Domination De Madame Et Monsieur 9

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Pour parfaire leur dressage, j'ai pris la décision d'enfermer le couple dans un espace de soumission sophistiqué ouvert aux libertins avertis. C'est une grande ferme appartenant à une connaissance, Maître Lopez. Située dans une vallée côtière de Murcia, en Espagne, elle comprend plusieurs bâtiments agricoles, une maison de maîtres, des annexes et une étable équipée pour recevoir les lopettes, hommes et femmes. Elle s'étend sur des dizaines d'hectares clôturés et cachés aux curieux par une haie touffue d'arbres et du barbelé électrifié.
En y arrivant, les pensionnaires doivent signer un contrat qui les prive totalement de liberté et les met à la disposition des maîtres et des gardiens qui peuvent en disposer à tout moment. Ensuite, les esclaves sont totalement déshabillés et marqués d'un numéro. Océane et Jean furent dirigés vers le bâtiment trois situé près d'un immense champ d'agrumes. Ils furent conduits par deux gardiens black, de véritables colosses, torses nus, habillés seulement de pantalons en cuir ouverts sur le devant et laissant leurs chibres libres. Équipés chacun d'un fouet , ils cinglaient, de temps à autre, les corps dénudés des deux lopes.
Arrivés près des arbres, l'un des gardiens demanda au couple de s'arrêter. Il fit agenouiller Océane et la gifla :
" Écoute, salope ! En attendant d'être présentée à tes maîtres ce soir, c'est moi ton chef, ton baiseur et tu dois m'obeïr."
Il prit son immense sexe qui pendait en dehors du pantalon et le fourra sans ménagement dans la bouche d'Océane. Cette dernière le saisit de ses deux mains. Il était hors normes. Elle le soupesa, palpa les testicules qui descendaient très bas et finit par le prendre en bouche. Elle le sortait de temps à autre pour lécher minutieusement la partie interne qu'elle parcourait fébrilement de sa langue. Elle semblait heureuse, épanouie. Jean la regardait faire et avait une folle envie d'être traité de la même manière ! Comme s'il l'avait entendu, le second black lui intima l'ordre de se mettre à quatre pattes.

Ses fesses étaient encore plus belles sous les rayons du soleil matinal. Le second gardien n'etait pas du genre à aimer les préliminaires. Dès que le cocu fut en position, le black lui colla la tête au sol à l'aide de ses godasses, ce qui cambra davantage ses fesses. Le baiseur cracha dans le trou et se servit de ses doigts pour préparer l'anus qu'il tenta de pénétrer avec une bite de taille respectable. Mais l'opération s'avéra difficile. Le black tira alors de sa poche une pommade qu'il étala dans et autour de la rondelle du cocu. Ainsi sont équipés les gardiens baiseurs. A tout moment, ils peuvent avoir besoin de leurs fouets, pommades anales et queues bien tendues ! Ils n'ont pas de recommandation spéciale pour baiser les esclaves. Il leur est demandé d'agir selon leurs propres besoins : dès que leurs bites se dressent devant le spectacle d'un cul ou d'un vagin attirants, il leur est demandé d'en profiter immédiatement, n'importe où et à n'importe quel moment. Il arrive qu'au cours de leurs randonnées nocturnes, certains gardiens soient attirés par le spectacle des corps denudés couchés dans les étables, à même la paille. Ils peuvent s'en servir immédiatement, sans réveiller les lopettes qui ouvriront les yeux en ressentant une grosse présence dans leurs trous et le souffle chaud des baiseurs sur leurs nuques.
Le second black était en train de limer le cocu qui criait de toutes ses forces, alors qu'à côté, Océane, fourrée jusqu'à la garde, couinait en demandant plus. Elle haletait et appelait son baiseur à continuer, elle voulait que ces moments d'abandon sous les coups de butoir du black conquérant durent une éternité. Quand il fut à point, le gardien sortit son chibre de la vulve et dirigea son jet d'un sperme chaud et visqueux vers le visage d'Océane.
Le cocu remuait du cul. Le black qui le tirait admirait les fesses très féminines qui hapaient son gros zob. Cette poussée d'excitation amena rapidement un flot interrompu de sperme qui inonda le derrière du cocu.
Le premier gardien ordonna à Océane de lécher le précieux liquide de son ami sur le postérieur de son mari. Les deux gardiens demandèrent ensuite au couple de leur nettoyer les verges. Puis, ils conduisirent les deux putes aux étables, sous les coups de fouet et les insultes.
Dans la pénombre, Océane distingua des box alignés de part et d'autre d'une allée où trônaient une croix de St André, des carcans, des slings, des sofas et d'autres objets destinés à donner du plaisir aux maîtres sadiques mais aussi aux slaves maso qui venaient volontairement ici pour s'abandonner à la loi des vrais mâles. Les maîtres sont généralement des Européens mais les gardiens baiseurs sont souvent des Africains et des Arabes recrutés sur la taille de leurs engins et leur capacité à traiter les lopettes comme de simples trous à bites, des vide-couilles à ne pas respecter et à traiter comme tels.
Les épouses et les accompagnatrices des maîtres, issues des milieux d'affaires, de la bourgeoisie et même de l'ancienne noblesse pouvaient assister aux orgies et autres soirées de débauche collective organisées par maître Lopez et ses amis. Mais derrière des glaces sans tain. Elles pouvaient se masturber en regardant les gardiens baiseurs s'accoupler avec les lopettes après leur avoir infligé un traitement spécial sous forme de flagellation ou de s diverses sur les seins et les parties intimes. Ainsi en est-il de Mélissa, une superbe plante catalane d'une trentaine d'années, la seconde épouse du propriétaire des lieux, qui ne rate aucune soirée ! Mais le secret de Mélissa, bien gardé, n'est pas dans ces spectacles de débauche collective ponctués par des accouplements sauvages auxquels elle ne participe pas. Mélissa adore se faire passer pour une esclave ! Elle mouille abondamment à l'idée d'ouvrir ses jambes dans l'un des box de l'étable et d'attendre l'arrivée des gardiens baiseurs qui ne pourront résister à la vue de son corps de déesse.
Grâce à la complicité d'un gardien marocain, elle est introduite dans une des étables au moment où le gros des lopettes est à l'extérieur.
Masquée, elle est attachée à des chaînes accrochées aux murs. Bien écartelée, elle offre à la vue des gardiens sa vulve et son pubis preominant au bout de deux cuisses d'albâtre. Le gardien attitré explique aux autres que cette esclave est la propriété d'un ponte de la ville qui ne veut pas que l'on connaisse sa véritable identité.
Le Marocain commence toujours par fouetter sa maîtresse qui adore le martinet, la fessée et les gifles. Au début, il hésitait mais elle l'encouragea à ne plus voir en elle la femme de Lopez mais une simple pute avide de queues. Elle lui demandait, presque en le suppliant, de l'insulter et de la traiter comme une moins que rien. Comme elle l'avait choisi après avoir testé une douzaine de gardiens sur la taille de leurs sexes, la force de leur brutalité et leur côté voyous machos, elle savait que la séance de flagellation se terminait toujours par une pipe qu'elle attendait avec impatience car le gars avait une manière directive et humiliante de balayer son vit sur son visage; il lui arrivait parfois de frapper la bouche, le nez et les joues de la pute avec le bout tendu et enflammé de la verge. Dès qu'il cessait d'être méchant avec elle, elle le remettait à l'ordre en lui rappelant qu'il a affaire à une vide-couilles et qu'il n'avait qu'à agir en conséquence ! Il fallait qu'il la maltraite, qu'il la baise sauvagement, qu'il la sodomise et même qu'il l'offre aux autres gardiens. Ces derniers étaient heureux d'en profiter car ils n'avaient pas le droit de toucher à la mystérieuse dame au masque dont ils appréciaient les charmes par dessus-tout. Ce jour-là, le Marocain fit chercher trois gardiens baiseurs black et leur livra Mélissa : " elle est à vous ! Traitez-là comme les autres !" Les invités s'en donnérent à cœur joie. Suspendue aux chaînes, elles fut fouettée, fessée, fistée, ses seins écrasés, mais cela ne suffisait pas; elle voulait plus! Pour la calmer, le Marocain la fit s'asseoir sur un sling, les cuisses bien écartelées et invita les blacks à lui passer dessus autant de fois qu'ils le pouvaient, jusqu'à assèchement de leurs couilles.
Mais comme cela ne suffisait pas, il ameuta trois autres gardiens maghrébins qui la sodomisèrent en l'insultant et la fessant. Elle fut prise en double pénétration alors qu'une gigantesque queue ramonnait sa bouche. Ensuite, elle fut suspendue au milieu de l'allée et arrosée d'urine. Ceux qui le pouvaient encore, se masturbaient sur son corps. Melissa, submergée de plaisirs intenses, était rassasiée. Elle ouvrit enfin les yeux au moment où son gardien préféré la délivrait des chaînes. C'est à ce moment là qu'elle vit Océane trainée à quatre pattes par l'un des gardiens qui venait de s'offrir ses fesses sous les arbres. Subjuguée par la beauté d'Océane, elle demanda au Marocain de la renseigner sur la nouvelle arrivée :
" c'est une française. Une bourgeoise mariée à une lopette qui est d'ailleurs ici. Elle est maso et insatiable.
- comme moi ! Dis, elle est comme moi ? Parle, dis la vérité!
- je ne l'ai pas essayé encore... Mais madame, vous êtes unique !
- allez vite, ramène-là et baise-là devant moi !"
Le Marocain fit venir Océane et voulut la préparer. "Non ! dit Mélissa. Directement, avec ta pommade ! Mets ton zob entre ses fesses ! Pas de salamalecs !" Pendant qu'il étalait la pommade dans la raie et à l'intérieur du trou du cul, Mélissa saisit le vit dressé du Marocain et le mit dans sa bouche :" je vais te préparer !"
Dès qu'il fut en parfaite érection, le Marocain introduisit rapidement sa verge dans l'anus d'Océane à quatre pattes. Mélissa se coucha à califourchon sous la pute attitrée et mit son visage sous les parties intimes d'Océane, lui léchant la vulve. De temps à autre, le Marocain sortait sa bite et l'offrait à Mélissa qui délaissait un moment Océane pour avaler le beau chibre maghrébin. Quand il fut à point, prêt à envoyer en l'air des quantités énormes de sperme, le Marocain reçut un ordre de Mélissa sous forme de supplique " sur mon visage ! Inonde-moi! Maître, mon maître! Je suis l'esclave de ton zob !"
Ensuite elle se releva et se mit à quatre pattes car elle le voulait plus que tout ce beau sexe marocain ! Elle ordonna à Océane de se coucher sur le dos et de s'ouvrir devant elle afin qu'elle puisse lui bouffer le vagin tandisque le Marocain s'occupait de son derrière. Rassasiée par la séance de tout à l'heure? Pas si sûr. Un black fit rentrer Océane dans son box. Il en profita pour se faire sucer et fit boire à la pute une quantité énorme de sperme. Ensuite, il s'occupa du cocu tout près...
Ah le cocu ! Justement, j'étais dans le bureau de Lopez pour discuter de la féminisation de Jean. Il me proposa de lui donner le nom de Jeanne. J'aimais pas. Je voulais un prénom plus beau. Un prénom qui fasse bander : Lilly Rose. Lopez hocha la tête en signe d'approbation: " il y a un long programme de féminisation qui doit commencer aussitôt que possible !"
A suivre

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