La Gentille Bourgeoise...
Je remontais la rue, avec en mains ma baguette et mon journal lorsquune voiture sarrêta à ma hauteur.
- Alors en ne travaille pas aujourdhui ?
- Bonjour Monsieur H
! Non comme vous pouvez le voir je suis de repos. Répondais-je en jetant un coup dil sur la remorque attelée derrière le véhicule
- À ce que je vois ce nest pas le cas pour tout le monde !
- Non ! Comme tu peux le remarquer, je me rends chez mon beau-frère, nous allons ensemble faire du bois. Je temmène.
- Non, merci. Je me suis promis une journée de détente.
- Dommage ! Je naurais pas craché pour deux mains de plus.
- Vous allez loin ?
Il me cita le lieu.
- Vous nêtes pas rentré pour midi ?
- Nous avons tout prévus. Me répondait-il en me désignant du doigt la glacière qui se tenait sur le plancher devant le siège passager.
- Et votre dame va bien ?
- Il y a de ça encore cinq minutes, elle allait bien, merci pour elle. Et je pense sans me tromper, plus encore quon jai passé le pas de la porte de lentrée.
- Vous êtes vraiment médisant mon cher Henri.
- Je suis réaliste mon cher Alain. Tu verras quon tu seras en retraite. Te coltiner ta femme toute la journée durant, en train de te faire des tas de reproche à chaque fois que tu as le malheur de bouger. Alors crois-moi, tout mobile est bon à prendre pour se retrouver seul. Mais dis-moi tu pourrais me rendre un service ?
- Oui, si ce nest pas pour vous accompagner à faire du bois !
- Non
cest seulement si tu pourrais ramener le journal à Geneviève.
- Oui
bien sûr. Lequel ?
- Prends-lui le Parisien, sil te plaît ! Tu veux de largent ?
- Non
- Tu te feras rembourser par la Bourgeoise.
- Alors bon bois.
- Tes sûr que tu ne veux pas venir ?
- Jen suis certain, merci.
Sur ces derniers mots, et après un signe de main, il démarra. Sitôt le journal en main je me rendis au domicile dHenri.
- Qui cest ? Fit une petite voix que je reconnu étant celle de la maîtresse des lieux, Geneviève.
- Cest Alain
- Ah oui ! Je touvre.
Il y eu un déclic qui déclencha louverture du portail. Je me suis avancé sur un chemin gravillonné. Elle mattendait au pas de sa porte. Très classe, avec ses lunettes et son éternel chignon.
- À quoi me vaut ta visite ?
- Je viens de croiser Henri, et il ma demandé de vous apporter le journal.
Que je lui tendis.
- Mais ! Répondait-elle. Il ne fallait pas accepter
- Et pourquoi ça ?
- Il ne manque pas de culot celui là !
- Jallais pour moi, alors cela ne ma pas déranger plus que ça.
- Oui
mais quand même
Cest bien lui, ça. Mais entre donc, tu prendras bien un café avec moi ?
- Ce serait avec plaisir.
- Jespère ne pas être ennuyeuse ?
- Et pourquoi le seriez-vous ?
- Je ne parle pas bricolage, moi. Tu le sais bien !
- Mais je suis ouvert à tout ma chère Geneviève. Je peux même parler froufrou avec vous si vous le désirer.
Cela la fit bien rire.
- Cest bien ce que je cherche à faire comprendre à mon époux. Quil ny a pas que travaux dans la vie. Mais bon ! Lindulgence ! Je mets cela sur le compte de lâge. Tu ne sais peut-être pas mais il est mon aîné de dix ans !
- Je vous trouve charmante ma chère Geneviève.
- Arrête
arrête, tu vas me faire rougir. Si tu veux bien me suivre pour quon prenne ce fameux café.
Après sêtre excuser, elle pénétra son chez elle, et me précéda jusquà ce quon arrive à la cuisine. Je ne vous cache pas que jen ai profité durant ce court chemin pour aimanter mon regard sur son cul rond qui tremblotait à chacun de ses pas. Elle portait une jupe noire qui ne dissimulait rien de ses formes généreuses. Sous le bourrelet dodu des hanches, ses fesses un peu molles, étaient serrées dans une culotte dont on devinait le liseré.
Une question se posait alors à moi : « comment pouvait être sa chatte. Et son trou du cul. Je les lui boufferais bien les deux orifices »
Elle tourna la tête vers moi et surprit alors mon regard.
- Prend place. Me fit-elle. Je temmène le café.
- Merci Geneviève.
- Je ten prie. Je vais aller chercher des tasses dans le salon. Me fit-elle avant de disparaitre de ma vue.
Cette Femme mexcitait énormément. Il men fallut pas plus pour mintéresser dun coup à elle. Je me demandais si la réputation des femmes arborant ce look était fondée. Ne dit-on pas que plus les bourgeoises prennes de lâge plus elles sont chaudes, et cochonnes. Et plus je pensais à cela et plus ça me donnait des idées de viol. Pas le temps dapprofondir le sujet que jentendais un bruit de verre qui se fracasse sur le sol. Je mempressais daller au nouvelle. La trouvant en train de ramasser du bout des doigts les débris quelle mit dans un seau à champagne. Dans sa confusion, elle en avait oublié lindécence de sa posture. Sa culotte blanche était parfaitement visible entre ses cuisses écartées. Elle eut un petit rire nerveux en se redressant.
- Que je suis sotte
- Cela vaut tout les spectacles du monde. Lui fais-je.
- Pardon ? Me fit-elle.
- Ce que vous venez de me dévoiler.
Geneviève devint écarlate. Confuse, elle bredouilla des mots inéligibles, les yeux exorbités. Je me contentais de ricaner méchamment.
- Vous savez Geneviève, depuis que je vous connais cest la première fois que je me retrouve seul avec vous !
- Ah oui ! Mais
mais pourquoi
comment
donc. Bafouilla-t-elle.
- Je vais profiter de ce moment pour vous faire une proposition.
- Une pro
proposition
mais quelle donc !
Sachant très bien où jallais en venir.
- De passer un bon moment ensemble.
Alain ! Tu me fais marcher, là. Cest encore un coup dHenri.
- Pas le moins du monde. Vous êtes la seule cause de mon excitation.
Tout en évoluant lentement sur place, elle se laissait embrasser sur la bouche et peloter les seins à travers létoffe. Je me frottais à elle. Sans aucun doute, elle devait sentir mon pénis dur comme du bois se frictionner contre son ventre.
- Non
non
arrêtant
veux-tu ! Cela ne ce fait pas.
- Mais pourquoi donc ?
- Jaime mon mari.
- Jaime moi aussi ma femme. Et cest même pour ça que je chasse ailleurs
- Mais
oui ! Tu fais bien ce que tu veux, mais pas avec moi
- Cest regrettable ! Vous sentez comme jai envie de vous ?
- Mais
mais
je suis trop vielle pour faire cela avec toi
- Où allez-vous chercher cela. Trop vielle. Mais au contraire ma chère Geneviève, jadore faire ça avec les vielle. Je prends même un pied pas possible
- Oui
comme tu dis. Mais si tu veux jai ma belle-sur, elle aussi est vielle, mais aussi friande de ce genre daventure avec des jeunot.
- Votre belle-sur ? Mais quest-ce que jen es à faire de votre belle-sur ! Cest vous que je veux.
- Oui, mais elle est plus belle que moi. Et en plus à ce que jen sais cest une chaude, si je peux me permettre de le dire. Elle aime vraiment les jeunes personnes. Et cest pour ça, quelle
Enfin tu me comprends.
- Et comment vous savez ça, vous ?
- Parce quelle me la confiait, tient pardi ! Je te donne son adresse ?
Sans attendre ma réponse, elle sempressa de quitter la pièce pour revenir quelques minutes plus tard avec un bristol en main.
- Voilà ladresse.
Cétait bien la première fois quune chose pareille marrivait.
- Vous navez pas inscrit son numéro de téléphone ?
- Je
je vais moi-même la prévenir, si tu le veux bien.
- Est-ce le choix ?
- Non ! Pas nécessairement.
- Je ne sais pas ! Jhésite même de my rendre, pour vous dire.
- Et je peux savoir pourquoi ?
- Je ne la connais pas physiquement. Peut-être quelle ne sera pas à mon goût !
- Tiens jai justement un cliché delle dans un de mes tiroirs.
Elle fit rapidement les quelques pas qui la séparer du meuble et en sortit des clichées. Après les avoir regardés, elle men tendit un.
- Cest elle, là sur la photo.
Effectivement elle appelait à être connu.
- Elle est mariée ?
- Bien sûr que non. Je te lai dit, elle aime trop les jeunes hommes.
- Cnest pas limpression quelle donne sur la photo.
- Crois-moi, mon cher Alain. Tu peux ty rendre sans arrière pensée.
- Vous êtes une drôle de femme, ma chère Geneviève, si je peux me le permettre.
- Et je peux savoir pourquoi tu penses ça de moi ?
- Me pousser dans les bras de sa belle-sur. Cela nest pas commun. Vous ne croyez pas ?
- Cest que jaime beaucoup ma belle-sur.
- Je vois ça. Et comment se nomme-t-elle, votre chaude belle-sur ?
- Pie
Pierrette.
- Bien ! Je vais vous laissez
- Et le café ?
- Pas le temps.
- Comment ça ?
Je fis mine de réfléchir, avant de lâcher :
- Tiens Geneviève montrez-moi votre culotte.
De plus en plus troublée, elle demanda :
- Mais ça ne vas vraiment pas
vous êtes en manque, ce nest pas possible !
- Allez. Il ny a pas de mal à me montrer votre culotte. Vais Geneviève si vous faites cela je me promets daller rendre une visite à Pierrette.
- Tu me le promets ?
- Si je vous le dis.
Sans plus attendre ses mains agrippèrent lourlet de sa jupe et remontèrent létoffe. Comme javais pu le remarquer quelques instants plus tôt, elle avait les cuisses roses, légèrement dodues. Très vite le rideau se leva sur la dentelle blanche de sa culotte orné de volants sur les côtés qui épousait comme une seconde peau son intimité. Elle se troussa jusquà la taille.
- Je peux toucher ?
- Il nen est pas question. Me fit-elle en laissant tomber sa jupe. Fin du spectacle.
-Vous êtes une dur à cuire Geneviève. Je nai même pas eu le temps dapprécier.
- Tu en as assez vue, crois-moi !
Elle me raccompagna jusquà la porte. Mais alors que je méloignais elle me lança :
- Je tenverrais un texto.
- Oui
merci
Je ne la connaissais pas aussi étrange.
Dix jours plus tard, je reçus le texto. « Lundi 9h00, elle est enchantée, et tattend avec impatience »
Il y avait même une adresse. Dans un premier je me suis demandé qui pouvait bien mavoir envoyé ce drôle de message. Et après réflexion jai repensé à la Geneviève. La tentation de laventure a fait que je me suis laissé tenté, et je me suis rendu à ladresse indiqué à lheure dite.
Pour une célibataire elle avait une belle demeure. Je me suis glissé à lintérieur puisque la porte dentrée était entrouverte.
- Il y a quelquun ! Cest Alain
fis-je en mimmobilisant dans lentrée.
- Montez
fit une voix venant de létage.
Dans quel merdier métais-je lancé. Javais encore le temps de rebrousser le chemin. Mais la curiosité me poussa à aller de lavant. Dailleurs de nouveau la voix mindiqua de franchir la porte quil se tenait devant mes yeux.
- Entrez
entrez
Ce qui était sûr, elle avait le sens de lhospitalité. Sans me poser plus de question que ça, jai pesé sur le poignet et écarté la porte. Et là que fus ma surprise dy trouver sur le lit, Geneviève dans son plus simple élément. Aussi nue que moi jétais habillé.
- En voilà une surprise. Vous là !
- Cela te déplait ?
- Pas le moins du monde.
- La première pensée qui mest venue à lesprit quand tu mas pris dans tes bras cétait que je ne pouvais pas faire cela sous mon toit. Par pur respect pour mon mari. Ce nétait pas lenvie qui me manquer. Dailleurs depuis cet incident je nai cessé de ressasser ce moment. Moi qui nétais pas une grande masturbatrice, je le suis devenue.
- Tant mieux pour vous. Vous menvoyez ravie.
- Je désire avec toi, retrouver de bonnes sensations, si tu vois ce que je veux vous faire comprendre. Et peut-être même en éprouver dautres, inédites, plus sales, et pourtant plus excitantes.
- Nous ne risquons pas dêtre dérangé, là ?
- Pas le moins du monde. Ma belle-sur est avec toute sa famille en vacance chez sa mère.
- Alors ! Elle nest plus célibataire ?
- Oh ! Oui pardon, jai menti. Elle ne la jamais été.
- Cest bien ce que javais deviné. Fis-je en me déshabillant, impatient de faire frémir de corps, offert.
Pendant ce temps Geneviève sétait appuyé le dos à la tête du lit. Les jambes écartées exhibant son sexe. Tout en le fixant, je pris son pied. Que je caressais, effleurais, massais, chatouillais. Du talon aux orteils. Décelant que cette caresse ne la laisser pas indifférente. Au point quelle commençait à haleter et à gémir, tout en lorgnant ma queue. Je léchais la plante sur toute sa longueur, à grands coups de langue. La faisant gémir de plus belle.
Puis je mattaquais à son sexe, portant mon index jusquau
Bas de sa fente. Et le fis remonter jusquà effleurer le clitoris. Je sentais que son vagin réagissait en sentrouvrant. Je nai pas pu résister à la tentation denfoncer mon doigt dans le marécage. Dont lodeur piquante arrivait jusquà mes narines.
À laide de deux doigts en fourchette, jouvrais le haut de sa fente, dégageant son bouton. Je me mis à caresser dun doigt gluant de mouille. Ça devenait bon pour elle. Très bon même, au point quelle écarta tant quelle pouvait ses cuisses en grand. Son souffle saccéléra, ses joues séchauffaient. Son bouton devenait très gros et ultrasensible. Japprochais alors ma bouche. Jy allais à grands coups de langue et elle haletait de plus belle. À un moment, je pris le clitoris dans ma bouche et le pinçais entre mes dents protégées par ses lèvres. Elle cria et souvrit davantage ses doigts pressèrent ma nuque. La dureté et la dimension du bouton me surprenait. Je le sentis fondre sur ma langue. La mouille coulait dans ma bouche. Elle était proche de jouir, la violence de ses sursauts, la véhémence de ses injections meffrayaient. Docilement, jécrasais le clitoris sous mes gencives et le léchais très vite.
Elle se démenait en couinant sur le lit. Puis Geneviève se figea en haletant. Puis après un sursaut, elle poussait des cris et agitait son bassin et ses cuisses avant de simmobilisé, alors que je poursuivais mes succions, mes mordillements et les va-et-vient de mon doigts que je lui avais enfilé dans son anus. Qui sélargissait en perdant presque autant de sécrétion que son vagin. Je trouvais cela écurant et excitant à la fois. Elle me repoussa violemment.
- Arrête, maintenant, tu vas me faire crever ! Quest-ce que tu mas fait jouir.
Puis elle ondulait un peu ses fesses et ajoutait :
- Fais-moi lamour Alain. Je veux te sentir dans ma chatte.
Il men fallut pas plus pour me placer entre ses jambes. Frottant ma verge contre son sexe avant de menfoncer en elle.
- Cest bon. Je la sens bien ! Et toi Alain !
Cette Geneviève était surprenante.
- Je suis entièrement en vous. Cest délicieux ! Jai limpression que votre chatte va me dévorer tellement elle aspire ma bite. Cest vraiment délicieux !
- Oui
oui ! Que cest bon. Vas-y Alain ! Baise-moi !
Et je commençais à aller et venir dans sa chatte, tout en la regardant. Captant ses réactions. Elle maccueillait dans ses profondeurs intimes. Je donnais de petits coups de reins. Alternant avec des longs et profonds en changeant l'angle pour pénétrer dans tous les recoins de sa chatte. Parfois, je marrêtais avec juste mon gland au bord de sa vulve, avant de plonger ma verge profondément dans son sexe, pour buter sur son utérus. Je sentais aux vibrations de son corps que son orgasme approchait mais le mien aussi.
- Baise-moi encore
Fort
OOOuuuiiiii
Avec de tels encouragements, je ne pouvais quactivais mes coups de reins, comme elle le désirait. Ça ne maidait pas à me retenir, croyez-moi. Puis sa chatte se mit à comprimer ma verge et doccasionner mon orgasme. Alors que je lentendais crier. Tout en magrippant par les fesses. Comme pour me tirer un peu plus à lintérieur de sa chatte. Javais entretemps lâché mon premier jet de sperme. Qui alla frapper son col dutérus.
Agrippés lun à lautre nous avions joui ensemble. Nous noyons dans des spasmes de plaisir intense. Sa chatte me broyant la verge au rythme de mes éjaculations. Je lentendais dire :
- Je te veux comme amant
tu entends ? Je te veux comme amant
Je me soulevais sur mes mains pour la regarder. Ses yeux brillaient et elle me souriait.
- Cest merveilleux de se faire baiser par toi
Bien sûr qusen est revu. Et pas quune fois. Et elle aimait chacune de nos rencontres
Geneviève.
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