Samia - 45 La Fessée De Trop.
La fessée devant toutes les ouvrières, ça ne passe pas ! Depuis, plus personne ne me respecte... Si je croise des ouvrières, il y en a toujours une qui va me balancer un truc du genre "Encore chaud aux fesses, Comtesse ?" ce qui les fait bien rigoler. Si ce sont des ouvriers, l'un d'eux va faire mine de me prendre sous son bras pour me fesser ! Jen ai plein le cul !
Lorsque je men suis plainte auprès de mon beau-père, il ma répondu, agacé :
Difficile de renvoyer tout le monde.
Connard !
Et il y a pire. Quand cet enfoiré de Max ma fessée devant les ouvrières, lune delles avait un appareil photo et elle a fait 36 vues de mes fesses et de la fessée. Les photos se vendent comme des petits pains et circulent dans toute lusine !
Il y a même un atelier où il y a un agrandissement de mes fesses toutes rouges sur un mur ! Quand jai demandé à mon beau-père de faire enlever la photo, il ma répondu :
Cest flatteur Samia. Dailleurs, moi-même, jaime beaucoup cette série...
Double connard !! Il ajoute :
Noublie pas, rendez-vous au restaurant à 7 h 30' avec Giulia...
Jai envie de faire la chieuse, alors je lui dis :
Ce soir, cest pas possible
Oh quil naime pas ça ! Il répond :
Pourquoi ?
Si vous ne faites pas enlever cette photo, cest non pour les soirées...
Ça, il aime encore moins, car il a vraiment besoin de nous pour ses clients et même pour lui. Alors, il me dit :
Daccord, je la ferai enlever.
Yes !
***
En début de soirée, Giulia et moi, on arrive dans le bar de lhôtel où mon beau-père reçoit ses clients. On est habillées classe mais sexy et normalement, les filles seules un peu trop séduisantes ne sont pas les bienvenues. Heureusement, le barman me connaît bien. Et puis, mon beau-père est un très bon client. Le barman vient membrasser en disant :
De plus en plus belle.
Merci, cest gentil.
Jai rêvé de toi...
Cétait convenable ?
Non, pas du tout : on était tous les deux nus dans une prairie et, grisé par ton parfum, je bandais contre tes fesses chaque fois que tu te baissais pour cueillir des fleurs... et puis, on s'est déshabillés, on s'est embrassés...
En tant que Comtesse de Préville, je devrais lui dire "Non mais, ça ne va pas jeune homme ? Restez à votre place !" Mais en tant que Samia qui joue les... escortes, je lui réponds :
Ça peut se faire... si tu sais où il y a une prairie.
Je suis un peu fauché, hélas.
Tu baises bien ?
Je te lécherai des pieds à la tête et je bande déjà comme un... âne.
On rigole et puis, j'aime bien les ânes. Mon beau père arrive avec trois hommes et deux filles. Deux dentre eux sont des gens importants de lusine, qui doivent siéger au conseil dadministration. Ils sont sûrs deux comme les riches peuvent lêtre. Le troisième est le commercial ayant fait le plus gros chiffre de ventes, lui est plus sympa.
Je râle dautant plus que, cette fois-ci, ma réputation... est morte et enterrée. Jusquà présent, on devait dire que jétais une nympho, maintenant, ça va être nympho et pute... Cest beaucoup !
Je continue à flirter avec le barman, jusquà ce que mon beau-père vienne vers nous. Il me dit :
Et alors, Samia ?
Ah vous êtes là, je ne vous avais pas vu.
Tu mens !
Ce nest pas poli de dire ça, beau-papa. Et de votre côté, ce nest pas sympa de ne pas mavoir prévenue que...
Il me prend fermement par le bras et me fait descendre du tabouret en disant :
Ton travail, cest de baiser et avec le sourire, que ce soit avec des clients ou nimporte qui dautre.
Ce sont des gens de lusine, cest très gênant.
Il rit, puis dit dun ton un peu trop méprisant à mon goût :
Gênant pour ta réputation ?? Ils ne te reconnaissent pas. Pour eux, tu es une petite pute, cest tout. Allez, viens maintenant et en souriant !
On rejoint les autres qui sont déjà bien entamés.
Je crois que vous avez encore perdu des cheveux, vous devriez utiliser du Petrole Hahn.
Je lentends presque grincer des dents. Bien fait !!
Le repas se passe bien, je les amuse même en imitant mon beau père quand il est de mauvaise humeur. Tout le monde rit, sauf lui... Un homme soccupe de Giulia et je laisse la grosse patte de mon voisin me faire un brin de cour. Le repas terminé, on monte dans la chambre.
Mon beau-père dit :
Les filles, à poil ! Et faites un petit numéro pour nous faire bander.
Julien me regarde et je lui fais « oui » de la tête. Il a beau expliquer quil nest pas gay, ici, il fait la fille. Quand on est nues, je caresse Chloé qui est une jolie rousse... Les hommes ont déjà attrapé Julien-Giulia et ils jouent avec son petit sexe en riant.
Mon beau père me dit :
Je tai déjà connue plus chatte avec Chloé, elle ne te plaît plus ?
Jaime beaucoup Chloé... Par contre, jaime moins que vous me cachiez toujours quelque chose. Et puis, la montre Cartier que vous mavez donnée retarde, elle serait pas made in China ?
Je le regarde... non, je le défie ! Au lieu de péter un plomb, il me répond en souriant :
Tu es payée pour baiser et sourire. Mais au lien de ça, tu fais la gueule, tu es insolente et ingrate. Tu sais ce quon fait aux gamines insolentes ?
Putain ! Quest-ce quil me prépare ?
Il va ouvrir la porte de la chambre en disant :
Entrez, cher ami...
Max Desallié apparaît en souriant. Je regarde autour de moi, comme une lapine qui se réveille au milieu dun congrès de renards. Je suppose que tout était prévu. À part Giulia, ils me regardent en souriant, même les filles.
La fessée na pas suffi à te faire comprendre où est ta place, alors jai pris ceci !
Il sort un... martinet dun sac en papier brun ! Un vrai, avec un manche en bois et des lanières de cuir, quil agite en mexpliquant :
Il était accroché à un clou dans notre cuisine et je tassure que mes surs et moi, on filait droit !
Je crie :
Cette fois-ci, il y a des témoins qui ne sont pas sous votre coupe. Regardez...
Je désigne la fenêtre du doigt, ils se retournent pour regarder et jen profite pour bondir en direction de la porte de la chambre. Hélas, Max est plus rapide que moi et il matt**** par le bras. Jessaye de lui donner un coup de pied dans les couilles, mais je les rate, malheureusement. Max me jette à plat ventre sur un lit en disant :
Les deux filles, vous tenez ses poignets et deux hommes soccupent de ses chevilles.
Ils me sautent dessus pour mimmobiliser, même les filles que je connais bien. Comme je continue de crier, Max ramasse ma culotte qui est par terre. Il me pince méchamment le bout dun sein et, lorsque je crie, il me lenfonce dans la bouche. Ça y est, la lapine la bien dans le cul ! Et pas dans le bon sens. Max leur demande :
Combien de coups de martinet ?
Mon beau père répond :
Dix sur les fesses.
Chloé :
Et dix sur les cuisses.
Sale garce, dire quon sest léché la chatte !
Un des hommes ajoute :
Et pour terminer, dix sur les mollets.
Je fais "Mmuuff, mmuuuff" à travers ma culotte, ce qui signifie "Salauds, je déposerai plainte chez les flics et Julien est témoin !" Bon, daccord il nest pas très crédible en Giulia... Max tâte mes fesses en y allant d'un petit commentaire... amusant :
Jadore fesser cette gamine. Regardez cette paire de fesses, elles sont faites pour ça !
Le martinet siffle et "Paf", les lanières mordent mes fesses. Jessaye de me libérer tout en faisant des "Mmmfff, mmmmfff" de douleur, mais même les femmes me tiennent solidement.
Les lanières séparpillent dix fois sur mes fesses, elles prennent feu ! Après sêtre arrêté, Max pose la main sur mon derrière brûlant en disant :
Maintenant, elle a vraiment le feu au cul...
Rires ! Il me demande :
Au tour des cuisses, prête Samia ?
Mmmfff, mmmmffff !
Les lanières sabattent sur mes cuisses, ça fait encore plus mal ! Je crie des "Mmmmfff" de douleur dans ma culotte. Après le dixième coup, il sarrête. Une fille lui dit :
Tu la ménages, mon père frappait plus fort.
Mmmffff !
Ce qui veut dire "Va brûler en enfer, sorcière !"
Pour terminer, je reçois dix coups sur les mollets et en fait, cest le plus douloureux de tout. Je me tortille comme une anguille piégée, impossible de me dégager ! De la taille aux chevilles, ma peau est comme en fusion !
Il arrête et les autres me lâchent. Je retire tout de suite la culotte de ma bouche. Je me retourne, puis je me lève, les jambes tremblantes. Je passe les mains sur mes fesses et mes cuisses. Les lanières ont laissé des marques boursouflées. Je dis à Julien :
Sers-moi à boire.
Il mapporte une coupe de champagne, que je bois dun coup, puis une autre. Vous croyez quil y a un malaise ? Même pas, ils jouent entre eux. Les hommes se font sucer par les deux garces qui mont tenue. Max sallonge sur le lit, en mannonçant :
Il paraît que tu as un numéro bien au point avec Julien, tu vas me montrer ça.
Vraiment gonflé, le salaud : il veut que je le suce, alors que jai juste envie de lui sectionner la bite dun coup de dents ! Je me couche quand même tête-bêche sur lui et relève ses jambes dans la position ridicule du bébé quon va talquer et langer. Je regarde Julien et il vient aussitôt enfoncer sa langue dans lanus de ce salopard. Je me vengerai de Max ! Je ne sais pas encore comment, mais en ce qui concerne mon beau-père, je sais.
Je vis cette soirée comme un douloureux rêve éveillé. Quand ils décident de partir, on se rhabille. Mon beau père me dit :
Tu ne vas quand même pas râler pour une petite fessée.
Vous voulez aussi prendre quelques bons coups de martinet sur les fesses, Monsieur ?
Il rit, puis répond :
Tu las bien cherché.
On est tous dans lascenseur. Je pousse sur le bouton rez-de-chaussée au lieu du sous-sol où sont les voitures. Mon beau père me demande :
Vous ne rentrez pas ?
Non, on va boire un verre au bar.
A suivre.
Pour parler de mes livres, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr
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