Maria A Dit
Le lendemain, je fus surpris dentendre de la bouche de Manu comme quoi sa cousine voulait de nouveau nous entrainer jusquà létang, et ça malgré ce qui cétait passé la veille.
Une fois sur place, la jeune femme nous proposa daller planter le parasol plus loin, à un endroit déserté par les baigneurs. Le sable y était moins beau, mais de nombreux buissons permettaient de prendre des bains de soleil à labri des regards. Elle nous expliqua avec un sourire équivoque, comme quoi nous serions mieux là, et encore plus pour elle pour lire. Très vite elle alla sinstaller en plein soleil, à plat ventre sur sa serviette. Une fois là elle sortit son livre et louvrit. Une tache de mouille se formait sous ses fesses, on aurait dit quelle avait pissé. Un cercle douloureux enserrait mon front et mes tempes. Là, lil brillant, Manu me murmura à loreille quil avait lintention de proposer à sa cousine de lui passer de lhuile solaire.
-Tu crois quelle va accepter ? Répondis-je.
-En verra bien !
Et là prenant une voix ajustée à la situation, elle sadressa à sa cousine :
- Cela te dirait que lon te passe de lhuile.
Elle hésita à répondre et prit le parti de rire avant de lâcher :
- Laissez-moi tranquille voulez-vous !
-Comme tu veux, mais tu niras pas de plaindre si tu prends un coup de soleil.
- Non, je te dis ! Fit-elle.
- Aller Maria. Dis que tu veux bien, insistais-je dune voix d gâté.
Maria abandonna sa lecture un instant, pour tourner son regard de notre côté, et après une hésitation, elle soupira :
- Bon, je veux bien mais pas plus haut que sur les cuisses. Et nen profiter pas pour aller au-delà.
- Promis Maria. Sexclama Manu.
Et elle se mit à nouveau à sa lecture, et cela alors quen lui enduisaient les mollets dhuile solaire. Quand nos mains remontèrent sur ses cuisses, elle referma le livre et posa la tête entre ses bras.
- Que cest bon ! Sexclama-t-elle. Vous avez les mains douces les morveux.
Je profitais jusquà plus soif de la jambe offerte en pâture. Mes doigts sattardaient sur la peau tendre sur les formes sensuelles. Je divaguais alors que mes mains malaxaient tout ce quelles touchaient. Pour sa part, elle se laissait toucher lintérieur des cuisses. Mais elle sursauta quand mes doigts frôlèrent lempiècement du slip.
- Tu as froid. Minquiétais-je en remarquant sa peau, shérissée de chair de poule.
-Pourquoi veux-tu que jai froid ? Bon les gars merci, fit-elle en se redressant sur les coudes pour regarder autour de nous.
- Ne tinquiète pas. Il ny a personne. La rassura Manu.
Dun geste décidé, il échancra le slip en nylon, dénudant ainsi les fesses. Elle eut bien un raidissement de tout le corps, avant desquisser le geste de se rajuster le plus vite quelle le pu, maladroitement bien sûr.
- Non pas ça ! Lâcha-t-elle. Vous maviez promis.
Au lieu de sarrêter là, le même Manu lui pinça le gras des fesses.
- Laisse toi faire, fit-il en prenant une voix de dur. Je suis certain que tu veux mais que tu noses pas.
Je crus sur le moment que Maria allait se rebeller. Dailleurs, si elle laurait voulu, elle aurait eut assez de force pour nous gifler tous les deux sans quen osent dire quoi que ce soit. Mais ! Mais à notre grande surprise, poussant un soupir, elle ploya la nuque jusquà appuyer le front sur sa serviette. Surpris, nous nous regardâmes avec Manu, désorienté par son laisser-aller de la jeune fille. Elle souffla dune voix adoucie.
- Ne me faites pas mal, cest tout ce que je vous demande. Lâcha-t-elle, en rentrant la tête dans ses épaules et creusa les reins. Les odeurs de sa sueur auxquelles se mêlaient les senteurs pisseuses de son slip, maffolaient. Les narines dilatées, je mapprochais le plus possible pour respirer son parfum de femme en rut.
- Comme tu es chaude ! Sémerveilla Manu. Retrouvant sa voix de petit garçon.
Grisés par notre audace et la passivité de Maria, nous tirâmes chacun sur une fesse pour lui ouvrir le cul. Elle poussa un cri étouffé en se raidissant. Lodeur épicée monta de plus en plus à mes narines. Loin de m écurer, les parfums intimes de la jeune fille mencourageait à aller plus loin. Je me penchais, jusquà coller mon tarin dans sa raie moite, me grisant de ses odeurs secrètes.
Maria enfonça ses doigts dans le sable, comme des griffes. Elle secoua la tête en poussant de petits grognements. Elle tendit une main par-derrière et protesta sans conviction.
- Je ne sais pas si je dois ? !
- Justement Cousine, tu dois le faire ! Ajouta Manu.
Je profitais quils discutent pour scruter son fessier. Elle avait un anus charnu, si bien serré quon voyait tous les plis en étoile. Une ligne rose séparait le cul en deux, sépaississant entre les cuisses pour montrer son sexe. Je visais un doigt dans le trou du cul qui se desserra au contact. Maria, le nez dans le sable, protestait, sans se dérober, poussant même un râle étouffé. Je mautorisais de promener mon doigt mouillé sur la rondelle brune. Lanus se desserra comme apprivoisé, puis se renfla doucement. Du bout de lindex, je le déplissais. Maria, toute molle, respirait plus fort dans ses bras pliés. Pendant ce temps là, Manu glissa sa main plus bas jusquà lombre des cuisses, où se devinait le renflement des babines. Jobservais, fasciné, le manège contradictoire de la jeune fille qui protestait tout en restant offerte.
Je découvrais le pouvoir du plaisir. Dagréables agacements me chatouillaient le bout de la pine, compressée dans mon slip de bain. Je nosais pas la sortir et me soulager.
Maria voulut serrer les fesses, alors je la fessais. Elle grogna dimpuissance.
- Mais, mais cest sale !
- Je ne trouve pas. Répondis-je.
Elle haussa les épaules en roulant des yeux. Jeux un rire énervé que jétouffais en me mordant la main. Je continuais à branler son trou, le nez dans la raie ouverte. Manu, rêveur renifla son doigt luisant de mouille. Il acquiesça, les yeux pétillants. Maria, comme si elle venait de deviner ce quen complotaient, leva la tête en poussant un grognement de révolte. Mais aussitôt, comme prise dune soudaine faiblesse, elle inclina la nuque. Elle crispa le cul alors que jy avais mon index enfoncer dans son entier, constatant par la même occasion quil était habité.
-Dis cousine cela te dirait de te masturber devant nous ?
-Et pourquoi ferais-je cela ?
-Pour nous faire plaisir, quoi ?
Maria résistait. Comme nous insistâmes, elle consentit à souvrir delle-même, à condition que lon promette de ne pas toucher. Nous retirâmes nos mains, et Maria, avec un gémissement presque inaudible, écarta delle-même les cuisses, puis remonta ses genoux dans le sable. Pendant ce temps je scrutais mon doigts, pour mapercevoir que javais quelques traces de ma visite dans le cul de Maria. Cela ne mempêcha pas de le porter à mes narines.
- On ne voit pas bien. Lâcha Manu à sa cousine, alors que jhumais mon doigt.
Elle sursauta et poussa un ronchonnement dagacement. Et là, pour notre plus grand plaisir, elle passa ses mains par-derrière, elle souvrit en creusant les reins. Puis elle tira fort, comme pour sarracher les fesses et resta figée dans sa position. Sa respiration oppressée montrait quelle éprouvait elle aussi un plaisir intense, elle ne tentait même pas de le dissimuler.
Il y eut un long silence. Manu le souffle court, dun geste machinal commença à se branler à travers son slip de bain. Javais mouillé le mien. Je navais jamais éprouvé une jouissance aussi intense, ma pine laissait couler un liquide gluant qui dessinait une tache sur le devant de mon maillot.
Maria bombait le cul, offrant son anus assoupli et les deux bourrelets de sa chatte que sa position élargissait. Fasciné, nous ne quittâmes pas des yeux la blessure un peu écurante, exhibée au milieu des poils. Les bordures bâillaient, laissant voir des languettes sanguines, qui ressortaient comme les nymphes baveuses dun gros coquillage. Elle respirait fort, à chaque expiration ses bourrelets senflaient, libérant les languettes qui se déplissaient avec paresse.
- La salope nous montre tout, chuchota Manu en se penchant.
Il passa son doigt dans la fente, décollant les petites lèvres qui se mirent à pendre. Maria se contenta dun grognement, étouffé par sa serviette de bain. Mais elle tira encore plus fort avec ses doigts pour bien sécarter les fesses. Je sentais quelle aimait ça. Lanus creusé se fronça avant de dessiner un trou sombre au milieu des chairs roses. La vision me donnait le vertige.
Je décidais enfin à baiser mon slip pour me saisir de ma verge. Je croisais le regard de Maria et ressentit une bouffée dexcitation supplémentaire. Les yeux rivés sur elle, je me branlais.
- Elles te plaisent nos bites ? Demanda Manu, avec une drôle de voix.
Maria eut un drôle de sourire. Manu avait lui aussi baissé son slip aux genoux. Exhibant devant le visage de la jeune fille une bire longiligne au bout décalotté quil branlait avec vivacité.
Cramoisie, elle nous regardait nous masturber, avec un drôle de sourire aux lèvres. Elle avait une façon excitante de tirer la langue. Comme si elle voulait nous les sucer pour les faire gicler plus vite.
Je tirais ma queue vers le bas et aspergeai le sable de ma jouissance. Pour sa part Manu se libéra sur la cousine. Lui souilla les cuisses à grosses gouttes.
Lexcitation retombait, honteux, nous retournâmes dans le quartier.
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