Domination De Madame Et Monsieur 7
C'était il y a longtemps. L'âge me fait perdre quelques détails mais l'essentiel est là. Je ne sais pas ce qu'est devenue aujourd'hui Océane et son mari mais je sais qu'en 1976, l'ayant poussée trop bas sur la voie de la déchéance physique et de l'asservissement sexuel, elle avait abandonné le cocu et choisi de partir en Afrique avec Maître Arthur. C'était une année après notre voyage à Lyon et un séjour mémorable au château des supplices. Je vous raconterai ces trois nuits à nulles autres pareilles.
Maître Arthur devait la garder en Afrique six mois. Dès qu'il reçut mon accord, il s'occupa des billets et des modalités. Océane abandonnait une vie de rêve dans une grande ville européenne et une situation sociale enviable pour une existence de vide-couilles dans les bas fonds de Dakar. C'est elle même qui choisit le lieu de sa prochaine déchéance, refusant le luxe des palaces et les domaines de la haute société. Elle connaissait tout de la vie de la Jet Set. Elle la trouvait vide de sens et farfelue, sans consistance. Elle n'aimait pas ces dandys maniérés et efféminés qui oublient de vous traiter comme une femelle avide de sexe et passent leur temps à vous emmerder. Elle ira à Dakar pour voir autre chose, subir les vrais hommes et leur servir de jouet sexuel. Elle va s'installer dans l'esclavage sexuel et la luxure, ne quittant une queue que pour en prendre une autre. Et quelles queues !
Aprés deux mois de séjour qualifié de "fantastique" par maître Arthur qui me téléphonait pour me tenir au courant, Océane devint un célébrité à Dakar. Il me disait qu'elle ne pouvait plus se passer d'une doses quotidienne de dix verges par jour et que la nuit, elle se rendait dans des coins libertins privés pour des gang bang colorés. Elle exigeait qu'on la fouette et qu'on lui fasse subir les pires humiliations.
Elle m'écrivit dans l'une de ses missives :" chacun suit sa destinée. La vie n'est pas un fleuve tranquille. A chaque détour, s'offrent à nous des bifurcations.
" Notre relation au candaulisme ne s'est pas faite comme un plaisir de la femme avec l'amant submergeant le couple ou dominant le mari. Ayant un mari qui est dans la peau d'une femme, je n'ai pas à gérer la situation d'un cocu classique. Nous sommes deux putes prêtes à recevoir les sexes des hommes. Mon masochisme me pousse vers des relations avec des maîtres dominateurs qui me mettent à ma place de traînée vide-couilles prête à l'emploi. Mon plaisir n'est pas d'humilier mon mari, ni d'exiger sa présence lors de mes séances sexuelles, mais simplement de m'épanouir dans une soumission totale au mâle.
"Depuis que je suis à Dakar, j'ai dû subir les assauts de centaines de mâles. Mon plaisir vient du fait que je m'offre pour mon maître provisoire, celui qui vous remplace pour quelques mois mais qui ne vous remplacera jamais pour la vie ! C'est lui qui dirige mes débauches, choisit mes sorties dans des endroits de luxe ou sordides. Je dis toujours oui. C'est lui qui décide tout et quand ça lui plaît, il me baise où me fouette. Mon plaisir, c'est de le satisfaire.
"Je ne manque de rien : il me traite comme une reine chez moi mais préfère me mettre dans des endroits sordides pour améliorer mon dressage. Des foyers pour célibataires endurcis, des fermes isolées, des camps de putes en formation, etc. Il a également des idées pour mon mari. Il m'a parlé de l'ouverture prochaine d'un lupanar pour travestis et pense y incorporer Jean (note de l'auteur : c'est comme ça que s'appelle la lopette au cul parfait et je n'ai pas voulu l'appeler par son prénom préférant "cocu", "pute", etc.
"Je passe mon temps entre les assauts des hommes et la plage. Cette vie est très agréable. Je me donne aux mâles pour satisfaire un désir sexuel très fort qui passe par la soumission, je sers mon maître comme une esclave parfaite et il m'arrive d'assouvir mes besoins masochistes avec lui ou lors de soirées spéciales avec des Sénégalais ou des étrangers de la "haute". Sinon, je fait du shopping ou je bronze dans une plage naturiste.
Moi qui aime le pénis noir, je suis bien servie! A toutes les libertines coureuses de Blacks, je conseille de venir en Afrique et de choisir cette vie pour quelques semaines ou mois afin d'assouvir le besoin d'être remplie à chaque instant par les zobs noirs. J'en subis les assauts d'une dizaine par jour. Ça me rend heureuse mais mon plaisir se décuple quand ils croient qu'il faut payer. Ils me prennent pour une vraie pute ! Évidemment que je refuse...
"Une seule fois, enivrée par le désir, j'ai accepté de l'argent d'un Africain, juste pour le plaisir. Maître Arthur le sut. Il me fit subir une flagellation en règle par quatre jeunes hommes qui me prirent ensuite pas tous les trous. D'habitude, Il ne me fouette pas pour des bêtises que j'aurais commises, mais quand il en a envie. Ce désir brutal de dominer la femelle qui précède généralement l'assaut sexuel dominant. J'ai pris l'habitude de me préparer en compagnie de Fadou, la domestique qui me tient compagnie et plus, l'affinité ayant été "consommée" dès le premier jour. Elle me lave, me sèche, me maquille et m'habille avec les tenues les plus provocantes. Ensuite, elle accroche mes mains à des anneaux qui pendent du plafond du salon et attend que le maître arrive. Quand il est enfin là, elle lui embrasse les pieds et lui tend une panoplie de cravaches et de martinets. Il en choisit un et commence une longue séance de flagellation qui me fait du bien. Je me sens à ma place et la douleur ravive mes envies sexuelles.
Maître Arthur n'insiste pas trop car des marques rouges profondes peuvent nuire à la beauté plastique de mon corps.
" Maître Arthur demande à Fadou de se mettre à genoux, de façon à avoir le visage sur mes fesses. Il lui demande d'ouvrir la bouche et lui enfonce d'un coup son chibre. Je n'ai pas le droit de regarder en arrière. J'entends juste le bruit des suçons qui se font de plus en plus vite. Puis, le maître dit à la domestique :
- c'est bien, maintenant, mets ton petit maître dans le trou de madame ! Oui, là, le vagin !
Fadou s'exécute. Je sens l'immense verge me pénétrer et déjà j'ai un début de jouissance. Fadou ne bouge pas car elle sait que le maître va retirer son sexe pour le diriger encore vers sa bouche. Elle s'exécute avec un plaisir renouvelé.
Les coups de boutoir s'accélèrent. Soudain, le maître tire sa verge et la plante dans mon anus. Plaisir divin... Je finis au septième ciel mais le sexe du Maître ne tarde pas à se dresser à nouveau. Il demande à Fadou de prendre ma place. Je prends sa place et suce le sexe du mâle encore dégoulinant de sperme et d'autre chose émanant de moi de moins délicieux. Quand le maître est prêt, j'enlève la jupe de Fadou, baisse son slip et dirige de mes mains le chibre magistral vers les trous offerts. Mais Maître Arthur m'arrête. Il me demande de bouffer la chatte, puis le trou du cul de la bonne. Ensuite, il pénètre dans le premier trou avant de sonder le second. Il hurle comme une bête avant de jouir dans ma bouche. Il nous demande ensuite de rester entièrement nues, nous guide à quatre pattes chacune, vers la salle de bains où il nous mets dans la baignoire. Ensuite, il sort son sexe et dirige un puissant jet d'urine sur nos corps. Il crache sur nos visages, nous insulte, nous traite de tous les noms, nous demande de repéter des paroles dégradantes, nous demande d'avaler l'urine.
Une fois, maître est venu avec quatre hôtesses de l'air d'une grande compagnie internationale. Il les déshabilla et les offrit à des chômeurs du bidonville voisin. Elles promirent de revenir car elle disaient qu'elle n'avaient jamais été comblées de la sorte. L'une d'elles m'avoua : "tu sais, Océane, c'est la premières fois que nous subissons l'assaut de jeunes délinquants non éduqués qui nous prenaient vraiment pour des putes juste bonnes à baiser. Habituées aux bonnes manières et aux préalables civilisés avant la baise, nous étions au départ désemparées par les insultes et les gifles. Mais très vite, ce fut mieux que toutes les autres fois. Comment te dire, je ne me suis pas sentie offensée, ni les autres ! Je renaissait dans la peau d'une vraie femelle offerte aux mâles, mâles au pluriel ! Un seul ne me suffira plus..."
"Chaque dimanche, les quatre beauté de charme venaient goûter au sperme africain et elles étaient enchantées de recevoir leur dose hebdomadaire de gifles, de fessées et d'assauts dans les trois trous !
" Ce sont de beaux dimanches de luxure ! Maître Arthur m'a promis un voyage dans un pays voisin pour vivre quelques jours dans une tribu sauvage. Il va me faire épouser le roi local. Un mariage de quelques jours. Il m'a précisé que ce roi a toujours été un parfait cocu avec ses nombreuses femmes et que je pouvais me taper tous les jeunes de la tribu. Je vous raconterai tout, Maître Cocufieur, mon seul maître, mon baiseur attitré et mon confident.
"Donnez-moi de vos nouvelles : Jean me dit que vous lui rendez souvent visite et que ses fesses de femme vous font chavirer à chaque visite. Baisez-le bien et offrez son cul à toutes les verges de la ville. Il en sera heureux.
" Je viens dans quatre mois. Maître Arthur me remettra à mon vrai maître : vous!
A bientôt,
Dakar le 18 septembre 1976..."
Je remets la lettre, jaunie par le temps, dans le coffre et sombre dans d'autres souvenirs. Je me rappelle que la première fois où j'avais lu cette missive, il y a un peu plus de 40 années, je me trouvais justement dans l'appartement du couple. Jean avait pris la place de madame à l'entrée de l'appartement et c'est maintenant le plus beau fessier au galbe parfait et d'un blanc lactescent attirant, qui m'accueille. Alors que j'ignorais celui de la dame, en rentrant, pour la rabaisser davantage, ce cul m'attire tellement que je me baisse pour l'embrasser. Il est doux au toucher et frémit sous mes coups de langue. Et l'envie de le posséder se manifeste aussitôt. Il va devenir ma femme attitrée. J'ai d'ailleurs du mal à le partager avec d'autres, ce que je fais naturellement avec Océane.
Je le baise rapidement avant de l'habiller pour une sortie dans un club libertin. Les détails de cette soirée torride prochainement...
A suivre
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