Première Fois

-Bonjour !
-Bonjour, entre !
Je le laisse passer, il est tel qu’il se décrivait dans ses posts. Il aurait pu passer inaperçu s’il n’y avait dans son regard un éclat de gentillesse. Ses lèvres assez charnues laissaient présager des baisers à la fois tendre et goulus. J’avais hâte de les sentir se refermer sur mon sexe !Ses fesses moulées par son Jean’s, commençaient à me mettre en émoi. Mais ne brûlons pas les étapes, commençons par faire plus ample connaissance.
Je savais ce qu’il aimait, ce qu’il voulait et je lui avais fais part de mon côté de mes désirs mais entre ce qui avait été écrit entre nous et ce qui allait se passer cet après midi, il pouvait y avoir un décalage.
Je rêvais de son sexe. Il m’avait envoyé une photo de sa bite mais ce n’était qu’une photo. J’imaginais bien sa taille mais j’espérais bien pouvoir lui donner une raideur plus conséquente que sur ce cliché. Moi même j’avais eu du mal à bander lorsque j’ai voulu lui envoyer par retour, une image de la mienne alors je peux imaginer qu’il en était de même pour lui. En tout cas je le souhaitais ardemment.
C’était la première fois que je rencontrais un homme, enfin autrement, et je n’avais aucune envie que cela se termine par des regrets. Lui aussi, c’était la première fois. Du moins c’est ce qu’il m’avait dit et je le croyais, sinon comment avoir confiance ?
Bien sur, lui comme moi, nous nous étions masturbés en regardant des films pornos gays, bien sur, nous avions, chacun de notre côté, joué avec des godes que nous nous étions enfoncé dans le cul, nous avions également goûté notre propre sperme après nous être léché la main et tous ça nous nous le sommes raconté. Et nous sommes arrivés à nous branler en tchattant.
Ce désir de nous rencontrer est devenu au fil des discussions tellement fort que maintenant qu’il était devant moi, passé le premier moment d’appréhension, j’avais du mal à réfréner mon érection naissante. J’avais peur de ne pouvoir tenir longtemps et surtout je ne savais pas comment lui cacher cette bosse qui gonflait mon pantalon.

Finalement, c’est lui qui mis fin rapidement à cette gène en se tournant vers moi. Il s’est approché et a collé ses lèvres sur les miennes. Sa langue s’est frayée un passage sans problème et nous nous sommes embrassés goulûment. Son corps plaqué contre le mien, j’ai tout de suite senti que lui aussi ne pouvait contenir son érection. Nous sommes frottés le sexe l’un contre l’autre à en avoir mal. Ses mains parcouraient mon dos, passant sous mon tee shirt, il me serrait contre lui. Mes mains commençaient à descendre sur ses fesses. Une fois dans mes mains, je le plaquais encore plus contre moi puis lentement je desserrais mon étreinte et mes doigts commencèrent à défaire sa ceinture. Une fois desserrée je m’attaquais aux boutons de sa braguette. J’avais vraiment hâte de tenir cette queue. Une fois la braguette ouverte, son pantalon tomba à ses pieds. Mes mains commencèrent à caresser l’objet de ma convoitise à travers le tissus de son caleçon. Déjà je le sentais plus raide que le montrait la photo. Lui, continuait de me caresser le dos et entre deux soupirs de satisfaction, m’embrassait. Petit à petit, ses mains vinrent sur mes épaules et accompagné d’un regard d’envie et d’un peu de crainte il commença une légère pression pour me mettre à genoux.
-Tu veux bien ?
Je l’ai regardé avec une telle gourmandise dans les yeux que je n’ai pas eu besoin de parler pour le rassurer. Je me suis très peu attardé sur son torse et rapidement je me suis retrouvé à genoux devant ce sexe que j’avais sorti du son étui.
j’ai commencé par l’embrasser, lécher le bout de son gland qui dépassait de son prépuce tellement il bandait et pendant que mes mains lui pétrissaient les fesses, j’ai lentement ouvert ma bouche sur son gland en serrant mes lèvres sur son prépuce et en enfonçant doucement cette tige de chair chaude et vivante dans ma bouche, je l’ai décalotté. Il avait posé ses mains sur ma tête et je l’entendais soupirer d’aise.
-Ohhh ouiiii, c’est bon, j’en rêvais de ce moment !
-Mmmmmhhh.

La bouche remplie de cette bite je ne pouvais exprimer ma satisfaction autrement.
Je faisais des va et viens avec ma bouche, une main lui caressant les couilles et l’autre se frayant un passage entre ses fesses. Ses mains sur ma tête accompagnaient le mouvement sans me forcer. Son bassin ondulait et son sexe coulissait entre mes lèvres en glissant. De temps en temps, je laissais ressortir son sexe et ma langue venait alors lécher cette hampe de la base jusqu’au gland violacé avant d’emboucher à nouveau cette tige frémissante.
Je déplaçais lentement ma main qui lui caressait les couilles vers son cul et d’un doigt, je commençais à tourner autour de son petit trou avec mon index, puis, doucement mais assez fermement je lui introduisis ce doigt en entier. Je commençais à lui masser les parois.
-Ohhh c’est trop bon !!! Vas-y, mets en un deuxième !!!
Alors, de la même façon que j’avais introduis mon index dans son cul, j’y mis le majeur et je commençais des va et viens dans son cul.
Ses mains se sont alors crispées sur ma tête et son bassin s’est contracté en poussant sa bite profondément dans ma bouche. Sentant qu’il allait jouir, j’ai retiré mes doigts de son cul et d’un coup, je les ai enfoncés le plus profondément possible. Dans le même temps il enfonça sa queue aussi loin que je lui permis, m’étouffant à moitié, et des giclées de sperme chaud accompagnaient les soubresauts de sa bite. Il y en avait beaucoup et malgré mes efforts, je n’ai pu tout avaler. J’avais déjà goûté du sperme, le mien, et je n’avais pas trouvé cela très bon et j’avais un peu peur d’être écœuré par ma première pipe. Je ne savais même pas en commençant si j’allais pouvoir aller jusqu’au bout. Et bien oui ! Et ce n’est pas par bravade, j’avais aimé ! Le foutre ? Pas vraiment. Mais cette sensation quand ses mains se sont crispées, quand son sexe s’est encore plus raidi dans ma bouche et que ces giclées de foutre sont venues jaillir au fond de ma gorge, cette sensation est inouïe, surtout quand sa jouissance s’est accompagnée d’un râle puissant.

En fait, ce que j’ai aimé dans cette pipe, c’est la sensation de dominer l’autre. c’est moi qui l’ai amené à la jouissance. Je l’ai léché, sucé, aspiré, mordillé, branlé et pendant tout ce temps, je dirigeais. Il ne s’enfonçait dans ma gorge que si je le laissai faire, voire c’est moi qui l’avalait jusqu’à ce moment où ne pouvant retenir sa jouissance, je me suis abandonné à ses mouvements. Ma bouche est devenue le réceptacle de sa jouissance qui giclait de sa bite enfoncée dans ma gorge. Mon nez dans sa toison pubienne et mes doigts enfoncés dans son cul lui titillaient la prostate.




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