Une Panne Vite Oubliée
Cette histoire sest passé il y a quelques années. Jétais sorti en boite de nuit,, Avec un copain, espérant en sortant, aller faire des photos de lever du soleil sur la Méditerranée. Malheureusement, la soirée ne sétait pas passé comme prévu, et vers 4 :00 du matin, fatigués, nous avions décidé de rentrer. Le sort sacharne sur nous puisque À la sortie dArgelès, ma voiture sarrête subitement. Jessaie de redémarrer, je me rends compte rapidement que je suis en panne dessence. Tandis que mon passager maudit mon imprévoyance, je pars à pied vers une station service que jai aperçue un peu plus haut. La station est évidemment fermée et il est donc impossible de se ravitailler. Je décide donc de retourner à ma voiture. Alors que je marche le long de la route, la porte dune maison souvre, et, après quelques effusions joyeuses, une silhouette féminine se dirige vers une Renault cinq garée À quelques mètres. Je tâte le pas et rejoint la jeune femme avant quelle sengouffre dans sa voiture.
-«excusez-moi mademoiselle, Je suis en panne dessence un peu plus haut. Est-ce que vous nauriez pas un bidon dessence, ou peut-être vos amis que vous venez de quitter ?»
-«non je suis désolée, mais nous allons demander à mes amis si il pourraient vous dépanner.» Après avoir frappé À la porte de la maison et consulté ses amis, je ne suis pas plus avancé. Je mapprête À regagner ma voiture ou mon ami Lucas mattend quand la jeune femme minterpelle. -«si vous allez vers le Boulou, je peux peut-être vous déposer.»
-«cest gentil mais ma voiture resterait là.» -«de toute façon Elle va rester là. Vous pourrez toujours revenir la chercher avec un bidon dessence demain.» Jembarque donc À ses côtés, et après une halte pour récupérer Lucas, nous voilà partis. Jexplique À la jeune femme que nous allons un peu plus loin que le Boulou. Elle naura quà nous laisser à la sortie du village et nous finirons en stop. Avec un bref rire, Elle nous signale que, vu lheure, nous auront du mal à trouver une voiture.
Marie-Josée Vermer, Kinésithéute
Quelques jours plus tard, je lappelle, mais japprends quelle se trouve à Argelès pour des visites. Comme jy serais en fin daprès-midi, je lui propose de nous retrouver.
Je suis installé à la terrasse dun café, depuis une demi-heure, quand elle arrive enfin. Dans le soleil de fin daprès-midi, je la détaille tandis quelle sapproche. La lumière dans dans ses cheveux blonds qui encadrent son visage légèrement hâlé. Son chemisier bariolé tranche avec le jean blanc, et des nu-pieds assortis. Ses cuisses sont pleines et ses hanches larges de femme épanouie nempèchent pas la silhouette élancée car elle est assez grande. Elle sassoit face à moi en sexcusant pour son retard, mais je lassure que je viens darriver. Quand elle sincline pour lire la carte , son décolleté me laisse entrevoir des seins voluptueux, bien gardés dans un soutien gorge rouge en dentelle. Elle me raconte sa journée, ses patients. Elle aime lété et le soleil, mais pas la circulation compliquée par lafflux de touristes. Je lécoute distraitement, captivé par ses yeux verts. On maurait dit, il y a peu que je craquerais pour une femme de 15 ans mon ainée (elle ma avoué en avoir 37) je ny aurais pas cru ; et pourtant face à moi, cette jolie femme, plantureuse, mattire, alors quelle doit me prendre pour un gamin. Tant pis, je tends la main et att la sienne. Elle a un léger mouvement de recul, mais finit par mabandonner sa menotte que je serre tendrement.
-« Mais quest-ce que vous faites ? » murmure telle.
-« Je vous prends la main, pour vous faire sentir que vous me plaisez » réponds je en caressant sa main et en remontant sur son bras.
-« Enfin Steve, cest génant, on peut nous voir. »
-« Quelle importance ? Les gens penseront que je vous aime. »
-« Comment pouvez vous dire ça ? Et qui vous dit que je ne suis pas mariée. »
-« Rien, sauf vos derniers mots. »
-« Je suis avec quelquun. » dit elle
-« ce nest pas grave, je men accommoderais. » reponds-je
Ma main a quitté la sienne pour se poser sur son genou, sans, cette fois la faire sursauter.
-« Que voulez vous, enfin ? » ose telle
-« Vous, rien que vous.
-« Vous savez quel age jai ? » questionne telle, cherchant visiblement des arguments.
-« Oui, vous me lavez dit. Où est le problème ? »
-« Mais enfin, je pourrais presque être votre mère ! »
-« Pas tout à fait, jai quand même 22 ans. »
-« Vous pensez à la différence dâge ? » rajoute telle
-« Est-ce que ça veut dire que si jétais plus vieux, jaurais mes chances ? »
Prise au dépourvu, elle hésite.
-« Je ne sais pas ; cest ridicule à la fin, nous nous connaissons à peine. »
-« cest pourtant suffisant pour que je vous désire. »
« Vous me
? Oh cest trop. »dit elle tout bas en jetant des regards alentour pour vérifier que personne nécoute. Elle se lève, et fait mine de chercher dans son sac, de quoi rêgler, mais je lai devancée.
« Je dois y aller, maintenant » me dit elle, mais je me lève à mon tour
« Je vous raccompagne. »
Elle fait demi-tour et séloigne, mais je lai vite rejointe
« Marie-Josée, attendez. »
Elle fait mine de ne pas mentendre, et continue à avancer. Je la suis jusquà une petite place, où elle a garé sa voiture, à lombre des platanes. Elle sort ses clefs. Je latt par le bras et la fais pivoter, pour la coincer contre la voiture, et je lui claque un bisou sur les lèvres.
-« il fallait, quand même , que je vous dise adieu. » dis-je avant de lembrasser de nouveau et de rester collé à ses lèvres qui finissent par sentrouvrir, donnant libre court à mon baiser. Après de longues secondes, elle se recule, et me dit :
-« pas ici. » avant de sengouffrer dans sa voiture. Je fais rapidement le tour, et je monte, côté passager.
-« Vous pouvez me déposer à ma voiture ? »
-« Je suppose que oui » me dit elle « mais ne te fais pas didées.
Je la guide vers le parking ou je suis garé. Elle se range à quelques mêtres de mon auto.
Je me tourne vers elle.
« Merci Marie-José. » et je lembrasse à nouveau. Cette fois, sa langue répond à la mienne, et quand je lenlace, elle passe ses bras autour de mon cou.
-« Je suis désolée, ça nest pas possible » dit elle « trouve une fille de ton âge. »
-« Je comprends » mens-je . « Au moins laisse moi tinviter à diner, pour te remercier de ton aide. »
Elle semble réfléchir, et murmure
-« daccord, vendredi soir, je passerais te chercher. »
-« Je vais réserver un super restau. » dis-je en quittant sa voiture.
Le vendredi soir, je termine le service pour les clients du restaurant quand un de mes collègues vient me dire : « au bar, il y a quelquun pour toi. » Je finis de débarrasser une table et je me dirige vers le bar . Marie José, nest pas venue seule, hélas, et je vois déjà mes projets de conquète senvoler en fumée. Je fais néanmoins bonne figure, et vais saluer les arrivantes.
« Tu as vu, je suis venue, bien quil soit assez tard » me lance Marie-José en me faisant la bise. « Laisse moi te présenter, Gwénaelle, ma nièce, qui est en vacances chez moi pour un temps, et quon appelle Gwen. Gwen, je te présente Steve, à qui je suis venue porter secours, et qui nous invite pour me remercier. »
La demoiselle est plus grande dune demi-tête que sa tante. Elle est aussi plus charpentée, même si les proportions sont harmonieuses. Elle porte un jean et un tee-shirt blanc que ses seins , visiblement libres, semblent vouloir percer. Son visage est harmonieux et discrètement hâlé, ce qui fait ressortir deux yeux turquoise, sous un amas de boucles blondes, presque blanches. Comme entrée en matière, elle a un sourire narquois et lâche :
« cest sur quon sent bien quil a besoin daide, et de protection. »
« pas aujourdhui » me hatai-je de préciser. » Laissez moi quelques minutes pour me préparer, et nous partons. »
Javais réservé un restaurant assez réputé qui servait tard dans la nuit. Nous y passames un bon moment, dégustant les mets fins sous la voute étoilée de la terrasse. Marie José nous racontait des anecdotes de son métier de Kiné, et jessayais, de mon côté de me montrer aussi amusant que possible. Gwen, parlait peu mais participait quand même à la conversation par son écoute et ses rires. Sa tenue décontractée était à lopposé de sa tante qui avait, pour loccasion, choisi une courte robe colorée avec un profond décolleté creusant un sillon vertigineux entre ses seins opulents. Profitant de ma position (je suis assis à côté delle), je pose ma main sur sa jambe, qui se dérobe. Mais cest mal me connaître, et quelques instants plus tard je recommence. A plusieurs reprise, elle repousse discrètement ma main, mais finit par capituler devant mon insistance. Ecoutant dune oreille distraite la conversation, je fais glisser ma main vers le haut, accrochant, au passage, le bas de sa robe. Mes doigts sétendent vers la chair tendre de lintérieur des cuisses. Son visage ne laisse rien paraître, mais elle a stoppé ma progression en resserrant violemment les cuisses. Je ne peux, ni avancer, ni reculer, et elle finit par le comprendre. Elle relache un peu la tension sur ma main, et mes doigts libérés, qui senvolent pour venir frapper doucement sur une culotte qui je trouve plutôt humide. Petit à petit, ses jambes sécartent, et je nai quà repousser lélastique pour me faufiler sous le tissu et atteindre sa moiteur. Elle a un léger hoquet quand jintroduis un doigt en elle,mais elle me laisse le champ libre. Jen profite pour raconter la dernière histoire drole tout en imprimant un mouvement de rotation autour de son clitoris. Elle rit nerveusement, le rose aux joues sous le regard intrigué de sa nièce. Il est temps de reprendre une attitude un peu plus convenue.
Au retour, galanterie oblige, je laisse les deux femmes devant, et minstalle à larrière.
Arrivés chez Marie-José, celle-ci me propose de dormir sur place, dans le clic-clac du salon.
Tandis que je laide à préparer le lit, Gwen, qui était montée se coucher, redescend, et traverse la pièce vers le jardin :
« Il fait une chaleur de ouf, là haut ! je vais prendre lair dans le jardin. » dit elle avant de disparaître. Marie-josé me souhaite une bonne nuit et monte à létage. Je me deshabille et me glisse dans le lit, couvert juste par un drap. Jéteins, mais , sans doute à cause du café, jai du mal à trouver le sommeil. Vétu dun caleçon, je me lève et sors dans le jardin pour men griller une. Sous la lumière diffuse de la lune, allongée sur un transat, Gwen sest débarrassée de son jean, et son tee-shirt est remonté assez haut pour dévoiler la sienne, de lune, quelle a fort jolie dailleurs
« Ah, toi aussi tu crèves de chaud ! dit elle en tournant la tête vers moi. Le spectacle te plait ? »
« Je ne suis pas venu pour ça, mais tu as un joli postérieur. »
« Cétait une connerie, le jean. La prochaine fois je mets une mini. Tu ne peux pas savoir comme ça fait du bien, après avoir fondu dans un jean, de sentir lair frais caresser mon cul. »
« Bon, moi je vais te laisser. Il fait bon ici, mais le paysage ne va pas maider à mendormir »
« Tu es à létroit dans ton calbut ? »
« ça commence » concédai-je
« Je croyais que tu en pinçais pour ma tante. »
« Je nen suis pas moins homme. »
« hmmm, cest ça les mecs, en fait dès quun jupon passe à proximité, vous ne vous contrôlez plus. »
« cest un peu vrai « admis-je « mais le jupon est un peu court » dis-je en reprenant le chemin du salon tandis quelle me poursuivait de son rire.
Je me mis rapidement au lit, mais, tandis que je tentais de mendormir, jentendis des pas légers dans la pièce, et la lumière salluma dans la cuisine. Pensant que cétait Gwen, je me levais, en caleçon pour aller dans la cuisine où je tombais sur Marie-José. Elle sétait changée et portait un peignoir de soie noire sagement croisé sur ses formes généreuses.
« Gwen a raison, il fait une chaleur de fou en haut. Je suis venue chercher de leau » dit elle en me montrant la bouteille quelle tenait à la main. »
« Si tu veux, je sais quoi faire contre la chaleur » déclarai-je
« Ah oui, ça mintéresse, mais je nai pas de clim, ici »
« Pas besoin, laisse moi faire » dis-je en ouvrant le frigo. Je trouvai rapidement ce que je cherchais et sortis le bac à glacons. Jen saisis un gros et le fais légèrement fondre dans ma main. Puis, je commence à le promener sur le cou de Marie-José, qui, après un léger sursaut, me laissa faire en soupirant daise. Je remonte et la fais pivoter, dos à moi, relevant ses cheveux pour passer la glace sur sa nuque que je sens bouillante.
« Hmmm, ça fait du bien
» me lâche telle.
Je descends le long de sa nuque, de plus en plus bas, de plus en plus large, écartant le tissu pour dévoiler ses épaules. Je change le glaçon qui est maintenant fondu et continue avec un suivant. Je la fais retourner face à moi et ma caresse descend sur sa poitrine. La glace qui fond laisse échapper un filet deau qui sécoule dans la vallée entre ses seins, lui arrachant un frisson. Je suis le trajet et écarte les pans du vêtement autant que je peux, pour élargir mon massage. Je sens le tissu sécarter plus largement. La belle vient de dénouer la ceinture. Je suis maintenant sur ses seins dont les tétons, sous le froid, se dressent raides et durs. Dune main je les cajole, et de lautre je les glace. Marie josé, maintenant appuyée sur la table de la cuisine, soffre à mes mains sans retenue, entièrement dénudée face à moi. Un autre glaçon vient refroidir son ventre, en cercles concentriques autour de son nombril, jusquà frôler la toison fine soigneusement taillée qui orne sa fente. Je givre un peu les aines, avant de venir encercler son sexe brûlant, qui se tend vers moi. Je la laisse un peu attendre, puis mes doigts viennent longer sa fente, écartant un sexe humide qui appelle ma main. Jentre directement deux doigts dans sa grotte, et son bassin décolle de la table. Une courte caresse, et je les retire avant denfourner un gros glaçon que je pousse dans son conduit. Elle a un sursaut et referme ses jambes, mais je suis déjà dans la place, et je maintiens le cube glacé en place, tout en titillant son clitoris. Elle sagite, remue, en murmurant :
« Ah non, cest quoi ça ! Cest froid ! ça brûle ! continue »
Elle se met à trembler et renverse la tête en arrière, écartant et refermant convulsivement les cuisses, dans un violent orgasme. Quand je retire mes doigts, elle expulse le glaçon fondu de moitié. Je le garde et vient longer son périnée avant de venir le coincer contre son petit trou tout chaud. Elle comprend instantanément et nhésite pas à ouvrir grand les cuisses, me laissant introduire lobjet dans son anus qui lavale aussitôt.
« Ahh, là aussi, ça fait du bien »
Je la retourne et la plaque sur la table de la cuisine. Je relève le peignoir, et baissant mon caleçon, vais planter mon chibre, tendu à lextrême dans sa chatte encore ouverte. Je me ets à la besogner copieusement, et elle répond à mes assauts par des grognements dapprobation. Elle relève le buste et je peux crocher mes mais dans ses seins dont je malaxe et pince les pointes toujours érigées. Elle a rapidement un deuxième orgasme, et retombe sur la table qui grince dangereusement sous nos assauts. Je me dégage, et profite de la position pour venir appuyer mon gland un peu plus haut. Elle est très détendue, et son anneau souvre sous ma poussée. Elle réagit soudain, à ce que je suis en train de faire/
« Non, pas là, pas ce côté »
Mais je suis déjà bien engagé et je passe la barrière du sphincter. Elle gémit un peu, mais donne des coups de reins, maidant à menfoncer jusquà la garde.
« Tu mencules, petit salaud » dit elle en poussant son fessier vers moi. « cest tout ce que tu as ? »
La provocation méritant une réponse, je me mets à la bourriner de plus en plus fort, lui arrachant des gémissements plaintifs, sans tenir compte de sa douleur, juquà ce que jexplose et lui remplisse le cul.
Lorsque je sors delle, elle se retourne, et me met une grande baffe, avant de refermer son peignoir et de disparaître. Me doutant quelle va occuper la salle de bains, je me résous à une toilette rapide dans lévier de la cuisine, avant daller me coucher.
Je suis réveillé par des bruits de vaisselle. Le soleil est déjà haut, et une bonne odeur de café flotte dans la maison. Je me redresse sur mes coudes, pour voir Marie-José traverser le living en direction de la terrasse, un broc de café, à la main.
« Déjà réveillé ?, le petit dej, cest dehors » mannonce telle en passant.
Jenfile un caleçon et je la rejoins sur la petite terrasse, encore à lombre. Un petit air frais a remplacé la chaleur de la nuit. Marie-José est déjà habillée et maquillée, environnée dun nuage de parfum. Gwen nest plus sur la terrasse. A lors que je la cherche des yeux, Marie-José me dit quelle est remontée au petit matin, car elle avait froid. Il est encore tôt mais la température remonte déjà. Il va faire encore très chaud.
« Tu as bien dormi ? « me demande Marie-José.
« Super bien, et toi ? »
« Jai eu un peu de mal à trouver le sommeil, à cause de toi. Ne timagine pas que ça va durer. Je vis seule et entends le rester. »
« Pourtant lintermède dhier soir na pas eu lair de te déplaire. »
« Je mentirais en disant le contraire » dit elle en reposant sa tasse et sapprochant de moi.
« Jaime vivre seule mais je ne suis pas une nonne. Pourtant je naime pas subir ce que veulent les autres. »
« Tu sais bien que cest un jeu » lui dis-je
« Je peux jouer aussi » dit elle, en glissant sa main dans mon caleçon. Elle commence à me branler doucement. Je lembrasse alors, et soulève sa robe pour atteindre sa culotte de dentelle. Elle est déjà humide. Je la saisis par les côtés et la fait descendre le long de ses jambes. Elle soulève complaisamment un pied, puis, du bout de lautre, envoie valser le petit bout de tissu. Puis elle me repousse et rabat sa robe.
« Je dois aller travailler » dit elle avec un sourire moqueur en contemplant mon érection. « je te laisse finir seul. »
Elle ramasse sa sacoche et sen va.
Je réintègre, tant bien que mal mon slip, et me concentre sur le petit déjeuner, ma foi, fort copieux. Je suis en train de siroter mon jus dorange quand Gwen fait son entrée, toujours vétue de son seul tee-shirt blanc ridiculement court.
« Salut, ça va ? « dit elle en se servant un grand verre de jus de fruit. « il fait meilleur maintenant, jai dû remonter, je me caillais trop sur le matin. » Elle sasseoit et att un croissant dans lequel elle mord à pleine dents. Dans le mouvement, le tee-shirt est remonté sur ses hanches, exposant sa fente imberbe à mes regards. Elle capte mon regard et écarte les jambes encore plus.
« Quoi ? cest ça qui te dérange ? Lautre côté ne te dérangeait pas hier soir » ce disant, elle écarte lentrée de sa grotte et y introduis deux doigts.
« Ah, cest bon ça de bon matin » commente telle en se masturbant doucement.
Mon sexe a immédiatement repris de la consistance, et elle ne manque pas de sen apercevoir.
« Tu ferais mieux de quitter ton caleçon, tu dois être tout comprimé là dedans » rit elle.
Cependant, jhésite encore. Certes, elle est jeune et belle, et surtout provocante, mais je viens juste de baiser sa tante. Jai quelques scrupules quelle ne tarde pas à menlever. Elle se lève et fait passer son tee shirt par dessus sa tête, et entièrement nue vient se coller à moi. Sa peau dorée na aucune marque de maillot, preuve dune pratique assidue du naturisme. Elle est plus grande que sa tante, ses seins plus petits son quand même de bonne taille et pointent, arrogants comme des obus, défiant les lois de la pesanteur, ses hanches son un peu moins large que sa tante, et sa peau de jeunette bien plus ferme. Elle me fait lever, et, dautorité, descend mon caleçon.
« Ah, le voilà le copain !, Il avait besoin dair. » dit elle en le caressant doucement. « voyons si il a bon gout » Elle se met à genoux, et embouche mon gland quelle suçote comme une glace. Elle lèche mon mat sur tout sa longueur et saidant de ses mains, gobe mes bourses lune après lautre, tout en magaçant le plancher pelvien de ses ongles manucurés. Je reste immobile, profitant de la sensation. Elle butine mon sexe qui se tend à me faire mal. Puis dun coup se relève et vient planter sa bouche sur la mienne. Ses lèvres souvrent et une langue pointue sinsinue dans ma bouche. Je sens ses seins pointus contre ma poitrine. Elle est un peu plus grande que moi. Notre baiser dure un bon moment, et je nai pas à me baisser beaucoup pour embrasser ses seins et mordiller ses tétons, semblables à des bouts de crayons. Elle gémit sous la caresse, mais se dégage et senfuit dans la maison. Déçu, je reste planté là, et vais mécrouler sur un transat, mais elle revient déjà.
« Jai cru comprendre que tu aimais jouer avec la glace »
« Mais, comment ? »
« Quest ce que tu crois ? que vous avez été discrets cette nuit. Eh non, jétais là, aux premières loges, et je dois dire que ça ma bien énervée. Allez, couché » elle me pousse sur le lit et replonge sur mon penis. Cette fois après deux léchouilles, elle lembouche complètement et vient heurter mon pubis avec son nez, avant de remonter en aspirant, les lèvres collées à ma peau. Elle ressort et revient. Cette fois, cest chaud dessus et dessous, et glacé sur les côtés. Elle a pris deux glaçons en bouche. Sa caresse buccale fait monter la température, mais la glace la refroidit aussitôt et le picotement du gel vient sjouter à la brulure du désir. Cest inédit pour moi. Je bande bien dur, malgré le froid , mais le froid bloque toute éjaculation possible. Une de ses mains a saisi un autre glaçon et me caresse les couilles avec, saventurant jusquà mon anus. La glace fond cependant, et après quelques minutes, elle recrache deux petits glaçons, et se relève pour menjamber. Elle saisit ma queue et la guide vers son antre. Elle sempale sur moi avec un soupir daise.
« Maintenant tu vas bien me baiser »
Mon sexe senfonce dans sa matrice lui arrachant quelques gémissements. Une fois que je suis abuté en elle, elle commence à me chevaucher en saidant de ses cuisses musclées. Un peu coincé, au dessous, je malaxe ses seins. Le rythme saccélère. elle se relève à la verticale, avant de se pencher en arrière. Dans cette position jai accès à son clito que je masse, et titille, ce qui provoque une accélération de son mouvement.
« Oh oui, continue. Bien le bouton. Hmm, mets un doigt aussi. »
Mon doigt fureteur vient rejoindre ma queue. Elle se déchaine et remue en mouvements désordonnés en criant de plus en plus fort, avant de simmobiliser dun coup serrant les cuisses au maximum dans une ultime contraction.
« Ah ce que cest bon ! » sexclame telle en retombant sur moi.
Nous sommes tous deux en sueur. Elle membrasse brièvement.
« javais peur que tu sois un peu fatigué, après la séance de cette nuit, mais javais trop envie. »
« Et ta tante. Si elle lapprend ? »
Elle sest dégagée et a saisi ma queue toujours bandée quelle masturbe vigoureusement.
« Ma tante est une femme libre, et ma appris à lêtre. Elle na pas de relations fixe, mais elle craque parfois, comme sur toi. Son côté BCBG un peu coincé doit faire partie de son charme, mais elle ne se laisse pas souvent aller, ce qui nest pas mon cas. »
elle se penche et sa bouche vient remplacer sa main tandis quun doigt vient se planter dans mon anus. Je grogne de plaisir et explose dans sa bouche. Elle se retire, et les jets suivants latteignent sur les seins.
« Cest quand même la première fois que je me fais un de ses mecs » précise Gwen.
Elle mentraine à sa suite et nous sommes bientôt sous la douche, à nous savonner mutuellement. La fraicheur de leau, me fait du bien. Mes mains parcourent son corps parfait, détaillant chaque creux, chaque renflement, chaque muscle, mattardant sur ses seins somptueux, sur son ventre plat, flattant le petit mont de vénus avant dinsinuer mes doigts dans sa fente. De son côté elle explore, elle aussi, testant mes réactions. Mon sexe reprend peu à peu de la vigueur, et elle la remarqué.
« Tu as lair de reprendre des forces » me confie telle « Il y a une chose que tu as faite à ma tante, et que je nai jamais essayée. »
Elle se retourne et prenant appui sur le mur, pousse ses fesses vers moi. Linvitation est implicite. Comme elle est grande, je nai quà fléchir un peu les jambes, je guide mon paf et me detends en remontant, au chaud dans sa chatte déjà humide. Je coulisse lentement en elle, et appuie sur son dos pour la faire fléchir davantage. Tout en continuant ma levrette, je force son petit trou avec un doigt. Elle gémit. Un peu de savon maide à entrer un deuxième doigt. Je fais tourner mes doigts pour élargir le passage. Elle écarte ses fesses avec ses mains et me dit : « Maintenant, vas y , mets la moi. » Je me présente face à son anus et mon gland vient forcer le passage.
« Ahh, non, ça fait mal ! »
« tu veux que jarrête ? »
« Non, continue, je veux savoir. » dit elle en poussant son cul vers moi.
Jatt ses hanches et menfonce dun coup dans ses boyaux.
« Oh, aie, aie, aie ! tu me défonces, ça brule ! »
je commence a coulisser doucement en elle, déclenchant des cris de douleur
« Ah, ça brûle, ça me déchire, vas y à fond ! » crie telle
jaccélère le mouvement et vient bientôt faire claquer mes couilles sur son postérieur, a chaque aller
« Ahh, vas y encore, ça fait mal, vas plus au fond ! »
Je pousse de plus en plus, la plaquant contre le mur, et je sens son cul qui vient au devant de ma bite . Le plaisir monte irrémédiablement. Je la pilonne jusquà ce que jejacule dans un spasme, mes grognements à lunisson de ses cris. Nous restons un instant ainsi, puis je décule lentement. Le sperme séchappe de son cul et dégouline sur ses cuisses. Pendant que nous nous rinçons, elle mavoue.
« jai compris pourquoi beaucoup de filles refusent la sodo. Ça fait un mal de chien. «
« mais ça passe ensuite ? »
« Pas du tout. Ensuite arrive le plaisir, mais la douleur continue. Cest juste que le plaisir est plus fort que la douleur. On sent que lun ne va pas sans lautre. Si on veut le plaisir, il faut accepter la douleur. »
« Il faut être maso, donc ? »
« un peu, oui, mais pas seulement. Du coup japprends de nouvelles choses sur ma tante
»
« Qui serait maso ? »
« Non, ce serait trop long à texpliquer
viens, on va boire un coup et hop ! bronzette ! » sexclame telle gaiement en sortant de la douche.
Je me sêche et enfile mon caleçon pour la rejoindre sur la terrasse. Elle me suit bientôt avec un pichet de citronnade, toujours nue comme un ver. Le vêtement doit être pour elle une convention sociale quelle abandonne dès que possible. Elle se moque de mon caleçon tandis que nous buvons, puis elle va sétaler sur un transat, et ferme les yeux.
Quelques heures plus tard, alors que nous somnolons sur les transats, Marie José revient.
« Eh bien, cest relax ici ! « dit elle « Gwen tu pourrais thabiller un peu, tu nes pas seule. Si quelquun peut mettre la table, on va grignoter vite fait. Jai des clients à partir de 14h. »
Gwen se lève et séclipse, pour revenir, vétue dun shorty, presque plus indécent que si elle était nue, portant assiettes et couverts.
Nous sommes bientôt installés sous une tonnelle ombragée, pour partager melon et jambon, qui font lessentiel de notre repas. Après un café bien serré, Marie-José monte à létage, pendant que Gwen et moi débarrassons et faisons la vaisselle. Aussitôt le dernier verre essuyé, cette dernière repart vers son occupation favorite : la sieste.
Je reste un peu dans la relative fraicheur de la maison. Marie-José descend bientôt, vétue dune blouse blanche, très médicale, et très opaque.
« Bouh, avec cette chaleur on ne sait pas trop comment se vétir.Je nai même pas mis de robe sous ma blouse. »
Je mapproche delle et lattrappe par la taille, pour lembrasser. Mes mains fureteuses, dégraffent deux boutons pression et découvrent sa poitrine, dans un soutien gorge blanc.
« Effecivement, tu ne vas pas avoir trop chaud. »
« Oh, ne crois pas ça » répond elle. « Quand tu es entrain de masser, ou faire travailler des gens, ça fait transpirer, même en hiver. »
Je tire dun coup sec et la blouse souvre entièrement.
« Alors tu es encore trop habillée » lui dis-je « laisse moi rectifier ça. »
Je passe la main dans son dos et dégraffe le soutien. Elle comprend et dégage le vêtement .
« Tu as raison, je peux men passer » approuve telle.
Mais quand je descends la culotte assortie, elle proteste.
« Non ! il suffit que je me baisse pour quon voie tout ! Ma blouse est trop courte. »
Néanmoins, jarrive à faire glisser le vêtement à ses pieds, puis je reboutonne la blouse, laissant juste un bouton en bas, et deux en haut dégraffés.
« Voilà, on ne voit plus rien !, et tu vas gagner en confort. »
Finalement elle lève les pieds et dégage le string que je ramasse.
« Bon, allez, jai du boulot » dit elle en franchissant le porte de communication avec son cabinet.
Je la laisse aller, mais la curiosité me poussant, quelques instants plus tard, jouvre la porte de son cabinet. Un rapide coup dil. Je suis dans une petite pièce qui sert dentreposage pour toutes les crèmes, les straps et autre atèlles, dont elle doit se servir. Une seule autre porte. Je lentrouvre doucement, pour découvrir une salle dexamen, avec un traditionnel lit, et quelques meubles de rangement. Personne dans cette salle. Je my aventure. Elle communique avec un bureau, vide pour linstant, par un passage sans porte. A porte du bureau souvre, et je me recule vivement. Je vois entrer Marie-josé, suivi dune femme dune soixantaine dannées. Elle la fait asseoir, et reste, face à elle me tournant le dos.
« Alors Mme Lefranc, comment se passent vos séances ? »
« Bien, jai déjà perdu 1 kg et je me sens plus tonique. »
« Comme vous le supportez bien, on va passer, dorénavant, de 20 à 30 minutes. Je vous laisse vous préparer et je vous voir pour le début. Comme dhabitude, quand vous avez fini, vous partez directement. Inutile de mattendre. »
Sur ce , elle invite la patiente à la suivre, et elles quittent le bureau.
Elle revient accompagnée dune jeune femme dune trentaine dannée, assez élancée.
« quest ce qui vous amène ? » demande telle, assise face à la patiente.
« Jai eu une douleur à la cuisse, en jouant au tennis. Comme ça persiste, mon médecin ma conseillé de venir vous voir. »
« Voyons ça. Vous pouvez passer à côté, sil vous plait. Et vous deshabiller. Juste la jupe et les chaussures, et vous vous allongez sur la table. »
Replié dans le cagibi, je ne peux rien rater. La patiente, entre dans la pièce, et défait ses nu-pieds, avant denlever sa jupe quelle pose soigneusement sur le dossier dune chaise. Elle est vétue dun petit haut à bretelles blanc, et dun string noir. Elle sallonge sur le lit, les jambes face à moi . Marie-José arrive , et lui demande :
« Quelle jambe vous fait souffrir »
« La droite »
Elle commence à palper la jambe, du haut en bas, massant les muscles, testant les articulations. Elle est sur le cheville quelle manipule avec dextérité, sans créer de douleur, puis elle remonte le long du mollet jusquau genou qui ne semble pas davantage poser de soucis. Elle passe ensuite sur la cuisse, provoquant une crispation de la patiente. Elle insiste sur lextérieur, sans résultat, mais quand elle masse lintérieur de la cuisse, la douleur semble être bien présente.
« On va tester autre chose. Ecartez les cuisses. »
La femme sexécute et écarte largement les cuisses.
« Je vais appuyer sur vos genoux, et vous allez essayer de refermer les jambes. Allez y ! »
La jambe gauche na aucun mal à repousser le bras et à contrer la poussée, mais la droite sarrète avec un cri de douleur de la patiente. »
« Vous avez une contracture de laducteur droit » explique Marie-José « Il ny a pas grand chose a faire, sinon du repos, et des massages avec une pommade apaisante. Je peux vous en faire un maintenant, et vous reviendrez tous les trois jours, pendant trois semaines. »
La patiente ayant accepté, Marie-José, entre dans la remise ou je suis caché, et me découvre.
Les yeux écarquillés, elle articule en silence : » que fais tu là ? » ce à quoi, je ne réponds pas.
Elle récupère la pommade et me jette un regard courroucé avant de sortir, me faisant signe de faire silence.
« Voilà, il faudra que vous récupériez cette pommade, en pharmacie. Vous allez voir, le massage va chauffer vos muscles et les rendre moins douloureux. Pour éviter de tacher vos sous-vêtements, il faudrait les écarter sur le côté, ou les enlever. »
La jeune femme soulève ses hanches et fait glisser son string quelle envoie rejoindre sa jupe. Marie-José la positionne, sur le dos, la jambe droite légèrement écartée. Dans lentrebaillement de la porte, jai la vision de son minou bien épilé sous un ticket de métro parfaitement taillé. Le massage commence et les mains de Marie José, malaxent lintérieur de la cuisse, jusquà lattache des muscles. Je vois les tendons se tendre et la fente qui souvre légèrement quand les mains redescendent. Le massage se prolonge de longues minutes, et la douleur qui faisait se raidir la patiente semble sestomper. Elle apprécie le traitement et sa vulve sest ouverte, laissant voir les chairs roses, tendres et humides de son sexe.Marie-José, continue sans sen apercevoir, mais la jeune femme, ouvre de plus en plus largement les cuisses, et pousse de petits soupirs daise.
Marie-José termine son massage, en cercles sur lintérieur, puis lectérieur de la cuisse quelle referme au passage.
« Cest terminé, je vous laisse vous rhabiller » dit elle en rejoignant son bureau. La jeune femme se lève et récupère son string quelle enfile sur son sexe encore ouvert, qui se tâche aussitôt dhumidité. Puis elle remet sa jupe rejoint Marie-José qui lui remet une ordonnance, avant de la raccompagner. Elle revient seule et arrive directement dans le réduit :
« tu peux me dire ce que tu fais là ? »
« Rien, je voulais juste comprendre ce que tu faisais. »
« Et te rincer lil au passage ? »
« Ce nétait pas le but, mais je dois reconnaître que ta dernière patiente avait lair passablement excitée. Je ne sais pas comment tu peux ne pas le voir. »
« Tu te fais des idées, ce ne sont que des réactions physiologiques. Rien a voir avec la libido. »
« nempèche, si tu lui avais caressé le minou, elle naurait demandé que ça. »
« Ou elle maurait retourné une paire de baffes. »
« Il ny a quun moyen de le savoir, sois plus sexy »
« plus sexy ? mais je travaille ! »
« La plupart des hommes, et surement des femmes, fantasment sur les infirmières, ou autres médecins vétus dune blouse blanche. Il serait étonnant que ce soit différent pour toi. »
« Et ? »
« Le seul moyen de le savoir, est de te rendre plus sexy » dis-je, en dégraffant deux boutons en bas de sa blouse et un en haut. Celle-ci souvrait sur un décolleté avantageux, et dévoilait ses cuisses presque jusquen haut, au moindre mouvement.
« Je reste à côté » dis-je « et je regarde ce qui se passe »
« Tu ne vas pas voir grand chose », maintenant jai un papy de 76 ans. »
Le papy, comme elle dit, une fois assis dans le bureau, ne lâche pas des yeux son décolleté.
« Monsieur Mahut, comment va votre hanche ? »
« Ma foi, cest douloureux à froid, mais une fois que jai marché un peu, ça sestompe »
« bien » dit elle « nous allons passer à côté pour voir ça. »
« il faut que je me déshabille ? »
« non, ça ne devrait pas être utile. »
Une fois le patient sur la table dexamen, Marie José lui fait plier un genou, puis elle prend sa jambe et la replie vers le haut à plusieurs reprises.
« Je ne vous fais pas mal ? »
« ça tire un peu » répond le bonhomme, « mais cest supportable »
« Cest normal, après votre opération, il va falloir un peu de temps pour retrouver de la souplesse. On va faire lexercice une dizaine de fois, et on recommencera trois fois, daccord ? »
La question est purement réthorique et nentraine pas de réponse.
Marie José accompagne les mouvements du patient, en forçant un peu en bout de course pour le faire plier un peu plus. Malgré la climatisation, elle est en nage, a la fin de la première série. Le vieux sen est rendu compte.
« Je vous donne chaud » constate til
« eh oui, Mr Mahut, allez on sy remet. »
A la fin de la deuxième série, elle sessuie le visa ge avec une serviette.
« Vous devriez vous mettre à laise. »dit il en lorgnant sur son décolleté, qui, dans les mouvements, sest encore ouvert dun bouton.
« Ce ne serait pas très correct, Mr Mahut, vous savez, avec cette chaleur je nai mis que ma blouse. »
« Lexercice nen serait que plus agréable chère madame, et ça ne sortirait pas dici. »
« Vous êtes un coquin, vous ! » dit elle en riant
« Allez ! quest-ce que vous risquez avec un vieux bonze comme moi, à part me faire un petit plaisir. »
Il passe maintenant la main sur sa blouse, caressant sa hanche proche.
« je ne peux pas. Je nai vraiment rien en dessous. »
« Laissez moi faire »ditil avec aplomb. Il saisit le bas de la blouse et tire. Lautrec ôté est coincé contre la table et les boutons pression cèdent un a un, dévoilant le haut de ses cuisses et ouvrant la blouse jusquà la taille. Le papy a les yeux exhorbités devant la chatte de Marie-José à hauteur de ses yeux. Elle recule génée, mais la blouse serrée dans la main du vieux, finit de souvrir, et elle apparaît entièrement nue.
« Ne soyez pas génée. Vous êtes une belle femme. Une comme je nen ai pas vu depuis bien longtemps » lui déclare til.
Marie-José se ressaisit et rabat les pans de sa blouse sur ses seins. Elle se rapproche du bonhomme.
« Allez, dernière série » dit elle en empoignant sa jambe. Elle semploie a pratiquer les mouvements le plus naturellement possible, mais ne peut ignorer la main du vieux qui ségare sous la blouse sur sa fesse et rampe vers son intimité. Heureusement la série sachève et elle se recule, échappant à la main balladeuse. Le vieillard repose sa jambe, mais, maintenant, allongé sur le dos, son pantalon de toile est distendu dune manière peu équivoque.
« Oh ! monsieur Mahut ! »
« Eh, que voulez vous, ça fait si longtemps que ça ne mest pas arrivé que jen suis presque étonné, mais cest un hommage à votre beauté. »
Il lui prend la main et la pose sur son pantalon
« malheureusement, je me vois mal traverser votre salle dattente dans cet état. »
Sans mot dire, elle déboucle la ceinture du pantalon, et baisse la fermeture éclair. Elle baisse le slip et libère un sexe qui jaillit devant elle.
« Oh, quelle est grosse ! » dit elle en lempoignant
« La nature ma bien servi, cest vrai, et jen ai profité, mais je pensais ce temps révolu » dit il tandis quelle commence à masturber son chibre, pas spécialement long, mais particulièrement épais.
Le membre déjà bien raide prend encore de la consistance.
« Ah docteur, ça me fait vraiment du bien. »
Marie-José ne dit mot, mais elle accélère le rythme, une main astiquant le membre érigé, et lautre titillant les bourses velues de son patient. Celui-ci grogne, et eructe, ses mains malaxant les fesses de la kiné qui sest rapprochée de lui dans son mouvement. Sa main est encore leste et il la glisse dans le sillon fessier, atteignant lentrée du vagin déjà dégagé, et y enfonce aussitôt deux doigts, faisant sursauter la jeune femme. La première surprise passée, elle souvre un peu plus et un troisième doigt sintroduit en elle, tandis quun pouce téméraire flirte avec sa rondelle. Elle sent le sexe palpiter sous ses doigts. La libération est proche. Elle crache sur le gland turgescent en continuant son va et vient. Le pouce accentue sa pression et franchit dun coup le sphincter, senfonçant profondément dans son anus, lui arrachant un soupir de douleur, alors que dans un spasme le papy arrose Marie-José de sa semence. Elle continue à le caresser jusquà extirper la dernière goutte de son jus. Le vieux a retiré sa main. Elle sessuie, et lui fait une toilette sommaire avec une serviette éponge. Puis elle rajuste sa blouse et le laisse se rhabiller.
« Cest tout pour aujourdhui Mr Mahut »
« merci beaucoup, madame. »
« Ceci doit rester entre nous, monsieur. Si on vient men parler je nierais. Et nespérez pas que cette faveur devienne une habitude. »
« Oh non, dit le vieux. Vous avez enchanté mon âme et mon corps, pour une longue période. Je vous en serais reconnaissant, à jamais. »
Elle raccompagne le papy et revient seule. Je lattends dans la salle dexamen.
« Il sen passe de belles dans ton cabinet. »
« Cest ta faute, de me laisser nue sous ma blouse. » répond elle
« Javoue, cest un peu vrai, mais tu as laissé faire
»
« pas du tout » rétorque telle « si je lavais laissé faire il maurait culbutée sur place, au risque de mourir dune crise cardiaque. La situation était sous contrôle. »
« Et tu es restée insensible ? » dis-je en la serrant de près et en caressant ses seins qui pointent déjà.
« Il ma bien chauffée un peu, je lavoue. Dommage que jai un autre patient, sinon je taurais bien demandé de maider. » dit elle avant de repartir.
Les deux patients suivants ne remarquent quasiment pas la tenue de Marie-José, et je commence à mennuyer ferme. Puis arrive une femme qui vient pour une tendinite. Marie-josé laccompagne dans une des pièces adjacentes et linstalle sur une machine qui doit lui prodiguer des soins par ondes de choc. Puis elle revient sinstaller à son bureau. Jen profite pour venir derrière elle.
« Elle en a pour longtemps ? » dis-je innocemment
« 30 minutes » me répond elle.
« On a donc un peu de temps » et je glisse mes mains dans son décolleté, saisissant ses seins.
« Arrête, ma patiente est à côté » proteste Marie-José
« Mais elle est occupée pour un moment. » répond-je
« Elle pourrait nous entendre » murmure telle, mais les pointes de ses seins durcissent déjà sous mes doigt. Je lembrasse doucement dans le cou et fais sauter les boutons pression de sa blouse, au fur et à mesure de mon exploration sur son corps plein et hâlé. Le vêtement est bientôt largement ouvert, sa peau nue frémissant sous mes doigts. Elle tourne son fauteuil vers moi, et palpe ma bite au dessus du caleçon, avant de tirer le shorty vers le bas, et de saisir mon manche à pleine mains. Je me cambre vers elle, et elle na quà se pencher un peu pour mettre quelques coups de langue sur mon gland, avant de le gober entièrement. Elle fait tournoyer sa langue sur mon gland, tandis que je me tends vers elle. Cédant à mon mouvement, sa bouche coulisse sur ma queue de plus en plus loin. Elle sagrippe à mes fesses, pour tenter daller de plus en plus loin. Je passe ma main derrière sa nuque pour donner de lampleur à son geste et menfoncer de plus en plus loin dans sa bouche. Malgré quelques haut-le-cur, elle parvient à venir caler son nez contre mon pubis tout en me massant les couilles. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps, et je me dégage, pour la faire lever. Je lappuie contre le bureau et vient mordiller ses tétons tous raides, ce qui provoque des soupirs dapprobation. Je faufile ma main entre ses jambes et ouvre sa fente, avant dy insérer deux doigts. Elle souvre sous la caresse, et son bassin savance au devant de mes doigts fouisseurs. Prenant appui sur les bras elle se hisse sur le bureau, et assise remonte ses genoux en écartant bien les cuisses pour que jaie un accès facile.
Jai autre chose en tête. Profitant de sa position je la pousse légèrement et la renverse sur le bureau, avant de venir planter ma bite dans son puits ouvert. Elle se tord le cou pour surveiller la porte, sans cesser ses à-coups du bassin, sempalant à fond sur ma queue.
« Ah, vas y ! dépêche toi, il ne reste que 10 minutes » souffle telle en accélérant le mouvement. Le bureau tremble sous nos assauts, mais cest du solide. Elle gémit doucement, et danse frénétiquement sous moi, avant de se figer dans un orgasme, et de sécrouler pantelante sur le bureau. Elle va pour se dégager mais je la maintiens en place et lui relève les jambes, les passant sur mes épaules.
« Mais, que ?... » dit elle avant de comprendre.
« Il reste 5 minutes, et je nai pas joui » dis-je en appuyant mon sexe sur son petit trou »
« On a pas le temps. » dit elle affolée.
« Si tu résiste, non » répond-je
Alors je la sens se détendre et pousser son cul sur ma queue qui entre dun trait dans son anus. Je menfonce jusquà venir buter sur ses fesses, et commence à la limer vigoureusement.
« Je vois quon ne sembète pas ! » dit soudain une voix.
Nous nous figeons et tournons la tête vers lorigine de la phrase, tétanisés comme des lapins pris dans la lumière des phares dune voiture.
Gwen est appuyée sur la table dexamen, et nous observe, une main coincée dans son slip de maillot de bain.
« Ne reste pas là Gwen »ordonne Marie-José en tentant de se dégager. Malheureusement lintrusion de sa nièce, qui nous mate depuis on ne sait quand, ne fait que renforcer mon erection. Gwen sapproche et nous observe, en passant la main dans les cheveux de sa tante. Je recommence à limer doucement.
« Ma chère tante, ce nest pas la première fois que je te vois tenvoyer en lair. Malgré ton air de bourgeoise BCBG, tu nes pas si coincée. »
« Comment çà » hoquete la tante en continuant de subir mes assauts
« Tu es heureuse de recueillir mes confidences, et tu sais bien que je ne suis pas une oie blanche, mais jai de qui tenir. Figure toi que celui qui sagite en ce moment dans ton popotin, défonçait le mien, il y a quelques heures, à peine. »
« Quoi ! » sécrie Marie-José en se débattant, mais je la cramponne bien et je ramone consciencieusement son fondement.
« Oh rassure toi, cest la première fois que jai envie dun de tes mecs. Pourtant généralement, tu as bon goût. Laisse toi aller, et profites, il ne te reste que quelques minutes. »
A ces mots, la panique semble semparer de Marie-José. Elle se cambre et me dit
« ça suffit maintenant, finissons en. »
« Je suis daccord » lui dis-je en accélérant mes coups de piston
Notre cavalcade, un instant interrompue reprend. Gwen vient moffrir ses lèvres, et sa langue pointue vient taper sur mes dents avant de senrouler sur la mienne. Sa main glisse entre les jambes de sa tante et sempare de sa chatte, titillant le clito, tandis que je ahanne à grands coups de rein, venant claquer bruyamment sur le fessier offert.
La tante, dabord surprise, gémit de plus en plus fort, et se lâche finalement avec un bref cri, pendant que je me vide dans ses intestins.
Aussitôt, elle reprend ses esprits, et me repousse pour se relever. Jetant un coup dil à sa montre, elle reboutonne hativement sa blouse et nous repousse Gwen et moi, dans la salle dexamen.
Juste à temps, car on frappe et la porte souvre sur une femme dune quarantaine dannées
« Jai fini, docteur » dit elle
« Cest bien, vous pouvez y aller, on se revoit jeudi » dit Marie-José debout à côté de son bureau. La femme un peu étonnée, sans doute, par la coiffure ébouriffée, et le désordre sur le bureau, salue, et referme la porte en partant. A telle noté, les dégoulinures qui strient les jambes de sa kiné. On ne le saura jamais.
Je prends congé de la kiné qui senfuit faire un brin de toilette avant dautres patients. Une fois habillé, je traverse la maison, pour partir. Dehors un soleil de plomb écrase la rue déserte. Jouvre ma voiture en grand, pour rendre lintérieur plus supportable.
« Tu partais sans me dire au revoir ? »
Gwen est sur le pas de la porte, toujours en maillot mini, avec un petit top à bretelles qui peine à contenir ses seins haut perchés. Elle traverse la rue, insensible au bitume brûlant et vient se coller à moi. Elle membrasse furieusement.
« Jespère que tout se passera bien avec ta tante. »
« Pas de soucis, on se chamaille parfois, mais ça ne peut pas durer longtemps. »
« tant mieux »
« tu as une piscine, là où tu es ? »
« oui, bien sur. »
« alors, je viendrais te voir, jadore baiser dans leau. »
je ne suis pas sur que la clientèle de lhôtel voie ça dun très bon il, mais je mabstiens de tout commentaire.
Elle membrasse à nouveau puis sécarte, et tire sur les ficelles de son maillot, défaisant les nuds. Elle enlève le bout de tissu, et me le met dans la main.
« Tiens, comme ça tu auras un maillot pour moi » dit elle avec un sourire.
Puis elle fait demi-tour et retraverse la rue, dandinant son cul nu, avant de disparaître dans la pénombre de la maison.
Je lai revue plusieurs fois ensuite, mais me suis gardé de lui dire que je voyais encore sa tante.
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