Il N'Y A Qu'un Pas Du Fantasme À La Réalité
Je tenais la boutique darticles de mode de mes parents pendant leurs congés dété. Comme les horaires étaient adaptés aux fortes chaleurs, javais coutume de faire une petite sieste en début daprès-midi dans la chambre attenante au commerce. Jaimais par-dessous tout mendormir nue en sentant le souffle léger dun courant dair parcourir mon corps. Je mallongeais toujours sur le ventre à même la jetée de lit pour ressentir de délicieux petits frissons du haut de mes épaules à léchancrure des fesses. Pour faciliter lendormissement, je me touchais distraitement, tournant lentement autour de mon bouton, vérifiant à deux doigts lhumidité grandissante de ma chatte rasée. Mes cuisses sentrouvraient mécaniquement sous la caresse de ce doigté expert. Je ne pouvais rien faire que doffrir dans ce mouvement irrésistible le plus rose de ma chair que javais initialement tenté de cacher en me couchant sur le ventre. Je savais en effet quil existait un risque, faible il est vrai, quun homme ou pourquoi pas une femme, me surprenne. Il suffisait que cette personne se hisse à hauteur dune petite fenêtre entre-ouverte donnant sur larrière de la boutique. Cette idée loin de meffrayer constituait une source dexcitation supplémentaire. Et je dois dire que parfois je laisser libre cours à des masturbations peuplées dimages licencieuses. Jétais alors loin de me douter que parfois peu de chose séparent le fantasme de la réalité. A lheure de fermer le commerce je constatais quun homme dune cinquantaine dannée assez bien de sa personne demeurait seul à examiner les maillots de bain féminins. En mapprochant, je reconnu Jean-Pierre B., un professeur de mathématiques de mon ancien lycée.
« Bonjour Jean-Pierre, cest gentil de venir nous voir, mes parents mont dit que vous étiez un fidèle client ».
« Bonjour Stéphanie, cest vrai je viens régulièrement accompagnée de Sonia mon épouse ou de mes filles, mais ce soir cest pour te voir que je suis là »
« Vraiment ? » dit Stéphanie intriguée.
« Oui, écoute cest un peu gênant à dire mais je me souviens que tu étais plutôt maline au lycée, tu devrais comprendre que je nai pas le choix. »
«
»
« Voilà deux semaines que mon épouse Sonia passe dans le quartier, elle travaille à la Pharmacie des Plantes, et elle tépie par la fenêtre, elle a pris au moins 3 vidéos et une quinzaine de photos qui ne laissent pas indifférent. »
Joignant le geste à la parole, Jean-Pierre me montra lune des vidéos sur son téléphone portable. Une catastrophe : je donnais un rythme endiablé à mes fesses charnues, en mintroduisant des doigts alternativement dans le vagin et dans le rectum. On me reconnaissait parfaitement malgré la posture, dautant plus que je montrais plusieurs fois mon visage à la caméra pour récolter de la salive sur mes doigts que je mélangeais à ma mouille.
Je pleurais de honte. « Je ferais ce que vous voudrez
ne montrez cette vidéo à personne, je vous en supplie. »
Sans réfléchir davantage, je descendais le short puis le boxer de mon ancien professeur et je le pompais avec des efforts de sportive de haut niveau pour lui faire exploser son sperme dans ma bouche. Jean-Pierre en décida autrement, il mentraîna vers larrière-boutique et demanda à voir mon cul.
Mes fesses nues pleines et charnues étaient si belles et attirantes selon lui que lhomme mûr ne résista pas à lenvie de prendre vigoureusement mon arrière-boutique. Mes cris lexcitaient, je ne feignais pas de jouir, le cul tremblant sous les coups de butoir tendus de sa chair rouge naturellement lubrifiée de ma mouille. A un moment, il sortit sa bite de mon cul et minvita à le branler et à le sucer. Je lui caressais les fesses et je le doigtais cherchant sa prostate. Au rythme de son souffle il était évident que lhomme allait bientôt gicler. Ma bouche chaude en ventouse autour de sa bite, il jouit plus fort que jamais dans ma gorge. Je me rendis compte trop tard que javais avait oublié de fermer la porte de la boutique à clé.
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