Douceur Adolescente
À 19 ans, j'étais encore une fille, pas une femme. Cependant, mes nombreuses expérimentations avaient décidé de mes préférences.
C'était déjà parfaitement clair pour moi. Je n'étais ni lesbienne, ni bisexuelle. J'aimais les hommes virils, les machos.
Mais surtout, j'aimais les voir succomber d'amour pour moi. Perdre leur arrogance, s'humilier, me vénérer comme une déesse.
Cela n'a rien d'extraordinaire. Toutes les filles rêvent d'un prince charmant qui délaisse tout pour elles.
Et puis le bel amant dévergonde la fille, la soumet à son désir, et elle devient sa servante, sexuellement parlant.
Mais moi, je choisis les mâles dominants que je dompte. J'aime les voir brûlant de désir devant moi.
La convoitise, la luxure qui brille dans leurs yeux, c'est ce qui m'excite.
Pour beaucoup, je suis une dominatrice, même si je ne porte jamais d'accoutrement de maîtresse dominante.
Je n'utilise pas non plus de gadgets. J'utilise la séduction de mon corps juvénile. Mais, par précaution, je les attache toujours.
En apparence, je suis une fille normale. Je peux me contenter du sexe traditionnel, sans domination, sans jeux de rôles.
Car les hommes proprement soumis ne sont pas faciles à trouver. Il faut du temps et de la patience.
J'ai découvert mon penchant à 19 ans. Il avait 53 ans. À cet âge, les hommes tombent facilement dans les filets d'une jolie nymphette.
Je ne l'avais pas remarqué. Dans le bar où je travaillais comme serveuse, un tas de mecs cherchaient à baiser les employées.
Le patron du bar n'utilisait que de la chair fraîche pour travailler dans son bar. La tenue était sexy mais correcte.
Il disait que nous pouvions faire ce que nous voulions en dehors, mais pas dans son établissement.
Certaines avaient interprété cela en arrondissant leur paye dans la ruelle, derrière le bâtiment.
Je passais mes journées à éviter les mains baladeuses et à entendre leur baratin débile, leurs déclarations d'amour ridicules.
Je ne connaissais pas ce gars auparavant. Il est venu traîner régulièrement dans un coin de la salle.
C'est une copine qui me l'a fait remarquer. Assis dans son coin, il ne me quittait pas des yeux.
J'étais consciente de la fixité de son regard. Il ne clignait pas des yeux. Il me dévorait des yeux.
Je me suis fait un devoir de prendre ses commandes moi-même, je ne laissais jamais d'autres filles servir sa table.
Au début, il était timoré et n'osait pas soutenir mon regard lorsque je m'approchais de lui.
Puis le temps a fait son uvre, son désir a fait taire ses craintes, et il s'est détendu, il est devenu plus direct.
Il reluquait mes seins tandis que je prenais sa commande, juste à côté de lui, haussant le cou pour mieux voir.
Très vite, je me suis installée face à lui, me penchant légèrement en avant par-dessus la table afin de lui procurer un bon angle de vue.
Au bout de quelques semaines, je me suis aperçue qu'il remuait sa main sous la table.
J'ai fait mon travail normalement, tout en sachant que le pervers assis en face de moi se branlait en regardant mes nichons.
La même chose sest produite les jours suivants, sans que je trouve la réponse appropriée. Enfin, je m'étais préparée.
En apportant la boisson commandée, j'ai jeté avec dédain un tas de serviettes en papier sur sa table et je suis partie sans un mot.
Il a rougi, son activité manuelle est passée instantanément en mode pause, mais elle a repris après quelques jours.
Quelques temps passèrent. Il était devenu mon client régulier. En servant sa commande, je lui fournissais un tas de serviettes.
Les autres serveuses ne s'occupaient pas de lui. Chasse gardée. Elles souriaient devant mon manège, complices.
Un jour, sa convoitise impudique lui fit franchir un pas décisif.
Lorsque j'ai jeté les serviettes sur sa table, il a attrapé mon poignet et m'a regardé, les yeux dans les yeux.
Et, d'une voix rauque d'émotion, il m'a demandé: "Tu aimerais avoir un amoureux, ma petite chérie?"
Intérieurement, j'ai pensé "Enfin!" mais je suis restée stoïque.
"Tu aimerais être ligoté pendant que je te baise?" Sa mâchoire est tombée.
Bouche bée, il me regardait comme si j'étais une extra-terrestre. Alors j'ai ajouté:
"C'est moi qui compte les coups. Tu devras être docile et soumis entre mes mains. Cela te convient-il?"
Il restait pétrifié devant moi. J'ai donc décidé de lui laisser un peu de temps pour réfléchir.
J'ai dit: "Si tu jettes ce mouchoir par terre en partant, je le prendrai pour un oui."
Il est parti au bout de vingt minutes. J'ai ramassé le tas de serviettes froissées et gluantes de sperme sur le sol.
Le lendemain, il est venu plus tôt que d'habitude. Quand je me suis approchée, il a glissé sa main précipitamment sous la table.
Je l'ai regardé, souriante, et je me suis penchée en faisant bailler l'échancrure de ma blouse.
Il reluquait mes seins en rougissant: "Alors, t'es partant? Tu acceptes d'être mon jouet sexuel?"
Il a juste hoché la tête en se touchant furtivement.
"OK, après-demain, ici, on organise une petite fête le soir. Cela finira tard dans la soirée. Faudra que tu m'attendes. Sous le lampadaire, en face, de l'autre côté de l'avenue. Tu m'accompagneras chez moi." Il a juste hoché la tête à nouveau.
J'ai pris un tas de serviettes en papier dans la poche de ma blouse et je lui ai tendu. Il les a attrapé machinalement.
Je n'ai pas bougé. Je suis restée penchée devant lui. Il lui fallut quelques secondes pour comprendre ce qui se passait.
Puis ses yeux se sont écarquillés. Il a commencé à se branler sous la table. Ses yeux étaient rivés sur ma poitrine.
Je l'ai laissé regarder. Son visage rougissait par endroit. Sa main libre s'est envolée en direction de mes seins.
J'ai giflé sa main: "Juste regarder, pas toucher!" Il acquiesça docilement.
Après quelques minutes, son corps tressauta et il s'arrêta. Je lui ai apporté sa boisson.
Je n'avais pas menti.
Mais cela m'a donné un alibi pour porter ma robe de cocktail. Je mourrais d'envie de la mettre pour deux raisons: elle était neuve et je voulais tester l'effet qu'elle ferait sur un homme. En glissant un il sur l'avenue, j'ai vu mon pervers attendre, appuyé contre le lampadaire, longtemps avant l'heure supposée.
Il faisait assez froid et j'avais mis un manteau par-dessus ma robe. Boutonné du col jusqu'à mes genoux.
Je n'ai donc pas reçu le coup dil appréciateur de mon galant devant ma robe sexy. Tant pis, ce sera pour plus tard.
Nous n'avons pas prononcé un seul mot. Il était frigorifié et moi perdue dans mes pensées, désireuse de planifier la suite.
Nous avons pris un taxi pour aller chez moi. Je l'ai laissé payer, délibérément.
Une fois à l'intérieur, je me suis assurée que toutes les fenêtres étaient closes et les rideaux tirés.
À cette époque, je détestais me donner en spectacle, ce qui a bien changé depuis.
Il se tenait piqué au milieu du living. Le living se composait d'un coin kitchenette, d'un coin pour s'asseoir et d'un coin pour manger.
Plus deux chambres pour moi et ma coloc. Et la salle d'eau, minuscule.
Ma coloc avait un boulot dans un bar pour les noctambules, moi je travaillais de jour. On ne se marchait pas sur les pieds.
On avait convenu d'une sorte de pacte. Celle qui rentrait plus tôt que prévu prévenait l'autre pour ne pas provoquer de gêne.
Il était vachement excité. Ses yeux brillaient. Il avalait constamment sa salive et il respirait fort.
Furtivement, je me suis demandée s'il avait une poche percée et s'il se branlait depuis que je l'avais rejoint.
Mais en fait, cétait purement une anticipation des évènements à venir. Ou de ce qu'il espérait subir.
Les hommes mûrs trouvent les filles de mon âge absolument irrésistibles.
Ma peau douce et sans rides, mes longs cheveux soyeux et mes courbes suggestives sont pour eux un synonyme de beauté.
Les hommes jeunes sont plus difficiles à conquérir et à soumettre.
Maintenant, il rêvait de savoir comment il allait ravager ma beauté et y déposer sa marque de propriété.
Mais, malheureusement pour lui, cela n'arrivera pas.
Je suis allée chercher dans ma chambre des cordelettes en nylon et du ruban adhésif. Je les ai jetés sur le comptoir de la kitchenette. Je l'ai vu les regarder. Son regard est brusquement devenu craintif. Maintenant, il était presque en train de claquer des dents.
Sans un mot, je me suis approchée de lui et j'ai commencé à déboutonner sa chemise.
Je lui ai enlevé sa chemise puis j'ai simplement dégrafé et baissé son pantalon.
Comme je l'avais supposé, il était totalement hors de forme. Gras, ventru, la bedaine molle et la chair flasque.
Plus un homme est avachi et fripé, plus il fantasme sur les jeunes femmes avec un beau corps.
Je ne le savais pas à lépoque, mais maintenant, je peux affirmer sans crainte que javais une belle silhouette à 19 ans.
L'effet fut instantané. Mes doigts sur sa peau nue, sa bite s'est dressée presque aussitôt.
Et il n'avait toujours rien vu de plus qu'une fille emmitouflée dans son manteau.
La kitchenette de mon appartement était équipée d'un pilier rond qui allait du sol au plafond.
Ce morceau d'architecture était très utile pour soutenir la tablette, mais aussi pour attacher les gens.
Je l'ai adossé contre le pilier et j'ai rapidement attaché ses poignets derrière le pilier avant qu'il ne puisse se rebiffer.
Puis je me suis agenouillée et je lui ai attaché les chevilles ensemble et autour du pilier.
J'ai passé une corde autour de sa taille et autour du pilier. Maintenant j'étais en sécurité.
Souriante, j'ai retiré mon manteau et, tout en restant bien dans son champ de vision, j'ai fait un tour sur moi-même pour lui faire apprécier le spectacle. Je portais une robe de cocktail blanche, sans bretelles et ajustée jusqu'à la taille.
Elle s'évasait en-dessous de la taille et s'arrêtait à mi-cuisses. Je portais un fin collier en argent orné d'une perle blanche qui reposait au creux de mes seins. Et j'avais un bracelet en argent.
Toujours souriante, j'ai soulevé ma robe et, devant ses yeux ébahis, j'ai retiré ma culotte.
Je l'ai roulée en boule et fourrée dans sa bouche, puis je l'ai bâillonné avec le ruban adhésif.
C'était presque comique de le voir essayer de tourner la culotte dans sa bouche pour pouvoir la goûter.
Il haletait dans son bâillon et j'ai cru que ses yeux allaient sortir de leurs orbites.
Je me tenais là devant lui et le laissais me regarder pendant environ une minute.
Je tournais sur moi-même en soulevant ma robe, mais pas assez haut pour qu'il puisse voir mon cul ou ma chatte, en me caressant.
Ensuite, j'ai essayé de l'ignorer pendant les 30 prochaines minutes, en le laissant ligoté à son pilier.
Je vaquais à mes occupations en faisant semblant d'être complètement inconsciente de son existence.
Mais je restais soigneusement dans son champ de vision pendant tout ce temps. Juste me regarder. Comme tous les soirs.
Je ne lui ai accordé aucune attention, pas même un petit coup d'il rapide, malgré ses grognements pour attirer ma curiosité.
J'étais perdue dans mes réflexions, enfermée dans ma bulle, comme si j'étais seule chez moi.
Mais je continuais à faire ces petites choses féminines comme ajuster ma chevelure, caresser ma poitrine ou glisser une main sous ma robe. Surtout glisser une main sous ma robe. Après tout, ça fait combien de soir qu'il se masturbe en me reluquant?
J'aime faire durer le plaisir. Plus le désir augmente lentement, plus fort sera le vertige de la jouissance.
Je sentais son regard brûlant de concupiscence sur mes formes. Il se tordait dans ses liens pour apercevoir un morceau de peau.
J'imaginais les fantasmes qui envahissaient son cerveau pervers. "Si seulement cette salope acceptait de me détacher...!"
Des fantasmes sur cette fille qu'il désirait mais ne pouvait pas toucher.
Au bout d'une demi-heure, ma chatte était humide d'impatience. Je devais continuer à jouer mon rôle, et j'avais besoin de volonté.
Je n'allais pas me toucher maintenant. J'ai éteint mon ordinateur et me suis plantée devant lui. Presque à le toucher.
Je l'ai regardé, les yeux dans les yeux. Sa queue était rigide, presque parallèle au sol.
Mon regard a lentement parcouru son corps dénudé. Son regard était fixé sur mes seins. J'ai agité ma poitrine.
Un filet de bave est apparu à la commissure des lèvres. J'ai levé mes bras et j'ai posé mes mains sur ma tête.
J'ai recommencé à secouer mes seins. J'ai cru qu'il allait défaillir. Un rugissement sourd est monté de ses tripes.
Sa bite a eu un drôle de soubresaut et une goutte de liquide clair est apparue au bout du méat.
D'un geste désinvolte, du bout de mon index, j'ai recueilli le précieux nectar et j'ai léché mon doigt.
La deuxième goutte est apparue beaucoup plus rapidement que la première. J'ai répété mon geste, et aussi avec la troisième goutte.
Sa bite a commencé à battre. D'étranges sursauts. Le regard fou, ses yeux parcouraient mon corps. Il haletait.
J'ai laissé sa bite palpiter sans y toucher. Quand les palpitations se sont calmées, je me suis agenouillée devant lui et j'ai léché le gland. Je ne l'ai pas pris en bouche, je l'ai juste léché avec ma langue. Il a recommencé à s'agiter. Alors, je me suis relevée.
J'ai commencé à dessiner des lignes sur sa poitrine avec mes ongles. J'ai joué avec ses tétons, les pinçant, les étirant.
Je me tenais tout près de lui, mais sans le toucher. Il humait mon parfum, se tordait dans ses liens en pure perte.
J'ai dû faire une pause lorsqu'il s'est mis à gémir sur un mode suraigu et de manière continue.
Je me suis agenouillée et j'ai léché sa queue qui s'était calmée. Mais très vite, j'ai dû me relever parce qu'elle s'agitait.
Alternativement, j'excitais sa bite en m'agenouillant devant lui et en lui léchant le gland. Lorsque sa bite s'agitait frénétiquement, je me relevais et je le calmais en jouant avec ses tétons, mes ongles acérés griffant sa chair molle.
Je me tenais tout près de lui sans le toucher autrement qu'avec mes doigts et ma langue.
Je devais faire attention à ne pas heurter sa bite tendue devant lui et qui s'agitait en tous sens.
Au bout d'un moment, j'ai décidé de lui donner un peu plus de plaisir. Je me rapprochais un peu pour que sa bite touche mon corps.
Il respirait profondément. Avec ma hanche, j'ai effleuré sa queue. Quelques secondes d'attente. J'ai appuyé mes seins contre lui.
Son souffle est devenu plus court, plus difficile. Ensuite, je posais mon front contre son menton, afin qu'il puisse humer mes cheveux.
Je suis restée dans cette position un moment. Il essayait désespérément de frotter sa bite sur le galbe de mes hanches.
Mais les cordes ne le permettaient pas. Je pressais fermement mes seins contre son torse en griffant ses tétons.
Quand sa respiration est devenue trop difficile, je me suis écartée de lui et j'ai donné une tape sèche sur sa bite tendue.
Puis je me suis assise sur un siège en face de lui, et je ne l'ai plus touché pendant de longues minutes.
Après quelques minutes, il s'est calmé, alors je me suis approchée de lui et j'ai repris ma posture précédente.
Cette fois, j'ai pelotonné mon corps entièrement contre le sien. Sa bite s'agitait déjà contre mon ventre.
Je suis allée chercher deux oreillers que j'ai laissé tomber à ses pieds. Je me suis agenouillée sur les oreillers.
Mes seins étaient à la hauteur de sa bite. J'ai fait glisser le bustier de ma robe pour dénuder ma poitrine.
J'ai attrapé sa bite bondissante et je l'ai calée entre mes seins. J'ai craché dessus pour faciliter le glissement.
Ensuite le liquide pré-éjaculatoire qui suintait a servi de lubrifiant. Il a commencé à gémir beaucoup.
J'ai secoué mes seins très fort autour de sa tige. Je n'ai pas eu besoin de m'escrimer longtemps.
Ses jets puissants m'ont inondée. Je devais penser à moi maintenant.
Je me suis dressée sur la pointe des pieds et je me suis troussée jusqu'à la taille.
J'ai mis un doigt dans ma chatte, j'étais mouillée comme une véritable salope.
J'ai attrapé sa bite encore turgide et je l'ai calée entre mes cuisses, tout contre ma chatte.
Lentement, j'ai commencé à onduler des hanches d'avant en arrière, frottant ma chatte exacerbée sur sa queue tendue.
Je pensais me retenir plus longtemps, mais j'avais trop présumé de mes forces.
Mon orgasme a éclaté trop vite, déclenchant le sien, et arrosant mes cuisses de foutre gluant.
Je n'étais pas pleinement consciente de mon environnement ou de quoi que ce soit d'autre quand l'orgasme m'a suffoqué.
Il m'a fallut quelques secondes pour retrouver mes esprits et relâcher ma prise autour de son cou.
Ses yeux étaient fermés. Sa respiration était difficile. Ma poitrine était trempée de son foutre. Mes cuisses aussi.
Je m'écartais de lui difficilement. J'aurais aimé prolonger ce moment par un peu de tendresse.
Mais je n'avais plus assez de temps. Je sorti de mon sac le petit bijou que je m'étais offerte.
Mon cadeau pour l'homme qui a accepté que j'aiguise mes jeunes griffes sur lui.
Je m'emparais de sa bite en détumescence et je l'équipais du mécanisme.
La cage de chasteté, un mécanisme très simple qui me permet d'asservir mon homme.
Désormais, s'il veut se soulager, il devra me demander
gentiment!
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