Vive Les Familles Recomposées !

Depuis que maman a décidé de déménager chez sa compagne Anne-Sophie, je dois partager ma salle de bains avec Karim, un adolescent vicieux qui entre sans frapper quand je suis sous la douche. Ce n’est pas que je sois si âgée ou que cela me dérange outre mesure de montrer mon cul. Toutefois d’habitude je choisis les bénéficiaires de mes strip-teases improvisés : des hommes de 30 à 50 ans le plus souvent fruits d’aventures d’un soir. A 23 ans, on ne s’attache pas. Avec Karim, j’ai tout gagné. Il s’installe sans prévenir comme au spectacle assis en slip sur le lave-linge et me mate en souriant bêtement du haut de ses 18 ans. Je suis obligée d’interrompre la cascade d’eau qui suinte de mes épaules à mes fesses. Je sors nue car je sais que nous sommes seuls et je le course dans toute la maison. Karim prend la fuite à toutes jambes. Il renverse des objets en criant de peur et d’excitation. Enfin je le ratt furieuse quand il entre dans la chambre de nos mères. Il se met à genoux pour me demander pardon. Les yeux rivés sur ma chatte rasée il m’implore : « Alice, ma sœurette, tu me laisses te lécher la fente ? Je bande comme un cerf, touche si tu ne me croies pas ! ». Je suis vraiment à bout : « Ce n’est pas possible ! Quel boulet ! Et tu te demandes pourquoi tu es puceau à 18 ans ! Baisse ton slip, je vais résoudre ton problème pour avoir la paix ». C’est comme cela qu’avec l’espoir de mettre un petit branleur hors d’état d’agir, je me suis trouvée obligée de déniaiser mon demi-frère. J’ai soupesé ses couilles, lourdes comme des fruits mûrs. J’ai enserré la base de sa verge d’une main ferme et je l’ai branloché doucement. En accélérant le mouvement j’ai gobé ses couilles alternativement. Il m’a demandé de le sucer du bout de ses yeux suppliants. Je l’ai allongé sur le grand lit parental, genoux repliés sur le ventre, ma langue courant partout sur ses fesses offertes, sur son petit orifice, sur ses couilles puis le long de sa bite, de la hampe au méat de son gland.

Avec un tel traitement, Karim a joui un peu trop tôt à mon goût m’inondant le palais de sperme. Toutefois je devinais qu’à son âge il avait des réserves presque inépuisables de foutre. J’ai donc repris ma branlette en adaptant la vitesse de mes à-coups aux proportions que reprenait rapidement sa belle bite. Alors que Karim était allongé sur le lit, j’ai guidé sa bite dressée contre mes fesses et je l’ai enfourné de dos dans ma chatte, offrant au jeune homme une vue imprenable sur ce cul qu’il aimait tant. Le pucelage de Karim ne résista pas longtemps aux assauts endiablés de mon cul. Il sut ce que l’expression « le cul en feu » signifiait. Cette première étreinte nous amena à une jouissance quasi-simultanée. Comme je m’astiquais bien fort le petit bouton, je jouis la première entraînant instantanément Karim dans ma bacchanale. On s’est embrassé instinctivement. J’ai à peine eu le temps de penser que ce n’était pas une bonne idée. Du bruit dans l’entrée au rez-de-chaussée. Les parents déjà. Je ramasse vite le slip de Karim, un petit coup pour remettre la couette du lit en ordre et on file dans nos chambres respectives. Ouf, c’était moins une et on se faisait gaulés.