Un Petit Coup...De Main (Histoires Réelle)
Phanie travaille depuis 8 ans pour une grande compagnie dassurance. Elle a durement gagné sa place de manager dans un climat de changement de Direction permanent. Cest dans ce climat dinstabilité quelle eût, il y a 2 mois, un entretien pendant lequel sa boss actuelle lui fit comprendre que pour des raisons de restrictions budgétaires, les salariés souhaitant partir le pourraient et à conditions financières avantageuses.
Même si elle nest pas du tout en phase avec la nouvelle organisation, le fait de savoir quelle fait partie des éléments dont lentreprise ne rechignerait pas à se séparer a été un coup de massue pour elle.
Cet entretien na pas été sans conséquence sur sa motivation bien sûr, mais également sur son moral qui sest écroulé soudain. Même nos relations en furent changées. Plus distante et préoccupée, nous nous disputons beaucoup et je déplore que nous en soyons arrivés à cela.
Un soir je lui dis : « pourquoi ne recontactes-tu pas ton ancien boss, Vincent ? »
Le Vincent en question fut son patron pendant 3 ans. Il a quitté lentreprise pour un poste de DG dans une autre société dassurances, avant le début de la valse des dirigeants.
« Jy ai pensé » me répondit-elle « mais je naime pas quémander et je naime pas les gens qui tappellent quand ils ont besoin de quelque chose »
Je décidais de raffermir le ton, quelque peu excédé par cette situation et ses conséquences. « Tu ne dois rien à ta boite et le fait que nous nous engueulions sans cesse à cause deux est déjà un motif de départ ». « Tout le monde fait appel à son réseau lorsquil souhaite changer de poste ou de société, ça sert à ça le réseau et Vincent, je pense, a gardé un très bon souvenir de toi ».
« Oui cest sûr » me répondit-elle « mais tu te souviens quil était aussi coureur et un peu lourd parfois »
Effectivement, Phanie mavait raconté quà plusieurs reprises mais sans jamais aller trop loin, il lui avait fait des remarques insidieuses sur son corps, sa joliesse, sa garde-robe très féminine etc
Et même un jour lors dun déplacement en province et alors quils rentraient à lhôtel après un dîner quelque peu arrosé, il lavait tenue par la taille en marchant et arrivés devant lascenseur avait déclaré quil était dommage quils se quittent ainsi et quil aimait sa compagnie, leur discussions et son intelligence.
Phanie mavait raconté cela et même parfois nous en jouions dans les scenarii érotiques qui agrémentaient nos ébats.
Cependant, elle trouvait cela toujours embarrassant quon puisse ne voir en elle quune jolie fille bien faite. Elle a toujours placé la séduction intellectuelle bien au-dessus de la séduction physique et bien souvent il lui faisait remarquer sans lui dire directement quil la trouvait très à son goût. Néanmoins elle reconnait quen marge de cela il nétait pas avare de compliments pour ce qui concernait son efficacité, son professionnalisme.
« Raison de plus » répondis-je « mais il serait dommage de ne pas lutiliser pour te sortir de cette situation qui va finir pas avoir un impact retentissant sur notre couple ». Cétait dit, je venais de lui rappeler que nous nous mettions en danger à force quelle senfonce sans réagir dans ce marasme professionnel.
Finalement lidée fit son chemin et elle décida de lui envoyer un mail expliquant la situation dans laquelle elle était et le rappelant à leurs 3 années de collaboration fructueuse. Elle terminait son message en sollicitant un entretien avec son DRH et en ponctuant par le plaisir dune nouvelle collaboration.
Il ne fallut que quelques heures à son ex boss pour répondre. Le ton de son mail était enjoué et très agréable. Il concluait par le fait que les ressources humaines prendraient contact avec elle dans les meilleurs délais mais quil nétait certain davoir un poste vacant répondant à ses aspirations.
Phanie prit ce mail et la formule de politesse qui le concluait comme une fin de non-recevoir et javoue que je nétais pas plus positif dans mon interprétation.
Pourtant le lendemain de ce mail elle reçut un appel de Vincent, lui disant quil fallait quils se voient. Il avait un poste de Manager en Communication à lui proposer mais ne pouvait pas lofficialiser car la personne en poste était en couple avec une autre assez bien placée aux ressources humaines.
Quand Phanie me relata leur appel, je vis dans ses yeux briller une petite flamme qui avait disparue depuis longtemps. Elle, dun naturel si gai, était devenue si morose, que la voir enjouée de nouveau me fit beaucoup de bien.
Il lui avait donné rdv deux soirs plus tard dans le bar dun hôtel de luxe rue de la Paix à Paris au motif de la confidentialité de leur échange.
Le matin du rdv Phanie sappliqua à choisir des vêtements sobres et un peu stricts, comme ceux quon choisit par réflexe pour un entretien.
En sortant de la salle de bain, je la trouvais nue, si désirable, en train de choisir entre 2 ou 3 ensembles. Je profitais quelle fut baissée sur le lit pour venir, nu également, coller mon sexe entre ses fesses et la prendre dans mes bras. Je lembrassais dans le cou en lui disant de ne pas sinquiéter. Depuis que son travail la préoccupe nous navons eu que si peu loccasion de faire lamour que je sentais quil ne faudrait que peu de temps à mon sexe dans cette position pour monter dans les tours.
Voyant les tenues plutôt strictes quelle avait choisies, je lui dis : « chérie, ce nest quand même pas comme un entretien de recrutement traditionnel. Vous vous connaissez depuis assez longtemps. Au contraire jaurai tendance à penser que puisque tu sais quels genre de vêtements il aimait que tu portes, tu devrais utiliser cet atout ».
Elle me répondit que ce nétait pas son premier réflexe mais quaprès tout le but dun entretien est dêtre à son avantage. « Te souviens-tu des tenues quil aimait te voir porter ? » lui demandais-je.
« Oui je crois » répondit-elle « Souvent il me complimentait lorsque je portais des petites robes dété fleuries, un peu champêtres ou quand je mettais un jean ajusté avec un chemisier ».
Il est vrai que ces 2 tenues lui vont particulièrement bien. Son corps gracile, ses petites fesses et ses seins menus si joliment dessinés dans un tissu léger sont un appel à lamour.
« Au moins tu te souviens de ce quil aime » lui dis-je en plaisantant « cest que tu ny étais finalement pas si indifférente ».
Elle me dit en souriant « pas le moment mon chéri mais je suis contente de te faire encore cet effet-là » « Pour la peine, tu as raison, je mets ma petite robe verte »
Elle enfila un mini string et un soutien-gorge assorti et passa la robe.
« Comment me trouves-tu ? » demanda-t-elle
« Je tembauche immédiatement et installe ton bureau dans le mien » lui dis-je en riant.
Toute la journée durant je pensais à son entretien de ce soir. Jaurai aimé être une petite souris pour voir comment il se comporterait.
Jattendis la fin de laprès-midi pour lui envoyer un mail dans lequel je lui souhaitais bon courage et plaisantai en lui disant que sil avait réservé une chambre, quil lui fasse signer sa promesse dembauche avant de monter. Elle me répondit « Tu es bête mais merci du conseil ». A mon tour je lui dis « Tu oserais me raconter sil te drague ? »
« Je crois que oui « répondit-elle
Lattente de son retour, je lavoue, fut un peu longue et cest le cur battant que je lentendis ouvrir la porte de lappartement. Jaccourais pour lembrasser et prendre des nouvelles.
Elle me tendit la description du poste en souriant. Ça devenait concret. Le poste correspondait en tout point à ce quelle faisait et souhaitai continuer à faire. Il lui demanda de réfléchir et lui proposa de se revoir au même endroit 2 jours plus tard. Si elle était daccord, il lui ferait envoyer sa promesse dembauche et déclencherait le départ de la personne qui occupait le poste actuellement et ne donnait a priori pas du tout satisfaction.
Phanie était vraiment heureuse et radieuse, comme si cette description de fonction venait à elle seule régler tous ses maux.
Nous avons passé une partie de la soirée à prendre note des questions quelle lui poserait lors du prochain rdv et nous sommes couchés plus légers que dordinaire.
Au moment de se dire bonne nuit, je me collais contre elle et lui murmura à loreille « Tu crois que la petite robe verte a fait son effet ? »
« Jen suis sûre » me répondit-elle. « Ses premières phrases ont été : je suis ravi de te revoir et tu es vraiment très en beauté, cette robe te va à merveille ».
Puis elle me dit quà plusieurs reprises lorsquelle se baissait pour prendre des mignardises quon leur avait servi, elle surprit son regard se perdre dans léchancrure de sa robe lui laissant ment voir son soutien-gorge transparent.
« Il ta draguée ou flattée ? » demandais-je. « Pas vraiment draguée mais lorsque je lui ai dit que la proposition mintéressait, il ma tendu la main en me disant : affaire conclue ? Et tandis que je serrai la sienne, il la garda longuement en me regardant droit dans les yeux »
« Il est impressionnant ? » lui dis-je
« Oui il est grand, les yeux clairs, le regard direct, il est massif. Pas beau mais charmant ».
« Tu as aimé quil voit tes petits seins ? » « Il na rien vu nettement je pense et toi tu aurais aimé quil les voit ?» me demanda-t-elle.
La sentant joueuse, je continuai mon petit scénar et laissai mes mains courir le long de son corps dénudé. Je passai par-dessus elle, bloqua ses poignets et tandis que je lui racontai ce quil avait ment pu voir et la façon dont ça lavait excité, je frottais mon sexe contre son clitoris puis la pénétrai. Phanie jouit très vite sous ma queue, comme libérée dun poids.
Jétais heureux de mendormir à coté de ma chérie que je retrouvais enfin.
Le lendemain soir nous nous rejoignîmes pour un apéro en terrasse. Je la vis arrivée la mine plus fermée. A peine le temps dun bisou quelle me dit que Vincent lavait appelée pour lui dire quil avait touché un mot au Directeur de la salariée que Phanie devait remplacer et que le départ de cette dernière ne serait pas une mince affaire. Revêche et dotée dun excellent réseau, elle pourrait leur donner du fil à retordre.
Phanie était désemparée, abasourdie. Nous avions déjà projeté beaucoup sur ce poste. Peut-être un peu trop rapidement du reste.
Je lencourageais en lui disant que sil voulait travailler avec elle, il se débrouillerait pour que ça arrive. Cest le Directeur General après tout. Egalement je lui rappelai quil avait maintenu le rdv du lendemain, ce qui était bon signe. Je lui dis que cétait à elle de lui donner la motivation suffisante pour affronter la fille en poste et pour lembaucher.
Phanie me répondit quelle voulait vraiment ce poste, que cétait lopportunité pour elle de sortir du panier de crabes dans lequel elle survivait depuis trop longtemps.
« Tu sais chérie, tu dois te donner les moyens de lobtenir ce poste » lui dis-je. « Convaincs-le en lui expliquant ce que tu peux apporter en terme de structure, de vision, valorise ton expérience, ton sérieux » Et jajoutais «Nhésite pas à être charmante. Un entretien est aussi et avant tout un exercice de séduction. Un grand patron nest jamais quun homme et tu as lavantage de savoir déjà que tu lui plais beaucoup. Joues-en. Ne crains pas que je te blâme, je sais que tu maimes et jai autant envie que toi que tu obtiennes ce job »
Elle resta pensive un instant puis se retourna et membrassa. Je lavais senti rassurée par notre discussion.
Le lendemain matin, je dû partir tôt. Je lui laissais un petit mot dans la salle de bain : « Sors le grand jeu, ne crains rien. Je taime »
Je savais au fond de moi quelle pouvait être très séduisante, sexy et charmeuse sans jamais être vulgaire. Cest ce que jai aimé chez elle. Je reconnais aussi que cette situation était très excitante pour moi et je navais quune hâte, être à ce soir pour quelle me raconte.
Un peu avant darriver à son rdv elle mécrivit ; « Jarrive au rdv chéri, jai un peu peur mais je suis déterminée. Merci de ton soutien »
Message auquel je répondis : « Je suis de tout cur avec toi. Tu me raconteras tout ? J PS : comme il reluquera ton décolleté, ne met rien en dessous J»
« Bien sûr J » écrivit-elle
Je rentrais le soir pour cuisiner un peu et préparer son arrivée. Phanie fit son apparition à presque 21h30.
Elle se jeta dans mes bras et me dit « Jai le poste ! » puis elle fondit en larmes.
« Des larmes de joie ? » lui demandais-je « Bien sûr, si tu savais comme je suis soulagée »
Je lui demandai de me raconter lentretien et seulement lorsquelle men faisait le récit, je remarquais quelle était vraiment très joliment habillée. Une petite robe bleue légère, boutonnée par le devant, arrivant à mi cuisses.
Elle lui dit dentrée de jeu quelle a vraiment eu très peur après son appel et il sen excusa. Il lui expliqua que la salariée en question mettait des bâtons dans les roues de tout le monde mais quelle avait un soutien important de 2 membres de la Direction. Et ajouta que lun dentre eux était son amant
Suite à quoi Phanie, lui expliqua par le menu lenvergure de son poste, ce quelle saurait apporter faisant la démonstration répétée et factuelle de ses qualités de manager et autre vision stratégique.
Vincent laissa un silence après cet argumentaire et lui dit « Tu le veux ce job dis-moi ! »
Phanie lui demanda si cétait une question. Il répondit « Non, il est pour toi ». La prochaine fois que nous nous voyons cest avec une promesse dembauche ».
Phanie exulta de joie. Il lui dit quil était content pour elle et quil prendrait beaucoup de plaisir à travailler avec. Puis ajouta « Quelle chance de pouvoir te voir tous les jours » en souriant. Encore dans leuphorie de la nouvelle elle répondit sans réfléchir « Merci cest gentil ».
« Tu pourras remettre cette robe ? » dit-il sur un ton amusé
« Quand tu veux, si elle me porte chance ainsi à chaque fois que je la porte
» répondit-elle en riant
Je la félicitais bien sûr et fini par lui dire « Et bien dis-moi, cest une déclaration ouverte quil ta faite ? »
Phanie rit puis me dit quil avait souvent tenu ce genre de propos sur le ton de lamusement quand ils bossaient ensemble.
A un moment je fis tomber un morceau déchalote et Phanie se pencha pour le ramasser. Avec stupeur et en regardant dans le décolleté de sa robe japerçus ses petits seins libres. Mon cur fit un bond. Je ne saurai dire si cétait de surprise ou dexcitation mais jétais comme pétrifié. Lavait-elle enlevé avant lentretien comme je lui avais conseillé en plaisantant ou nen avait-elle pas mis délibérément ce matin, ce qui narrivait quasiment jamais au boulot.
Je décidais de lui poser directement la question. Je me rapprochais delle, lentourai de mes bras et lui dis « Tu las enlevé juste avant lentretien ? »
Elle me regarda droit dans les yeux, un peu gênée et me dit « Oui juste avant, je suis passée par les toilettes. Ce nest pas bien quen penses-tu ? »
«Sen est-il aperçu ? » demandais-je «Oui » dit-elle.
Rien quà ce mots je senti mon sexe se tendre. « Comment le sais-tu ? »
« Parce quà plusieurs reprises je me suis baissée sur la table pour prendre des petits gâteaux apéritif et en levant les yeux jai vu quil regardait dans mon décolleté. Et vu comment la robe baille, il na pas pu ne pas voir » « Cest dailleurs à ce moment quil ma dit que ma robe était très belle et quelle mallait très bien » « Puis il a ajouté en riant : tu ne devrais pas te pencher ainsi cest un appel au crime ! Je fis mine dêtre surprise et mis sitôt ma main pour cacher mon décolleté en mexcusant. Il ajouta : tu peux te le permettre et je te remercie pour cette vue magnifique. Tu sors souvent ainsi ou cest juste pour moi ? Je lui répondis que lété ça marrivait »
Elle ajouta « je naurai pas dû répondre de la sorte mais dans leuphorie du moment, une deuxième coupe de champagne et tes scenario érotiques, je me suis sentie le droit et lenvie de le faire »
« Il devait être très excité » ajoutais-je
Phanie ne répondit pas. Nous avons diné, regardé la télé sans trop parler mais en se câlinant beaucoup. Je ne cessais dimaginer Vincent lorgnant sur ces jolis petits seins que jaime tant.
Puis nous sommes allés nous coucher. Jétais assis sur le lit à régler mon réveil matin quand Phanie vint devant moi et sassit sur mes genoux, toute douce. Elle se lova contre moi. Je pris ça pour une envie de câlins et passa ma main sous sa petit robe. Là 2eme choc, je ne sentis pas de string non plus. Je la reculais, la regardai. Elle me fixa et me dit : « Je ne tai pas tout raconté ».
Ma bouche sassécha immédiatement. « Continue » lui dis-je. « Nai pas peur de me parler »
« Nous avons beaucoup discuté et je sentais que Vincent me draguait plus ouvertement. Il ne mentionna plus lépisode du décolleté mais me posait des questions sur nous, sur ma vie et je sentais dans le ton de sa voix quil voulait me charmer »
« Ca marchait ? » lui demandais-je
Elle répondit « il est charmant oui mais je taime » « Laisse-moi finir chéri »
Elle prit sa respiration comme avant une apnée et raconta « Nous avons beaucoup bu et beaucoup discuté. Je lui ai répété que jétais enchantée de cette nouvelle et enfin que je devais partir. Je me suis levée et ai pris mon sac pour descendre aux toilettes. Je descendais un somptueux escalier quand jentendis quil mappela. Il mavait emboité le pas. Il me dépassa, se positionna une marche plus bas que moi, me fit face et me dit : sil te plait laisse-moi juste vérifier quelque chose, ne dis rien. Il était très proche de moi et me fixait. Soudain jai senti sa main remonter le long de ma cuisse vers ma fesse. Je nai pas réagi, jétais comme pétrifiée. Je navais pas peur bizarrement. Sa main remonta jusquà ma fesse sur laquelle il exerça une légère pression puis continua vers le creux de mes reins. Arrivé à la lisière de mon string, il sarrêta. Il ne lâchai pas mon regard et je sentais son souffle sur mon visage. Il me dit « Laisse-moi faire sil te plait, cest sans conséquence ». Avant que jaie pu comprendre ce quil voulait dire, sa deuxième main vint se loger sur ma fesse gauche puis il tira mon string vers le bas. Il le descendit jusquà mes chevilles. Jaurai pu réagir mais je soulevais un pied, puis lautre et le laissai le mettre dans sa poche de veste. »
Mille questions se bousculaient dans ma tête. « Tu nas pas cherché à len empêcher, pas à un seul instant ? Tu avais peur quil revienne sur sa décision de tembaucher ou tu en avais envie simplement ? » demandais-je
« Je ne sais te dire, je crois que le moment sy prêtait, jétais surement curieuse de ce quil voulait faire ou bien javais peur de lui refuser. Cest encore trop frais pour analyser. »
« Et ensuite ? » lui dis-je
« Il a repassé ses mains sous ma robe et à caressé mes fesses. Jai senti quil tremblait, il semblait très impressionné. Il ma dit : tu es plus belle et plus douce encore que je limaginais. Je nai pas osé répondre. Ses caresses étaient très sensuelles et ses grandes mains semparaient presque totalement de mes fesses. Ses doigts, timides sinsinuaient de temps en temps jusquà mes lèvres. Je crois malheureusement quil a dû sentir que je nétais pas indifférente à ses caresses. Vraiment je ne sais pas ce qui ma pris. Excuse-moi »
Je ne su que répondre, jétais abasourdi mais aussi très excité. Au fil de son récit je voyais les images de ce moment incroyable. Jémergeais de mes pensées et lui demandais « Il ta embrassée ? » « Il a essayé mais jai tourné la tête »
« Il a gardé ta culotte ? Comment ça sest fini ? »
« Oui il la gardée, je ne sais pas pourquoi. Peut-être a-t-il simplement oublié de me la rendre sous le coup de lémotion » me dit Phanie
Puis elle marqua un silence et me dit « Tu ne men veux pas ? Dis-moi que tu ne men veux pas »
Je lui répondis que non, je me sentais un peu fautif de lavoir poussée à le charmer pour obtenir gain de cause. Jajoutais « Et puis tu sais si je veux être sincère avec toi, cette situation mexcite beaucoup. Je taime, tu es ma femme, mais cest un peu un fantasme que tu réalises pour moi »
« Tu es sûr mon amour ? » renchérit-elle. « Oui vraiment naie aucune crainte, sauf si tu me dis que tu as eu un coup de foudre
»
« Absolument pas » répondit Phanie. « Cest vraiment inexpliqué. Entre pulsion et euphorie. Je pense que je naurai jamais laissé quoi que ce soit se passer si nous navions pas eu tous ces jeux, ces histoires érotiques entre nous. Peut-être voulais-je inconsciemment te faire plaisir »
Je lui dis « Et toi tu tes faite plaisir ? » Elle marqua un instant de silence et me dit « Je ne tai pas tout dit et je veux être honnête avec toi » Elle baissa les yeux. « Il me prit la main et memmena vers le bas de lescalier. Je devais être dans un état second car je me souviens mêtre dit que le parfum dambiance de cet hôtel était divin. Puis il sarrêta devant les toilettes hommes, se tourna vers moi et me dit : ne réfléchis pas, ça narrivera quune fois, jen rêve depuis si longtemps. Ça ne remettra rien en question entre nous et jai le sentiment que tu en as envie !
Il ne me laissa pas le temps de répondre, ouvrit la porte des toilettes et choisit la cabine la plus éloignée de lentrée. Il me guida vers lintérieur et ferma la porte derrière lui. Il enleva sa veste de costume et laccrocha au porte manteau derrière la porte. Puis il me fixa, longuement, attendant peut-être de ma part une remarque, un refus, un assentiment. Il me dit : « je veux te voir, laisse-moi te voir Stéphanie » et joignant le geste à la parole il défit un à un les boutons sur le devant de ma robe. Arrivé au dernier, il me fit me retourner. Jobéissais, consciente mais comme guidée par une curiosité aussi hypnotisante quexcitante. Lorsque je fus tournée, il mit ses mains sur mes épaules et fit glisser ma robe jusquà mes pieds. Il la ramassa et laccrocha sur le porte manteau »
Phanie me racontait cette scène incroyable avec tant de précision quon aurait dit un récit érotique. Ses yeux baissés, elle revivait la scène. Mes mains machinalement étaient posées sur ses fesses et je ne pus mempêcher de penser quune heure avant les mains de Vincent étaient au même endroit.
« Lorsque je fus nue devant lui, il dit dans un souffle : magnifique, tu es magnifique. Il me fit pivoter pour être face à lui et son regard parcouru lentièreté de mon corps sattardant sur mes seins, je le vis surpris par mon sexe rasé, et descendit sur mes jambes. Le sourire accroché à son visage décrivait le plaisir quil prenait à me voir et je trouvais cela incroyablement charmant et excitant. Puis il me dit simplement en murmurant dans mon oreille : « jai envie de toi, je vais te faire lamour » Je crois que jen avais très envie à ce moment précis, chéri, je men veux terriblement mais je sentais que je le voulais. Je ne lui ai rien répondu, je me suis tournée, légèrement penchée. Jai entendu le bruit de sa boucle de ceinture, jai vu en regardant au sol quil avait enlevé son pantalon puis son caleçon quil a méthodiquement accroché au porte manteau. Puis jai senti soudain sa raideur dans le creux de mes reins et ses mains qui semparaient de mes seins. Jusque-là jétais restée extrêmement passive mais là jai juste eu envie de prendre son sexe dans ma main. Toujours de dos jai cherché son sexe et jai alors senti quil était à la mesure de la masse corporelle de Vincent, long et épais. Je lai trouvé incroyablement dur et imposant.
Puis sans dire un mot je lai guidé entre mes fesses. Je sentais son souffle sur moi, fébrile et dans le même temps le bout de sa bite qui venait se poser sur mes lèvres tellement glissantes quil vint frotter mon clitoris. A ce moment une décharge électrique parcouru mon corps, il dû le sentir car il réitéra ce frottement tellement excitant. Javais très envie quil me pénètre mais cette caresse me faisait tellement de bien que jondulais mon bassin pour sentir son gland frotter encore contre mon clitoris. Il écartait mes fesses de ses mains puissantes pour faciliter le passage.
Je remis sa bite devant lentrée de mon sexe et senti que Vincent exerça une poussée qui eut pour effet de le faire coulisser en moi. Il me semblait vraiment très gros, comme quand nous navons pas fait lamour depuis longtemps. Il poussa un peu plus et un peu plus encore. Ces gestes si délicats et mal assurés tranchaient avec laspect massif de Vincent et lassurance en lui que je lui connais. Ses mains revenues sur mes seins, les abandonnèrent pour prendre possession de mes hanches.
Bien logé, il commença à imprimer un va et vient et je dois te dire que je savais dès ses premiers mouvements que mon orgasme ne tarderait pas. En effet au bout de quelques minutes je mordais mes lèvres pour ne pas crier mon plaisir. Surement encouragé par ce quil sentait dans mon ventre, il ma tournée pour mappuyer sur le mur et ainsi imprimer des mouvements plus rapides ce qui eut pour effet de me procurer un deuxième orgasme très rapide. A un moment il sarrêta, mon corps tremblait encore du plaisir qui venait de le traverser. Il se décolla de moi, me tourna et me dit : je veux te voir. Il me porta de ses bras puissants, instinctivement je passais mes jambes autour de sa taille et je sentis immédiatement son sexe appuyer contre le mien et enfin entrer en moi. Il me baisait comme si je ne pesais que quelques grammes et me faisait aller et venir sur son sexe. Ses mains soutenaient mes fesses et son doigt appuya sur mon cul pour le pénétrer. Me sentir prise ainsi me procurait des sensations incroyables. Il me regardait toujours très fixement et approcha sa bouche de la mienne. Dans le feu de laction et sentant que jallais bientôt jouir de nouveau, jacceptai sa bouche et laissai sa langue caresser la mienne.
« Il me dit dans un souffle quil avait envie de jouir, ce à quoi je répondis que je ne voulais pas quil vienne dans mon sexe. Il recula son bassin pour sextraire de moi avec difficultés au regard de sa longueur, puis de sa main guida le bout de sa bite vers mes fesses. Je le regardais interrogative mais létat dexcitation dans lequel jétais mempêcha tout refus. Son sexe appuya sur mes fesses puis il coulissa en moi tandis que javais toujours mes jambes autour de sa taille. Il imprima un mouvement lent et puissant pour le faire glisser en moi. Je me sentais possédée comme jamais. Il me souleva puis me laissa retomber de nouveau sur sa bite, ce qui eut pour effet de lenfoncer presque entièrement dans mon cul. Je sentais à la puissance de ses coups quil était au bord de lexplosion et pour la première fois, que je pouvais jouir de cette façon. Il membrassa de nouveau avec beaucoup de fougue et ce baiser jumelé à la sensation dêtre prise ainsi acheva mes dernières résistances et nous avons joui simultanément. »
Elle sarrêta puis me dit « voilà mon amour je tai tout dit. Il sest agenouillé, a ramassé ma robe, puis ma rhabillée en remontant très doucement le long de mon corps et posant un baiser tantôt sur mes jambes mais aussi passa sa langue sur mon clitoris, mon ventre et sur mes seins. Il ma assuré que ça ne se reproduirait plus mais quil était émerveillé de ce quil venait de vivre. Avant de partir, il me dit quil mécrivait pour un prochain rdv lors duquel nous signerions ma promesse dembauche ».
Je mis un certain temps à me remettre de ce récit. Je restais perplexe et Phanie scrutait chacune de mes réactions. Elle prit linitiative de membrasser à pleine bouche et me dit « ça ne doit rien changer entre nous mon amour, je taime »
« Je taime » lui répondis-je « Ne ten fais pas »
Je devais maintenant mhabi à cette idée mais surtout à ne pas craindre lavenir et plus précisément ce prochain rdv.
En fait et malgré cela, javais confiance en elle. En nous.
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