La Conférence Téléphonique
Le maître était à son écran quand soudain un message saffiche : « Al, je suis coincé dans un bouchon près de chez toi. Les rues de Montréal, avec tous ces travaux, sont devenues un enfer.
Est-ce que tu peux me recevoir ? Je prendrai bien un café en ta compagnie en attendant que la congestion cesse. »
La réponse est immédiate : « Tu peux passer sans problème
ici la voie ici est dégagée. »
En préparant le café, Al songe quils pourront profiter de cette visite inattendue pour discuter du prochain sujet quils pourraient évoquer dans un prochain récit érotique. Ça nest pas quils manquent dinspiration, au contraire. Ils ont eu, à de multiples occasions, le loisir de céder à leurs pulsions charnelles en réalisant des scénarios qui pour beaucoup dindividus resteront à jamais à létat de fantasmes. Des rencontres purement libertines, dans lesquelles ils repoussent à chaque fois les limites psychologiques et les tabous sexuels. Et, toujours avec cette tendance chez Al à la domination, à labus, alors que chez Fred lexcitation vient plutôt de la soumission;entre eux, une sorte de complétude qui fait le plaisir de chacun. Ils ont ces rencontres depuis des années, mais toujours avec le même bonheur, quils goûtent à ce paroxysme de la jouissance quoffre lhabile mélange de la douleur et du désir érotique. Un merveilleux équilibre que le maître, homme mature et dexpérience, maîtrise si bien lorsquil prend possession du corps de son visiteur. Mais,quelques minutes plus tard, Fred sonne à lappartement et sort Al de sa rêverie.
Viens, entre, le café est chaud.
*****
Jentre dans la cuisine et nous passons aux politesses préliminaires et discutons de tout et de rien comme deux bons copains. Décontractés, nous sirotons nos cafés, debout, en faisant mine de rien. Chacun cache bien son désir dentrer dans son rôle : donner ses ordres, pour lun, et les exécuter pour lautre
Mais je sais très bien quavec Al, les politesses ne sont que des formalités jamais bien longues
Il aime dominer et prend avantage de la moindre occasion.
Je lui obéis sur le champ comme poussé par une force à laquelle je ne peux mopposer. Alors quil meraconte comme si de rien nétait le souper quil prépare pour ses invités, je sens ses mains qui retirent ma ceinture. Bientôt, cest le bouton de mon jeans qui saute, ne laissant comme seul obstacle entre ses grandes mains chaudes et mes hanches, la fermeture-éclair de mon pantalon.
Je reste là, moffrant à lui, rendu impuissant, et anticipant le plaisir des caresses à venir, la sensation de chaleur de sa bouche, mais surtout peut-être le tourment de certaines des pratiques brutales que mon maître affectionne tout particulièrement. Je sens maintenant le désir monter en moi, mon gland se gonfle, se dilate. Mes couilles semballent et sur mon slip une petite tache dhumidité apparaît, sagrandit
le précum a commencé à couler. La tension sexuelle est palpable, ça sent le sexe débridé
*****
Al a remarqué en me déshabillant que la tondeuse était passée sur ma toison pubienne.
Alors pendant de longues minutes, il soffre un de ses plaisirs préférés, manger mes couilles
Maintenant bien dilatées, rondes et parfaitement exposées, mes couilles se balancent devant la bouche affamée de celui que je ne peux, dans ce moment de grande excitation quappeler Maître.
Al mordonne alors de le regarder dans les yeux pendant que je me tords de douleur et de plaisir.
Il profite à fond de ce moment, comblé de voir son élève lui obéir, sans aucune pudeur, les cuisses bien écartées, la verge gonflée et le gland mouillé par le nectar qui sécoule du méat.
Quand tes-tu rasé les couilles ?
Ce matin même, en prenant ma douche. Je lai fait pour toi, maître, je sais que tu les aimes comme ça !
Passons aux choses sérieuses, jai besoin que tu tabandonnes complètement à mes pulsions et à mes désirs, passons au salon !
*****
Ce matin, le soleil est radieux et ses rayons pénètrent jusquau fond de la grande pièce. Les portes françaises du solarium sont grandes ouvertes offrant une perspective sur le parc et ses bancs où sont installés de parfaits inconnus qui profitent de la chaleur de cette matinée exceptionnelle.
Le maître entraîne Fred, flambant nu, dans la petite pièce.
Tu sais quon peut peut-être te voir et tentendre!
De retour dans le salon, le maître sétend sur le grand divan, un coussin derrière la tête afin de le rapprocher de son objectif
Il ordonne à lesclave de le chevaucher, douvrir les cuisses et de saccroupir sur lui, offrant ainsi ses couilles bien dilatées sa bouche avide.
Ça fait mal, Fred ?
Oh ! oui, maître, mais cest si bon ! Encore, encore sil te plaît. Ouf ! Maître, cest vraiment intense
*****
Quelle heure est-il ?
Onze heures moins dix.
Ma conférence téléphonique commence dans 10 minutes.
Veux-tu tisoler dans mon bureau ?
Non ! Non ! Ça nest pas nécessaire. Je vais surtout écouter, il y aura beaucoup de monde et nous ne sommes que des participants.
Fred, toujours complètement nu, pose son téléphone sur une petite table près du divan et avant dinstaller les écouteurs dans ses oreilles, dit :
Tu peux faire ce que tu veux avec mon corps
ça ne me dérange pas !
Pendant une demi-heure, le maître parcourt, fatigue et du corps de son esclave
il lui inflige un vigoureuse fessée, jusquà ce que les fesses rougissent, il les mord laissant la trace de ses dents sinscrive dans la chair
il suce les tétons de son prisonnier, les mordille jusquà ce quil voit le visage de son esclave se crisper
mais celui-ci tout à son écoute ne proteste pas et demeure résiliant
Et sa queue bandée atteste quil ne veut pas que ça cesse, son gland gonflé coule abondamment.
Le cul de Fred se resserre sur le gland de son maître incitant celui-ci à reprendre sa besogne, pendant que dune voix très professionnelle, dans un anglais impeccable, il donne pendant quelques minutes son avis sur un dossier. Qui parmi les personnes à lécoute pouvait se douter que celui qui leur parlait avait une queue bandée enfoncée dans le cul jusquaux couilles ?
*****
Ma conférence est terminée, mais je suis toujours à la merci de mon maître et ce nest quaprès de longs moments de va-et-vient que jai senti Al magripper solidement par les hanches afin que je ne puisse pas me dérober de ses coups de bélier brutaux. Je suis coincé, jai les deux mains en appui sur la table afin de ne pas perde léquilibre, pendant que Al me pénètre maintenant à fond.
Je sais à ce moment, quil va bientôt prendre son pied et jouir abondement en moi. Il est particulièrement intense et agressif à cette étape, il se cramponne à moi et pousse violemment sa queue bien au fond de mon cul afin que son sperme chaud puisse gicler. Enfin, après un moment, je sens que bientôt il va relâcher toute cette tension accumulée. Je lentends qui me dit :
Donne-toi à fond, Fred.
Mais comment puis-je en faire davantage ? Mais, je dois assumer ce rôle de complice soumis, je dois mefforcer de faire plaisir à mon maître, alors je serre mon cul le plus possible, pétrissant son gland et masturbant sa verge à chacun de ses passages. Les mouvements deviennent de plus en plus saccadés, la pénétration est profonde et je sens enfin lorgasme de mon maître qui éclate ; il me remplit le cul de son sperme chaud. Quelle satisfaction pour un soumis davoir fait jouir son maître. Al retire le condom, et sans hésitation fait couler son sperme encore tout chaud sur mon gland ; il fait entrer de force un peu de son nectar dans mon méat quil vient de dilater du bout de sa langue. Il se concentre maintenant sur la couronne de mon gland et commence avec vigueur une masturbation de haut en bas, sur toute la longueur de ma verge. Sa main est encore pleine de son sperme et, en quelques secondes, jexplose. Mon éjaculation est violence. Le sperme coule abondement et je meffondre dépuisement, satisfait du plaisir que jai procuré à mon maître.
Je suis vidé, heureux, content et je peux maintenant prendre une pause. Sous une douche chaude, avant de quitter mon complice, je me demande quelle forme prendra ma prochaine soumission.
Je fais confiance à mon maître, il ne manque pas didées.
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