La Palombière
Voilà plusieurs centaines de mètres quelle est annoncée par des panneaux verdâtres, cloués sur les chênes de la forêt périgourdine, avec les recommandations dusage. Au détour du chemin elle sélève là, majestueuse, en deux tours solidement plantées au milieu des hauts chênes reliées par une étroite passerelle. Leurs plateaux sommitaux dépassent la cime des arbres et sont recouverts de filets militaires de camouflage. La plus grande des deux est accessible par une étonnante échelle hélicoïdale. Il fait plus de 40°c et je me liquéfie faute du moindre souffle dair. Je choisis le coin le plus à lombre pour faire ma pause. Ma légère vêture est trempée de sueur et renforce limpression de chaleur. Je finis par men séparer hormis mes chaussures et madosse à un arbre. Cest à ce moment, sans que je laie entendue auparavant quun petit SUV rustique apparait au tournant du chemin. Lorsquil passe devant moi lhomme au volant, un cinquantenaire portant beau, me salue et dit son regret dêtre trop pressé pour me faire visiter lédifice. Il promène un regard gourmand sur mon anatomie que je ressens comme une séance de pelotage. A peine est-il parti que je suis rhabillé et en marche. Chemin faisant, je finis par mexciter tout seul en me remémorant loccasion ratée. Je mimagine faisant lamour avec cet homme au sommet de ce bel édifice. Mon bas ventre et mon cul séchauffent et je ralentis lallure pour ne pas le manquer sil revenait. Je réfléchis mon itinéraire en fonction de celui le plus probable de la voiture.
Soudain dans une pente une nouvelle tour se dresse devant moi. Je nen ai jamais rencontrée daussi bien finie avec sa haute plateforme couverte bordée de barrières, son interminable échelle aux larges marches sécurisée par des arceaux, ses piliers empruntés aux plus hauts des échafaudages, ses multiples haubans obliques fixés aux arbres ou verticaux scellés dans des plots de béton. Rien quà la voir, on a envie de se hisser jusquà son sommet pour profiter du paysage.
A peine posé au sol, le vacarme assourdissant dun véhicule tout terrain qui gravit le chemin pentu me parvient crescendo. Un imposant 4x4 dun autre âge sarrête devant moi et deux hommes en jaillissent. Le premier, râblé, le poil blond et le visage poupin descend sans me prêter attention et se dirige vers linstallation. Il soccupe à déverrouiller la barrière et la plaque de sécurité de lescalier. Le second, bien plus maigre, beaucoup plus âgé et dégarni, sintéresse immédiatement à moi. Il a un regard clair et sautillant qui me met mal à laise. Il me déshabille des yeux sans vergogne, souriant, un rictus à demi sarcastique vissé au coin des lèvres. Décidément, les chasseurs du coin sont dhumeur friponne ! Il éructe dune voix éraillée: « Une visite privée de lédifice vous tente ? Je serai heureux de vous faire apprécier lintimité de ce lieu ! » Je ressens lallusion salace sous lapparente courtoisie mais me sens curieusement flatté de lattention quil me porte. Jaccepte vite, trop peut-être et me dirige vers léchelle, une main encombrée de mes affaires.
Dès les premières marches, aucune ambigüité ne subsiste. Le vieux, qui monte derrière moi, pose une main sur mes fesses et les pelote puis, au gré de lascension, la fait glisser entre mes cuisses jusquà atteindre mon sexe. Je me surprends à mécarter un peu pour faciliter la caresse.
Très vite, la longue et fine queue du vieux pénètre mes viscères et remonte doucement en moi. Je ressens chaque étape de sa progression comme un nouveau dépucelage. Je suis impatient de sentir ses couilles contre les miennes et de laisser son phallus coulisser en moi pour menflammer de bonheur. Le jeune, à ce moment, cesse de branler sa courte queue et la rentre profondément dans ma bouche. Lorsque le vieux commence à me ramoner, ma langue et ma lèvre supérieure tètent en cadence la jeune bite durcie. Curieusement, ma bouche est aussi excitée que mon cul, ma gorge que mes intestins. Les mains osseuses du vieux pétrissent vaillamment mes hanches, celles potelées du jeune pressent mon crane au niveau des oreilles et facilitent le coulissement de son sexe vers ma gorge. Lancien simpose comme le maitre du tempo tandis que son alter ego se contente daccompagner le mouvement. Ils me besognent longuement alternant de courtes accélérations et de longs moments dune incroyable lenteur.
Je les entends parler entre eux et je prends conscience quen commentant mes exploits, ils sont en train de sexciter à nouveau. Au bout de quelques minutes, ils me placent à plat ventre au sol et pelotent lintérieur de mes cuisses et de mes fesses. Lancien saisit fermement mes mains tandis que le jeune écarte mes jambes et entre dans mon cul. Lorsquil se couche sur moi, il pousse mes mollets de ses pieds pour me maintenir aussi ouvert que possible. Sa main se glisse sous mon bassin et branle ma bite encore tendue. Je me soulève mais il mécrase de tout son poids faute de ne pouvoir totalement se tenir avec sa seule main libre. Sa verge est plus grosse que celle de son compagnon et me dilate encore. Par contre, elle est plus courte et entre et sort de mon cul en sollicitant plus encore les parties les plus sensibles de mon entre fesses. Il sagite brutalement et me met rapidement en transes. Nos deux peaux frappent lune contre lautre rapidement en un bruit sec. Après quelques minutes, je hurle de plaisir et crache un peu de semence sur le sol. Il continue à me besogner avec vigueur tandis que je salue chacun de ses mouvements de cris aigus. Lui aussi décharge dans mon cul et se laisse tomber sur mon dos. Mon ventre saplatit au sol et nos peaux collantes de sueur fusionnent. Je reste là complétement écartelé, scellé au bois de la plateforme, envahi du corps massif de mon jeune amant.
Il sest à peine lourdement retiré que lancêtre me soulève en me tenant par la taille, prouvant ainsi une force peu commune. Je reprends pied, léchine courbée et me saisis de la rambarde métallique pour assurer ma stabilité. Je nai pas le temps de penser à me redresser plus que déjà je sens ses pieds pousser latéralement les miens pour les écarter au maximum. Je nai aucun doute ainsi plié en angle droit, fesses en lair, cul offert sur ce qui va se passer à nouveau. Je sens la fatigue me gagner et, en même temps, jaspire à être à nouveau défoncé par cet être noueux au regard pervers. Je sens sa queue qui passe allégrement mes sphincters anaux, ses couilles qui claquent contre mon entre-jambes et jentends le bruit caractéristique de son ventre contre mon cul. Il sagite en poussant des « han » de bucheron à chaque mouvement. Ses mains serrent fermement mes hanches. Voyant que je suis stablement appuyé sur mes pieds et que mes mains enserrent puissamment la barre, il laisse glisser ses doigts jusquà mes attributs. Il appuie son ventre sur mon dos qui séchauffe du frottement rapide de nos peaux. Il commence à malaxer fortement mes bourses tout en branlant mon sexe comme sil voulait à tout prix rendre ce moment douloureux. Il y réussit assez bien car ce geste provoque un réflexe de resserrement de mon cul quil a plaisir à défoncer de plus en plus violemment tout en serrant ses mains de plus en plus fort. Je pousse à chaque mouvement des grognements de douleur. Jai mal et tout cela me parait interminable quand, soudain, je sens des jets chauds et saccadés remonter dans mon colon et lentends hurler de plaisir alors quil me broie littéralement les bourses et la bite. Nous restons ainsi, lun dans lautre, lui repu et détendu, moi fatigué et douloureux. Quelques secondes sécoulent et je vois mon sac et mes vétements jetés du haut de la palombière dans le chemin et suis poussé vers léchelle. Nu et sale, le bas ventre et le rectum douloureux, les tripes remplies de semence, je commence à descendre de façon malhabile. Mes hôtes mobligent à coup de pieds à accélérer le mouvement et me voici sur le chemin. Lorsque je reprends possession de mes affaires, rien ne paraît avoir disparu si ce nest le descriptif du gîte ou je réside. Peu importe ! Je reprends calmement en écartant un peu les jambes le chemin du retour. Quel inoubliable moment !
Le lendemain soir vers 23h30, je lis nu dans mon lit, fenêtrée ouvertes à cause de la chaleur. Les lumiéres du village viennent de séteindre lorsque je mentends appeler à voix basse. Je me lève et me penche à la fenêtre. Mon vieux chasseur de palombes est là dans la semi obscurité. Il murmure : « Descends sans te rhabiller. Je te veux à poil pour mon plaisir. » Jhésite. Je finis par sortir car jai aimé la veille être ainsi soumis. « A genoux ! » murmure-t il. Je mexécute tandis quil baisse son pantalon, dévoilant sa verge dressée. Je la gobe servilement. Il saisit mes joues et commence à me baiser profondément la bouche au point quil heurte ma gorge. Je bave abondamment. Je crains quune voiture passe sur la route et dapparaitre honteusement nu et servile dans le pinceau de ses phares. Il sen moque. Sa queue une fois durcie, il me pousse vers le talus et me prend à quatre pattes sur lherbe. Ses mains se positionnent comme la veille mais sans violence. Nous faisons longuement lamour. Il me branle divinement et je finis par hurler ma jouissance dans le silence de la nuit. Je le sens à nouveau se soulager en moi. Je suis heureux, rempli de sa vie, toujours totalement nu à quatre pattes sur mon talus. Je lentends séloigner en disant : « Une telle salope mérite dêtre baisée toutes les nuits
Quel plaisir de te voir bouger de façon aussi obscène ! Demain je tencule encore
Sois là sinon je te trouverai et ce sera pire. Belle nuit ma pute ! » Je meffondre dans lherbe, exposé lascivement, tête en bas fesses en lair, aux regards de ceux qui passeront peut-être. Un filet dair rafraichit mes organes. Demain je lattendrai !
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