Lundi 7 Décembre 1981
Alors que la journée était en train de se finir et quil avait fait très chaud, la porte de mon bureau était ouverte et nous finissions la journée avec mon remplaçant Henry, Véro arriva avec sa voiture et celle-ci garée entra dans le bureau en lançant un bonjour à tous. Puis venant vers moi : « Je ne veux pas vous déranger, mais as-tu dix minutes à maccorder,
»
« Oui,
dabord laisses moi te présenter mon remplaçant M. Henry,
» et à Henry Mme Véro gérante du grand magasin Hollando, vous y trouverez tout ce dont vous pouvez avoir besoin »
Puis me retournant vers Henry : « Je pense que nous avions presque fini,
vous pouvez terminer le planning, et je vous retrouve après,
» et Henry se retira dans le bureau à côté. Il était à peine partie, que Véro sapprocha du bureau et se penchant où plutôt se couchant presque sur le bureau, me faisait voir, ainsi sa jolie poitrine nue avec : « Tu vois ils sennuient de toi,
regardes bien,
et elle ouvrit un bouton supplémentaire,
regardes,
ce nest pas tentant,
» Oh oui, cétait tentant, mais : « Tu es folle,
» et de me répondre : « Oui,
folle,
folle denvie de toi,
ça fait une semaine que tu nes pas venu me voir,
cest de ta faute,
»
Moi : « De ma faute,
»
Véro : « Jétais tranquille,
une petite baise de temps en temps
et pour le reste je me débrouillais,
il a fallu que tu apparaisses,
faire lamour, non, baiser dans un parking,
moi,
inimaginable,
et je tai cédé,
et tu mas fait découvrir que jaimais le sexe et ses plaisirs,
et tu vas partir bientôt,
je veux profiter de toi,
»
Moi : « Tu en as tellement envie,
»
Véro : « Un véritable goujat,
je moffre à lui,
et il me pose cette question, ... »
Moi : « Je plaisantais,
viens à côté de moi,
»
Véro : « Tu es un monstre,
et au lieu de te fuir à toutes jambes,
je vais lui obéir,
» et effectivement elle vint à coté de moi, et jen profitais pour glisser une main exploratrice entre ses cuisses, pour remonter vers sa grotte damour, comme elle lavait deviné, car elle écarta légèrement les cuisses, où, quand arrivé, je posais ma main sur sa chatte, que je caressais doucement, elle souvrit encore légèrement et je sentais ses grosses lèvres bien humides bien posées dans ma main et doucement, je la pénétrais : « Oh,
non,
pas ça,
non,
oh,
» et là tête ne dirigeais plus mais les reins sétaient avancés et sa chatte sétait plantée sur mes doigts.
Moi : « Tu nas pas aimé,
»
Véro : « Monstre,
tu sais bien que si,
mais je veux plus,
et tu le sais,
que je suis venue pour ça,
alors,
»
Moi : « Tes adorable,
tu prends ta voiture et tu vas te garer en face de la bank Africa, et je viens,
dans un quart dheure,
»
Véro : « Oui,
je tattends,
»
Moi : « Prépares toi,
»
Véro : « Que veux-tu dire,
»
Moi : « Que tu sois en pleine forme,
bien chaude,
bien mouillée,
»
Véro : « Cest bien ce que javais cru comprendre,
tes vraiment un monstre,
dépêches toi, je tattends
»
Cette femme était vraiment extraordinaire, dans son travail, une gérante bosseuse, compétente mais exigeante et des aires de bourgeoise très classe.
Comme je la connaissais de mieux en mieux, pour la décrire, je dirais, imaginez une belle femme en tailleur gris perle, veste ajustée, cintrée, décolleté discret, mais juste suggestif, jupe droite assez courte pour ne pas être trop longue, épousant bien ses formes, chaussée descarpins. Vous la voyez, une belle femme, mais en dessous, on peut limaginer, pas de lingerie, même suggestive, non entièrement nue, avec des fins porte-jarretelles tendant des bas couleurs chair et la touffe parfaitement épilée en triangle et taillée de façon à faire un petit coussin de poil blond, parfumée à son odeur de femelle. Elle cachait, semble-t-il sans le savoir, une femme, non une femelle sensuelle, exigeante, gourmande de sexe et pour cela, aimant tout, prête à tout, pourvu que ce quon pouvait lui demander lamène au plaisir, au plaisir de jouir, aimant obéir peut-être jusquà la soumission, soumission consentie certes.
Je finissais avec mon remplaçant et jallais récupérer Véro au parking de la Bank.
Elle grimpa dans le 4*4 et nous partîmes.
Véro : « Ou allons-nous,
»
Moi : « Dabord, remontes ta jupe,
que je puisse voir tes belles cuisses,
et le reste,
On va dans la palmeraie,
»
Véro : « Mais on va nous voir, de la route,
»
Moi : « Non,
jai trouvé une cabane qui sert lors de la récolte du copra et qui nous cachera de la route » Entre temps, elle avait remonté sa jupe et je pouvais ainsi les caresser. Mais quelle est largement écartée les cuisses, mais il métait difficile datteindre son minou. Un peu pour la provoquer : « Je voudrais gouter à ta chatte,
tout à lheure, je nai pas pu sentir, humer ton odeur,
fais-moi gouter,
»
Véro : « Quest-ce que tu veux,
»
Moi : « Que tu te caresses un peu,
comme ça tu vas mouiller et tu plongeras ton majeur dans ta mouille,
ça sentira toi,
ton odeur,
»
Véro : « Tu es fou,
dis-moi que tu veux que je me caresse,
cest pas vrai,
que je fasse ça maintenant devant toi,
il doit être anormal,
»
Moi : « Dabord tu nes pas devant moi,
mais à côté,
et je suis certain que tu vas le faire,
pour te faire plaisir,
tu es toute chaude,
et je suis dur que tu en as envie,
que ça va texciter,
et puis pour me faire plaisir,
»
Je ne roulais pas trop vite de façon à ne pas lui donner la possibilité de ne pas le faire, car nous serions arrivés, dautant que jétais persuadé quelle allait céder par provocation et aussi par plaisir
Véro : « Non cest pas vrai,
tu veux vraiment,
dis-moi que ten as très envie que je me caresse,
ça texcite,
» Il y eut un temps de calme et elle senfonça dans le siège, écarta encore légèrement les cuisses et sa main droite remonta sa cuisse pour atteindre son minou quelle commença à caresser avec : « Je suis folle,
je ne me reconnais plus,
Oh,
» Le rythme de sa respiration saccéléra légèrement, et jetant un coup dil sur ce qui se passait, les yeux fermés, le compas de ses cuisses largement ouvert, elle se caressait avec volupté.
Moi : « Donnes moi ta main,
je veux te sentir,
humer ton odeur,
»
Véro : « Oui,
attends un peu,
quelle prenne bien mon odeur,
Oh,
OUI,
pour toi,
»
Et elle me mit sa main sous le nez : « Dis-moi que tu aimes,
cest pour toi,
», nous étions arrivés. Je repris sa main pour la sentir et lattirais vers moi pour prendre sa bouche pour un baiser goulu. Et je lui dis que nous allions passer derrière car il y aurait plus de place, ce que nous fîmes. En fait, je lui tins la porte et quand elle fut assise : « Je veux sentir ta chatte,
et te gouter,
couches toi sur le siège,
» et par un mouvement bien orchestré elle se laissa aller sur le siège et pendant quelle relevait sa jupe, ses jambes sécartèrent, me permettant davoir accès à sa grotte damour, elle murmura : « Je nattendais que,
oui,
viens,
jaime que tu me goutes,
jaime que tu mes suces,
lèches le sexe,
oui,
jaime,
» Il ne fallut pas longtemps pour quelle mouille en quantité et que son odeur me grise. Deux doigts partir en reconnaissance dans ce minou ouvert et je la masturbais un peu, de façon la pousser le plus loin possible, sans pour autant la faire jouir, alors quelle disait : « Oui,
continues,
jaime,
ne tarrêtes pas,
plus vite,
OOOHHHH,
OUIIIIIIII
» Elle était tellement chaude que je navais pas prévu quelle parte si vite. Pendant quelle reprenait son souffle, je rentrais rapidement dans la voiture et mempressais de moccuper de ses seins que javais mis en liberté en dégrafant son corsage : « Laisses moi souffler,
tu es trop gourmand,
attends un peu,
» faisant semblant de marrêter, elle réagit aussitôt : « Non,
continues,
jaime que tu toccupes de mes seins,
jaime ça,
tu le sais,
têtes moi,
laisses moi me calmer un peu,
après je voudrais que tu me prennes,
tu mas tellement excitée,
»
Mais, suite à ce quelle avait fait, une autre idée métait venue, je la prie dans mes bras et je mempressais de satisfaire ce désir, moccuper de ses seins, les caresser, les serrer, les martyriser un peu, elle aimait ça, même elle appréciait.
Véro : « Tu es complétement fou,
»
Moi : « Non, je pense que ce doit être excitant,
te voir te caresser et surtout te voir jouir,
je suis sûr que tu aimeras,
»
Véro : « Non,
il est complètement dingue,
jamais,
»
Moi : « Ne me dis pas que tu ny a pas pensé,
aimant les plaisirs du sexe comme tu les aimes,
je suis certain que tu y as pensé,
tu peux être franche avec moi,
cest entre nous,
»
Véro : « Bon,
de nouveau je te cède,
oui jy ai pensé,
ce doit être follement excitant,
mais jai toujours hésité à ten parler,
que tu penses que jétais,
enfin,
je ne sais plus,
tu me tournes la tête,
je ne me reconnais plus,
»
Moi : « Je suis certain que ce sera très agréable,
et que ça nous fera de beaux souvenirs,
puisque tu y as pensé, où imagines tu le faire,
»
Véro : « Mais je nai pas dit que je le ferais,
»
Moi : « Non,
mais où et quand imagines-tu de le faire,
»
Véro : « Jai pensé,
enfin je suppose que jaimerais faire ça dans mon bureau,
je serais tranquille,
»
Moi : « Oui,
ce serait un bon endroit,
et, comment ferais-tu,
racontes moi,
»
Véro : « Tu mennuies,
bon,
tu veux que je te raconte,
non, je ne peux pas,
»
Moi : « Mais si,
tu en meurs denvie de te raconter,
»
Véro : « Je suis en train de faire une bêtise, mais, ... ça te fait plaisir de rêver,
jouvrirais mon corsage de façon à libérer mes seins et pouvoir les caresser,
mes seins se gonflerons et mes tétons durcirons,
alors, mes mains descendront,
je déferais la ceinture de ma jupe portefeuille,
»
Moi : « Pourquoi une jupe portefeuille,
»
Véro : « Parce que la ceinture défaite,
elle souvrira entièrement,
et mes mains viendront sur mon ventre,
puis sur mes cuisses,
doucement,
tu sais lintérieur de mes cuisses,
là où tu aimes me caresser,
et membrasser, car la peau et douce,
et je remonterais vers,
mais je suis folle de te raconter ça,
je ne pourrais pas faire ça,
»
Moi : « Continues,
je suis sûr que, maintenant, tu sens tes mains te caresser les cuisses,
écartes les,
tu peux ainsi arriver à ta chatte,
continues,
»
Véro : « Arrêtes,
quest-ce que je raconte,
OH,
oui,
je sens mes mains qui remontent vers ma chatte,
et je vais me caresser,
jaime me caresser,
jai envie de me caresser,
longtemps,
avant de me pénétrer,
oui,
jouvre largement mes cuisses,
je commence à mouiller,
cest le moment de me prendre,
de rentrer doucement,
comme jaime,
oui,
jaimerais que tu me vois,
ça mexciterait,
OH,
mais je suis folle
quest-ce que je raconte,
»
Moi : « Cest extraordinaire,
ce serait formidable,
je croyais y assister,
jaimerais te voir le faire,
»
Véro : « Non,
je suis folle,
tu me tournes la tête,
jamais je ne ferais ça,
mais ça ma excité,
jai envie de toi,
prends moi,
prends moi fort,
oui, baises moi,
OH,
oui,
»
Moi : « Comme la dernière fois dans la carrière,
»
Sans rien dire elle se retourna, en fait se mit en levrette. Pour être à laise, jouvris la porte du 4*4, son « arrière-train » se trouvait juste à hauteur, et je minstallais entre ses cuisses et comme je bandais dur après son récit, elle put facilement saisir ma bite et la diriger vers sa chatte, ce qui me permit de menfonçais brutalement dun seul coup, ce qui amena un long soupir de plaisir : « OH,
Oui,
prends moi,
jaime te sentir me pendre,
quand tu me remplis,
cest bon,
» Je la tenais par les hanches et elle, bien cramponnée aux dossiers des fauteuils, je la baisais, il fallait que je la baise avec énergie, tellement elle mavait excité avec son récit et visiblement elle aimait cela disant : « Jaime que tu me prennes comme ça,
oui,
continues,
(et lui prenant les cheveux et les tirant) OH,
oui,
jaimes,
dis-moi que tu aimes me prendre,
me baiser,
que tu aimes jouir en moi,
OOOOOHHHHH,
. OUIIIIIIIIII,
OOOOHHH,
OUIIIII,
» tout dun coup se tendant, alors que je me vidais dans sa chatte en deux longues giclées, elle fut prise de deux spasmes assez soudains qui la firent se contracter brutalement, se relâcher et se re-contracter, pour enfin saffaler sur les dossiers, essoufflée. Reprenant ses esprits : « OH,
ça déborde,
où est mon sac,
» (je prenais sur le siège avant pour lui donner, et me regardant la lune était claire, on se devinait) elle remonta sa jupe, et glissant sa main entre ses cuisses largement ouvertes, elle pénétra sa chatte en disant : « Jai envie de gouter,
tu sais que jaime à gouter à notre plaisir,
» elle ressortit ses deux doigts pleins de nos plaisirs mélangés et les suça avec gourmandise. Puis elle prit dans son sac une petite culotte et la mit : « Ça mévitera de tâcher ma jupe,
bon,
il faut rentrer,
» Je la raccompagnais à sa voiture. Avant de descendre : « Embrasses moi,
tu sais Jean,
je me suis offerte à toi, pour me venger,
et après, je me suis donnée, volontairement à toi,
tu vas bientôt partir,
je vais te regretter,
je me refuse à compter les jours ça mattriste,
oui, noublies jamais, je me suis donnée à toi,
je tembrasse,
» et elle était partie
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