’autre mec, Louis probablement, accroupi entre ses jambes écartées, lui bouffait la chatte. Les deux gars étaient nus.
Les bruits que j'avais entendus depuis l'entrée étaient les gémissements de Nora. Personne ne m'a remarqué.
Je me suis glissé discrètement dans un coin de la pièce, mes yeux s'habituaient progressivement à la pénombre.
J'étais partagé entre divers sentiments. La jalousie, un peu de colère, mais surtout une incroyable excitation qui durcissait ma bite.
J'avais maintenant un bon angle de vision pour voir le chibre de Georges pénétrer profondément la bouche de Nora.
Sa salive moussait à la commissure des lèvres et un filet de bave courait le long de sa joue jusqu'à ses cheveux.
Il faut reconnaître que Georges ne chômait pas et qu'il lui donnait grave.
Ma femme subissait l'assaut sans se défendre autrement qu'en gémissant sous les coups de boutoir du mâle qui la dominait.
Louis était accroupi entre les cuisses largement écartées de Nora et lui bouffait le clitoris.
Deux ou trois doigts, je ne pouvais pas distinguer, pénétraient sa chatte offerte avec vigueur et Nora ondulait des hanches pour encourager son tourmenteur à encore plus de fermeté.
J'ai aussi vu que les deux hommes portait d'énormes tatouages sur le dos.
Ma vision s'améliorant, j'ai pu distinguer que Louis enfonçait deux doigts dans la chatte de Nora.
Le troisième doigt, le pouce, il l'enfonçait dans le trou du cul de Nora.
Elle gémissait en soulevant ses hanches à la rencontre des doigts qui la fouillaient.
Sa chatte dégoulinante de jus trempait le visage de Louis!
Georges m'a jeté un coup d'œil, a souri et a continué de forcer sa queue dans la gorge de Nora. Elle gémissait en gargouillant.
Georges retira alors sa bite de la bouche de Nora et pressant toujours furieusement ses mamelons, se mit à l'embrasser ardemment.
Ses tétons étaient érigés et sombres, ses seins rebondissaient et tremblaient. George s'est ensuite relevé et éloigné de Nora.
Il a allumé un joint et a commencé à le fumer en regardant Louis besogner Nora, tout en secouant nonchalamment son chibre.
La chatte de Nora était rasée de près et son jus coulait à flots sur la langue de Louis.
Louis se redressa et nous montra son chibre parfaitement érigé. Il frotta son gland tout le long de la fente de Nora.
Elle gémissait d'impatience. Elle marmonna quelque chose, une supplication, en écartant encore plus les cuisses.
Louis guida sa queue monstrueuse entre les lèvres de la chatte hospitalière.
Lorsqu'il la pénétra, elle eut un drôle de spasme qui lui coupa le souffle un bref instant, sans doute à cause de la taille de l'engin.
Louis attrapa les chevilles de Nora et commença à sucer les orteils de son pied droit en la baisant paresseusement.
Tout en lui suçant les orteils, il augmentait progressivement le tempo puis, au bout de quelques instants, il la pilonnait durement.
Le son des boules de Louis frappant le cul de Nora résonnait dans la pièce.
À chaque pénétration, les jus crémeux de Nora coulaient de sa chatte et s'étalaient sur le lit.
Tandis que Louis pistonnait vigoureusement la chatte de Nora, une mousse luisante s'étalait sur son sexe.
Il tenait fermement les deux jambes dressées de Nora en lui embrassant et léchant alternativement ses orteils!
J'étais hypnotisé par cette scène. Mon cerveau embrumé d'alcool refusait de fonctionner.
Ma queue était dure comme de la pierre et tendue dans mon pantalon.
Louis posa les talons de Nora sur ses épaules et s'escrima à lui marteler sa chatte dilatée et ruisselante.
Elle marmonnait une litanie incohérente maintenant. Louis glissa ses mains sous la taille de Nora et la souleva.
Les jambes de Nora s'abaissèrent sur les côtés et elles enveloppèrent Louis pour le presser contre sa chatte avide.
Louis était maintenant agenouillé sur le lit et Nora le chevauchait avec ses jambes enroulées autour de lui et les mains crispées sur les épaules musclées. Ses mouvements désordonnés du bassin montrait clairement l'étendue de son désir.
Elle enfonça sa langue dans la bouche de Louis si fort qu'il en a gémit!
Georges a vu une opportunité de rejoindre l'action et il est rapidement venu se coller au cul de Nora.
Georges cracha sur ses trois doigts réunis et commença à manipuler et élargir le trou du cul de Nora.
Alors qu'il poussait en tournant pour insinuer ses doigts dans l'orifice disponible, Nora se mit à couiner d'une voix rauque.
Il a ensuite positionné son chibre contre l'anus de Nora, et lentement il a poussé sa bite dans son cul.
Nora secouait violemment la tête d’un côté à l’autre en marmonnant quelque chose comme: "Non! Ooh mais non! Pas comme ça!"
George mis ses doigts dans la bouche de Nora qui les suça goulûment comme s'il s'agissait de bonbons.
George rigola en commençant à lui marteler le cul. Les chairs de Nora tremblaient sous les coups de bite des deux hommes!
Ils se sont accordés sur un tempo similaire pour baiser Nora. J'ai changé de coin pour voir son visage déformé par la jouissance.
Nora n'était plus qu'une poupée de chair entre leurs mains, soumise à leurs caprices.
La tête rejetée en arrière, la nuque posée sur l'épaule de Georges qui lui enfonçait les doigts dans la bouche.
Ils secouaient son corps mou en cadence et elle s'abandonnait au désir qui bruissait dans son ventre.
J'ai essayé de rester assez près pour voir, mais assez loin pour ne pas être vu.
Elle n'a jamais ouvert les yeux et n'a pas remarqué ma présence.
Ma bite était lancinante maintenant et j'avais envie de me branler, mais je ne voulais pas perdre une miette du spectacle.
À ce stade, elle semblait incapable de faire quoi que ce soit pour se défendre.
Écartelée, baisée, secouée, ses gémissements aigus scandaient sa totale soumission aux mâles qui la baisaient.
Georges se retira du cul de Nora, grognant et soufflant, et un énorme jet de foutre zébra le dos et les cheveux de ma femme.
Louis laissa Nora s’effondrer sur le dos, se retirant lui aussi, pour se précipiter au-dessus d'elle.
Louis saisit Nora par les cheveux et présenta son chibre palpitant devant la bouche aux lèvres rouges.
Il commença à soulever la tête et à pousser sa bite entre les lèvres de Nora.
Dans son état de soumission passive, elle a essayé de protester mais il a poussé sa bite plus fort entre ses lèvres brûlantes.
À contrecœur, elle a dû sucer son membre raide comme une barre de fer.
Rapidement, après sa réticence initiale, elle goba sa bite avec voracité!
Après seulement quelques secondes dans la gorge de Nora, Louis ne put se retenir.
Louis n'avait aucunement l'intention de se dégager et bloqua la tête de Nora avec ses deux mains.
Nora essaya de repousser l'homme au-dessus d'elle, mais constatant son impuissance, ses yeux s'écarquillèrent et son regard se fit implorant. Mais il était trop tard pour Louis qui ne pouvait plus se retenir et cracha tout son sperme dans la gorge de ma femme qui failli s' à cause de l'abondance de sa production.
Louis resta arc-bouté au-dessus de Nora, les doigts crochés dans ses cheveux, jusqu'à ce qu'elle ait tout avalé et correctement nettoyé sa bite encore rigide.
Quelques instants s'écoulèrent puis, comme si elle venait d'entendre sonner son réveil, Nora se leva rapidement, attrapa ses affaires et courut dans la salle de bain. À aucun moment, elle ne s'est aperçue de ma présence.
Je me suis enfui rapidement et je suis retourné faire la fête. Un quart d'heure plus tard, Nora m'a rejoint.
Je me tenais au bar et Nora est venue vers moi. Elle semblait embarrassée et elle s'est blottie contre moi.
Elle s'était nettoyée, pomponnée, mais la chaînette dorée qui ceignait sa taille avait disparue.
Je lui ai demandé si tout allait bien et elle a dit oui. Je n'ai même pas demandé où elle était passée tout ce temps.
Je lui ai servi un cocktail et elle l'a bu d'un trait. Quelques minutes plus tard, Louis et Georges nous rejoignirent.
Ils ont agi comme si de rien n'était, mais Nora a rougi fortement et elle a baissé les yeux.
Sans un mot, ils la reluquaient de haut en bas, elle essayait de ne pas croiser leur regard, mais j'ai nettement vu ses tétons durcir…
Il commençait à se faire tard et les gens faisaient leurs adieux ou planifiaient le reste de la nuit.
Nora a rejoint un groupe de femmes, et Louis m'a laissé tomber dans la main la chaînette dorée de Nora.
Il m'a ensuite demandé:
"Si vous restez à l'hôtel ce soir, nous pourrions continuer à faire la fête dans votre chambre?"
J'ai souri et j'ai acquiescé d'un bref signe de tête.

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