Un Beau Réveil 6
Je vais... Je viens...
Constance est, du moins à mes yeux, la femme la plus sexy de la Terre.
Je halète. Beaucoup. Je nai plus envie de me retenir. Elle ma donné beaucoup de plaisir. Beaucoup, beaucoup. Le plaisir ne me suffit plus désormais, je le sens. Cest la jouissance que je veux ressentir. Lexprimer... Lui exprimer à elle, à travers mes yeux qui se ferment, une grimace de plaisir intense sur mon visage. A travers mes gémissements, mes soupirs, mes petits cris. A travers mon corps qui se contracte. Oui... je nai plus envie de me retenir. Plus maintenant...
Constance, avec sa main, va et vient. Elle halète, elle aussi. Un coup, ses yeux sont sur mon membre dont elle se délecte et quelle branle de plus en plus vite, et cest toujours aussi agréable.
Quest-ce que cest... bon... Putaaaaiiiiin... Jai décidé darrêter de lutter. Jai renoncé, et je me sens prêt à jouir en paix, à présent. Je me tiens prêt à jouir. Un autre coup, Constance fixe mon visage et cherche à y capter la moindre expression de plaisir quelle peut lire.
Mon chéri... Oui... ! Oui... ! OUI ! Je continue car jai envie que tu jouisses. MAINTENANT ! Jai envie que tu me jouisses sur les seins. Et je vais, et je viens... Je vais... Je viens... Je vais... et je viens...
Cest comme si cétait une mantra. Ses mots mexcitent autant que sa main. Dégal à égal. Autant que sa bouche. Autant que son corps magnifique dont elle doit absolument être fière. Je me sens prêt à exploser... Je SUIS prêt à exploser. Je le veux. Il ny a que Constance pour me donner du plaisir.
Seule Constance sait autant bien me faire jouir. Cest tout simple : Constance est ma première petite amie. Et, jespère bien... la dernière. Elle est la seule, lunique. Je nai aucun point de comparaison, et cest tout aussi bien ainsi. Je lui donne en cadeau ce que jai de plus intime. Dune main, Constance me masturbe. Et... cest toujours aussi intéressant, même sur la durée, même en dépit des années qui passent.
De ses yeux, elle me fixe. Elle est et reste à laffût du moindre signe qui lui confirme quelle sait décidément me baiser, comme elle seule sait me baiser. Elle a arrêté de se caresser. Ma coquine de petite amie se focalise maintenant sur MON plaisir. Jen suis tout ému. Je la regarde avec les yeux de lamour. Je lui en suis reconnaissant. A loccasion, dun prochain beau réveil, il se pourrait que... ce soit à elle de se laisser faire...
Oh... ! Jai déjà tout en tête... Quand mes doigts et ma bouche seront sur elle... en elle... Jai déjà la conviction que je serai capable de donner du plaisir à Constance, comme jamais... La finalité nest pas de la faire jouir à tout prix, mais... ce serait mentir si je disais que ce nest pas ce dont jai
envie.
Son visage... Ses lèvres... Sa langue... Ses oreilles... Son cou... Sa nuque... Son dos... La tendre vallée de sa poitrine... Ses deux jolis petits seins tout mignons... Son ventre... Son nombril... Son mont de Vénus, son joli duvet de poils... Son clitoris... Sa jolie petite chatte toute appétissante... Son anus... La veine poplitée de ses genoux... Ses hanches... Ses cuisses... Ses petits pieds tout mignons... Oh... Les possibilités sont bel et bien diverses et variées... Oh... oui ! La boule de feu du plaisir, partie de ma nuque, lentement mais sûrement, a fait son petit bonhomme de chemin. JE LA SENS ! Elle... matteint... ICI... MAINTENANT.
Je gémis... Je gémis... Je gémis...
Je ferme à moitié les yeux...
Je halète...
Je soupire...
Je sens le sang qui irrigue les veines de mon membre et qui le rendent si dur...
Je sens le sperme quitter le fleuve de mon plaisir et parvenir, ENFIN, à son estuaire. Mon méat est la mer de ma jouissance. Ce méat que Constance a su caresser... titiller... et éveiller aux plaisirs de la chair...
Je suis parti pour... Je suis parti pour... Oh !
Cest si bon... Si... bon... Oh !
Je pense et repense à Constance, toute entière.
Je la désire...
Jai envie delle... Encore et encore... Encore et toujours...
Et là, je me mets à genoux. Je maccroupis. Dinstinct, Constance, elle, sallonge...
Oh... Oh... OH !
Ooooooooooohhhhhhhhhhhh... Je crie mon plaisir. Je ne le boude pas. Je ne le boude plus.
JE... JOUIS... JE JOUIS !
Je crie. Peu mimporte si je fais un vacarme du diable. Constance me fait jouir ! Je jouis longuement sur les petits seins de Constance. Je les arrose de ma jouissance. Ce sont des petits jets de sperme que je répands, en témoignage et au nom de mon amour et de mon désir pour elle. Constance est belle, et je laime. Pour toujours, et à jamais. Putain de beau réveil... !
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Fou d'amour
Le temps sest comme arrêté...
Je suis accroupi, sur les genoux, tel un fidèle en train de faire une prière. Le temps sest comme arrêté. Je viens de jouir. Je crois que jai fermé les yeux au moment où jai laissé le plaisir intense et suprême prendre possession de moi. Je ne sais sil y a eu un rictus de plaisir ou une quelconque grimace du genre sur mon visage. Peut-être que Constance me le dira... ou peut-être pas ! Tout ce que je sais, cest jai TOUT aimé de ce moment que nous venons de vivre parce que cest Constance qui ma fait jouir. Jai pas boudé mon plaisir. Je lai exprimé, et dailleurs... les murs vont sen souvenir, je crois...
Peut-être que nos voisins nous ont entendus aussi... Mais, je men fiche. Constance et moi, nous venons de vivre un beau moment, rien quà nous, un beau réveil, et ça, cest important. Le reste...
Au moment où jai senti que jallais jouir, jai quitté la position allongée, confortable, que javais depuis le début de ce beau réveil, et je me suis accroupi. Dinstinct, Constance, elle aussi, savait que jétais sur le point de jouir. Elle seule sait me faire jouir, et... jaime, il faut dire, jouir pour elle, sur elle ou... en elle. Cest elle qui sest alors allongée sur le dos et qui ma présenté ses deux petits seins menus.
léchés, sucés, titillés, un peu plus tôt, je savais quils étaient durs. Ses deux petits seins tout mignons, jen... suis... fou.
Constance sétait confortablement allongée, sur le dos. Elle adore être dans notre lit, pour dormir ou... pour faire lamour. Nue, belle comme une Vénus, elle était dune sensualité. Dans ces moments-là, cest ELLE et pas une autre, encore plus. Nue, belle comme une Vénus, je voulais la remercier à ma façon, dans ce contexte. Dans ces moments-là, jaime jouir en étant tout contre elle et en la regardant. Ce sont des moments qui sont précieux, on le sait bien, elle comme moi. Ne pas
penser à ce quon na pas fait hier. Ne pas penser à ce qui pourrait se passer demain. Il ny a que ce moment qui compte, là, maintenant, rien que tous les deux, au lit, en toute intimité.
Et en ce moment même, je suis en train de savourer la jouissance que ma petite coquine de compagne ma offerte. Jessaie, tant bien que mal, de reprendre mon second souffle. Il faut dire que plus Constance me branlait vite, dans sa main, mon cur, lui aussi, battait à une fréquence... Je suis encore accroupi, et lespace dun instant, je réalise que je dois peut-être avoir un sourire béat aux lèvres : Constance était dans la même position, toute à lheure, quand elle a enlevé sa nuisette et quelle était à demi-nue. Elle mavait demandé de jouir delle, toute entière... Ça, tout ça, ce sont des souvenirs sans numérique ni pellicule. A tout jamais.
Ces moments-là permettent à deux personnes, folles amoureuses lune de lautre, de renforcer, à la fois, leur amour et leur désir. Moi, en tout cas, cest ce que je pense. Et plus particulièrement en ce moment même : jaime et je désire Constance, plus que tout.
Elle a su que jallais jouir car jai changé de position. Un peu plus tôt, elle mavait dit, comme ça, dans le feu de laction, quelle avait envie que je lui jouisse sur les seins.
Le sperme aurait giclé comme la lave rouge et chaude dun volcan. Mon pubis... le bout de mon sexe... les draps... la main de Constance sen seraient souvenus... Mais non. Constance a continué de me branler dune main. Elle tenait ma queue dune poigne de fer, et mon membre en était tout simplement dur, raide. La pénétration navait pas du tout été à lordre du jour. Mais je pense que si javais pénétré Constance et que si elle sétait ensuite empalée sur mon membre, au-dessus de moi, comme elle aime le faire, je pense et jespère quelle y aurait pris bien du plaisir.
Tandis que là... sa main coulissait frénétiquement mais parfaitement sur mon pénis alors que le gland était comme braqué sur sa poitrine menue. A mes yeux, le message était clair car javais connaissance à présent du désir de Constance.
Mes bruits de plaisir augmentaient, non seulement en fréquence, mais aussi en niveau sonore et en intensité. Je reste convaincu que nos voisins du dessus mont entendu exprimer pleinement mon plaisir parce que lisolation phonique de notre appartement, situé rue Foch, au Havre, nest pas terrible et laisse à désirer. Pourtant, et pour être honnête, nous nous en fichons. Cest bien notre premier nid damour à nous, et nous laimons tel quil est. Il ny a que ces moments qui comptent.
Le reste...
Quand jai senti que jallais jouir et que mon sperme allait gicler dune seconde à lautre, jai lâché prise. Tous les petits tracas de la vie quotidienne navaient alors plus aucune importance. Il nétait plus question que de Constance et de moi. Ni plus... ni moins.
Constance avait orienté le bout de mon sexe en direction de son 85B, et le sperme a jailli de mon méat. Quelques jets, plutôt incolores, en sont sorti. Ils y ont trouvé la volupté des deux petits seins tout mignons de ma belle petite coquine.
Constance était belle, ornée de ma semence. Elle en avait sur les seins surtout, mais aussi un tout petit peu sur le cou et sur le menton.
Elle en récolta un infime échantillon sur le bout dun doigt et le goûta avec amour et délectation. Et pendant quelle se délectait goulûment du peu de sperme quelle avait pu récolter et quelle léchait et suçait son doigt, elle avait un beau sourire aux lèvres et elle me souriait. Ça, cétait un beau moment de complicité. Constance aime que je jouisse régulièrement sur elle. Ça, cest Constance, et ça nappartient quà elle et moi.
Cétait digne dun beau réveil... NON ! CÉTAIT un beau réveil ! Deux amoureux qui ne font rien de mal et qui ne font que renforcer leur amour et leur désir. Cest tout ce qui compte. Le reste...
Constance sest massée les seins avec le sperme quelle avait sur eux, et cétait tel un lait hydratant pour embellir son corps. Elle me souriait pendant quelle se massait les seins, quelle les pétrissait et quelle les empaumait. Je lui ai souri en retour. Cétait elle et moi, sur loreiller. Constance est magnifique, et je laime.
Je me suis redressé et je me suis rapproché de ma chérie afin de pouvoir être au-dessus delle. Je voulais la regarder, les yeux dans les yeux, lembrasser, pour lui montrer et lui dire combien je laime et combien je la remercie de ce beau réveil quelle ma offert, riche en tendresse, en amour... et en sensualité. De plus, à travers ce beau réveil, je réalise maintenant à quel point Constance est devenue un femme différente depuis la licence pro et surtout depuis que notre relation est née.
Si on mavait dit, en licence pro, un jour, que Constance serait lamour de ma vie et quelle serait une petite coquine dans lintimité, eh bien... jaurais ri au nez de la personne qui maurait dit ça. Froide et un poil hautaine au premier abord à cette époque-là, Constance cachait beaucoup de choses en profondeur, mais le secret était quil fallait la prendre comme elle était et surtout être patient avant quelle vous accorde son écoute, son respect et son attention. Cétait aussi simple que ça. Cétait la clé qui permettait douvrir sa boîte de Pandore...
Je me suis placé au-dessus delle, et je lai embrassée tout en la surplombant. Même avec les années qui passent, cest toujours aussi bon de goûter à ses putains de lèvres roses... et vanillées. Même en dépit du temps qui défile, jaime toujours autant que lon fasse lamour. On sefforce, tant bien que mal, de varier les possibilités : elle sur moi... moi sur elle... moi derrière elle... en cuillères... en 69 ; dans notre lit... sous la douche... sur le canapé... dans la cuisine ; aux premières douceurs du matin... par téléphone... par SMS... le soir... en pleine nuit.
Même si ce nest pas tout le temps facile, on sefforce, du mieux quon peut, à repousser la routine et les limites. Le sexe avec Constance est toujours aussi bon... délicieux... jouissif, même avec les années. Cest comme le vin : ça se bonifie avec le temps. Et avec le temps, ma belle Constance me rend toujours aussi fou.
Je vous jure !
Je lai regardée droit dans les yeux, lui ai souri et voulais lui faire comprendre que jétais bien, là, tout contre elle. Je veillais tout de même à ne pas lui faire mal puisque jétais presque allongé sur elle. Constance a pour habitude de me dire que je ne lui fais pas de mal, et je la crois alors. Mais, jai toujours peur. Ça reste ma hantise. Cest normal, non ? Comme je lui dis souvent, son bonheur et son bien-être restent ma priorité.
Nous nous sommes souri. Puis, se rappelant que ses parents nous attendaient pour déjeuner et que cétait «malheureusement» inévitable, elle chercha à se redresser. Dinstinct, je lui ai fait de la place pour quelle se redresse.
Heu... mon chéri... Moi aussi, je suis comme toi, tu sais ? Jaimerais bien rester au lit toute la journée, et quon fasse lamour nimporte quand, quand bon nous semble. Mais... mes parents... ils...
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Belle comme une uvre d'art
Jai embrassé Constance et je lai empêchée de terminer sa phrase. Je sais : cest pas cool. Mais que voulez-vous... Je savais que nous étions invités chez ses parents mais javais envie de profiter de ma mignonne petite coquine, encore un petit peu, avant que lon prenne notre petit déjeuner et quon fasse tout le reste après... Combien de temps sétait-il écoulé ? Je men fiche. Je navais juste pas envie de regretter, plus tard, de ne pas avoir su profiter de Constance alors quelle était là.
Constance bailla un petit peu puis sest levée. Jen ai fait de même.
(...)
Nous avons pris notre petit-déjeuner en amoureux, lun en face de lautre. Pour Constance ? Un mug fumant de thé au jasmin et à la rose, deux tranches de brioche tressée quelle a tartinées de confiture dabricot, et un verre deau. Pour moi ? Un mug fumant de café soluble instantané avec deux sucres, deux tranches de brioche tressée mais cette fois tartinées ou plutôt... barbouillées de Nutella, et un verre de jus dorange.
Une fois le petit-déj terminé, jai dû faire des pieds et des mains pour que cette «petite» malicieuse de Constance me laisse faire le peu de vaisselle quil y avait dans lévier. Il faut dire quelle a beau parfois, souvent, user et r de son cinquième as, elle en est jamais à court... Constance est une uvre dart, à mes yeux, qui ne demande quà être embellie à force de douches à base de gel douche à la vanille et de parfum aux senteurs délicates de poire. Cette fois... elle nallait pas user de
son cinquième as... JALLAIS faire la vaisselle pendant quelle se dorloterait, que ça lui plaise ou non. Point final, et pas de discussion.
(...)
Il ny avait eu trois fois rien à laver, et sachant que Constance était toujours dans la salle de bains, je métais même payé le luxe dessuyer le peu de vaisselle. Puis, Constance étant toujours en train de prendre soin delle, je me suis décidé à me rallonger dans le lit. Je my suis détendu, confortablement, en attendant ma belle. Pendant quelle se faisait jolie dans la salle de bains, je feuilletais un livre consacré à lun des plus grands guitaristes qui ait jamais existé, Eric Clapton, que
javais emprunté à la bibliothèque municipale de la ville. Et je dis bien FEUILLETER car je lisais bien plus en diagonale quautre chose à vrai dire. Mes yeux étaient davantage braqués sur la porte de la salle de bains, et je mattendais à ce que Constance en sorte, dun moment à lautre...
Constance est sortie de la salle de bains, les cheveux humides. Elle était nue. Elle était belle comme une Vénus, et ça, je men souviendrai pour le restant de mes jours. Mes yeux étaient braqués sur elle. De voir mon regard, comme ça, sur elle, elle en a souri. Je me suis levé du lit, et je suis allé embrasser ma chérie. Je nai pas pu résister. Jen ai profité pour... laisser une main glisser sur son corps. Son corps était mouillé, et avec un peu dattention, je pouvais voir des gouttes deau glisser et descendre sur cette uvre dart. Elle sentait bon le lait-douche hydratant à la vanille. On enchaînait les baisers. Elle ma pressé contre elle, et jai voulu, tant bien que mal, poser une main sur lun de ses petits seins. Jai pu juste laisser ma main glisser sur sa poitrine. De ce contact léger, je nai pu que sentir ses tétons qui pointaient toujours, durs.
Puis, sans aucun avertissement, elle sest détachée de notre étreinte, et avec un sourire plein de malice, elle me glissa à loreille quelle devait, peut-être, sessuyer et shabiller, quil en serait peut-être temps, pour quon soit à lheure chez ses parents.
Javais du mal à émerger. Et, avant daller à mon tour dans la salle de bains, javais eu juste le temps de la voir sorner dun soutien-gorge en dentelle, rouge, avec des motifs floraux. Elle avait revêtu un shorty assorti à son soutif. Hmmm, sexy girl... Je nai pas lintention de te résister... Plus jamais. Sur ces pensées, je suis allé prendre ma douche...
(...)
Jai beaucoup pensé à la lingerie de Constance pendant que jétais dans la salle de bains. Dire que cen était une obsession est un euphémisme... Il ny aurait même pas, à mon avis, de qualificatif pour décrire leffet que ça me faisait. Jy ai pensé quand je me suis passé un peu de gel douche à la menthe glaciale partout sur le corps, puis quand je me suis rincé. Un peu de parfum sur le corps... Je me suis brossé les dents... Je me suis lavé les oreilles...
(...)
Constance étant dans la cuisine à faire je-ne-savais-quoi, jen ai profité pour me rendre discrètement dans notre chambre, et je me
(...)
Constance rentra dans la chambre. Wouah ! Elle était ravissante. Elle portait un robe noire. Elle avait mis du rouge à lèvres, rouge intense... Hmmm, femme fatale... Elle vint à ma hauteur, et membrassa. Nos baisers furent intenses, et nous y avons même mis la langue...
(...)
Cétait lheure dy aller... Noubliant pas la bouteille de vin, un bon Minervois, délicieux pour le palais, et ce même si Constance ne boit jamais... ou bien très très rarement, de lalcool, et en vérifiant que nous navons rien oublié dans lappartement, nous nous en allâmes. Il nous fallait une demi-heure, trois quarts dheure pour nous rendre chez les parents de Constance. Ils habitaient à proximité de Dieppe, en plein cur de lJavais du mal à émerger. Et, avant daller à mon tour dans la salle de bains, javais eu juste le temps de la voir sorner dun soutien-gorge en dentelle, rouge, avec des motifs floraux. Elle avait revêtu un shorty assorti à son soutif. Hmmm, sexy girl... Je nai pas lintention de te résister... Plus jamais. Sur ces pensées, je suis allé prendre ma douche...
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Jai beaucoup pensé à la lingerie de Constance pendant que jétais dans la salle de bains. Dire que cen était une obsession est un euphémisme... Il ny aurait même pas, à mon avis, de qualificatif pour décrire leffet que ça me faisait. Jy ai pensé quand je me suis passé un peu de gel douche à la menthe glaciale partout sur le corps, puis quand je me suis rincé. Un peu de parfum sur le corps... Je me suis brossé les dents... Je me suis lavé les oreilles...
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Constance étant dans la cuisine à faire je-ne-savais-quoi, jen ai profité pour me rendre discrètement dans notre chambre, et je me
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Constance rentra dans la chambre. Wouah ! Elle était ravissante. Elle portait un robe noire. Elle avait mis du rouge à lèvres, rouge intense... Hmmm, femme fatale... Elle vint à ma hauteur, et membrassa. Nos baisers furent intenses, et nous y avons même mis la langue...
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Cétait lheure dy aller... Noubliant pas la bouteille de vin, un bon Minervois, délicieux pour le palais, et ce même si Constance ne boit jamais... ou bien très très rarement, de lalcool, et en vérifiant que nous navons rien oublié dans lappartement, nous nous en allâmes. Il nous fallait une demi-heure, trois quarts dheure pour nous rendre chez les parents de Constance. Ils habitaient à proximité de Dieppe, en plein cur de la côte dAlbâtre, en Normandie.
(...)
Nous arrivâmes... légèrement en retard. Mais... seulement une petite dizaine de minutes... Pas de surprise, il fallait sy attendre. Ah la la la, que vais-je faire de toi, Constance... ? Je plaide, cependant, volontiers, coupable, madame la juge ! Bien sûr que Mademoiselle Constance Moreau me plaît. Je vous jure !
(...)
Eh bien, les jeunes, cest pas trop tôt ! Mais quest-ce que vous avez bien pu faire pour être ne serait-ce que dix petites minutes en retard ?
Autant les parents de Constance sont des gens qui sont à cheval sur les horaires, autant ce sont des gens que japprécie beaucoup. Ils sont un sens de lhumour... Dailleurs, quand Olivier me lai dit en me serrant la main puis en faisant la bise à sa fille chérie, jai senti que cétait sur le ton de la plaisanterie. Luna, la petite sur de Constance, elle aussi, était là. Elle me fit la bise, et prit sa sur dans ses bras. Ah la la la, les surs Moreau. Fusionnelles...
Enfin bon... vous êtes là. Cest lessentiel. Lucas, tu as de la chance, jaurais sorti la pelle si vous étiez beaucoup plus en retard ou bien si vous nous aviez posé un lapin, tu sais... Toujours sur le ton de la taquinerie.
Si seulement il savait les raisons pour lesquels nous sommes arrivés un tout petit peu en retard... Je regardais Constance, et ai pressé légèrement sa main tout en la caressant avec la pulpe dun doigt.
Ah la la la, ce beau réveil... Constance a su rendre ce réveil... agréable... délicieux... meilleur... Je noublierai pas ce beau réveil de sitôt.
Quand je pense à la lingerie de Constance... javais déjà hâte dêtre de retour à la maison.
Constance, tu es belle... et je taime.
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