Jeu Érotique Au Travail

Je suis commercial dans une entreprise de maçonnerie, j’ai 38 ans je suis marié et j’ai deux s.
Un matin alors que je devais me rendre à une réunion de chantier dans le département voisin, le chef m’appelle pour me dire que la réunion aura lieu au siège de la société et non sur le chantier, lui était déjà sur place car il est souvent sur le terrain . Ce n’est pas un homme de bureaux. Bref bonne nouvelle plutôt que de faire des kilomètres, j’ai une bonne heure devant moi car la société est juste à cinq minutes de chez moi. Arrivé dans les bureaux, je n’est pas franchement le temps d’attaquer autre chose ni d’aller voir un client, je vais donc prendre un café en attendant l’arrivé du chef et des autres protagonistes de la réunion.
La boite est presque vide, les gars sont sur divers chantiers depuis les premières lueurs du jour, le chef est sur la route, ne reste que Sophie, la secrétaire. C’est une femme la quarantaine, mariée au moins deux s aussi. C’est une collègue depuis quatre ans environ mais pas vraiment une amie, je ne connais rien de sa vie, on s’apprécie, mais on à toujours parlé que boulot. Nous somme presque du même âge alors le courant passe bien mais rien de plus. Elle est brune cheveux court en carré, un peu de ventre mais sportive occasionnel. 1m70, petit seins mais surtout un visage très mignon.
Aujourd’hui elle à une jupe noir en dessous du genou, un chemisier coloré pastel, et toujours ces petite lunette.
Je passe donc la saluer et lui expliquer les changements de dernière minute. Il est 9h30 on discute de tous et de rien le temps que je finisse mon café, elle en profite pour lever les yeux de son écran heureuse pour une fois de discuter cinq minutes, car en générale après le rush du matin elle ne revoit personne avant midi.
J’allai là laisser quand je vois un grand carton au fond du bureau. « c’est quoi ? », « c’est les cadeaux pour le départ de Jean-Paul (un ouvrier dont la retraite est pour bientôt).

Je me souvient avoir participé à une cagnotte il y a quelques semaines. Les gars de l’atelier lui ont achetés plusieurs cadeaux me dit elle. J’ouvre le carton par curiosité, il y a une canne à pêche, de bonne facture certainement mais je n’y connais rien. Puis deux autres boites, la première une poupée gonflable … je regarde Sophie qui souri. « oui me dit elle ce sont les gars qui on choisis » amusé je lui répond qu’ils se connaissent depuis longtemps. L’autre boite, c’est un jeu de société érotique, à encore dans le même thème. « oui me dit elle c’est un peu de l’argent gâché mais bon c’est leurs humours ! ».
« pourquoi dit tu cela ? »
« Et bien ça ne sert à rien, qui peut bien jouer à ce genre de jeu érotique, les différents défis poussent tous a réaliser des actes plus ou moins sexuel et la finalité est de coucher avec le ou les partenaires de jeu ! Tous savent dès le début où cela vas les mener ! Il n’y as pas grand-chose d’érotique là dedans ! De plus faut avoir des amis branchés échangisme »finit elle en riant.
Je comprend ce qu’elle veut dire et je comprend aussi qu’elle à bien du lire attentivement les règles au dos de la boite …
« Il faudrait que la situation soit plus fantasmée, ne pas savoir où le jeu puisse nous mener ».
« exactement me répond t’elle même si je n’est pas d’exemple pour expliquer ce que j’imagine ».
je réfléchi quelques instants : puis je lui dit : 
« imagine que tu es sur une plage, seul, et là tu demande à un inconnu qui passe de te mettre de la crème ! tu outrepasse certaine limite mais cela reste sage ».
...
« oui me dit elle par exemple ça c’est très érotique mais ce n’est pas un jeu plus une situation un contexte, mais oui c’est vraiment dans ce qui peut susciter des fantasmes . »
je vois bien que ces yeux sont un peu dans le vague et qu’elle imagine et ce projette dans la situation.
« ou alors, tu est avec ton amoureux dans un club en vacance, là ou tu ne connaît personnes et tu participe à un concours de strip-tease amateur ! Après tu t’arrête quand tu veut mais tu peu t’exhiber, allez un peu au-delà de tes limites ! »
elle réfléchie me fixant du regard, je là voit fantasmer cette idée, quelques secondes de silence . Puis elle me répond : « Oui c’est vraiment ce genre de jeu de défis, mais faut avoir vraiment le courage de sauter le pas et puis la situation est particulière faut trouver le bon lieu au bon moment ... »
Je profite de ce moment de trouble pour lui faire part d’un de mes fantasmes, « tu sais mois j’ai imaginé un petit jeu je ne lui est pas trouvé de nom d’ailleurs car la situation ne sais jamais présentée pour l’essayer. Le principe est simple on se retrouve dans une petite pièce, un placard ou des toilettes mais les toilettes c’est pas très érotique ! Plutôt un grand placard avec peu de place pour provoquer une proximité certaine, mais suffisamment grand pour ne pas se toucher. Deuxièmement il faut être dans le noir le plus possible, puis le jeu est de se déshabiller l’un l’autre chacun son tour ! » je vois quelle me regarde avec de grand yeux surprise de ce que je propose. «  on sait ce que l’on est en train de faire mais le faite d’être dans le noir fait que l’on ne voit rien, tous est suggérés bien que réel. » « on s’arrête quand on veut et le plus drôle c’est aussi de retrouver ces vêtements après ! » « et au final on a vécu une expérience très érotique sans véritablement avoir franchi de ligne rouge ».  « c’est un jeu à la base cela doit être drôle et ludique un petit délire coquin entre ami et adulte consentant ».
Elle est bouche bée, est ce que je suis allez trop loin, car c’est limite une proposition que je viens de lui faire !
Elle ce lève sans forcement m’inviter à la suivre ! et va dans la pièce à côté qui sert de rangement et au fond il y a une petite alcôve pleine de cartons d’archives. Elle ouvre la porte regarde à l’intérieur se tourne vers moi et dit : «  regarde ici c’est possible presque parfait comme tu l’imaginais » je suis sous le choc, elle envisage sérieusement de tenter l’expérience. Je ne réfléchi pas plus longtemps et la rejoins à l’intérieur.
On referme la porte, seul une fine source lumineuse passe sous la porte. Elle est face à moi je le sais mais je ne la voit pas. Elle a le dos plaqué contre le mur, moi j’ai un peu plus de place mais je reste volontairement très proche d’elle. Je lui dit :  « je commence » pas de réponse.
Alors je me baisse et soulève son pied, elle accompagne le mouvement, je lui enlève ces chaussures, des ballerines et aussi ces chaussettes basse. Elle est pied nues, je me relève. « à toi maintenant » Elle fait la même chose je pose ma main sur sa tête pendant qu’elle me retire mes chaussures et mes chaussettes. Puis elle se relève, « à toi me répond elle enfin » d’une voix qui suggère un sourire. Je passe mes mains sur ces anches et je soulève son chemisier au passage de la tête elle éclate de rire car par maladresse je lui est presque fait tombé ces lunettes « je lui dit j’y vois rien ! » en riant aussi. Je laisse tomber ces vêtements à nos pied. Elle enlève mon polo . Puis je fait glisser sa jupe à terre. Je l’imagine à quelques centimètres devant moi en sous vêtement, elle avec qui je n’imaginai rien il y a encore quelques minutes. j’ai le souffle coupé. Elle pose alors ces mains sur mon jeans, me déboutonne et ce baisse pour me le retirer. Je replace ma main sur sa tête pour soulever mes pieds et me trouver en t-shirt caleçon.
Elle ce relève mon jeans est tombé derrière elle. Je ne dit rien le jeu va t’il s’arrête ? « Elle dit : à toi ! »
je met mes mains sur ces épaules lui fait faire un demi tour puis lui dégrafe son soutien gorge, je le lui enlève et le jette derrière moi. Elle me refait face « alors Sophie pas trop froid ? » « non plutôt chaud » me répond t’elle directement d’une voix toujours rieuse. Je la sent très entreprenante elle soulève mon t-shirt et le jette je ne sais où elle en profite aussi pour passer ces mains sur mon tors. Il ne lui reste que sa culotte en fin j’imagine. Elle est presque nue, je n’attend pas, et met mes doigts sur ces anches et glisse sous l’élastique. Difficile de dire ce qu’elle porte peu importe je lui ôte cette dernière protection. c’est sûr ! elle est nue je sens son corps près de moi elle trépigne je le sens.
Alors je me relève mes mains parcours l’extérieur de ces chevilles, ces cuisses, ces anches, ces épaules j’ai parcourue son corps de bas en haut et je n’est frôlé que de la peau.
C’est à elle, elle sais que là aussi c’est sa dernière actions. Elle prend son temps baisse mon caleçon qui tombe rapidement au sol. Elle est à genou je bande dur en sa direction. « je lui dit : attention il y a un truc pointé dans ta direction ! » Je sent alors une chaleur au bout de mon sexe, je ne comprend pas, puis d’un coup deux lèvres emprisonnent mon gland ! j’hallucine, ce n’est pas vraiment une pipe mais si ... sa langue me titille pendant quelques secondes et sa bouche est vraiment refermée sur tous le bout de mon membre. Quel bonheur. Je bande dur.
Elle ce relève, je ne dit rien puis ma main passe sur son ventre « je vais deviner comment tu entretien ton intimité. » après ce quelle viens de faire elle ne me repousse pas et mes doigts arrivent sur sa toison, finement taillée en ticket de métro, je le détermine tous de suite cependant je ne le lui dit pas et fait mine de chercher. Mes doigts continue de descendre et je sens sa fente, j’entame de délicat allez retour verticale. Elle est trempé, vraiment je n’avais jamais connu ça , autant pendant les préliminaires. c’est bien la preuve que ce scénario la totalement mis en transe.
Puis je l’embrase dans le cou tous en la masturbant, elle écarte ces cuisses et pose ces mains sur mes fesses mon sexe touche son ventre. Elle m’embrasse à pleine bouche, un de mes doigts pénètre en elle puis je lui demande « comment s’appelle ton mari ? » Elle me répond « Julien » je lui dit « tu l’aime ? » « oui répond t’elle dans un soupire « tu n’as pas honte ?  Tu ne regrette pas» Elle me dit alors dans un petit cri de jouissance ces bras autour de mon cou son sexe bien en appuis sur ma cuisse elle me sert fort « non je m’en fou … Merci ... Encore » elle m’embrasse à nouveau. Je la pénètre de tous mon doigt. Elle dégouline.
Puis le téléphone sonne dans l’autre pièce à son bureau ! Retour à la réalité.
Elle ce baisse, cherche ces vêtements chaussettes, soutien gorge, chemisier mais sa culotte c’est moi qui la trouve en premier. Elle peut remettre sa robe mais cherche toujours je ne là lui rend pas. Le téléphone s’arrête puis sonne à nouveaux. Nous somme toujours dans le noir moi je suis nue je ne me presse pas. Elle me dit « j’ai pas ma culotte » je lui répond « c’est pas grave vas y je te retrouve et te la ramènerai une foi habillé » Alors elle sort je la vois enfin les cheveux un peu ébouriffé le chemisier de travers et elle ne peut s’empêché de me jeter un coup d’œil je bande toujours. Elle a un large sourire regarde mon sexe je lui dit «  je ne peut rester dans cette état j’arrive dans cinq minutes. » elle part donc et moi je joui en quelques coup de poignée je remplis son linge blanc en coton d’une quantité  impressionnante de sperme, puis je la rejoint elle est au téléphone avec le patron qui arrive dans quelques minutes. Elle raccroche me dit quel doit tout préparer en salle réunion elle tend la main et dit avec le sourire :  « ma culotte ! » je lui donne ; elle ne la regarde presque pas, l’enfile et au moment de l’ajuster comprend que je l’ai abondamment souillé elle en as sur les doigts, le long de la cuisse et en soulevant sa jupe pour constater le carnage je vois ces poils pubien et ses grande lèvres complètement souillé ! Elle me lance un regarde noir. Dans la court la voiture du patron arrive en trombe, nos regard ce croise elle remonte tout finissant d’appliquer ma semence sur elle, baisse sa jupe porte ces doigts à sa bouche se nettoie bien malgré elle. j’ai le sourire aux lèvres je lui dit :  «  là sur ta cuisse » elle passe sa main essuie l’énorme trace de sperme et avale le tout la mine revancharde.
Elle dit « sa va ? » je la regarde et valide !
Le patron entre file en salle de réunion en nous interpellant : « allez ils arrivent on à trois minutes pour préparer » nous le suivons tous les deux quelques minutes après, une dizaine d’autre personnes arrivent et alors que la réunion commence je vois Sophie se rendre au toilette pour enfin se nettoyer.