Collection Dominant - Dominé. Devant Mon Mari (2/3)

Ce qui m’arrive est autant étrange qu’extraordinaire.
Partis pour un repas entre amis, nous sommes enlevés dans une camionnette les mains attachées par des menottes avec une cagoule nous obstruant la vue mais nous permettant de converser.
C’est dans une sorte de cave, qu’après avoir ressenti des attouchements que je suis détaché de l’endroit où ils m’avaient pendu et que la cagoule m’est enlevée.
Christian mon mari l’est toujours et j’arrive à lui faire comprendre ce qui m’arrive et surtout ce que je vois.
Clouée à un pilori, une femme elle-même cagoulée se fait prendre par un grand noir.
Ses cris de jouissance doivent se mélanger avec les miens.
Nos bourreaux me font sucer deux queues blanches.
Je le fais avec l’accord de mon mari craignant que ces dominants ne deviennent plus violents qu’ils ne semblent l’être.
Qu’aurais-je fait si Christian m’avait demandé de me rebeller !
Surtout en ce moment où après m’être empalée sur une bite bien grosse et ferme, la deuxième après que je l’ai sucé vienne me sodomiser ?
Si nous avions affaire à des pervers séquestrant des couples pour mieux leur faire subir des plaisirs sexuels, la bite venant de taper mon anus serait entrée d’une seule poussée.
Là, ces millimètres par millimètre qu’il entre, m’apportant des sensations nouvelles.

- Jennifer, dis-moi, que te font-ils, que ressens-tu ?
Quand j’ai pris la copine de Luc mon copain en double pénétration, c’est moi qui l’ai sodomisé, c’était chaud et étroit.
- Oh ! Christian, me permets-tu de te dire que la situation commence à me plaire.
Tu vas me voir comme une roulure, une sale pute.
- Comment parles-tu, je t’ai donné mon absolution pour te laisser faire, quand nous serons libres, jamais je ne t’en reparlerais ?
- Tu permets que je jouisse, ils sont tous les deux en moi.
- Que fait la femme avec sa tenue de cuir ?
- Elle est devant le pilori, la femme qui y est doit avoir un trou à la hauteur de sa bouche, elle lui lèche la chatte.


- Que préfères-tu, deux bites en toi ou cette femme qui te lèche ?
- Tu t’égard oh !
Excuse, ces bites qui coulissent oh !
En moi, vont me font jouiiir, oh !
- Arrête de parler et soit heureuse mon amour, je ne vois rien, je me bouche les oreilles.
- Merciiii chériiii.

À part le bruit de la femme qui se fait prendre en même temps qu’elle lèche la femme en cuir, le seul bruit que j’entends ce sont mes cris de plaisir.
D’un coup l’un lâche son sperme dans ma chatte suivi de l’autre dans mon anus.
Inutile de dire à Christian que la langue de celui sous moi est dans ma bouche, la mienne tournant avec elle, même s’il semble accepter la situation.
De toute manière, elle m’empêche d’émettre le moindre son.
Derrière moi on semble ne pas vouloir être en reste à ce moment là, car lorsque je tourne la tête, la langue de mon sodomite vient prendre la place.
C’est le seul moment où j’ai l’impression de tromper mon mari.

- Jennifer, il me détache, et toi !

Un moment avant que je ne retrouve l’usage de ma bouche, un blanc se fait.

- Ils viennent de sortir de moi, je dégouline de sperme, ils me remettent la cagoule et les menottes.
- Je t’entends de nouveau en sourdine, on m’emmène.
- Moi aussi.

Je retrouve le froid du plancher de la camionnette.
À l’aller j’avais Christian à moitié sur moi, là c’est moi qui suis sur lui.

- Adieu mon amour, j’ignore ou on nous emmène, peut-être allons-nous être tués et jetés dans une décharge publique !
- Tu me fais peur, tu m’as dit de faire tout ce que l’on me demandait pour recouvrer notre liberté.
- Dis-moi, je sens qu’elle chose le long de ma jambe, tu bandes.
- Tu as pris ton pied, je suis resté sur ma faim, j’ai adoré que tu m’expliques ce que l’on te faisait.
Tu crois que je suis un pervers.
- Dès le début, tu m’as mise à l’aise afin que cette épreuve se passe sans traumatisme pour moi.

À part mon anus qui a un peu mal mais ça va certainement disparaître, si on nous libère, j’aurais passé une soirée extraordinaire.
Mince Évelyne et Gaëtan, que vont-ils penser de notre absence.
- Il doit être tard, je les appellerais demain matin.

La voiture s’arrête, je sens qu’une nouvelle fois on me tire à l’extérieur.
Une portière, je sens que je viens de m’asseoir dans notre voiture car mon siège se règle comme chaque fois.
J’entends le bruit d’une voiture démarrant.

- Jennifer, c’est fini, enlève cette cagoule, on est dans notre voiture.

Je suis heureuse de retrouver l’air libre.
Nous tombons dans les bras l’un de l’autre.

- Tu vois j’avais raison, ils ont dû voir que nous ne valions rien et nous ont libérés.
- Tu vas m’en vouloir de mettre comporter comme une vraie salope.
- Non mon cœur vient dans mon bras, tient embrasse-moi.
- J’ai la bouche remplie de la salive de ces deux mecs qui m’ont prise tous les deux.
- La salive, tu ne me l’as pas dit, tu t’es laissé embrasser.
- C’était dans l’action et j’avais la bouche pleine.
Tu vois tu m’en veux.
- Non, tu as bien fait, rentrons, tu vas prendre un bon bain réparateur.

Ça fait quatre jours que nous sommes de retour, conformément à ce qu’il m’avait promis, aucune fois nous n’avons reparlée de la nuit dans cette cave.
En revanche, je retrouve l’amant de nos débuts, tous les soirs jusqu’au vendredi, ma chatte est honorée.
Il vient de me prendre en levrette, je suis à deux doigts de lui demander de me sodomiser.
Hélas, je n’ose pas, j’ai peur que le souvenir de la nuit où il a accepté que je sois prise par d’autres ne ravive la douleur qu’il a dû avoir à entendre ce qu’ils me faisaient.

- Chérie, j’ai fait un effort pour être près de toi après ce qu’il nous est arrivé.
Hélas, demain, je dois recevoir une délégation en vue d’un gros contrat, je rentrerais tard dans la nuit.

- Bien mon amour, je t’attendrais tranquillement.
Je me suis acheté le dernier Marc Levy « Ghost in love » vu l’épaisseur, j’en ai pour un bon moment.
Tu sais que lorsqu’un livre me plait, je le dévore de la première à la dernière page.
- C’est bien, bonne nuit, j’ai beaucoup aimé te prendre en levrette.

Le lendemain samedi, il part dès le matin.
Comme je lui ai dit, en début de soirée je prends mon bain commençant mon bouquin dans l’eau.
Je viens d’en sortir et m’essuyer quand on sonne à la porte.
Qui peut venir à cette heure, notre immeuble est protégé par un Digicode, la personne ne peut venir que de l’intérieur.
Surement Lydia ma petite voisine qui a dû encore oublier d’acheter quelque chose.
Elle est gentille Lydia, quand je la vois soumise à Franck son mari.
Elle me fait pitié bien que depuis ma soirée dans la cave, quand j’analyse les moments que j’ai passés j’ai aimé être dominé par Christian même si ce n’a été que par la parole.
Je dis bien dominé car ses injonctions à rester calme me poussaient à tout accepter.

Je passe mon peignoir et enfile mes mules me dirigeant vers la porte tout à fait confiante.
J’ouvre.

- Que me voulez-vous, qui êtes-vous ?

Derrière la porte, deux hommes, certainement les mêmes que ceux qui m’ont fait jouir dans la cave en me pénétrant en double pénétration la semaine dernière.
Je n’ai même pas le temps de crier que l’on me passe une cagoule un peu différente de celle de l’autre fois car je peux respirer plus facilement ma bouche n’étant pas obstruée.
Une nouvelle fois, je sens ma bouche obstruée par un morceau de tissu.
C’est désagréable
Le calvaire recommence.
Je suis chargé sur l’épaule du plus balaise du moins c’est ce que je sens malgré les menottes qui l’on m’a placé sur mes pieds et mes mains.
Ils prennent l’ascenseur retrouvant certainement la camionnette nous ayant déjà transporté samedi dernier quand nous allions chez Évelyne et Gaëtan.

Nos amis, Christian m’a dit qu’il les avait appelés et qu’ils nous avaient pardonné de n’être pas venus.

Le sol de la camionnette est toujours aussi inconfortable surtout que là je suis seule.
Pas de Christian pour me rassurer.
Comme la première fois, elle s’arrête, je suis de nouveau chargée comme un vulgaire sac à patates.
Par chance, le morceau de tissu sort de ma bouche.
Dans le déplacement, j’ai perdu mes mules et je sens que mon peignoir même s’il est sur moi ne doit pas cacher grand-chose.

- Déposez là au pied de mon trône.
Bonjour Jennifer.
- Qui êtes-vous et ou suis-je, dans la cave comme la semaine dernière ?
- Faite là taire.

La voix qui parle me parvient de façon très caverneuse.
L’homme qui parle et qui semble donner des ordres doit avoir un système pour que sa voix me parvienne déformer.

- Aie.
- Petite nature, Cruella plus fort, je veux voir ses fesses bien rouges.

Les coups redoublent.

- Pourquoi me battez-vous qu’est-ce que je vous ai fait.
- Maître.
- Pardon !
- Qu’est-ce que je vous ai fait Maître ?
- Comment, je n’ai qu’un seul Maître, c’est Christian mon mari ?…

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