Histoire De Bon Voisinage

Je reprends ma plume, ou mon clavier (c’est moins classe certes) pour continuer mes récits au sujet de Martine, ma femme, 53 ans maintenant, 51 à l’époque de cette aventure. J’avais retrouvé un jeune dominant de 22 ans, Julien, maître J, mais en fait j’ai fini par l’appeler Julien. Pour notre première rencontre, il l’avait offerte à deux puceaux et lui-même l’avait bien baisée. Elle allait deux fois par mois chez lui pour y passer une nuit, il la baisait seul ou parfois avec l’un de ses amis, la plupart de ceux-ci finirent par la prendre. Ce rythme convenait à tout le monde. Évidemment, le jeune Enzo qu’elle avait dépucelé était régulièrement convié à ces ébats, de même que son ami Dylan au sexe très volumineux. Mais au final, ces rencontres étaient assez espacées, bien que n’ayant plus d’s à la maison et qu’il était plus facile pour elle de s’absenter une nuit sans que cela paraisse louche. Il organisa aussi une soirée « dogging » dans une forêt près de chez lui à laquelle il avait convié 3 jeunes. Ma femme leur fut offerte sur le capot de la voiture (ça c’était à ma demande). Le début se passa bien, les jeunes la prenaient l’un après l’autre après qu’elle les eut sucé une première fois pour qu’ils éjaculent et soient plus endurants. Je suivais l’affaire par whattsapp. Il avait aussi invité un petit jeune, très jeune, qui devait rester là comme voyeur, peut-être une fellation en fin de soirée.
Mais malheureusement, la soirée dérapa car d’autres voyeurs étaient là, ils crurent pouvoir en profiter et du coup Julien fut obligé de rembarquer Martine en catastrophe. Les trois jeunes purent les suivre et finalement ils la baisèrent très classiquement dans un sex shop. Par contre, le petit jeune ne put pas rentrer, donc déception pour lui, ou partie remise. Cette affaire échauda mon épouse et le dogging fut prohibé, du moins à cette époque. Il l’emmena aussi dans un club, mais l’assistance était un peu trop âgée pour ma femme. Toutefois, elle se laissa convaincre avec une femme de son âge, c’était un fantasme de Julien qui pût baiser la femme pendant qu’elle léchait la mienne, mais la soirée fut décevante.

Pas toujours facile de renouveler les plaisirs ! Il l’emmena aussi dans deux soirées plus classiques, avec ses amis, et ils étaient toujours surpris, du moins ceux qui ne l’avaient pas encore baisé, de le voir avec cette femme beaucoup plus âgée, mariée et que pourtant il embrassait à pleine bouche et ne s’empêchait pas de tripoter aussi. Ils rentrèrent à chaque fois avec un nouveau partenaire car ma femme plaisait pas mal. C’était très bien, car cela allait moins loin qu’avec sa relation précédente. Mais c’est moi qui cette fois-ci rompis avec mes principes.
En effet, j’avais dit, jamais dans notre entourage ! Et pourtant, je faillis à ce principe. Il y a dans notre rue (bon elle est courte aussi) une seule famille avec laquelle nous entretenons de bonnes relations. Un couple plus jeune que nous, la quarantaine avec deux s, dont un garçon. On va chez eux de temps à autre et surtout, ils gardent notre maison lorsque nous partons en vacances. Pour cette raison, ils ont toujours un jeu de clés de notre maison chez eux et inversement d’ailleurs. J’avais bien remarqué que leur fils, Jules, regardait ma femme avec des yeux parfois plein d’envie, je rappelle qu’elle est le plus souvent en jupe ou robe courte, en général très sexy. Je le vis même une fois, j’imagine que ce ne devait pas être la première fois, espionner ma femme derrière la haie du fond du jardin. Il ne me vit pas, mais comme elle était à moitié à poil, je pense qu’il devait aller régulièrement à son poste d’observation, ce que la suite me confirma.
Voulant nous mettre à la page et profitant du fait que ma belle sœur bosse dans le domaine, nous installâmes des caméras dans la maison pour la surveiller durant nos absences. Elles envoient des push lorsque quelqu’un passe devant, ou un chat (on en a 4), et surtout on peut aussi avoir une image en direct avec un smartphone, les enregistrer aussi. On en mit une dans le salon, une autre dans notre chambre qui est éloignée du cœur de la maison et une dans un couloir menant aux chambres des s.
Personne ne peut entrer sans passer devant au moins l’une d’elle. Les premières vacances venues après cette installation, nous pûmes vérifier que tout était ok. Notre voisine nous faisait même des petits coucous devant la caméra, nickel. Mais un après midi, alors que ma femme bronzait au bord de la piscine de la résidence, je reçois un push alors que normalement les parents étaient au travail et les chats dehors (on était en été). Je regarde et aperçoit Jules dans le couloir. Bon, après tout. Puis autre push, Jules dans notre chambre.
Et régulièrement pendants les vacances, je le vis passer dans la maison. Je ne dis rien à ma femme, après tout, ça n’avait pas d’importance. Lorsque nous rentrâmes, j’allai vérifier un truc qui m’avait quand même titillé. Le panier à linge dans la salle de bain, je regarde, rien, normal, on le vide avant de partir. Je vais dans notre chambre, je regarde dans les boîtes à culotte de ma femme et là, la lumière vint ! Deux d’entre elles étaient pleine de ce qui ressemblait bigrement à du sperme séché. Je les pris et hop discrètement dans la machine. Le coquin avait bien choisi, jolis tanga en dentelle. Voilà pourquoi il rodait dans la maison, il devait prendre les clés et profiter de l’absence de sa mère qui bosse l’après midi. Je trouvais tout cela très excitant au final.
La vie reprit son cours, mais de temps en temps, les push m’avertissaient que Jules était dans la maison, rarement, mais systématiquement en matinée ou après midi, ça devait correspondre aux fois où il n’avait pas cours au lycée pour une raison quelconque. Mais ces fois là, il allait directement dans le couloir, donc certainement dans la salle de bain où ma femme laisse ses affaires. J’eu l’occasion de vérifier quelques dizaines de minutes après qu’il soit passé, oui, les culottes avaient été bougées. Après tout, il n’y a pas mort d’homme et si ça peut lui faire plaisir ! J’hésitai, j’en parle à Martine pour qu’elle fasse exprès de lui laisser des culottes bien en vue, ou je le garde pour moi ? Mais mon côté pervers laissa peu à peu poindre en moi une idée.
Et si je lui offrais ma femme incognito ? Il la baise sans qu’elle sache qui c’est, humm trop bon, après il la croise régulièrement, elle lui sourit et le salue, ne sachant pas qu’il l’a vu nue, voire qu’il lui a dévoré la chatte et qu’il lui a rempli avec son jeune sperme. Oui, cette idée me plaisait beaucoup, mais il fallait bien cadrer la chose pour que ça puisse fonctionner et surtout trouver le moment adéquat. Première étape, le chantage, bon je sais c’est moche, mais ça marche ! Je déplaçais la caméra du couloir un mercredi après midi, ma femme donnait des cours et moi je devais aller loin acheter des matériaux de construction. C’était souvent le mercredi que notre jeune voisin passait, normal, il n’avait pas cours. Je pars et ça ne loupe pas, il devait guetter, il va direct au panier à linge, prend la culotte de la veille, la renifle et donne un petit coup de langue à l’intérieur. Je garde l’enregistrement.
Quelques jours plus tard, je le vois, lui fait signe. Il arrive en souriant.
- Bonjour, vous allez bien ? Vous avez un truc à me dire ?
- Et bien oui mon petit Jules, c’est un peu délicat, tu veux entrer 5 minutes ?
Il est étonné, me suit dans la maison.
- Bon, j’ai un petit quelque chose à te montrer, regarde !
Je lui mets mon portable sous les yeux et lui passe la petite séquence que j’avais conservée. Il blêmit.
- Heu, excusez-moi, je ne le ferai plus ! ( un silence) Vous êtes fâché ?
- Ecoute, ce n’est pas grave, mais une question, elle te plaît Martine ?
- Non, pas du tout !
- Pas du tout ? Donc elle ne te plaît pas ! je suis rassuré, dis-je avec un air ironique. Alors explique-moi pourquoi tu vas renifler ses culottes et te masturber dedans ? Et l’espionner à travers la haie lorsqu’elle bronze !
- Ben…
- Tu sais, si elle te plaît, je te comprends, même si elle est nettement plus vieille que toi. En plus, c’est vrai qu’elle porte souvent des tenues, disons, qui attirent l’œil ! Et je ne suis pas fâché.

Il est tout rouge et finit par avouer qu’elle l’excite beaucoup et qu’il la trouve très belle et « trop sexy » comme disent les jeunes.
- Bon, voilà, c’est mieux de dire la vérité. J’aimerai te poser une question, disons, intime. Tu as déjà vu une femme nue de très près ? Que tu pourrais toucher ?
Il hésite à répondre, ne sachant pas trop comment prendre ma question, puis :
- Non
- D’accord. Tu aimerais la voir nue et la toucher ? Et peut-être même la baiser ? Sans qu’elle sache que c’est toi ?
Alors là, il reste sans voix !
- Tu es muet ? Ou sourd ?
- Heu
- Je t’ai demandé si tu aimerais la toucher et la baiser, c’est simple ! Si je te demande ça, c’est que je ne t’en veux pas de te masturber en pensant à elle et de la mater à travers la haie, au contraire, je trouve ça super !
- Vraiment ?
- Oui, donc ?
- (Un temps d’hésitation) Oui, j’aimerais bien.
- Et bien je te propose de le faire, sérieusement. Je te l’offre.
- Quoi ?
- Sinon, je montre cette petite vidéo à tes parents, fini les culottes de Martine ! Et je leur raconte pour ton poste d’observation derrière le jardin.
- Non s’il vous plaît !
- Alors voilà ce que nous allons faire. J’attache Martine sur le lit, on fait ça des fois.
- Oui, j’ai déjà vu ça sur internet.
- Ah tu vois ! Si ça se trouve, tes parents font pareil !
- Beurk !
- Lol, bon, en plus je lui bande les yeux comme ça elle ne saura jamais que c’est toi. Et tu pourras lui faire tout ce que tu veux, voir sa chatte, son cul, la lécher, la baiser, c’est toi qui décide.
- Wouah, vraiment ?
- Oui, vraiment, mais tu ne dois pas parler non plus, ou en changeant ta voix, pas facile !
- Et on fait ça quand, dit-il tout excité !
- Ah et bien il faut s’organiser, un mercredi après midi me paraît plus envisageable, ou alors un soir si tes parents sortent. Et pas un mot à quiconque, sinon, tes parents ont droit à la petite vidéo, on est d’accord ?
- Oui oui, j’ai bien compris.
- Je te préviendrai pour le jour à l’avance, j’aimerai bien que tu ne te masturbes pas pour garder un max de sperme.
- Oui, et vous qu’est-ce vous faîtes ?
- Et bien je serai là.
- Vous regardez ?
- Oui
- Oh non, c’est dégueulasse !
- C’est ça ou rien ! T’as envie de la baiser ?
- Oui
- Donc tu connais les conditions ! Donc tu n’as jamais baisé si j’ai bien compris ?
- Non
- Cool, comme ça pas de capote. Alors ?
- Ok, comme vous voulez !
- Et bien voilà une affaire rondement menée. Tiens pour patienter, tu veux voir Martine à poil ?
- Maintenant ? Mais elle n’est pas là !
- Non, mais j’ai des petites vidéos.
- Oh oui
- Ok
Et donc je lui montre ma femme sous la douche et dans d’autres endroits.
- Alors elle te plaît toujours ? Si tu veux, je pourrai t’envoyer des photos et vidéos d’elle par le net , mais tu te rappelles, que pour toi, on est bien d’accord !
- Plus que jamais, elle est canon votre femme.
- Merci pour elle, donc tu as très envie, c’est bien.
Mais il fallut quelque temps pour organiser la chose, entre ma femme et les parents de Jules, difficile de trouver un moment compatible. Finalement ce sont ses derniers qui offrirent sans le savoir la solution, en effet, ils partaient pour un week-end voir leur famille, mais comme Jules avait cours le samedi matin, il avait dit à ses parents que tant pis, il ne pourrait pas y aller, sa mère me prévint en soulignant le sérieux de son fils ! Je riais intérieurement, si elle savait ! Donc je dis à ma femme que je lui offrais une surprise samedi soir.
- Erotique bien sûr !
- Oui, mais ici, sans Julien.
- Ici ? D’habitude on évite.
- Ne t’inquiète pas, aucun risque !
- Je te fais confiance. Que dois-je faire ?
- On verra samedi !
Evidemment Jules était très impatient, le hasard fit que la veille ma femme rentrant du boulot le vit descendre du bus et lui proposa de le ramener chez lui. J’imagine dans quel état il était ! En plus, elle avait de belles bottes et une jupe bien remontée sur ses cuisses. Il devait se dire « bientôt à moi ces cuisses et ce qu’il y en dessous ! »
Le samedi arrive, chacun vaque à ses occupations, je préviens Jules qu’il se présente à 21 heures à la maison. Martine va se doucher vers 20 heures, je choisis ses dessous, elle met des bas, des escarpins (demande de Jules), je lui sors une robe moulante courte avec une fermeture dans le dos. A 21 heures, pile à l’heure, la sonnette retentit. Je mets alors le bandeau sur les yeux de Martine.
- Notre invité est là, dit-elle.
- Oui ! On va commencer par ça d’abord
Je sors alors le bandeau et le mets sur les yeux de Martine.
- Je vois ce que tu veux faire, Je vais me faire prendre par un inconnu qui le restera !
- Exactement ! Le fantasme de l’inconnu !(mensonge pour le coup).
- J’aime bien ce fantasme ! Lorsque tu es là pour surveiller et choisir l’inconnu.
- Tant mieux alors !
Je vais ouvrir à Jules, il entre très impatient, mais je constate qu’il est très nerveux. Il a un bouquet de fleurs, c’est mignon, il les offre à Martine en essayant de forcer sa voix.
- Pour vous madame !
- Merci bel inconnu, c’est gentil, je les verrai plus tard ! On se connait ?
- Heu non.
- Pourtant il me semble que si, mais avec un bandeau sur les yeux, ça perturbe les voix, mon mari est un pervers !
- Tourne sur toi ma chérie, montre-toi à notre invité !
Martine pivote et se laisse admirer, je vois une belle bosse dans le jean de Jules. Je la prends et lui présente de dos.
- Vas-y, approche-toi, caresse la.
Jules s’approche, très intimidé, il tend une main et effleure une hanche de Martine, puis une deuxième.
- Colle-toi, fais lui sentir ton envie d’elle.
Il le fait timidement, puis plus franchement, il l’enlace et passe ses mains devant.
- Ah oui, s’exclame ma femme, monsieur est très excité !
Jules semble rassuré par la remarque de mon épouse et se colle plus franchement, il se frotte carrément sur les fesses de Martine.
- Tu peux l’embrasser si tu veux.
Jules la fait pivoter et s’approche de son visage. Mais c’est elle qui lui prend le visage entre les mains et le guide vers sa bouche. Le baiser est timide mais rapidement je vois la langue de ma femme partir à l’assaut de celle de Jules et le baiser devient fougueux, j’ai déjà précisé que mon épouse est une experte avec sa langue ! Je les laisse s’embrasser de longues secondes afin de faire monter l’excitation et tomber la timidité du futur amant de ma femme.
- Bon, on va dans la chambre ?
Je prends la main de ma femme et la guide dans l’escalier. Jules peut admirer ses belles cuisses qu’il a sous les yeux et peut constater qu’elle porte des bas. Il est tellement excité que je vois même ses mains partir à l’assaut des cuisses de Martine.
- Houlà, impatient le monsieur, ou le jeune homme, dit-elle.
Elle a bien senti en l’embrassant que son futur amant était jeune et elle connaît mes fantasmes. Nous arrivons dans la chambre, je propose à Jules d’enlever la robe, elle apparaît vite en body transparent. Je la fais tourner devant lui.
- Madame est à ton goût ? Sympa ce body, il ne cache rien tu as vu !
- Humm oui, dit-il en forçant la voix.
- Suite du programme, allonge-toi ma chérie.
- Je crois savoir ce qui m’attend !
Elle s’allonge et je lui passe les liens que j’avais préparés.
- Je m’en doutais bien, à la merci de ces messieurs.
Visiblement, le jeu l’amuse. Une fois attachée, les jambes bien écartées, je passe ma main sur son body au niveau de son sexe et constate qu’elle est déjà bien trempée.
- Visiblement, ce n’est pas pour te déplaire ma salope !
Jules est très surpris de m’entendre parler comme ça, il est aussi surpris de voir ma femme sourire. Mais surtout il regarde fixement l’endroit de tous ses fantasmes, la chatte de Martine qui apparaît sous le tissu transparent.
Quelques poils dépassent, renforçant cet érotisme torride. Même moi qui connais sa chatte depuis 30 ans, je ne peux m’empêcher d’être troublé.
- Voilà, elle est à toi, fais en bonne usage, dis-je en souriant !
Il regarde, visiblement, il ne sait pas par quoi commencer. Pendant qu’il réfléchit, je me penche et embrasse ma femme, en prenant bien soin de sortir nos langues que Jules puisse les voir. Martine est visiblement très excitée d’être ainsi offerte. Il reste debout et la contemple, fait le tour du lit pour bien observer ce corps qui lui est offert, il me regarde et je lui fais un signe de la tête en souriant.
- Vas-y, touche-la !
Sa main part et commence timidement à se poser sur ses jambes. Il les caresse de longues minutes en prenant peu à peu de l’assurance, je vois le plaisir dans ses yeux. Il finit par oser s’installer face à elle, agenouillé devant le lit et dévore sa chatte des yeux. Tout en continuant à caresser ses jambes, il approche doucement de sa chatte, il n’ose pas trop toucher. Je lui montre alors qu’il y a des pressions pour ouvrir le body. Il a vite compris, le body est relevé sur son ventre et il regarde cette fente ouverte et luisante. Je passe un doigt dans celle-ci et lui montre comment il brille.
- Tu vois comme elle mouille, elle est très excitée, caresse-la !
Ses doigts s’approchent et ils commencent à s’aventurer sur son sexe. Il met un doigt qui rentre tout seul. Comme tous les jeunes puceaux, il est fasciné par cette partie du corps féminin et par la sensation que l’on éprouve en le pénétrant avec un doigt.
- Mets-lui en trois, excitée comme elle est, elle en a envie.
Il le fait et Martine se cambre et vient s’empaler sur ses doigts en soupirant. Il commence à les faire aller et comprend assez vite que ça plaît à ma femme. Elle est très excitée, les bruits liquides sont évocateurs. Il sort ses doigts, me regarde, hésite, je lui hoche la tête pour lui dire oui, il sourit et jette sa bouche sur le sexe ouvert de mon épouse. Il lui dévore littéralement la chatte et s’en barbouille le visage ! Il lape un peu partout, je lui montre le clitoris du doigt
- Là !
Il suit mes conseils et entreprend de lui lécher son appendice du plaisir. Au visage de ma femme, je vois qu’il ne faudra pas grand-chose pour qu’elle jouisse. Je plonge ma langue dans sa bouche et en quelques secondes elle part, son bassin se soulève et elle jouit en exprimant assez fort son plaisir, c’en est même surprenant de sa part
- Oui, continue, c’est bon comme ça, oooohhhhh !
Son bassin retombe, mais comme elle ne peut pas refermer les jambes, notre apprenti lécheur continue et je dois lui dire d’arrêter car après un orgasme son clitoris a besoin de se reposer un peu !
Il se relève, la contemple avec sa chatte baveuse et me regarde un peu piteusement. Je ne comprends pas trop mais en voyant une tache s’élargir sur son jean, je comprends, il a éjaculé en la léchant ! Un peu dommage ce sperme gâché, mais ce qui est fait est fait ! Je lui fais signe de se mettre à poil, il a un instant de pudeur, normal à son âge, mais l’envie de baiser est trop grande. Il bande bien encore, un sexe normal, il n’a encore que quelques poils sur le pubis. Il hésite avec sa queue toute droite, que faire ? Je lui montre la bouche de ma femme, il sourit et lui présente sa queue baveuse de sperme.
- Pose- la sur sa bouche, elle ne te voit pas !
Il le fait et quelques secondes plus tard le voilà en train de se faire sucer par sa voisine de 51 ans ! Il est ravi, elle a tourné la tête pour mieux le prendre. J’aime la voir sucer, elle a commencé à plus de 40 ans, mais elle y met du cœur ! Mais j’ai peur que cette bouche vorace le fasse encore éjaculer trop vite. Mais soudain, il me surprend, il sort sa bite et en se branlant vigoureusement le voilà qui tapisse le visage de ma femme de longues rasades de sperme.
- Tiens vieille salope, voilà pour toi, t’es trop bonne ! ah putain c’est bon, suce moi, suce moi encore !
Ouah, internet a encore frappé, il ne masque plus sa voix en plus le con ! Le pire est que ma femme a repris sa bite en bouche et le pompe vigoureusement alors que son visage ruisselle de sperme. D’habitude, elle n’aime pas trop.
Il finit par laisser la bouche de Martine et me regarde un peu penaud, l’air de dire, j’ai perdu les pédales ! Je nettoie le visage de ma femme pendant qu’il se relève. Ah, la queue pendouille, problème. Mais j’ai la solution le temps qu’il reprenne des forces, soirée initiation. Je vais prendre nos godes et les pose entre les cuisses ouvertes de Martine.
- A toi de la faire jouir et comme tu n’es pas encore en état, voilà pour t’aider !
Je lui montre le rabbit et comment ça fonctionne. Il le glisse dans son vagin et entame les caresses. Le bassin de Martine commence vite à se lever, elle commence à gémir ce qui a pour effet de redonner vigueur à notre toujours puceau ! L’orgasme traverse ma femme avec violence, elle exprime son plaisir à haute voix,surprenant Jules par son intensité ! Il va falloir qu’elle récupère ! Nous la laissons souffler quelques instants, il lui suce les tétons qu’il n’avait pas encore dévoilés, à présent son sexe est bien dur et il s’installe entre les cuisses de son fantasme. Il ne trouve pas l’entrée de suite, tatonne et s’enfonce d’un coup ! Il a même l’air surpris ! Il commence à donner des coups de reins vigoureux, mais comme il a déjà éjaculé deux fois, il dure ! Il me sourit en me faisant signe, trop bon ! Il la besogne assez longtemps sans jouir.
- Tu veux voir son cul ?
Il me fait signe que oui ! Je détache Martine qui est contente car elle commençait à être ankylosée, elle se met à 4 pattes, la tête dans le matelas, présentant ses fesses à notre jeune voisin. Il les regarde, les palpe, les écarte, regarde avec intérêt son anus, je lui fais signe de le lécher. Il hésite, tourne autour, sa langue finit par s’y poser, il léchouille sans trop de conviction. Il se remet derrière elle et la reprend.
Cette fois, la jouissance arrive assez vite et il lui lâche sa semence au fond du vagin en ahanant. Il reste quelques instants à savourer, sa queue ressort et il embrasse le cul de Martine avec reconnaissance.
- Il est trop beau son cul !dit-il.
- Bon, ce n’est pas le tout, ça fait deux heures que tu la baises, il faut songer à rentrer.
- Ok, on y va.
Il se rhabille et je fais comme ci je devais le ramener assez loin. On prend la voiture pour faire 50 mètres et on boit une bière chez lui.
- Alors ?
- Trop trop bon, merci
- Tu voudras recommencer ?
- Oui ! Elle aime la sodomie ?
- Tu veux l’enculer ? (J’avais fait exprès d’utiliser le mot)
- Oui !
- Oui, elle aime aussi.
- Putain trop cool, quand je pense que je vais la croiser, qu’elle va me dire bonjour sans se douter que je l’ai baisée, léchée, même le trou du cul ! Et qu’elle m’a sucé la bite ! Merci !
- Tout le plaisir est pour nous ! Et tu l’as même aspergée de sperme en la traitant de vieille salope !
- Oh oui, excusez-moi, je ne sais pas ce qui m’a pris !
- Elle n’a pas eu l’air de t’en tenir rigueur.
Sur ce je rejoignis mes pénates, Martine était déjà couchée.
- Tu l’as trouvé où ce gamin ?
- Gamin ?
- Pas bien vieux, il n’avait quelques poils au pubis !
- Il t’a bien baisé, c’est le principal !
- Oui, il a même failli me noyer de sperme !
- Depuis quand tu aimes qu’on te barbouille de sperme ?
- Ben les potes de Julien le font tous, ils aiment bien me jouir sur le visage et dans la bouche ouverte, je pense que ça excite les jeunes de faire ça à une maman bourgeoise, donc j’ai l’habitude, on s’y fait.
- Ah ok, il n’y a que moi qui ne le fasse pas alors ! Et pourquoi as-tu joui en t’exprimant aussi fort, d’habitude tu es discrète.
- Avec le bandeau, tu te concentres plus sur le plaisir et comme tu ne vois pas celui qui te prend, il y a moins de gêne.
- D’accord, et bien vivement la prochaine fois ! En attendant, tu as gardé le sperme de ton baiseur j’espère !
- Oui, tu peux venir !
- Hummm, j’aime ça, c’est tout chaud, gluant.
- Tu es bizarre, vraiment, mais si tu aimes …

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