Sa Vraie Nature 2
Chapitre 2.
Cette nuit là elle ne put dormir , les images se bousculaient dans sa tête.
Que lui avait il pris, elle si distante et réservée dhabitude.
Un sentiment de honte et dincompréhension lhabitait.
Et demain que ferait elle ? elle nobéirait pas, après tout il valait mieux oublier cette sordide expérience et reprendre une vie normale.
La journée au bureau lui sembla durer éternellement, elle ne pouvait sempêcher de retourner tout ça , ses collaborateurs la trouvèrent bizarre et lui demandèrent plusieurs fois si elle était souffrante.
Enfin la journée se termina.
En arrivant devant son pallier elle trouva un paquet sur son paillasson.
Elle referma la porte et louvrit .
Il contenait une rose rouge et un mot.
bonjour belle dame
Vous avez été superbe hier soir
Comme prévu je viendrai vous chercher à 21 h.
Pour une autre expérience qui je suis certain vous plaira
Bien sur vous êtes libre de refuser il vous suffit de ne pas descendre et de ne pas mattendre, je partirai et vous laisserai tranquille.
Si vous acceptez soyez à 21 h précise devant votre immeuble.
Votre maître
Elle lu et relu le mot, elle était indécise, partagée, bien sur hier elle avait été traitée comme jamais mais dun autre côté cela ne lui avait pas déplu et le mot était plutôt courtois.
Elle décida de prendre un bain chaud et de décider après, mais au fond delle, elle savait quelle accepterait.
21 h approchait , sans trop savoir pourquoi elle se maquilla se coiffa et revêtit un tailleur léger blanc qui lui donnait un air strict et sexy , une paire descarpins noirs finirent de la parer.
Elle descendit les marches et se posa devant limmeuble.
A lheure dite la voiture de lhomme se gara devant elle , la portière avant souvrit et elle sengouffra dans la voiture.
- Vous êtes superbe, je suis vraiment ravi que vous ayez acceptée ma proposition.
- Merci monsieur se contenta delle de répondre.
Le trajet fut assez court , ils se garèrent devant un immeuble cossu.
Il descendit et lui ouvrit la portière, ces égards et cette galanterie contrastaient avec la nuit précédente, après tout elle avait peut être tort davoir peur.
Ils prirent un ascenseur poussif et sonnèrent à une porte du pallier.
Un homme vint leur ouvrir et les fit entrer.
Il devait avoir une soixantaine dannée il portait une veste dintérieur en soie et dessous elle devina une chemise et un cravate noire.
Il les invita à passer au salon.
La pièce était peu meublée , un canapé en cuir noir devant lequel était posé un tapis.
Au fond un lourd buffet de style.
Rien de suspect, si ce nétaient les rideaux tirés et le faible éclairage ,elle remarque cependant un anneau qui semblait être fixé au plafond.
Leur hôte les invita à sasseoir et leur proposa un verre.
Elle sentendit demander un whisky , elle qui ne buvait jamais elle voulait se donner du courage.
La soirée se passait comme si rien nétait , elle les écoutait parler de leurs amis leur travail.
Ils ne prêtaient pas attention à elle et elle finissait par se demander ce quelle faisait là.
Mais à peine eu t elle fini son verre , que son maître lui adressa la parole.
- Il serait peut être temps de nous amuser un peu, ma chère vous avez encore la possibilité de partir, que décidez vous ?
- Je reste monsieur dit elle sans réfléchir.
- Bien , levez vous et mettez vous face à nous les mains dans le dos.
Elle obéit et se plaça face aux deux hommes.
- Bien ma chère, maintenant baissez les yeux, maître Pierre et moi allons disposer de vous comme nous lentendons, ni vos cris ni vos plaintes ne nous arrêterons mais si vous voulez arrêter cette séance il vous suffira de prononcer le mot « rose rouge » et la séance sarrêtera aussitôt.
- Oui monsieur murmura t elle en baissant les yeux.
Maître Pierre se leva et se dirigea vers le lourd buffet , il en sorti un coffre en bois quil ouvrit
Elle ne pouvait voir ce quii contenait mais il revint vers elle et lui noua un bandeau sur les yeux.
Elle resta là debout devant eux les yeux bandés sans quil ne se passe rien.
Elle les entendit se lever et se diriger vers elle , délicatement ils ouvrirent la veste du tailleur et semblèrent satisfait quelle nait rien mis dessous.
- Jaime ce côté double chez vous, strict au dehors et pute à lintérieur.
Les mains des hommes continuèrent à la déshabiller ,sa jupe tomba dévoilant ses fesses et son sexe nu.
- Belle soumise que vous mamenez là dit maître Pierre.
Ils lui laissèrent ses chaussures et la prirent doucement par les bras la guidant au milieu de la pièce.
Le bandeau rendait sa démarche mal assurée elle se sentait un peu ridicule.
Elle sentit des menottes sur ces poignets et elle fut attachée bras levés à lanneau du plafond.
Ses jambes furent écartées et une barre fixée par des liens en cuir à chaque cheville..
Une chaîne fut passée sur son corps écartant les lèvres de son sexe et fixée autour de sa taille.
Elle les entendit séloigner et devina quils se resservaient un verre.
- Vous êtes vraiment superbe ainsi , tournez vous que lon vous voit mieux.
Les liens ne rendaient pas la chose facile , mais maladroitement elle se tourna.
Les hommes discutaient, semblant lignorer, mais elle nosait troubler leur conversation.
Soudain elle les entendit se lever, des mains se mirent à parcourir son corps sattardant sur ses fesses et ses seins.
Une main tira la chaîne la faisant pénétrer son intimité, elle ne pu sempêcher de crier.
- Vous êtes sensible cest bien, mais je ne voudrait pas déranger mes voisins dit Maître Pierre en lui nouant un bâillon sur la bouche.
La première claque sur ses fesses la surprie , mais elle neut pas le temps de réagir que les claques se succédèrent sur son postérieur, les coups étaient de plus en plus forts, elle tirait sur les chaînes .et essayait déviter les coups mais elle ne pouvait pas séchapper.
- Jadore te voir te tordre ainsi dit son maître en continuant de la frapper.
Puis il cessa, il dénoua le bâillon, elle sentait son souffle près de sa bouche et il lembrassa passionnément.
- Tu es ma soumise , souhaites tu continuer mais cette fois sans bâillon il faut que tu apprennes à dominer ta douleur..
- Oui monsieur je suis prête..
A peine avait elle fini sa phrase quune douleur la fit se cambrer, lautre homme venait de frapper ses fesses avec ce quelle devina être une cravache.
Le coup fut suivi de la caresse de la cravache parcourant son dos sattardant sur sa nuque.
Mais le répit fut de courte durée un coup sec sur sa cambrure la fit sursauter , le mouvement la précipita contre son maître qui était reste face à elle , il lui caressait le visage pendant que lautre frappait de plus en plus vite et fort son dos et ses fesses.
Elle poussa un cri et des larmes commencèrent à couler quand les pinces furent placées sur ces tétons mais elle ne prononça pas le mot aurait mis fin à son supplice car elle commençait à ressentir une douce sensation dans son sexe..
- Tu es courageuse dit son maître en passant un doigt sur le sexe ouvert .et tu mouilles déjà.
Cette fois les coups firent frémir ses seins, de petits coups secs martelaient ses deux globes offerts sattardant sur ces mamelons pris dans les pinces.
Elle se mordait les lèvres pour ne pas crier.
Bientôt les coups cessèrent, on lui dénoua le bandeau et lui essuya ses larmes.
On décrocha ces mains de lanneau et on la laissa la au milieu de la pièce debout.
Ils allèrent sasseoir face à elle sur le canapé.
Elle regarda ses seins rougis et les pinces qui les emprisonnaient. .Elle était fière davoir résisté son maître serait content.
- Met toi à quatre pattes maintenant.
Docile elle obéit les menottes et la barre nouée à ses chevilles lentravait toujours.
- Viens vers nous maintenant.
La manuvre ne fut pas aisée mais elle avança lentement vers son maître, arrivée face à lui il lui plaça la tête contre son entrejambe.
- Maintenant tu vas ouvrir mon pantalon avec ta bouche et sortir mon sexe.
Elle approcha sa bouche et du sy reprendre à plusieurs fois avant darriver baisser la fermeture éclair, elle pris le bord du slip avec les dents et le fit descendre dévoilant un sexe tendu.
- Maintenant tu as droit à ta récompense , suce moi comme tu sait si bien le faire.
Ne pouvant saider de ses mains entravées elle le pris en bouche et commença son office.
Lautre homme sétait placé derrière elle et lui enfonçait ses doigts dans son sexe humide allant au m^me rythme que la fellation.
Il introduisit un god énorme dans lorifice et commença un mouvement de va et vient ponctué de pincements sur les fesses.
Son maître appuyait sa tête afin que la caresse soit plus profonde et dune main tirait sur les pinces fixées aux seins.
Elle poussait de petits gémissements de douleur mais aussi de plaisir.
Elle voulu se débattre lorsquelle sentit le plug perforer son anus.
Mais elle neu pas le temps , il était entier dans son anus quand son maître éjacula dans sa bouche.
- Avales ma chienne et nettoies ma queue avec ta langue.
Elle avala la semence et lécha le sexe tout le long, lapant comme un petit chat les quelques gouttes.
- Bien la séance est finie pour aujourdhui ma belle, tu vas pouvoir aller te doucher je suis fier de toi tu est vraiment la soumise dont je rêvais. Tu gardes le plug et vas te laver. Lui dit il en lui ôtant les liens et les pinces.
La douche chaude calma un peu les picotements sur son corps, le plug la gênait mais elle avait décidé dobéir.
Quand elle regagna nue le salon , les deux hommes avait rangés la pièce et rien ne laissait deviner la séance qui venait de se dérouler..
Elle se rhabilla et ils prirent congés de leur hôte.
Le chemin du retour se déroula comme la veille dans le silence, elle aurait aimé quil lui parle lui dise quil était content delle , elle aurait voulu quil la prenne.
Mais arrivé devant chez elle ,il lui ordonna de conserver le plug toute la nuit et de ne le retirer que le matin.
- Je te contacterai dans quelques jours lui dit il en lembrassant tendrement.
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