Collection Zone Rouge. Poupette. Saison Iv (32/36)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je viens de réussir le plus beau coup de ma vie, quand je regarde mon alliance, épouser le sénateur, ce vieux débris de 91 ans à la porte de la mort.
La mort, Bob est loin de la porte, elle s’est ouverte quand je lui aie fait faire une descente vers l’enfer depuis le balcon de ce qui est aujourd’hui mon balcon.

Fred nous fait monter dans une voiture aussi étonnante que ces limousines ou la mini que nous avons empruntée hier pour suivre Trevor.
C’est une Rolls des années 20 où nous nous installons avec Miguel avant de démarrer suivi de nombreuses voitures toutes plus grosses les unes que les autres.
Nous arrivons à deux rues de chez nous, je peux dire que l’appartement est peu éloigné.

- Claudia j’ai acquis ce garage quand j’ai eu la chance de le visiter.
Il était tenu par un ami à qui je voulais du bien mais il refusait de me le vendre.
J’ai un gros défaut et tu t’en apercevras très vite quand je veux quelque chose il me la faut le plus tôt possible.
Cela a été le cas pour ce garage qui présente de nombreux avantages.
Comme tu le vois il est proche de chez moi, excuse chez nous et je pouvais y loger mon joujou accumulé au fil des années, ma collection de voitures du monde entier.
Et surtout, j’ai tout de suite vu qu’il y avait une cave insonorisée car elle avait servi à un groupuscule noir subversif pour y tenir ses réunions.
Fil de fer, Fred mon chauffeur et ton beau-père ont fait le nécessaire et mon ami a fini par me le vendre.

Fil de fer, encore lui, la corde à piano à du leur être utile.
Ce que me dit mon mari m’apporte une nouvelle pierre contre mon beau-père, les mots que vient de prononcer Miguel sont sans équivoque, j’ai tué un tueur sans scrupule.

Nous arrivons devant une porte qui bascule et nous entrons.
Toutes les voitures suivre et Cristopher vient nous ouvrir la portière à côté de pièces de collections magnifiques.


Voitures, buffet et orchestre qui jouent des morceaux d’ambiance en attendant que la fête batte son plein.
La plupart des garçons et des filles se dépêchent d’allés se désaltérer ce qui réchauffe l’ambiance.

- Claudia bienvenue dans la famille, je suis une copine de Johnny belle gueule,
- Claudia, heureuse de te connaître tu as réussi ce que nous rêvions toutes de faire.
Je me contente d’être une amie avec Cent pour Cent.

J’ai la nette impression que ces filles sont souvent les gagneuses de ces Macs que mon mari a invitées mais ce sont de belles filles et qui vont certainement contribuer à nous faire vivre Abby et moi.

- Madame Claudia, vous voici dans le lieu où je travaille avec grand-père et où nous habitons.
- Madame Mancusi, Cristopher, à partir de maintenant je veux que vous m’appeliez par mon nom de femme mariée.
- Bien madame Mancusi, comptez sur moi.
Regarder, vous montez l’escalier en face de nous et en passant la porte métallique vous êtes chez nous.
Voulez-vous venir visiter ?
- Plus tard, avant il faut que je m’occupe de mon mari et de mes invités.

Je me rapproche de ma moitié que Fred a aidé à descendre de la Rolls, le marchepied étant mal adapté pour cet homme qui a du mal à plier les genoux.
La fête se déroule sans autre incident.
Tard dans la nuit, un après l’autre, les invités nous salut et nous nous retrouvons avec les personnes du clan.
L’orchestre s’arrête et commence à ranger leurs instruments.
Ils chargent leur camionnette et partent ainsi que le traiteur et ses serveuses ayant seulement enlevé les denrées périssables.
Abby reste à côté de moi.

- Merci ma chérie de prendre soin de moi, je te rappelle que si tu veux un amant ce garçon est le seul à ta disposition, va visiter.
- Chéri ce soir c’est ma nuit de noces et je compte bien que mon mari va m’honorer quand nous rentrerons à la maison.

- Claudia en plus tu as du tact.
Mesdames, veuillez rentrer chez vous, vos maris vous rejoindront plus tard, nous avons encore une chose à faire avant qu’ils viennent s’occuper de vos petits culs.

Ces dames comme dit Miguel sortes pour rejoindre les voitures de Cent pour Cent et Johnny belle gueule sans moufter, on voit que lorsque mon mari donne un ordre nul n’a envie de le contrarier.

- Fil de fer emmène-nous dans ton espace de jeu.
- Miguel, ça te dérange si Trevor et Abby viennent avec nous !
- Si tu as confiance, j’ai confiance.
- Merci monsieur, je serais fidèle à votre femme.
- Moi aussi, Monsieur, elle peut me demander tout ce qu’elle veut.

Un regard du sénateur, je lui fais un clin d’œil.
Autant continuer à lui faire croire qu’Abby sera notre pute dans les heures prochaines.

Fil de fer pousse le sénateur dans son fauteuil et fait ce que son patron lui dit.
Miguel appuie sur le bouton d’un monte-charge qui nous emmène vers le sous-sol.

- Tu vois c’est le seul moyen d’accéder au sous-sol.
Je t’ai dit que ce garage avait servi à un groupe noir subversif.
Il y a une échappatoire quand nous sommes en bas qui mène dans les égouts et leur permettait de sortir par une station de pompage non loin d’ici près du fleuve.
Fil de fer tu le montreras à la patronne mais plus tard, mes affaires sont clean même si l’inspecteur Tex pense le contraire mais sait-on jamais, je fais entretenir les portes de sortie.
Fil de fer ouvre.

La pièce où nous entrons devait être un petit atelier pour réparer les moteurs car il y a un établi avec tous les outils nécessaires.

- Salut Steve, comment as-tu pu croire que tu pourrais troubler mes noces avec Claudia sans que je réagisse, tu me crois déjà mort ?

En disant ces mots il s’approche de son neveu qui est attaché par les mains tendues au-dessus de sa tête à un palan à commande électrique.

Steve est sur la pointe des pieds et doit avoir toutes les articulations et les muscles bandés au maximum.
Il se lève et le prend par l’arrière de ses cheveux pour lui tirer la tête en arrière.
Steve doit émettre un cri mais il est assourdi par le chiffon gras qui lui obstrue la bouche.

- Tu croyais que le vieux était devenu gâteux.
Tu es devenu fou, à croire que j’aurais pu t’oublier moi qui t’es élevé comme mon propre fils depuis que ton père s’est fait descendre par la police en braquant une banque.
Je lui avais dit d’éviter ce secteur, le jeu, les putes comme j’ai fait avec Bob si tu respectes les lois des états cela m’a rapporté la fortune dont ma femme va hériter d’ici de nombreuses années car j’aime trop la vie pour mourir et dont tu aurais eu une grosse part si tu avais su fermer ta gueule avec ta pute.
Dis, c’est ta salope qui t’a poussé à faire cela.
Je t’avais prévenue que cette gourgandine en voulait à notre fric, regarde-la, pendue comme toi la chatte à l’air.
Je vais te montrer la salope qu’elle est, Fil de fer occupe-toi d’elle.

Le garde du corps s’approche de la fille qui bat des jambes pour essayer de repousser le garçon.
Comme son patron, il lui prend les cheveux qu’il tire violemment en arrière.

- Regarde bien pauvre petit con.

Fil de fer commence à caresser la fente de la demoiselle qui veut elle aussi hurler certainement son dégoût.
Ses yeux lui sortent de la tête mais le chiffon aussi dégueulasse bloquant sa bouche l’empêche aussi de hurler.

- Elle se débat, mais je vais te dire, la fente que mon Fil de fer caresse je la connais déjà.
Je la connais dès les premiers jours où tu me l’as présenté et où tu es parti pour une affaire de merde comme tu sais en faire et qui finissent toutes par des catastrophes.
Elle est venue sous prétexte qu’elle avait un problème.
Elle avait parié gros auprès d’un bookmaker, elle lui devait du fric qu’elle était incapable de rembourser.

Tu vois ta salope que tu sembles chérir, je l’ai baisé sur mon bureau pour 10 000 $.
Il va sans dire que pour ce prix-là, je l’ai aussi retourné et c’est avec plaisir que je lui ai perforé l’anus.
Elle te refusait toujours la petite porte, elle me l’a dit, c’est moi qui l’ai eu.
Elle se tortillait sous moi, j’ai joui comme au temps de ma plus belle jeunesse à Saïgon.
Excuse-moi ma chérie de t’infliger mes turpitudes mais Bob refusait que tu viennes me voir.
Comme bisness et plaisir sont incompatibles chaque fois que je voulais une fille il faisait attention qu’elle soit majeure en Californie.
Souvient toi Steve le lendemain de ton retour j’ai essayé de te prévenir tu as passé ton temps à me vanter ses qualités.
Regarde comme elle commence à se trémousser.

Comment dois-je prendre ces confidences de l’homme que je viens d’épouser, mais sur le fond je m’en balance, si c’est lui et ses hommes qui s’occupent du neveu et de sa petite pute tout est bien dans le meilleur des mondes.
Fil de fer, bien plus grand que la jeune fille, malgré sa position passée derrière elle, il l’immobilise par ses hanches.
Il sort sa queue, encore un point permettant de lui attribuer son surnom fil de fer, sa verge est longue et fine.

- Regarde bien Steve, ce que je fais à ceux qui me déçoivent, emmanche là à sec avant de l’emmener à San Diego la mettre au tapin.
Elle se tapera des bites mexicaines, ils adorent les américaines à la frontière.
Tu connais très bien le bordel que nous gérons.

En disant ces mots je vois Fil de fer emmancher la jeune femme, elle doit souffrir, ses yeux lui sortent de la tête.
Non, plutôt de réprobation.

- Ah ! Ah ! Ah !

Ces trois Ah ! sont loin des Ah ! de plaisir que la vue de cette salope procure à mon mari.
Il s’écroule dans son fauteuil avant de chuter au sol comme si sa bouche cherchait de l’air.
Je mets quelques secondes à réaliser ce qu’il se passe, avant de réagir…

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