Collection Zone Rouge. Poupette. Saison Iv (35/36)
Je me suis fait dépuceler par Bill, garçon blanc pour éviter que ce soit mon beau-père qui me passe à la casserole.
Il est loin ce temps, si je me retourne, il y a eu un véritable fleuve qui a coulé.
Cétait dans une Buick, comme en ce moment où je viens de sucer un autre Bill, noir lui qui a accepté de mamener en stop pour me conduire chez mes parents où je veux être si Tex le flic vient me réveiller.
Je suis déjà là-bas, du moins ma robe de mariée amenée par Johnny Belle Gueule alors que jai ses fringues trop grandes pour moi afin de tromper le poulet.
- Ah ! Ah !
- Tu vois tu nes pas perdant, attends, je te nettoie mieux la bite, il ne faudrait pas que ta femme ait des doutes sur ta fidélité.
Du sperme, un homme blanc ou noir éjacule le même, combien de litres en ai-je avalés quand jétais à Vegas, cest identique pour le sang.
Je récupère ma mallette, je louvre sans quil puisse voir ce quelle contient.
Il est gentil, mais inutile de le tenter en me piquant les lingots dor et largent que jy ai mis.
Je la referme et mets le code de sécurité, impossible de louvrir je le saurais.
- Voilà 100 $, je te les donne si tu me rends un autre service.
- Jai eu assez de remerciement avec cette pipe royale, il fut vraiment que je rentre chez moi.
- As-tu du papier et un crayon ?
- Dans ma boîte à gants.
- Note ton numéro de téléphone.
- Le fixe ou mon portable ?
- Le fixe et jappelle, je tombe sur ta femme et elle a des doutes sur ta fidélité.
Non, le portable soit moi soit un homme qui te donnera comme mot de reconnaissance « sénateur » te contactera.
Vous vous mettrez daccord et tu lui remettras cette mallette que je cache sous ton siège.
Je te rappelle, elle appartient à un mafioso à qui je lai volé, à part ces 100 $ que je tai donné, il y a simplement des documents pouvant le faire plonger.
Surtout ne louvre pas.
Il me donne son numéro de portable semblant nêtre pas trop rassuré.
Je sors sans demander mon reste ne lui laissant pas le temps davoir des états dâme.
Dès quil a démarré et tourné le coin, jessaye de passer par-dessus la clôture de la grand-mère Marie que je connais depuis quon sest installé dans notre maison.
Les fringues mentravent, jôte mon pantalon sans pudeur et je passe la palissade de bois.
Je cours à travers les carottes.
Je refais lopération de lautre côté me retrouvant dans notre jardin en friche.
Il a toujours été en friche, Bob ne pouvant pas se droguer et jardiner.
La porte de la buanderie est bien ouverte.
Je vais dans ma chambre pensant trouver Cristopher, cest là que je lui ai dit de ce coucher.
Je sens le canon dun revolver dans mon dos.
- Pardon madame Claudia, jai eu peur que ce ne soit un cambrioleur.
- Où étais-tu passé, tu devais dormir dans ce lit.
- Je ne me souvenais plus, je dormais dans le grand lit dans lautre chambre.
- Cétait celle de mes parents, cest moi qui suis censé y dormir en attendant mon mari pour notre nuit de noce.
Donne-moi cette arme, tu es fou, si linspecteur vient et quil te trouve avec une arme nous serions mal barrés.
Je la prends et je vais la mettre sous le parquet où je cachais mon argent, je défais le reste des vêtements de Johnny Belle Gueule et les caches avec.
Cest à ce moment que la sonnette de la porte d'entrée retentie.
- Ma robe blanche ou est-elle ?
- Fil de fer la laissé sur la chaise à côté du lit où je dormais.
- Parfais, couche-toi ici et ne bouge que si je tappelle.
Je vais ouvrir, par chance étant dans ma chambre étant voisine de la salle de bains, jatt un peignoir que je mets sur mon dos.
Jai récupéré mon portable que je pose en passant sur la commode de maman sans perdre la moindre seconde.
- Claudia, que fais-tu là, je pensais que tu serais avec ton mari, personne ne ta vu sauf linspecteur qui est en faction devant chez toi.
Un point pour moi, je les ai leurrés avec Belle Gueule dans ma voiture en robe de mariée.
Il faudra que je lui octroie une prime quand tout sera terminé si par chance, je ne finis pas avec des bracelets.
- Mon mari, vous venez de me réveiller, la journée a été rude, je me suis effondré sur mon lit en lattendant, il devait me rejoindre.
- Tu nas pas été prévenue que vôtre
Linspecteur Tex bute sur le mot.
- Nhésitez pas à de le dire, « mon mari. »
- Cest ça, il a été emmené par Fred son chauffeur et Abby votre amie à lhôpital victime dune attaque.
- Ne me dite pas que nous naurons pas profité de notre nuit de noce !
- Quand jai été prévenu que sa limousine partait vers le centre hospitalier, ayant intercepté Trevor mon ancien adjoint dans sa Mustang roulant à fond la caisse, jai senti la combine, on voulait membrouiller.
Je me suis rendu moi-même là-bas, le médecin en qui jai toute confiance, cest mon beau-frère, ma expliqué quau moment où il allait vous rejoindre, il sest écroulé.
Linspecteur devant votre porte ma confirmé que vous étiez arrivé chez vous et que vous nétiez pas ressorti.
Où est votre portable, nous navons pas réussi à le géolocaliser à partir du moment ou tous vos portables ont été coupés ?
- Il est là, vient dans ma chambre.
Il est sur la commode de ma mère.
Jessaye de lallumer, il ne démarre pas.
« Batterie faible. »
Quand je dis que jai de la chance, ça rend crédible que les messages ne soient pas passés.
- Vous permettez que je vérifie votre lit, si vous venez de vous réveiller, lorsque jai sonné, le lit doit encore être chaud.
Linspecteur passe sa main sous les draps, encore un coup de chance, mon mari naurait pas eu une attaque, je pourrais penser quil me cocufie.
- Inspecteur, si je vous comprends bien, vous aviez mis toute votre brigade sur les dents pensant que nous allions vous faire une entourloupe.
Cristopher levez-vous, allez préparer ma limousine.
Bon comédien lui aussi, il arrive à poil, je peux voir quil est bien monté.
- Vous mavez appelé madame, excusez ma tenue, je dors toujours nu.
Où est votre mari, ce monsieur nest-il pas un inspecteur ?
Mon oncle et lui aurait-il eu un accident avec sa voiture en le conduisant ici.
Je lui avais dit de faire attention quand il conduisait de nuit, sa vue lui jouait des tours.
Linspecteur le rassure mais pas sur létat de mon mari.
- Conduisez madame Claudia chez le sénateur, nous devons y récupérer quelques documents.
- Inspecteur, tu minculpes, je peux appeler mon avocat, sinon passe-moi les menottes.
Cristopher, nous allons à lhôpital après que jai remis ma robe blanche.
Je gagne du temps, Tex semble avoir très bien préparé son coup, sinon serait-il naturel quune épouse perde du temps pour rejoindre son homme mourant ?
- Abby, comment va mon mari.
- Inspecteur, vous permettez que jemmène mon amie voire son mari dans la chambre où il se trouve, votre beau-frère a limité la visite à deux personnes.
- Si mon beau-frère limite les visites à deux, allez-y, madame Claudia ne pas traîner, nous devons aller à votre domicile.
Une fois le détour dun couloir arrivant dans la chambre où mon déchet est allongé, nous fermons la porte et sans aucune retenue, nous tombons dans les bras lune lautre.
- Tu mas manqué, quand linspecteur est venu voit ce quavait ton pépère, jai cru ne pas te revoir.
- On la bien berné mon amour, donne-moi ta bouche, elle ma manqué !
Tu es belle avec ta blouse blanche, si nous réchappons à tout cela, nous jouerons à la malade et son infirmière, je vais adorer.
Fais voir, cest bien ce que je pensais dès que je suis entrée et que je tai vue, tu es nue sous cette blouse.
Sans aucune retenue, nous nous embrassons, je lui caresse la chatte en la collant le long de la porte empêchant tout entrée intempestive.
Ma main rapidement est inondée de sa cyprine, même dans son hôpital, elle expulse ces petits traits de liquide.
Quand je baisse ma tête, des gouttes jonche le sol.
Tout cela devant notre malade branché de tous côtés.
Un masque respiratoire sur le visage, cest sans fausse honte que je fais jouir ma compagne qui pli sous mes caresses.
Je sais que je suis une épouse indigne, mais il me reste une étape et pas la moindre avant de devenir lune des femmes les plus riches de notre État voire des States !...
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