J'Imagine Notre Rencontre

Elle s’appelle Danielle, je ne la connais pas, car j’ai seulement échangé des mails avec elle, mais comme elle m’a raconté sa vie en long et en large, je peux imaginer une rencontre avec cette femme si sensuelle.
Tout a commencé il y a trois mois environ, on s’est connu par hasard sur un site de rencontres. Très rapidement, on s’est aperçu qu’on avait plaisir à échanger des mails et à se raconter notre vie respective. Alors un échange de courriers quotidiens a commencé, et aujourd’hui, j’imagine que je vais rencontrer ma Danielle, c’est comme ça que je l’appelle.
On s’est donné rendez-vous sur un parking de super marché proche de chez elle, elle m’a envoyé des photos d’elle, donc je sais à quoi elle ressemble : blonde, petite, les cheveux frisés et assez longs. Elle m’a même envoyé des photos dénudées. Sa voiture est là quand j’arrive, je viens me garer à côté d’elle. On ouvre notre portière et chacun descend de sa voiture, et là, pour la première fois, on se découvre en vrai : elle est encore plus belle que je l’imaginais, elle me sourit, et je m’approche d’elle, elle me tend les bras. Je n’ose pas encore l’embrasser, mais elle fait le premier pas et me pose un baiser sur la joue.
-Alors, tu me trouves comment ?
-Tu es très belle et je comprends pourquoi tes amants s’intéressent tant à toi.
Il faut dire que je sais qu’elle a deux amants, le premier, Jean-Pierre est le collègue de son mari, homme d’affaire très souvent en déplacement à l’étranger, c’est son mari qui lui a « offert » Jean-Pierre, un soir où tout le monde avait trop bu. C’est lui qui l’a initiée au plaisir anal. Le deuxième, André, est son ancien médecin, lui c’est le préféré, elle l’aime car il réussit à la faire jouir plusieurs fois de suite. Elle rencontre ses deux amants quand son mari est en déplacement. Comme j’aimerais être le troisième ! J’ai bon espoir que ce soit aujourd’hui …
Je l’emmène vers un petit café pour pouvoir discuter tranquillement avec elle.

Nous commandons deux cafés. Le patron nous les amène.
-Je ne te déçois pas trop ? lui demandé-je.
Il faut dire que j’ai 25 ans de plus qu’elle, mais elle aime les hommes plus vieux, puisque André a presque mon âge.
-Non pourquoi ?
-Tu es si belle, et moi je semble si vieux par rapport à toi.
-Ne dis pas de bêtises, tu sais que les hommes plus vieux ne sont pas un obstacle pour moi !
-Que veux-tu faire ?
-Je pense que tu n’es pas venu pour discuter seulement, je me trompe ?
-Non bien sûr, mais je ne veux pas te forcer.
-Si je suis là, c’est que moi aussi j’ai envie de te connaître mieux.
-Tu as prévu quelque chose ?
-J’habite à deux pas d’ici, tu veux que je te montre la petite chambre où je reçois mes amants ?
-C’est comme demander à un aveugle s’il veut voir !
-Viens je t’emmène …
On boit rapidement nos cafés, je règle et nous voici partis vers sa voiture. Aussitôt assis à côté d’elle, elle se penche vers moi et me donne un petit baiser sur les lèvres, je passe mon bras autour de son cou et lui rend son baiser d’une manière plus appuyée, je sens ses lèvres qui s’entrouvrent et le petit bout de sa langue qui vient chercher le mien. Nous échangeons un premier vrai baiser.
Elle démarre et me conduit jusqu’à une belle propriété. Le portail d’accès s’ouvre automatiquement et nous pénétrons dans un beau jardin. Elle stoppe le moteur et m’invite à descendre. Je la suis dans une grande maison bourgeoise. On monte les deux étages et elle me fait pénétrer dans une petite chambre, je découvre enfin son univers.
Elle s’assoit sur le lit et me fait signe de la rejoindre. Je suis trop content de lui obéir. Ma main vient lui prendre la taille et ma bouche se pose sur la sienne, nous échangeons un deuxième baiser, mais celui-ci est encore plus appuyé que le premier, nos langues se trouvent et se rencontrent dans un ballet très érotique. Je ne quitte pas ses lèvres, et ma main vient se poser dans l’encolure de son chemisier, elle descend lentement vers sa petite poitrine, je sens le petit téton se dresser sous la dentelle de son soutien-gorge. Elle semble apprécier car son baiser devient plus empressé au fur et à mesure que ma main descend. J’ouvre les premiers boutons de son chemisier afin de me faciliter la tâche. Elle m’aide à le retirer. Ma main passe sous le fin tissu pour se poser sur son sein nu, elle vibre sous ma caresse. C’est le moment qu’elle choisit pour venir poser sa main sur la bosse qui déforme mon pantalon. Elle évalue mon érection et s’attaque à la fermeture éclair de ma braguette. Je l’aide à dégrafer la ceinture de mon pantalon, elle a libre accès à mon sexe tendu encore encagé dans mon boxer. Doucement, elle passe la main sous l’élastique et vient caresser mes boules pour ensuite remonter vers l’objet de son désir qui se tend encore un peu plus sous la caresse.
Elle défait son soutien-gorge, ce qui me permet d’admirer la perfection de sa poitrine menue. Je lui baisse sa petite culotte et je découvre une légère toison qui masque à peine un sexe bien fendu. Elle écarte les cuisses afin que je puisse bien voir son intimité humide. Je n’ai qu’une envie, c’est de goûter à ces lèvres intimes. J’approche ma bouche et me régale de sa vulve, de ses petites lèvres, de son petit bouton déjà bien tendu. Je ne sais pas combien de temps je lèche sa petite chatte, mais très rapidement elle commence à resserrer ses cuisses et à pousser des petits cris. Elle n’est pas longue à avoir son premier orgasme. Elle se met à gesticuler d’une façon désordonnée et elle jouit sous ma langue qui s’abreuve à sa chatte ruisselante. Elle met quelques instants pour récupérer, puis elle me fait mettre allongé à côté d’elle, elle baisse mon boxer et libère mon sexe qui n’en pouvait plus d’être prisonnier. Sa main le décalotte et commence un mouvement de va et vient très doux, très tendre.
-C’est bon ma chérie ! prends-la dans ta bouche !
Elle se penche vers moi et avale mon sexe, je sens sa langue sur mon gland, il gonfle. Durant ce temps, ma main s’égare dans son intimité trempée.
Je décide qu’il est temps de la prendre, je me mets sur le dos et elle vient se positionner face à moi, son sexe à la hauteur du mien, avec sa main elle guide ma lance vers sa vulve, je m’enfonce sans mal tellement elle est mouillée. Je la laisse faire, c’est elle qui définit le rythme, elle monte et descend très doucement sur ma tige bandée, c’est bon, j’ai envie que ça dure ! elle aussi, apparemment, car elle n’accélère pas le mouvement. Je ressens les contractions de son vagin sur mon membre, je décide alors de prendre la direction des opérations. Je prends sa taille à deux mains et la fais accélérer ses mouvements de va et vient, elle commence à gémir, puis bientôt ses gémissements se transforment en cris et elle jouit une deuxième fois, puis elle s’immobilise plantée sur mon membre. Je la fais s’allonger sur le dos, et je décide de la prendre en missionnaire, je crois qu’elle m’avait écrit une fois que c’est la position qu’elle préférait. Elle écarte largement les jambes, mon gland vient caresser ses petites lèvres, elle pose les pieds sur mes épaules et je la pénètre profondément. Je sens tout de suite que j’ai atteint le fond de son sexe et que je butte contre son utérus. Cette fois, c’est moi qui impose le rythme. Doucement d’abord afin de ne pas partir trop vite et surtout de la laisser récupérer. Puis progressivement mes mouvements s’accélèrent et elle s’agite de plus en plus sous moi. Elle va jouir une troisième fois … ça y est elle part, c’est trop pour moi, je ne peux plus me retenir et je me vide dans son sexe à grands jets de sperme.
-Oh ma Chérie, comme c’est bon ! Je t’aime !
-Moi aussi je t’aime, c’était bon, j’ai pris mon pied ! Il faut qu’on se voit régulièrement.
-Je suis heureux, viens m’embrasser !
Elle se soulève, mon sperme coule de sa vulve sur ses cuisses, et elle me donne un long baiser.
Nous restons comme ça, enlacés, un long moment, ma main venant par moments caresser ses seins, la sienne venant se poser sur ma virilité ayant retrouvé sa taille normale, nos caresses interrompues par des baisers.