Le Lendemain

Le lendemain, après une petite grasse matinée, je me suis évidemment réveillé avec une érection pas possible en repensant aux événements de la veille.
Nous avons donc fait l’amour de façon on ne peut plus classique pour nous (je l’ai masturbée jusqu’à l’orgasme puis je l’ai pénétrée en missionnaire). J’ai duré un peu plus longtemps qu’à l’habitude, environ 5 mn, car elle était encore très ouverte des réjouissances de la veille, mes sensations furent donc moindres.
Trop tard pour le petit déjeuner, nous nous sommes rendus directement à la piscine pour prendre le soleil, pour notre dernier jour de vacances (vendredi).

Léa avait enfilé une robe de plage noire assez transparente, qui attirait l’attention sur ses jolies fesses soulignées par un maillot noir lui aussi, qui lui rentrait un peu dans les fesses. Magnifique.
Romain était là évidemment, exhibant fièrement ses muscles saillants. Son short de bain mettait bien en valeur ses cuisses, et même son magnifique sexe, semble-t-il.
Il nous salua de loin avec un petit sourire en coin, ma conjointe ne parut pas spécialement gênée de le voir.
Je m’assoupis rapidement sur le transat, fatigué de notre soirée et de ce matin.
Lorsque je rouvris les yeux, je vis Léa dans l’eau avec Romain, ils étaient relativement proches et collés près du bord de la piscine. Il n’y avait pas grand monde en ce mois de juin, et la piscine étaient quasiment à eux. Je fis mine de dormir derrière mes lunette de soleil mais le visage de Léa attira mon attention, de temps en temps son visage changeait d’expression. Je compris assez rapidement qu’il se passait quelque chose sous l’eau, soit Romain était en train de lui caresser la chatte, soit elle s’occupait de lui avec ses mains.
Ils me jetèrent plusieurs fois des regards en coin mais je n’eus aucune réaction, je feins même quelques ronflements.
Peu de temps après, ils sortirent de l’eau et se dirigèrent vers le complexe.

Je remarquais sans mal que Romain avait encore la bite à moitié dure, connaissant maintenant l’engin dépourvu de vêtements.
Je ne sais pas ce qu’ils ont fait ni où il ont bien pu aller dans le complexe mais ils ne réapparurent que 20 mn plus tard. J’étais cette fois-ci bien réveillé quand Léa revint vers moi, seule.
Elle s’approcha de moi vraisemblablement gênée et le visage un peu rouge. Elle me dit en baissant la tête, à voix basse: « Chéri, Romain me demande de te demander s’il peut me baiser cet après-midi ? »
Très surpris et me demandant toujours ce qu’ils avaient fait sans m’en parler, je lui répondais un peu malgré moi « bien sûr, si tu en as envie ».
Léa parut soulagée et continua « par contre, il voudrait me voir seule dans notre appartement, il pense que je me lâcherais davantage ».
Un peu réticent, frustré mais foutrement excité, j’acceptais la proposition d’un hochement de tête.
Nous nous sommes changés et sommes allés déjeuner, et Léa me raconta qu’il l’avait entrainée dans les toilettes de la piscine et lui avait demandé de le sucer, assise sur les toilettes, lui le short baissé. Il n’avait pas de capotes sur lui et ayant souvent du mal à jouir avec la bouche d’une femme, il lui avait proposé de poursuivre l’après-midi. J’allais de surpris en surprise, elle qui ne me suce jamais, avait déjà sucé le même inconnu deux jours de suite! Leur rendez-vous avait été convenu après la sieste, elle devait aller le chercher à la piscine vers 16h. N’étant pas le bienvenu pour les réjouissances, j’avais emmené mes affaires de piscine. Je l’ai laissée aller le chercher seule sans m’approcher, et je l’ai vue lui prendre la main et s’éloigner en direction de notre appartement.
Je suis resté comme ça une vingtaine de minutes sur le transat, à essayer de penser à autre chose et à dissimuler mon sexe bandé (quoique avec 14 cm même en érection ce n’est pas très visible). N’y tenant plus, j’ai décidé de retourner vers l’appartement dans l’espoir de pouvoir assister à quelque chose, laissant mes affaires en plan.
J’avais un double de la clé mais je l’ai laissée dans le sac.
Arrivé devant l’appartement, je constatais avec frustration qu’il n’y avais pas moyen de voir quoique ce soit à l’intérieur, aucune fenêtre ne donnant sur le couloir. Et je n’allais pas escalader le balcon.
Curieux, je collais l’oreille à la porte d’entrée, l’appartement n’étant pas très grand (type chambre d’hôtel, pas de cuisine).
Je reconnus immédiatement le bruit du lit qui grinçait terriblement, il était vraisemblablement en train de démonter ma femme avec la même frénésie que la veille. J’entendais d’ailleurs ses gémissements étouffés par l’épaisseur de la porte, qui ressemblaient davantage à des couinements aujourd’hui. Je sortis mon sexe de mon short de bain et commençais prudemment à me masturber en regardant autour pour être sûr qu’il n’y avait personne.
Je ne sais pas dans quelle position il était en train de se la faire mais je l’entendais distinctement l’insulter de pute et lui demander si elle aimait ça.
Contrairement à la veille, elle lui répondait tout de suite par des « ouiii, ouiii » sur le ton du gémissement. Il était sans doute en train de la labourer en levrette, j’entendais même par moment ses couilles claquer sur sa peau.
Il y eut un silence puis je l’entendis lui dire « viens sur moi petite chienne, montre moi comment tu chevauches une grosse queue, je veux que tu la prennes en entier dans ta chatte ».
Le lit faisait à présent beaucoup moins de bruit, je pense qu’elle faisait de longs vas et viens sur sa bite, d’ailleurs j’adore quand elle fait ça, je ne tarde jamais à tout lâcher.
Ses gémissements n’avaient par contre pas baissé en intensité, et Romain l’encourageait régulièrement à « bien la prendre à fond », et à « s’enfoncer son doigt jusqu’au bout ». Le salop, il lui mettait un doigt dans le cul pendant qu’elle ondulait sur lui !
N’en pouvant plus, j’éjaculais trois jets de sperme épais contre le mur, j’avais mal au sexe.

Après un bon quart d’heure de ce traitement, j’entendis du mouvement dans la chambre et Romain dire « écarte bien les jambes ma salope ». Les gémissements de ma femme reprirent de concert avec les grincements du lit, très rapprochés, accompagnés de grognements de la part de Romain. Ma femme lui disait que c’était bon et de la « défoncer plus fort », il était donc en train de la prendre dans un missionnaire bien vigoureux.
Après cinq minutes, j’entendis à nouveau un mouvement sur le lit, un claquement élastique de capote que l’on enlève, puis un long râle de bonheur de la part de Romain, puis il lui dit « c’est bien salope, avale tout, n’en laisse pas une goutte ». Il venait donc de lui cracher dans la bouche et elle s’affairait à bien lui nettoyer le gland.
Ma bite était à nouveau toute dure et quelques vas et viens suffirent pour lâcher une nouvelle salve de sperme sur la porte.
Je m’empressais de remettre mon short correctement et je regagnais la piscine.
Une vingtaine de minutes plus tard, Léa me rejoignit au bord de la piscine et me roula une pelle avec la langue.
Je reconnus sans peine le goût du sperme et elle me regarda d’un air malicieux, sans rien dire.
Les vacances touchaient à leur et fin et nous n’avons jamais revu Romain mais cette aventure fut notre première dans la voie du candaulisme.

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