Domination De Madame Et Monsieur 8

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Après un superbe voyage en train de nuit, nous descendîmes à Lyon où nous attendait le chauffeur de Maître Arthur à bord d'une limousine allemande. Océane et son cocu montèrent à côté du propriétaire alors que je pris place près du chauffeur.
Le château était situé au milieu d'un immense parc privé. La route longeait un lac où valsaient des cygnes blancs et d'autres volatiles racés. Avec sa canne, Maître Arthur donna un petit coup à l'épaule du chauffeur. Ce dernier s'arrêta. Nous fûmes invités à descendre. Maître Arthur donna l'ordre au couple de se déshabiller intégralement. Il ordonna au cocu de lécher le vagin de sa femme. Ce dernier s'accroupit et, à la vue de ses fesses, je perdis mon calme. Je me caressai un moment puis demandai à Maître Arthur d'ordonner au chauffeur de baiser Madame et Monsieur. Quant à nous, nous aurons toute la nuit pour nous vautrer dans la débauche...
Le chauffeur sortit un chibre de taille impressionnante. Il le fourra dans la bouche d'Océane qui le reçut avec une satisfaction visible. Elle lècha les parties internes du sexe, descendit aux couilles qu'elle prit une à une dans ses mains pour les palper... Ensuite, elle remonta au sommet et avala la tête. Ce fut ensuite un va-et-vient rapide sur le sexe qui lui remplissait la bouche. Elle suça comme une pro. Le vit du chauffeur était au summum de son érection. Il quitta Océane pour diriger son vit vers le trou du cocu. Ce dernier se trouvait déjà à quatre pattes. Le chauffeur pénétra le fondement du cocu doucement, par petites entrées et sorties rapides. Je soupçonnais un bon coup inattendu qui allait pousser le sexe jusqu'au fond du sphincter. En effet, le chauffeur ne tarda pas à enfoncer jusqu'aux couilles sa verge, ce qui arracha un cri de douleur au cocu qui ne tarda pas à se taire avant de couiner tout en endulant des hanches.
Le spectacle du chauffeur s'activant dans les fesses de la lope m'a détourné du manège de Maître Arthur avec la pute.

Océane était à quatre pattes et le maître avait enfoncé sa canne dans le trou arrière. Il la remuait énergiquement et la pute semblait apprécier. Quand elle fut à point, on appella le chauffeur qui, après avoir éjaculé dans le cul du cocu, s'etait reposé un peu. Il avait repris des forces et son sexe se tendit à nouveau à la vue du postérieur pâle et galbé d'Océane. Il sauta sur elle et la sodomisa sans ménagement. Il s'était placé au-dessus d'elle, la chevauchant et lui donnant des claques aux fesses. Il la travailla durant un quart d'heure et quand il fut sur le point d'éjaculer, il appela le cocu qui se plaça à quelques centimètres du derrière de sa femme. Et au premier jet de sperme sur les fesses, la lopette comprit qu'elle devait tout lécher. Ensuite, le chauffeur donna son sexe à nettoyer au cocu et le gifla en le traitant de tous les noms. Maître Arthur frappa l'arrière d'Océane avec sa canne et la fit monter dans la voiture.
Nous arrivâmes au château au moment où le soleil commençait à décliner. On fit monter nos bagages dans les chambres et Maître Arthur nous invita à prendre une collation au salon. Derrière une lourde porte en bois noble et aux vitres dessinées de scènes érotiques explicites, se trouvait une salle tellement grande qu'on avait du mal à en voir le bout. De chaque côté, des fenêtres colossales aux tentures dorées se succédaient dans un ordre parfait. Dans l'espace séparant une fenêtre d'une autre, se tenaient des jeunes filles nues à quatre pattes dont l'anus avait été planté d'une bougie. Excellentes chandelles qui éclairaient les lieux tout en offrant un beau tableau.
D'autres corps de femelles à quatre pattes étaient montés d'un rectangle de verre : c'étaient des "tables" sur lesquelles on avait déposé des vases, un sceau de champagne et des assiettes remplies de victuailles. Plus loin, d'autres filles se tenaient debout, un plateau suspendu à leurs seins grâce à des chaînettes dorées. Enfin, nous arrivâmes au bout et là, montés sur une scène en bois, six garçons, trois noirs et trois blancs se masturbaient en faisant travailler des sexes énormes.

Maître Arthur déshabilla le cocu et le fit monter sur scène. Trois garçons lui présentèrent aussitôt leurs verges qu'il suça tour à tour. Océane fut offerte aux trois autres garçons qui la placèrent sur une croix de St André, le cul bien visible à tous, et entamèrent une flagellation en règle. L'épouse hurlait comme une folle mais les trois gars n'écoutaient que leur envies sadiques et les ordres de Maître Arthur.
Quand il vit qu'elle allait s'évanouir, ce dernier donna l'ordre d'arrêter le supplice. Il fit étendre Océane dans un sling en cuir noir et lâcha les trois as du fouet sur la proie dénudée. Il la baisèrent sans aucune retenue, n'ayant aucune considération pour son corps endolori, rougi et bourdouflé par endroits. Mais très vite, la pute oublia la douleur pour couiner de plaisir. Ses jambes étaient grandes ouvertes, tenues par des chaînes reliées aux murs, de part et d'autre du sling. Les sexes se succédaient dans son vagin alors que sa bouche ne désemplissait pas. L'un des jeunes baiseurs fit avancer le bassin de la pute au bord du sling, lui replia totalement les jambes et dégagea le trou du cul, inaccessible auparavant. Océane fut sodomisée et fistée par des mains expertes.
Quant au cocu, il tenait une coupe dans laquelle se vidaient les trois autres jeunes. On nous appela moi et Maître Arthur pour apporter notre contribution à la collecte du précieux liquide. Quand elle fut presque pleine, le cocu l'emmena à son épouse et ils en burent le contenu ensemble, en se léchant d'une manière animale!
Après une toilette rapide prise dans les chambres, un dîner royal fut offert par Maître Arthur dans une autre pièce au décor différent mais tout aussi raffiné. Des mets variés étaient servis par des filles et des garçons entièrement nus. Quand un mâle s'attardait devant Océane, elle savait qu'elle devait lui faire une pipe. Elle le suçait d'une manière originale : elle trempait la verge bandante dans la sauce avant de s'en délecter. Le cocu et les serveuses disparaissaient parfois sous la table pour nous faire aussi de belles pipes.

Mais la suite allait me faire oublier ces préliminaires. Maître Arthur avait invité tout ce que Lyon comptait comme libertins sadiques et esclaves pervertis : le spectacle se tenait au niveau d'une aile aménagée du parc. Il faisait chaud et les corps nus pouvaient s'exposer sans problèmes. Après le dessert, Océane et le cocu furent emmenés par des mâles. Destination inconnue...
Le grand air nous fit du bien. Des projecteurs éclairaient des coins précis, théatre de culbutes et autres expressions artistiques lubriques de haut niveau. Des femmes totalement nues étaient disposées sur des hamacs, jambes écartelées entre les arbres. D'autres se tenaient à quatre pattes avec des inscriptions sur les fesses invitant les baiseurs à une utilisation abusive. Des slings avaient reçus des corps superbes aux jambes ouvertes. Certains maîtres invités portaient des masques. Avec leurs capes noires et leurs cannes, ils semblaient surgir d'un âge lointain. Certains avaient sorti leurs sexes et se baladaient en les exposant à la vue de tous, cherchant des bouches et des vagins ou culs ouverts à fourrer. D'autres traînaient leurs esclaves nus, à quatre pattes, au bout de chaînes de chien. Quand les maîtres voyaient qu'un baiseur manifestait de l'intérêt pour leur chair fraîche, ils s'arrêtaient, lui remettaient la chaîne et l'invitaient à jouir devant eux des trous qui s'offraient à lui. Certaines maîtresses avaient fait venir de superbes esclaves mâles transformés en travestis. Les baiseurs ne lâchaient rien : deux blacks s'activaient sur un travesti quand la maîtresse, excitée, leur présenta son postérieur :"servez-vous!". Il lui sautèrent dessus aussitôt.
Dans un coin, il y avait foule de mâles actifs : ils s'occupaient des trous d'Océane placée dans un carcan en bois. Son postérieur exposé à la vue des baiseurs, recevait bite sur bite alors que, de l'autre côté, sa bouche travaillait plusieurs sexes. Certains la giflaient, d'autres la fessaient ou la flagellaient.
Maître Arthur se présenta à l'arrière du carcan. Il sortit son sexe et le fit pénétrer dans le trou du cul d'Océane qui ne savait pas qui la sodomisait. De temps à autre, il lui donnait de fortes claques. Il accéléra la cadence et inonda les fesses de la pute d'un puissant jet de sperme.
Océane était heureuse. C'était sa fête car les plus beaux moments de sa vie sont ceux où elle se mettait à servir le mâle, à subir sa loi, à n'exister que pour lui. Son plaisir vient à la fois de ses propres pulsions sexuelles et de ses soumissions au mâle, lorsqu'il la domine ou la fait souffrir.
La séquence suivante reflétait une imagination fertile et un réel vice sadique. Derrière un mur en bois, des tables alignées recevaient des femmes nues. Certaines étaient à quatre pattes mais leurs postérieurs se trouvaient de l'autre côté de la palissade; d'autres, couchées sur le dos, avaient leurs jambes écartées et haut levées à travers des trous dans le mur. De telle sorte que les maîtres pouvaient jouir à leur guise des parties intimes des esclaves sans que ces dernières ne puissent savoir qui est en train de les travailler. Des travestis se trouvaient également parmi les putes exposées. Le cocu, disposé à quatre pattes, attendait avec impatiente le moment où un mâle allait se déchaîner sur lui, de l'autre côté de l'obstacle. Ce fut un grand black amateur de beaux culs de lopes qui se présenta pour le déchirer et le limer pendant une demi heure. A côté, Océane subissait l'épreuve du fouet. Un maître masqué cinglait ses fesses à l'aide d'un martinet. Quand il fut bien excité, il plaça son vit dans la vulve toute chaude et humide qui l'accueillit en se trémoussant. Le maître travailla longtemps le vagin avant d'attaquer le fondement. Quant à moi, j'avais cherché les fesses de Jean en me disant "suis-je capable de les reconnaître ?" Finalement, ce fut un jeu d' et dès que le black se retira du cul de la lope, j'en reconnus les contours. Je fis rentrer mon pénis dans le trou accueillant et ce fut un coup divin. Voir tous ces mâles accrochés à cette barrière en bois, le sexe bien tendu vers la cible qui se trouvait derrière et ne sachant pas à qui appartenait le cul ou la vulve travaillés excitait énormément les baiseurs qui hurlaient, criaient et insultaient les putes hommes et femmes dont les couinements emplissaient l'air...
Plus tard, Maître Arthur fit coucher Océane dans un sling en demandant à quinze mâles de lui faire subir tout ce qu'ils voulaient. Je compris alors que le sadisme extrême du Lyonnais était peut-être la meilleure réponse à la quête d'Océane dont la demande en soumission et en besoins masochistes augmentaient de jour en jour. Le cocu fut traîné en ville par une bande de blacks qui le possédèrent dans un sauna glauque en le faisant tourner au profit de beurs sadiques qui fréquentaient assidûment l'endroit.
Au petit matin, il fut jeté a la porte du château. Le jardinier me l'amena. Je lui fit couler un bain et, à la vue de ses fesses, je sortis mon sexe qui n'a pas beaucoup travaillé cette nuit pour honorer ce trou niché au milieu de deux lobes à la peau lisse, satinée et laiteuse. Ce cul de femelle lubrique accueillit ma verge plusieurs fois. J'en fis ma femme et mon esclave en le couvrant de baisers et de caresses. C'est ce soir-là que je pris la décision de le féminiser avec un programme complet qui enlévera toute trace masculine. J'en tremblais d'excitation. Tu seras femme totalement et tu resteras chez moi, pour mon utilisation personnelle !
Quant à Océane, elle fut maintenue prisonnière dans le parc où elle fut suspendue à un arbre et mise à disposition des insomniaques. Quand il n'y eut plus personne, le jardinier se présenta avec un martinet et sa verge phénomènale. Il la fouetta et la posséda durant le reste de la nuit.
La masse touffue et compacte des arbres venait d'être percée par les premiers rayons de l'astre solaire. Les cris d'Océane continuaient de déchirer le silence matinal de la forêt...

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