Rencontre Et Déviance De Ma Conseillère En Placements.(Partie 4).Retour Chez Son Maître.

(Rapide résumé des 3 premières parties :
Suite à une rencontre avec sa conseillère en placements -Laura- ,Cyril comprit vite qu’il pourrait avoir l’ascendant sur elle, et après avoir cerné ses fantasmes, il n’hésite pas à la recontacter pour lui faire vivre une bonne expérience de soumise…Il l'envoya donc dans un sexshop,puis l'attendit chez lui...)Je vous invite à lire les épisodes précédents pour bien être imprégné de la situation...


Laura se retrouve donc dans sa mini Cooper.
Au volant les images défilent dans sa tête : de sa vie de petite bourgeoise tranquille, qui a cherché du travail pour se passer le temps, elle se retrouve dans sa voiture, un collier de chienne autour du cou, un plug anal travaillant en elle, puisqu’elle est assise dessus et que le moindre mouvement lui perturbe ses chairs intérieures, avec, en plus, une boule vibrante dans la chatte !
Laura ne se reconnait plus, pleine de désirs et bien remplie, elle va rapidement sans réfléchir vers un inconnu qui la soumet volontairement ! Hallucinant quand on y pense !...
Mais dans son for intérieur, elle sait qu’elle a passé un cap et qu’elle ne peut, ni ne veut faire marche arrière.
En moins d’une semaine, sa vie banale de petite femme de bourgeoise bien rangée s’est d’un coup transformée en vie trépidante pleine de surprises, et d’émotions fortes…
Et ce grâce au fait qu’elle ait connu, Cédric, son client devenu son Maître, de soumission.
Comme une chienne rapportant un nonos à son maître, la jolie mature est pressée de revenir à ses pieds, tous ses sens en éveil, sa chatte étant en feu…
Tellement en feu que malgré les recommandations de Marcel, notre salope ne peut s’empêcher de se frotter le clitoris, d’une main, tout en roulant…
Juste le fait de s’effleurer le bouton la fait sombrer dans un orgasme fulgurant ! Notre mature, au volant, manque de peu de se mettre en l’air, en voiture.
Elle ratt la voiture de justesse, les yeux mi-clos, la chatte tremblante, son siège détrempé par l’excès de mouille qui s’échappe le long de ses grosses lèvres…
C’est dans cet état que Cédric la voit se garer devant sa petite résidence.

Il descend à sa rencontre lui ouvre la porte, et voit sa mature, complètement transformée, collier au cou, son linge taché de sperme, la chatte ouverte, le siège détrempé de mouille.
Alors blondasse ?, tu es enfin de retour ? Tu m’as fait attendre !
J’ai fait le plus vite que j’ai pu, Maître…
Tu vas te faire discrète grosse salope, je ne veux pas me faire repérer par les voisins. Donne-moi la laisse qui est sur le siège, et l’enveloppe, qui va avec. Tu vas sortir discrètement de la voiture, tu vas me suivre quelques mètres derrière moi, et ne te fais pas remarquer plus, car sinon, tu vas être punie sévèrement !
Mais grosse salope, qu’est-ce que tu as fait ? Sur ton siège ? Tu as pissé !
Non ! Maître, Pardon, Maître, c’est juste une tâche de mouille, je n’ai pas pu me retenir, et,…j’ai joui !
Putain la salope, marmonne Cédric entre ses dents, tu ne perds rien pour attendre, je t’avais bien prévenu, pourtant !
Suis-moi vite, on règlera cela à l’intérieur !
Et, il partit dans son appartement, situé en rez de chaussée supérieur (quelques escaliers à monter seulement), suivi de près par la blonde mâture, qui n’en menait pas large !
Une fois passé la porte, il laissa entrer Laura, referma la porte derrière elle. Aussitôt, un ordre tomba :
« A poil la chienne, et à 4 pattes tout de suite ! Tu ne gardes que tes talons hauts ! »
Dès qu’elle fut au sol, Cyril cliqua la laisse sur le collier de sa soumise et la traina sans ménagement en direction du salon.
« Alors la chienne, tu as joui comme une trainée, dans ta voiture ! Je t’avais pourtant prévenue ! Tu m’oblige maintenant à te punir ! »
Les yeux embués, Laura à moitié étranglée par la forte traction sur la laisse, se retrouva dans le salon, ses gros seins ballotant au rythme de sa marche à 4 pattes, saccadée.
Belle vision que cette mâture ainsi soumise…
Tu es belle, ma petite chienne dit-il en s’asseyant sur un fauteuil, viens me montrer, ma salope, comment tu sais sucer !
Laura se rapprocha rapidement des genoux de son Maître, glissa la tête entre les genoux écartés
Ensuite, elle ne sut comment faire ? Fallait-il qu’elle se serve de ses mains pour desserrer la ceinture de son maître et descendre la braguette ? Elle se hasarda et ne fut pas reprise par Cyril.il se laissa faire avec contentement tout en caressant les cheveux de sa chienne…
Viens sucer, bonne chienne, et appliques-toi bien, montre-moi que tu es une bonne suceuse !
Lubrifie moi la bien, parce qu’après je vais te dépuceler le cul, ma salope !
Il se pencha en avant, caressa les seins en poires d’une main et rapprocha l’autre des fesses de sa soumise.
Il donna une bonne claque sur une des fesses, l’onde de choc les faisant vibrer toutes les deux…
Puis il joua un peu avec la base du plug, tantôt appuyant dessus, tantôt le faisant bouger en travers, ce qui fit gémir encore plus sa soumise, pourtant concentrée sur la fellation.
Puis quelques instants après elle stoppa la pipe, baissa la tête et le regard, se mit à geindre…
« Qu’est-ce qu’il y a la chienne ?
-Désolé Maître, mais il faut que j’aille aux toilettes, mon envie d’uriner devient intenable…
-Sûrement pas ma salope, tu n’utiliseras pas les toilettes, en bonne chienne que tu es, je vais t’amener pisser dehors ! Avec un peu de chance, si tu le fais rapidement, personne ne te verra !
-Tu auras encore plus de chance, si le fils de la voisine du 1er n’a pas la bonne idée, d’avoir, lui aussi, l’idée de faire pisser son chien ! Vu l’état de ta chatte, et l’odeur qui s’en dégage, le cleps va te coller au cul ! »
Cyril se leva d’un bond, le sourire aux lèvres, rentra rapidement son matériel, resserra sa ceinture et tira prestement sur la laisse en direction de la porte d’entrée. La petite chienne eut un mouvement reflexe de recul, ne voulant pas avancer, l’image de ce qui allait arriver la terrifiait !
Cyril continua la traction, trainant littéralement sa petite chienne, quasi-étranglée par le collier…
En bas des escaliers, je t’enlèverai la laisse, tu pourras toujours te glisser derrière les buissons, vers l’entrée de l’immeuble, et, espérons que personne ne te voie des fenêtres de l’immeuble en face. A moins que le chien du fils de la voisine ne te repère, lui, il saura vite te trouver !
-Pitié, Maître, pas ça ! Je ferai tout ce que vous voulez !
- et bien commence par aller pisser dehors ! Comme ma bonne chienne que tu es !
Les larmes aux yeux et rouge de honte, Laura se fit trainer, sur le palier de la porte, à 4 pattes toujours, puis dans les escaliers, comme un vulgaire animal. Elle eut du mal à descendre les quelques escaliers en quadrupédie, d’autant plus qu’elle avait toujours ses souliers talons.
Arrivé en bas, Cédric défit la laisse du collier et Laura se réfugia vite derrière une rangée de petits arbustes. Elle ne traîna pas pour uriner et revint rapidement aux pieds de son maître, pour remonter rapidement dans l’appartement, symbole de sécurité.
Ce qu’elle ne savait pas, c’est qu’il y avait très peu de risques qu’elle croise quelqu’un. Par expérience, Cédric connaissait un peu les habitudes de chacun, et n’avait envie en aucune façon, de se faire repérer par les autres résidents ; Il avait seulement poussé le vice un peu loin, jouant avec le stress de sa chienne. Il savait, qu’à cette heure, les résidents étaient soit chez eux, soit dehors, mais il n’y avait que très peu d’allers et venues dans cette petite résidence de 12 appartements. Pour lui, cette situation était jouissive.
Il remit donc le collier à sa chienne, tout en trainant un peu, et pour accen le vice, mis en route la boule vibrante placée à l’intérieur du vagin de sa chienne.
Celle-ci remua de suite, en geignant un peu, et Cédric tira de nouveau fermement sur la laisse pour lui signifier que la ballade était terminée.
Laura remonta beaucoup plus rapidement les marches d’escaliers qu’elle ne les avait descendus, puis courus à 4 pattes rapidement derrière son maître.
Il en profita d’ailleurs pour monter encore d’un cran la cadence des vibrations, et, une fois le seuil de la porte passé, tira de nouveau fermement sur la laisse, puis referma la porte.
Une volée de claques s’abattit sur la croupe de sa chienne, et, lui prenant les cheveux, il lui fit relever le regard :
Ma salope, malgré les vibrations, tu as interdiction de jouir avant moi !
Mais comme tu as été gentille et obéissante, tu n’auras pas beaucoup à attendre !il la traina vers la table du salon, la fit monter à 4 pattes sur la table basse, se mis derrière la croupe de la chienne, tira sans vergogne sur le plug, qui sortit en laissant l’anus béant, se débraguetta rapidement, positionna son gland sur l’anus encore béant... (Les derniers évènements avaient poussé son excitation au paroxysme, il était prêt à exploser devant cette situation aussi irréelle qu’improbable, comme sa chienne d’ailleurs, qui elle aussi était sous le joug des vibrations et de la situation insolite dans laquelle elle se trouvait.)
Il l’enfila d’un coup jusqu’à la garde, dans l’étroit conduit ouvert par le plug, lui arrachant un « Han » de circonstance, accompagné d’une grimace, yeux complètement fermés…, puis la tenant par les hanches, lui inculqua un rythme soutenu sentant les vibrations des boules à travers la fine paroi le séparant du vagin de sa femelle…
Ce qui était divin pour sa queue !
Les premières douleurs de la sodomie, bien à fond, se transformèrent progressivement en douleur-plaisir, puis ils montèrent crescendo dans le plaisir, jusqu’à ce que Cyril se vide complètement en elle en criant :
« Jouis, ma Salope, jouis ! »
Ce fut alors le début d’un orgasme fulgurant, secouant la chienne enfin libérée et sa monture improvisée, à l’unisson dans la jouissance.
Ils s’écroulèrent l’un à côté de l’autre, sur la table basse, exténués et comblés.
Puis après avoir repris ses esprits, Cyril coupa les vibrations et lui intima d’aller prendre une bonne douche, qu’elle l’avait bien mérité, qu’elle enlève la boule vibrante et qu’elle vienne ensuite le rejoindre sur le canapé, ou ils prendraient l’apéro ensemble…Sans jeu de Domination-Soumission…, juste décontractés, tous les deux.
En prenant sa douche, Laura comprit qu’elle venait de faire un grand pas, qu’à l’avenir il lui serait impossible de se passer de ce genre d’expériences, elle se félicita intérieurement d’être tombée sur Cyril, qui, en peu de temps l’avait fait passer de « bourgeoise frustrée » en « bourgeoise soumise mais épanouie ». Elle était pressée de vite retourner se blottir contre Cyril, dans le canapé.