La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1297)
Camélia au Château - (suite de l'épisode précédent N°1296) -
- Bien, Monsieur le Marquis. Il sera fait selon Vos exigences, dit Walter dun ton respectueux en séloignant et tirant sur la laisse pour m'obliger à le suivre...
C'est ainsi que je le suivis, tenue en laisse à quatre pattes comme la chienne que jétais frustrée et déçue davoir fauté et ainsi davoir été punie car je n'avais pas satisfait les exigences énoncées par Walter. J'avançais suivant le rythme imposé par le Majordome ne souhaitant pas fauter une nouvelle fois. Javais bien compris, depuis mon arrivée dans l'illustre Château, que toute faute ou oubli de ma part serait sanctionnés, ayant remarqué que Walter avait les coups de cravache faciles à la moindre désobéissance. Je continuais ainsi à évoluer en quadrupédie dans une démarche que je voulais des plus féline et séduisante dans le but de satisfaire leur exigences dans les vastes et capitonnés couloirs de limmense et ancestrale Demeure. Puis au détour dun long couloir, on descendit des vieux et étroits escaliers abrupts, tous en pierre et en colimaçon pour rejoindre ce fameux donjon dont j'avais tant entendu parlés dans les récits. Je n'avais pas vraiment le temps dy penser étant bien trop concentrée à suivre Walter dans un pas plus lent afin de ne pas chuter, la tête la première, dans ces escaliers forts pentus...
Je gardais ainsi l'attitude d'une soumise en ayant la tête et le regard baissée au sol. Arrivés en bas des escaliers, nous longions sur quelques mètres un luxueux couloir aux murs flanqués dune épaisse moquette bordeaux-rouge côtelée puis nous arrivions enfin vers la porte massive du donjon. Celle-ci était richement décorée par de nombreuses moulures finement sculptées et vernis, motifs tous aussi plus beaux les uns que les autres
Walter avait lâché ma laisse. Jattendais ainsi la tête baissée regard rivé au sol le bon vouloir du Majordome. Celui-ci me dévisagea du regard tout en profitant pour rapprocher sa main de la porte.
En effet, dans ce donjon, je pouvais voire de nombreux instruments à forte connotation D/S, je pouvais ainsi voir plusieurs croix de Saint-André sur 3 pans de mur. Et sur le quatrième pan de mur, était accrochés toute une collections de paddles, des martinets, des fouets, des cravaches ainsi que des badines en très grands nombres et parfaitement bien rangés. Il y avait aussi de plugs et de gods exposés par différence de taille, de la plus petite à la plus grande, il devait y en avoir environ une bonne cinquantaine de sextoys. Des crochets et des chaînes suspendues aux plafonds. Des anneaux de métal scellés un peu partout dans les murs, et pour certains anneaux, des chaines y étaient accrochées. De cordes en quantités, deux cages suspendues, un chevalet, un cheval darçon, une table de gynécologie, complétaient léquipement D/s. Au milieu du vaste donjon, des fauteuils en cuir très luxueux pour les Dominants. Visiblement on avait remplacé, au niveau du plafond entre les poutres, le plancher par un plafond en verre totalement transparent afin que lon puisse assister aux séances de Domination/soumission avec une vue de hauteur.
Tout dun coup, je sentis deux coups de cravache sur mon fessier venant rougir ma croupe déjà marquée par la sanction précédente. Je fis donc quelques pas à quatre pattes pour entrer dans le donjon. J'entendis le Majordome claquer la porte derrière lui et revenir à ma hauteur. Il me dévisagea de nouveau me jaugeant et laissant un silence de plomb s'installer. Il me regarda avec un sourire carnassier et un regard pervers. J'attendais avec patience et aussi une certaine impatience de savoir ce qu'il allait se passer, de savoir quelles avaient été les exigences de Monsieur le Marquis concernant Sa chienne. Walter me fit avancer au milieu de la pièce et me regarda à nouveau de manière vicieuse et perverse. Je vis le Majordome se rapprocher de moi et me dit, les yeux rivés sur mon humble personne et d'un ton calme mais froid :
- Bien la chienne, tu sais pourquoi tu es la ? Tu es ici, dans ce donjon, pour apprendre et être éduquée à la fellation qui te fait tant défaut. Tu vas apprendre à ce que ta bouche devienne une bouche parfaitement chaude, humide et donc accueillante pour être utilisée par les Dominants car pour linstant ta bouche est juste un trou complètement inutile. Tu vas apprendre à devenir une bonne suceuse. Car ce que tout Maître veut avant tout, dune soumise, cest qu'elle sache lui donner du plaisir d'un claquement de doigts avec tous ses orifices. Nous sommes donc ici pour que tu apprennes à bien sucer. Jai toujours réussi à éduquer et à dresser tous les soumis et ce genre dexercice et ce n'est pas toi qui va me faire échouer aujourd'hui. Je veux que tu saches que Monsieur le Marquis m'a donné carte blanche et aucune limite pour te faire progresser dans l'apprentissage de lart de la fellation. Sache que je n'ai jamais blessé ou fait une soumise mais que je sais être exigeant et intraitable dans l'éducation et le dressage pour que la soumise puisse progresser dans le chemin que Monsieur le Marquis veut voir emprunter Sa chienne ainsi que selon Ses directives.
Walter sarrêta un instant, reprit son souffle, Me toisa et reprit sur le même ton :
- Attention à chaque fois que je note une baisse d'entrain ou de motivation, tu recevras un coup de badine pour réveiller ta motivation à mieux obéir ainsi qu'à y mettre plus dardeur au travail. Le donjon est équipé dun réseau de caméras et saches que Monsieur le Marquis peut voir et observer tout ce qui se passe ici. Ton éducation est donc très suivie par le Maître et si tu ne veux pas le décevoir et endurer Son courroux, je te conseille vivement de t'appliquer plus que limpossible... Bien, je vais aller placer et fixer le god-ventouse sur le mur d'en face et quand je te le dirais, tu iras le sucer. Et tu t'arrêteras seulement quand je te le dirais. Si tu arrêtes sans en avoir reçu l'ordre tu recevras un coup de badine. Bien assez parler, maintenant, tu baisses le regard et tu attends mon signal
Cest alors que je vis les chaussures de Walter s'éloignant de moi et se rapprochant du pan de mur où étaient fixés des objets sexuels. Il se rapprocha de celui-ci et se saisit dun god-ventouse quil choisit minutieusement. Il se dirigea ensuite vers un autre mur où il fixa le god-ventouse. Jentendis les pas du Majordome se rapprocher de moi. Une fois arrivé à ma hauteur, il me dit dun ton clair et direct sans aucune ambiguïté possible :
- La chienne, il est temps que tu me montres ton niveau dans le domaine de la fellation. Vas, en te déplaçant à quatre pattes, sucer le god-ventouse que j'ai fixé sur le mur qui se trouve face a toi. Tu peux relever la tête pour te diriger et sucer ce god-ventouse avec application.
Je me déplaçais donc en quadrupède dans une démarche que jessayais de rendre féline et séduisante me concentrant déjà sur cette tâche à effec. Cest ainsi quaprès quelques pas je me retrouvais face au god-ventouse. Je me mis donc à réfléchir à toute vitesse approchant ma bouche grande ouverte près proche de lobjet sexuel. J'essayais de sucer avec maladresse bavant sur le god, manquant de conviction. Je finissais par me sentir ridicule à faire cela dans cette position
Je m'arrêtais un instant de sucer. Je sentis alors, de suite, deux puissants coups de badine me marquant la cuisse. Je l'entendis me dire :
- Eh bien la chienne ? Tu nas pas l'air très douée pour obéir. Je ne tai pas donné l'autorisation de tarrêter donc tu recommences immédiatement à sucer ce god et avec beaucoup plus dapplication comme si cétait une bite humaine, si tu ne veux pas recevoir de nouveaux coups de badine, salope !
Je pris sur moi pour rabattre mon orgueil et calmer linutile rébellion qui commençait à grandir en moi. Je me concentrais pour suivre les exigences de Walter. Je recommençais donc à sucer avec une véritable application cette fois-ci à sucer et je commençais après un bon moment à ressentir une certaine douleur aussis bien au niveau de la mâchoire que de la bouche. Mais je continuais comme une bonne chienne soumise obéissante à sucer ce god-ventouse du mieux que je le pouvais sachant très bien intérieurement que Monsieur le Marquis devait me regarder et surveiller par le biais des caméras. En effet le Maître Vénéré me regardait attentivement, de son fauteuil installé dans son bureau et Il avait remarqué lorgueil qui habitait Sa soumise. Il savait qu'il allait falloir encore bon nombre d'humiliations afin que celles-ci puissent faire taire cet orgueil stupide et disproportionné. Le Châtelain savait que sil voulait vraiment la posséder, il fallait qu'il la prête aussi à dautres Dominants (tes) pour qu'elle se rende compte du véritable privilège dêtre à Ses pieds car Lui Seul disposait du corps de Sa chienne et quainsi, Il pouvait le faire partager à son entourage de Dominants (tes)... Il aimait surveiller à travers les caméras de surveillance Sa soumise, cela lui permettait de pouvoir observer toutes les réactions de celle-ci et comment elle répondait à Ses exigences, ce qui Lui permettait de lire en elle, comme dans un livre ouvert
Le Majordome n'hésitait pas ainsi à distribuer quelques coups de badine, quand il jugeait que cela était opportun...
(A suivre
)
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