Les Bons Comptes... Font Les Bons Amis...
Comme tout travail mérite salaire, cétait pour cette raison que je métais rendu chez Benoît. Cela faisait quinze jours que jattendais quil vienne me payer les travaux que javais faits chez lui. Alors cétait pour cela que je me trouvais devant son portail en ce soir et que jallais mapprêter à appuyer sur le bouton poussoir qui allait enclencher le carillon. Ceci fait il avait fallu que quelques secondes avant que la porte dentrée souvre sur le même Benoît.
- Ah cest toi ! À cette heure ?
- Il ny a pas dheure pour payer ses dettes. Répondais en poussant le portillon.
- Je ten pris, rentre. Me fit-il en seffaçant pour me laisser pénétrer les lieux.
- Nous étions à table. Me lança-t-il, en refermant la porte derrière lui.
- Cela tombe bien. Javais une petite faim. Répliquais-je ironiquement.
- Quand il y en a pour deux il en a pour trois.
- Cest-ce que je me disais en prenant la route pour venir chez toi.
- Je ten prie installe-toi.
- Bonjour Marina.
Elle portait son chemisier blanc, sa jupette plissée. Ses socquettes blanches et ses souliers plats à brides.
- Bonsoir Alain. Fit-elle, en se levant. Jimagine que tu restes mangé.
- Oui avec plaisir. Ton mari ma gentiment invité à sa table. Et dailleurs sa sent tellement bon, que je nai pas pu lui refuser.
- Installe-toi, je tapporte tes couverts.
- Merci Marina.
- Tu comptes me payer quand ? Fis-je à Benoît une fois tous deux seuls.
- Je
je vais te donner cela
bafouillait-il.
- Et je peux savoir quand ?
- Ce soir ! Si tu veux bien, jy cours.
- Les banques sont fermées à cette heure
- Qui te parle de banque !
Il se leva et sorti de la pièce. Croisant sa femme avec les couverts en mains. Il revint quelques minutes plus tard avec une liasse de billet. Quil me tendit. Sitôt en main je me mis à les compter.
- Il ny a pas le compte ? Fis-je déçu.
- Cinq milles !
- Oui ! Mais sen était mi daccord pour sept
- Cest que
fit-il reprenant son bafouillage.
- Cest que quoi ? Un accord est un accord
- Oui
mais
tu ne laurais pas fait pour moins
- Je veux bien que je ne laurais pas fait pour moins. Tu ne te rends pas compte du boulot. Cela ma coûté une semaine de mes loisirs. Et seul pour ne pas que la facture soit trop lourde et à côté de ça je ne touche pas ce qui était convenu.
- Je suis désolé.
- Cela ne me suffira pas, Benoît.
- Alors casse-moi la gueule
- Voyant Benoît ! Tu es tombé sur la tête. Le fustigea sa femme.
- Je ne peux pas ten donner plus ?
- Mais alors pourquoi lui avoir promis plus ? Sinjuria sa femme.
Je ne sais pas ce qui me retenait de lui mettre mon poing dans sa gueule. Comme souvent dans ses cas javais comme un besoin de vengeance. Il ne mavait pas fallu longtemps pour trouver la parade.
- Laisse tomber Marina. Dailleurs sache que jai passé une excellente semaine chez toi, Marina. Et ça grâce à toi.
- Grâce à moi ? Là je ne te suis pas !
Elle ne semblait pas bien comprendre ce qui lui arrivait.
- Si je peux me le permettre, tu portes quelle culotte en ce moment ?
- Eh là
eh là ! En voilà une drôle de question à posé à ma femme !
- Tu as les deux milles qui me manquent ?
-
- Alors ta gueule.
Je me tournais en direction de Marina, et jassistais.
- Alors je técoute. Moi jai un faible pour la noire en résille. Tu vois ce que je veux dire ?
- Oui ! Bien sûr. Répondait-elle.
Ses joues sétaient colorées.
- Je ne te cache pas que je lai longuement observé. Pour dire vrai je lai examiné sous tous les coutures. Et tu sais ?
- Non
- Et bien je les porté à mes narines et là ! Je ne te le dis pas
un vrai bouquet final de feu dartifice.
- Je ne te permets pas !
- Comme je ne te permets pas de mescroquer de deux mille
approche veux-tu Marina. Que je vois laquelle tu portes sous ta belle jupe. Tu concèdes Benoît. Bien sûr que tu veux bien ! Dailleurs tu nas pas le choix. Cest ça ou deux milles
je devine que tu ne les a pas ? Je me trompe ?
-
Non
- Alors je vais me payer
- Tu ne vas pas tout de même ?
- Je vais me gêner
Un mélange de peur et dexcitation me submergea. Au point de r mon érection déjà bien dure. Sans me préoccuper du mari, je déboutonnais lun après lautre les boutons qui fermer son chemisier. Jévaluais tous les plaisirs que jallais tirer de voir ce qui allait se trouver une fois les deux pans écartés. Dessous de la dentelle. Dont jécartais les bonnets pour en faire jaillir les seins. Mextasiant sur leur volume. Après avoir mouillé mes doigts de salive, je mamusais à pincer les pointes dans un petit mouvement tournant. Les mamelons durcirent et sallongèrent.
Je nétais plus moi-même à cet instant. Tout sembrouillait en moi. Au point de glisser une main sous sa jupe. Et cela, sous les yeux ébahis de Benoît. Devinant quelle nallait pas se débattre, et que jallais bien en profité. Par jeu, elle serra les cuisses comme pour faire durer le plaisir.
Je sentais sa culotte. Elle était en dentelle. Jappuyai juste entre ses lèvres closes. Frottant mon pouce sur son bouton. Son sexe commençait à devenir moite sous la dentelle. Mon pouce senfonça à travers la toile. Elle vacillait sur place. Même si sa tête disait non, son corps cédait à la première sollicitation.
Je glissais une main sous sa culotte pour explorer sa chatte. Empoignant la touffe de poils. Et jenfonçais le pouce dans la chair onctueuse. Le même pouce qui la fouillait, la faisant juter abondamment.
Puis je les replongeais sous la jupe, en regardant son mari droit dans les yeux, alors que delle-même, elle écarta les cuisses sans changer de position. Jenfonçais deux doigts dans le vagin. Elle soupira. Je les agitais. Avec mon autre main je lui palpais de nouveau les grandes lèvres. Puis je lui massais doucement le clitoris. Qui devenait dur comme un gros pois chiche. Marina gémissait sourdement sous les yeux du spectateur quétait son mari.
Après avoir écarté mon assiette encore remplie. Je retroussais sa jupe. Puis la fis sasseoir sur le bureau. Les pieds dans ses sandales, sur le bord, les jambes largement écartées. Jécartais la dentelle et jexaminais sa vulve.
Entre les touffes de poils de la couleur de ses cheveux, qui bordaient ses lèvres dentelées, je voyais bâiller une grande vulve rose aux reflets de chair crue. Dans le cratère mauve qui béer, les replis des muqueuses étaient tout emperlés de gouttes de mouille. Alors que dautres gouttes saccrochaient aux poils. On aurait dit des gouttes de rosée sur des brins dherbes.
Une odeur fade et épicée à la fois, arrivait à mes narines. Une odeur de fruit de mer. Incapable de me retenir plus longtemps, je penchais ma bouche jusquà toucher son sexe. Mes lèvres semparèrent de son entaille. Je léchais sa fente de bas en haut. Me régalant de sa saveur salée. Mais je sentais que la coquine en voulait plus et cela malgré la présence de son homme. Javais alors pour ça glissait ma langue dans son con juteux. Dans ses chairs qui se gonflaient de sang.
À linstant où je sentais quelle se tendait vers lorgasme, je marquais cruellement une pause. Jen profitais pour décalotter le clitoris entre deux doigts. Je me mis à le branler comme je laurais fait avec une bite.
Il était temps pour moi de me lever, et de me placer entre ses cuisses. Je déboutonnais ma braguette. Pas le moins du monde inquiet de mexhiber devant les yeux de Benoît. Alors que Marina me regardait mactiver avec un mélange de curiosité et denvie trouble. Les boutons coinçaient à cause de mon érection. Mais quen enfin mon sexe avait jailli dans ma main, la coquine me fixait avec des yeux intéressés.
- Dis, tu la touches ma queue ? Lui lançais-je.
Ses doigts se refermèrent autour, avec prudence. Puis comme formaté, elle sétait mise à me caresser de haut en bas. Ma queue sanimait entre ses doigts. Je lencourageais par des gémissements. Je bandais plus ferme quau début. Emportée par sa fougue, elle se gêna pas de glisser une main dans mon slip, pour me tripoter mes testicules.
Elle nétait plus elle-même. Je métais reculé. Pour me trouver hors de porter de sa main. Et jen profitais pour faire tomber mon pantalon, puis mon slip, jusquà mes chevilles. Puis je mavançais de nouveau à la toucher. Javais Le visage à la hauteur de ses seins.
Devinant ce quil allait suivre, delle-même elle écarta sa dentelle. Je menfonçais alors entre les parois de son vagin qui se contractaient autour de mon membre. Elle sagrippa à moi, tout en gémissant. Me ceinturant les reins avec ses jambes. Comme si elle voulait mempêcher de la fouiller avec ma verge. Pour mieux sentir mon gland taquinait le fond de son vagin. Mais cétait sans compter sur mon excitation. Je me mis à bouger davant en arrière. Accélérant peu à peu mes va-et-vient. Elle me reçu à chaque fois en criant. Me frappant le dos avec ses mains. Elle aboyait même des :
- Oui ! Baise-moi plus fort
oui plus fort
Déjà je sentais le chatouillement de lorgasme me presser les couilles. Tandis quelle mentoura le cou de ses bras, pour me grimper dessus. Ses joues colorées par le désir. Et tout en haletant elle cherchait ma bouche. Et membrassa goulûment.
Ce fut à cet instant quil me sembla de sentir quelque chose de chaud et dhumide me frapper les fesses. Je tournais la tête pour apercevoir mon Benoît agitait sa queue encore bien raide.
Quand je repris ma voiture. Une idée me trottait dans la tête. Comment allait-elle se comporter, lors de nos prochaines rencontres...
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