L'Empire Des Femmes (Suite)

Chapitre 2 : la découverte d’un plaisir sombre


« - Gladia… Je peux tout t’expliquer. »

Mais Gladia en était pas aux explications.
L'excitation de Jonas était complètement retombée pour laisser place à la peur, son pénis était maintenant tellement atrophié qu'il en était minuscule.
Gladia sous l'effet de la colère saisit le ridicule membre ainsi que ses testicules d'une seule main laissant pénétrer ses ongles acérés dans la peu fine et traîna Jonas sur plusieurs mètres dans la terre.
Elle s'arrêta au niveau du piquet et ordonna :
"Debout ! Les mains sur le piquet et les jambes écartées ! Allé !"
Elle fouetta Jonas de son martinet mais le pauvre était tétanisé par la peur. Il avait enduré tout ça pour elle mais il l'avait déçue. Il ne se le pardonnerait jamais.
Il se leva tant bien que mal, la main sur son paquet endolori et jeta un regard implorant la pitié à sa maîtresse Gladia mais il ne voyait que de la haine et de la cruauté dans son regard. Il espérait qu'une fois sa colère passée elle lui laisserai une seconde chance. Il se mit en position sur son piquet et les premiers coups de martinet claquèrent, tandis qu'un attroupement de curieuses se formait autour d'eux ne faisant rien pour améliorer la situation de Jonas.
"Frappes le plus fort ce pervers ! Il n'a pas arrêté de me reluquer aujourd'hui !
-Mets en un coup pour moi aussi à ce sale macho !
- C'est une lopette !
- Vas-y Gladia il t'a manqué de respect !"
Jonas ainsi exposé ressentait l'humiliation remonter en lui, suivi de L'excitation qui ne tarda pas à remettre son sexe en érection.
Gladia aveuglée par la colère et encouragée par ses amies, frappait de plus en plus fort, de plus en plus vite sur le dos et les fesses meurtries de sa victime lorsqu'elle vit son érection cela l'excita aussi. Elle commença à prendre du plaisir dans son acte et se laissa aller à ses pulsions :
Sans prévenir, elle asséna un violent coup de pied dans les testicules de Jonas offertes à elle, ce dernier flancha mais se remis en position, prêt à encaisser la punition de sa maîtresse il dit d'une voix frêle :
- Pardonne moi maîtresse Gladia, j'ai mérité ce châtiment continue autant que tu voudras.

Les larmes coulaient sur ses joues mais cela n'arrêta pas Gladia qui, un sourire pervers aux lèvres lui asséna une série de coups dans les parties plus violents les uns que les autres, jusqu'à que Jonas ne tienne plus debout, couché au sol recroquevillé sur son sexe, il rampa à ses pieds pour les embrasser en proférant tout un tas d'excuses et de remerciements à sa maîtresse.
Gladia observa longuement Jonas embrassant ses pieds, savourant toutes ces sensations que lui procurait cette domination. Elle s'accroupi pour être à son niveau, lui caressa tendrement le visage et lui dit :
- Tu sais chéri, la Reine risque de ne pas apprécier le comportement que tu as eu aujourd'hui, et comme c'est moi qui t'ai ramené ici je risque d'en payer les frais. Ne me déçois plus ou tu le regretteras.
Elle finit cette phrase et attacha les mains de Jonas dans son dos à l'aide d'une corde, et en accrocha l'autre bout au piquet. Puis elle abandonna Jonas aux mains des femmes de l'empire pour aller faire son rapport à la Reine.
Elle traversa le village d'un pas léger mais déterminé tout en réfléchissant aux événements qui venaient de se produire. Elle avait réellement pris beaucoup de plaisir à maltraiter le pauvre Jonas et son cœur en battait encore fort d'excitation. Elle aurait bien voulu se l'accaparer à elle seule pendant toute une nuit, mais lorsqu'elle annoncerait à la reine qu'il avait déshonoré son peuple en se roulant dans la terre alors qu'il venait d'être lavé, et qu'il avait causé un déchaînement total chez les habitantes de l'empire en exhibant son ridicule pénis à la vue de toutes ces femmes en chaleur... Elle ne pouvait pas leur en vouloir, même elle à la vue de sa petite tige suintante elle n'avait pas su retenir son excitation, elle avait dû se contenir pour ne pas le chevaucher farouchement jusqu'à qu'il vienne en elle. C'était la faute de Jonas s'il n'était pas capable de garder son petit oiseau rangé au fond de sa culotte. Elle regarda le fin string de cuir qu'elle avait ramassé aux côtés de Jonas. Il était complètement chiffonné et recouvert de terre. La Reine prendrait ça comme une insulte et ne manquerait pas de l'émasculer, d'autres y étaient passés pour moins que ça. Elle devait couvrir Jonas si elle voulait espérer pouvoir s'amuser avec lui. De son côté, elle espérait qu'il ne ferait pas encore des siennes.

Elle entra dans le palais de la Reine et déposa un genoux au sol, tête baissée comme la coutume l’exigeait. Elle attendit quelques longues secondes que la Reine prenne la parole tout en récitant dans sa tête le mensonge qu’elle s’apprêtait à raconter. Elle prenait des risques, mais cela en valait la peine elle en était convaincue.

« - Gladia, tu tombes à point. Approche-toi ma douce et viens rapporter à ta Reine les faits qui se sont produits dans la cour, j’ai eu vent de ce grabuge que sais-tu à ce propos ? »
Gladia se releva gracieusement et s’approcha du trône de sa reine, elle était magnifique, comme à son habitude et comme toujours Gladia ne pût s’empêcher de la contempler avec admiration.
Elle dominait la salle de par sa grandeur, sur une plateforme en surélévation, un trône de bois vernis de rouge et décoré d’or accueillait la grâce de la Reine, ses cheveux en tresses blondes laissaient reposer une magnifique couronne portant les initiales en diamants « EF » l’Empire des Femmes.
La couronne elle-même soutenait un léger voile blanc qui venait à peine masquer le regard de la Reine, mais sa bouche aux rouge à lèvre vif suffisait à vous envouter. Elle portait une robe blanche avec un décolleté si profond qu’un simple regard vous y faisait plonger pour l’éternité. Elle gardait les jambes croisées, et la fente de sa robe laisser apparaitre la courbe de ses jambes parfaitement dessinées. Gladia se surprenait souvent à penser que cette femme était une déesse vivante.
Elle commença à grimper les marches une à une, calmant sa respiration, le stress montait en elle au fur à mesure qu’elle se rapprochait de la Reine. Elle arriva à mi parcourt sur la première plateforme, c’est ici que les sujets devaient s’avancer pour prendre la parole. Elle gardait la tête baissée pour ne pas affronter le regard de sa reine, paniquée par ce qu’elle s’apprêtait à faire, et commença raconter son histoire.

Jonas n’en revenait pas de la manière dont Gladia l’avais attaché à ce piquet, il n’osait pas se l’avouer mais il avait adoré le châtiment qu’elle lui avait fait subir, il avait mal aux parties mais ce n’était rien comparé au plaisir. Par contre, il regrettait amèrement de pas avoir pu entrer en elle, il n’avait plus que Gladia en tête. « Pourvu qu’elle revienne vite » se disait-il sans décrocher le regard de la direction où il avait vu sa maîtresse s’en aller.
Les femmes présentent sur le lieux s’étaient dispersées pour retourner à leurs occupation. Cependant, une guerrière qui rentrait chez elle s’attarda sur le sort de Jonas et commença à interagir avec lui.
« Pauvre petit choux, ta maîtresse t’a laissé tout seul ? »
Elle s’accroupi à côté de lui et passa sa main sur son torse, dans le même temps, elle dévoila un de ses seins à la vue de Jonas qui ne sembla pas réagir. Il priait pour que sa maîtresse revienne vite, il ne voulait pas la décevoir une seconde fois. Il luttait pour ne pas se laisser charmer par la guerrière qui commençait déjà à caresser son pénis.
« - S’il vous plaît belle et grande guerrière, j’ai déjà eu beaucoup d’ennui et je… Aïe ! »
La guerrière venait de lui mordre un téton, elle releva la tête en riant lorsqu’elle sentit le pénis de Jonas durcir sous l’étreinte de sa main puissante elle commença à le masturber vivement.
« Ah ! Non, pitié… » Jonas aurait voulu encourager la guerrière à continuer, mais il ne voulait pas se faire surprendre par Gladia au même moment, il ne pouvait rien faire pour lutter attaché ainsi, la nuit commençait à tomber et plus personne ne passerai pour l’aider à cette heure. Il choisit de se laisser faire en gémissant discrètement de plaisir.
« - C’est bien tais toi, t’aimes ça pas vrai ? »
Elle se mis à nu et fis pénétrer le pénis de Jonas dans son orifice dégoulinant de satisfaction.
Si Jonas se faisait discret, la guerrière elle, s’en donnait à cœur joie. Elle hurlait de plaisir, remuant vivement son bassin et insultant sans relâche son partenaire :
- Allé petite salope, jouis pour moi. Montre que je te fais de l’effet.

Tandis que Jonas s’exécutait, elle lui donna une grande paire de gifle se mit à rire et à crier de plus belle. Elle présenta sa poitrine parfaitement proportionnée et lui ordonna :

- Maintenant lèche ces tétons, allé. Suce les.
Mais c’était trop facile pour Jonas, maintenant qu’il s’était pris au jeu il voulait provoquer la guerrière et détourna la tête lorsqu’elle lui présenta ses seins.
- Non je ne lècherais pas tes seins, et puis que vas-tu faire ? me mettre une gifle ? Allé fais-moi rire.
Il avait dit cette phrase avec un ton de défiance, ce qui ne manqua pas d’énerver la guerrière, il avait mis sa domination en doute et elle devait reprendre le contrôle. Elle lui asséna une violente gifle et Jonas s’écria :
« Oh oui ! Encore ! »
Elle enchaina les gifles mais Jonas ne flanchait pas, au contraire il continuait de l’encourager, elle lui mordit sauvagement les tétons, puis le cou, mais l’excitation de Jonas était tellement grande qu’il ne ressentais pas la douleur. La guerrière vexée descendit de Jonas et plaça son pénis entre ses dents et commença à serrer, mais Jonas la regardait avec un sourire enjoué et son regard était plein de défi. Elle allait abandonner lorsque pour se relever elle appuya sa main sur les testicules de Jonas qui se replia sur lui-même, elle fixa Jonas, la main toujours sur sa bourse, elle avait dans les yeux le même regard de défi qu’il lui avait lancé une minute plus tôt.

« Non pas ça s’il te plaît, pas mes bijoux je t’en supplie » On entendait la peur dans sa voix, il avait vraiment peur mais la guerrière avait mis la main exactement là où il cherchait à l’amener, l’excitation était à son comble, la partie aller pouvoir commencer.
La guerrière empoigna fortement ses testicules et observa quelques secondes la réaction de Jonas qui se tordait de douleur. Un sourire plein de vice se forma sur le visage de la guerrière. Gardant sa prise serrée, elle remonta sur son destrier et se mis à le chevaucher doucement dans un premier temps, accentuant sa prise de temps à autres pour entendre sa victime gémir et la supplier, ce qui faisait accroître la tension et l’excitation entre les deux partenaires. Elle accéléra peu à peu la cadence, et présenta à nouveau sa poitrine à Jonas qui ne bougea pas. Elle donna une claque sèche sur la bourse qu’elle tenait en main et Jonas avança instantanément sa tête pour lui lécher les seins mais elle les recula. Jonas fixé au piquet, tentait tant bien que mal d’allonger son cou pour atteindre les délicieux mamelons disposés à quelques centimètres de son visage. La guerrière le tenait toujours fermement en main, l’obligeant à suivre les mouvements de son bassin et gardant une minuscule distance entre le bout de ses tétons et la bouche de Jonas qui faisait énormément d’efforts pour les atteindre
« Lèche les qu’est-ce que tu attends ! Allé ma salope ne m’oblige pas à serrer plus fort ! »
Ses remontées de bassins étaient de plus en plus amples, manquant à chaque fois de lui décrocher les parties, Jonas devait suivre la cadence au risque de les perdre. Il tentait néanmoins de lécher les seins de la belle, qui prenait un malin plaisir à le r de la sorte. Elle ralentit considérablement et tripota longuement sa belle paire, Jonas en devenait fou.

« T’aimerais pouvoir les lécher hein que t’aimerais ?
- Oui, grande guerrière j’adorerais ça s’il te plaît.
- Je suis Guerrière Amina, et maintenant, chaque fois que claquerais tes testicules, je veux t’entendre crier mon nom et peut être que je te laisserai les toucher, compris ?
- Oui, Compris Guerrière Amina. »
- Elle n’attendit pas pour vérifier s’il avait bien suivi les consignes. Elle commença par une petite tape et Jonas s’écria aussitôt :
- « Oh Amina, vas-y belle Amina. »
Elle ne se le fit pas dire deux fois et relança leurs ébats sur un rythme endiablé, ne manquant pas de le frapper dans les parties pour entendre son nom avec des coups d’une force de plus en plus grande. Au bout de quelques minutes de sexe intense, les énergies des deux corps avaient fusionné, et s’accentuait chaque fois que la guerrière donnait un coup à Jonas et que ce dernier hurlait son nom à la mort :
« Merci Grande guerrière, je t’aime Amina ne t’arrête pas, oui AMINA encore !
- Oh oui ma salope crie mon nom pour moi, encore vas-y, crie plus fort, jouis pour moi, montre à quel point tu aimes ça allé ! »
La guerrière et Jonas étaient en proie à un plaisir intense et l’orgasme venait en eux, ils pouvaient le sentir si bien qu’Amina saisit les cheveux de Jonas d’une main, plongea son visage dans ses seins tout en serrant de toutes ses forces la clé de sa domination. Jonas sentant la poitrine d’Amina sur son visage dans la nuit, chercha ses tétons et les lécha longuement malgré la douleur qu’exerçait la guerrière sur lui, il les suça avec douceur et les mordilla avec tendresse, c’est une zone extrêmement érogène chez les femmes et il le savait. Son unique but à ce moment était que sa partenaire puisse avoir l’orgasme et elle se mis à jouir fortement, tous deux étaient au summum et cherchaient à faire durer l’instant.
Soudain, la guerrière se retira et présenta son fessier au visage de Jonas qui n’hésitas pas une seconde à faufiler sa langue pour atteindre le clitoris de la belle Amina qui de sa bouche, entamait déjà une délicieuse fellation. Ce retournement fit monter la pression d’un cran, la guerrière gémissait de plaisir, le son de ses cris étouffés par le pénis de Jonas qu’elle laissait aller et venir vigoureusement tandis que ce dernier se démenait pour faire tourner sa langue autour du clitoris gonflé, l’aspirant et faisant rentrer sa langue à l’intérieur du vagin lorsqu’Amina sentit un délicieux orgasme la parcourir, elle tremblait tellement de bonheur que sa bouche dérapa et ses dents vinrent percuter le gland de Jonas qui commença à dégager son liquide chaud et épais. Elle retira sa bouche et lui fit terminer son éjaculation en le masturbant fortement et en pressant ses testicules pour les faire cracher le plus possible. Jonas aspergea les seins de la guerrière, et le reste de sa semence vint recouvrir son propre torse. L’orgasme avait été puissant, il n’avait jamais autant éjaculé de toute sa vie et il s’était complètement aspergé. Il relâcha tout son corps, en laissant sortir un grand soupir de soulagement.
« Tu vois on se sera bien débrouillé avec ta mini bite ; La guerrière aux anges dit cette phrase en ricanant ; je vais aller nettoyer tout ça et tu devrais en faire de même mais oh, j’avais oublié pauvre chéri tu ne peux pas bouger ! »
Elle partit en riant, nue, ses vêtements à la main. Jonas lui commençait à se sentir embarrassé, mais il était exténué et se laissa aller au sommeil.

« J’ai l’impression que tu ne me dis pas tout Gladia, que s’est-il vraiment passé ? » La Reine employait un ton menaçant, et malgré son voile Gladia pouvait sentir son regard la transpercer.
« Je… Je vous jure que c’est la vérité » répondit-elle d’une voix timide et appeurée.
Elle n’arrivait pas à rester calme, elle était terrorisée, elle venait de mentir à sa Reine et cela pouvait lui coûter la vie. Mais la Reine n’était pas dupe, comment avait-elle pu croire que son mensonge marcherait, Gladia s’en mordait la lèvre de regrets.
Elle avait raconté qu’après l’arrivée de Jonas, Une des deux guerrières qui gardaient la porte l’avait escorté jusqu’au sanitaires, laissant Minaya la deuxième seule un instant. C’est alors qu’un chasseur qui aurait suivi Jonas serait arrivé derrière Minaya et aurait tenté de la violer. Heureusement la guerrière avait pu se défendre et le chasseur. La nouvelle s’était propagé et créé une vague de panique dans l’empire ce qui expliquait le vacarme que la Reine avait pu entendre.
Cette dernière continuait de fixer longuement Gladia et finis par lui annoncer :
« Si ce que tu dis est vrai, va donc chercher Minaya et conduis-la ici, il vaut mieux pour toi qu’elle confirme tes dires, maintenant vas. »
Gladia salua respectueusement sa Reine avant de se retirer. C’en étais finis pour elle et le saunier. Une fois la guerrière devant la reine elle raconterait toute la vérité, Gladia et Jonas seraient exécutés dans l’heure sans qu’elle n’ai pu assouvir ses fantasmes. Elle pensa à fuir vers le sud, elle emmènerait Jonas avec elle et ils se cacheraient jusqu’à que les traqueuses de l’Empire les retrouve, ils tiendraient deux jours maximum, peut-être trois. C’était trop peu pour ses ambitions, il fallait qu’elle trouve une solution et vite. Minaya n’accepterait jamais de marcher dans sa combine, à moins que…
Elle se précipita en direction de la maison de Minaya, et sur le chemin aperçut Jonas, assis et endormi contre son piquet. Elle se surpris à ressentir un drôle de sentiment en le voyant, comme un bourdonnement dans le bas ventre. Si bien qu’elle fit un détour pour s’accroupir au-dessus de lui, et déposer un délicieux baiser sur ses lèvres en prenant bien soin de ne pas le réveiller. Elle allait se retirer en caressant son torse, lorsque ses doigts rencontrèrent le liquide visqueux devenu froid. Elle n’avait pas le temps de se poser la question mais ce promis d’en voir la réponse dès qu’elle le pourrait. Elle avait un autre problème à régler.
Elle entra brusquement dans la demeure de Minaya sans prendre la peine de frapper, et secoua vivement la guerrière dans son lit qui venait à peine de trouver le sommeil.
« -Minaya réveilles-toi, j’ai besoin de ton aide ! »
Minaya se retourna vers Gladia en poussant un grognement de mécontentement.
« Qu’est-ce que tu veux ? T’a vu l’heure ?
- Je sais excuses moi mais, tu sais Jonas ?
Des étoiles se mirent à briller dans les yeux de Minaya
- Tu parles du saunier ? Sexy je le croquerais bien moi ; elle mima le geste feignant de mordre le bras de Gladia ;
- Arrête je suis pas là pour rigoler, il vas se faire émasculer si on le sauve pas et t’aura plus qu’un bout de viande sans queue à croquer !
La guerrière s’esclaffa avant de répondre :
- Et qu’est-ce que tu veux qu’on y fasse, il a mis un de ces bazars, une véritable orgie de ce qu’on m’a dit. Dommage que je fusse de garde.
Son regard et sa voix trahissaient un soupçon de tristesse. Elle aurait vraiment voulu en être, Gladia commençait à prendre espoir.
- Ecoutes, j’ai quelque chose à te proposer. »
Elle raconta à Minaya comment elle avait couvert Jonas devant la reine, et expliqua qu’elle avait des doutes et qu’elle voulait la voir pour avoir confirmation. Elle lui fit une offre contre sa coopération.
« - Trois nuits ?! ; Minaya s’était levée et tournais maintenant en rond dans la petite pièce ;
C’est trop peu pour le risque que je prends, donnes moi quinze nuits avec lui et peut être que je considèrerais ton offre.
- Dix nuits. Et je te laisse un droit de visite une fois par semaine, c’est à prendre ou à laisser. »

Minaya hésitais, mais Gladia savais que son offre était alléchante, elle demanda quand même :
- Qu’est-ce qui te fais croire que la Reine te laissera le garder ? En vingt ans nous n’avons eu que trois hommes au sein de l’empire, et chaque fois ça a mal tourné »

Gladia connaissait ce détail. Cinq ans plus tôt, alors qu’elle venait de rejoindre l’empire, il y avait un homme du nom de Zephir. Il faisait la soubrette pour toutes les femmes de l’empire qui l’avaient renommé Zephira, elles l’habillaient en femme et lui faisait réaliser tous leurs désir. Un jour le pauvre homme avait été retrouvé mort dans une grange, il avait été sauvagement violé et mutilé. Personne n’a jamais su qui l’avait tué. Mais Gladia ne laisserait pas Jonas subir le même sort, c’est elle qui aurait main mise dessus et si leur plan fonctionnait elle trouverait un arrangement avec la Reine.

- Ne t’inquiète pas pour ça c’est mon boulot, le tiens consiste juste à raconter ce dont je t’ai parlé, un petit mensonge pour dix nuits avec le beau Jonas. Alors, marché conclu ?
- Dix nuits ET, une visite par semaine. Marché conclu, on y va ?
Minaya se débarbouilla rapidement et les deux femmes se dirigèrent vers le palais de la reine. Elles passèrent devant Jonas sans s’arrêter mais le bruit de leurs pas l’avait réveillé et à la vue de sa belle il cria :
« Gladia, reviens je t’en prie ! »
Mais Gladia ne s’arrêta pas, Minaya tant qu’à elle se retourna et fit semblant de le griffer, rugissant comme une tigresse en dévoilant ses belles dents blanches. Jonas avait déjà une nouvelle érection.
Elles arrivèrent au palais et les gardiennes laissèrent passer Minaya, mais lorsque Gladia s’avança pour passer elles la bloquèrent de leur lances, l’une d’elles lui dit d’une voix forte :
« La reine Veux Minaya en privé, toi tu attends à l’extérieur. »
Gladia ne protesta pas, il ne valait mieux pas répondre aux gardiennes du palais. Elles portaient un grand casque rouge décoré de plumes de paon quelques bracelets de protection assortis au casque sur leurs bras et avant- bras, leurs cuisses et mollets extrêmement musclés, un soutien-gorge ren qui leur compressait la poitrine, ainsi qu’un simple string rouge lui aussi. Toutes les gardiennes du palais étaient noires, la Reine aimait l’uniformité et affirmait que le rouge ressortais mieux sur ces beautés divines. Quoi qu’il en soit, ces femmes étaient de vraies machines à . Gladia se rendis à l’extérieur sans demander son reste. Elle passa en vitesse chez elle, récupéra quelques affaires de toilette, quelques fruits et un morceau de pain, et alla rendre visite à Jonas.
Il s’était rendormi, mais elle commença tout de même à nettoyer son corps avec un gant chaud, tandis qu’elle le nettoyait Jonas se réveilla :
« Gladia ? »
Elle ne le laissa pas en dire plus et l’embrassa vigoureusement, Jonas en extase lui rendis son baiser, moins de deux secondes passèrent avant qu’une érection fasse son apparition. Gladia ne manqua pas de le remarquer, et regarda Jonas d’un air curieux :
« Est-ce normal que ton petit machin soit tout le temps dur comme ça ?
- C’est que… ; dit Jonas gêné ; tu es si magnifique, je ne peux pas me contrôler.
- Et toute cette semence séchée sur toi c’est quoi ? Tu as pensé trop fort à moi c’est ça ?
- Non c’est Amina qui… ; il regretta aussitôt d’avoir dit son nom mais il continua tout de même ; C’est Amina qui est venu sur moi, elle m’a beaucoup excité et je n’ai rien pu faire attaché à ce piquet. Je me suis laissé faire et on a eu un orgasme, je suis désolé.
Il baissa honteusement la tête attendant sa punition, mais elle ne vint pas et Gladia lui dit :
« Et si c’était moi ? tu te serais laissé faire aussi ? Tu pense qu’on aurait pu avoir un orgasme ensemble ? »
Il y avait maintenant beaucoup de tendresse dans sa voix, elle ne ressentait pas de la haine mais un sentiment totalement opposé qu’elle n’arrivait pas à comprendre, mais elle appréciait étrangement ce sentiment inconnu.
« Bien sûr ! ; répondit Jonas ; Dès que je t’ai vue au marché j’en ai eu envie, je ne pense qu’à toi j’aurais rêvé que ce soit toi à la place d’Amina. »
Ses mots étaient remplis de sincérité ce qui toucha profondément Gladia qui continuait de laver son corps. Puis elle eut une idée folle : sans prévenir, elle détacha Jonas, le prit par la main et lui dit de le suivre.
Ils coururent à travers les rues de l’empire en riant jusqu’à la maison de Gladia, alors qu’elle déverrouillait la serrure e sa porte, Jonas la tenait déjà par les hanches, passant son sexe sous sa jupe et le frottant contre ses fesses. Gladia pris tout son temps pour ouvrir et se pencha même un petit peu, facilitant la chose à Jonas qui faisait maintenant glisser son membre le long du vagin par-dessus la fine culotte de dentelle, une culotte déjà bien humide. Gladia ne put réprimer un soupir de satisfaction, elle ouvrit vivement la porte de sa maisonnette, attrapa le sexe de Jonas pour le ramener à elle et projeta ce dernier sur le lit situé juste à droite de la porte d’entrée.
A quatre pattes sur le lit, elle approcha doucement de Jonas, à la manière d’une lionne qui rampe vers sa proie, Jonas lisait l’excitation dans son regard plein de malice, sa bouche au sourire carnassier, il sentait qu’une sacrée partie de jambes en l’air les attendais. Elle s’arrêta au niveau de son pénis, et le lécha de la base au sommet, s’attardant surtout sur le sommet, englobant le gland de ses lèvres elle commença à la sucer tendrement, Jonas fut parcouru d’une vague d’excitation qui la traversa aussi. Elle continua sa remontée et fit glisser le membre de Jonas à travers son gilet, le faisant glisser entre ses seins elle entama de longs va et viens.
« Dommage que ton sexe ne soit pas plus gros, pourquoi faut-il qu’il soit si petit ? »
La remarque de Gladia qui aurait blessé Jonas par le passé eu l’effet inverse, cela l’excita encore plus et il répondit simplement :
« - Je n’en sais rien maîtresse, je sais que mon sexe est trop petit pour une femme si belle que toi et je m’en excuse. »
Sa réponse la fit rire et toujours en faisant glisser la petite queue entre ses seins elle lui dit :
« Je ne suis pas ta maîtresse, mais ta princesse désormais, je ne suis pas comme les autres compris ? »
« Oui Princesse »
Elle remonta encore jusqu’à que ces seins se retrouvent au niveau de Jonas qui commença à embrasser la partie dénudée tout en déboutonnant le gilet pour le retirer. Il avait hâte de découvrir ces seins qui le faisaient fantasmer. Gladia savourait cet instant en frottant son vagin sur le pénis de Jonas par-dessus sa culotte fine, faisant d’abord de long et lents mouvements, puis courts et rapide, Jonas tant qu’à lui découvrait la magnifique paire de seins de Gladia, encore plus beaux que ce qu’il avait souvent imaginé.
Ces deux beaux seins pendaient maintenant au dessus de son cou, il les saisit et les embrassa tendrement, plongeant sa tête dedans, embrassant chaque millimètre et s’attardant longuement sur les tétons. Il se mit à en suçoter un et dans le même temps, se laissant aller à ses pulsions, passa ses deux mains sous la courte jupe de Gladia pour saisir ses deux belles fesses fermes comme il les avait imaginés.
« - Je vais te baiser comme jamais, ma belle. »
La réaction de Gladia ne se fit pas attendre, elle saisit ses deux poignets et ramena ses bras au-dessus de sa tête. Jonas avait de la force, mais il en mettait moins de la moitié pour se débattre, il aimait trop ça, se soumettre à cette femme divine il ne rêvait pas mieux.
« Non, c’est moi qui te baise mon beau, garde tes main ici et ne les bouges pas, ne m’oblige pas à t’attacher. »

Jonas se soumis et ne bougea pas, pendant que Gladia poussait sa culotte d’un doigt et fit pénétrer Jonas en elle sans prendre le temps de l’enlever. Elle était terriblement sexy avec cette jupe, les seins nus se balançant au rythme qu’elle avait choisi. Elle se pencha à l’oreille de Jonas et lui chuchota :
« Je veux t’entendre jouir chéri, comme une fille…
« Comment ça comme une fille ? »
Elle se mit à jouir fortement suivie de Jonas qui tentait tant bien que mal de l’imiter. C’était humiliant mais il avait appris à aimer ça, il se laissa donc aller à gémir comme Gladia qui jouissait de plus en plus fort et de plus en plus aigu pour que Jonas en fasse autant. Soudain, elle s’arrêta et dis à Jonas :
« Viens sur moi »
Ce dernier s’exécuta et parti pour une nouvelle escale, en missionnaire cette fois. Il allait au rythme que Gladia imposait
« Plus vite ! Plus Fort ! Doucement ! Lèche-moi ici… embrasse-moi là ! »
Jonas exécutait les ordres de sa princesse, mais au bout de quelques minutes, il se laissa aller une seconde fois à ses pulsions :
Il plaqua fortement la tête de Gladia sur le côté tout en lui pelotant un sein et lui dit :
- Bouges pas maintenant laisses toi faire »
Gladia tenta de se débattre durant quelques minutes :
« Lâche moi ! c’est moi la femme ici tu dois m’obéir ! »
Elle lui griffa le dos sans succès, essaya de lui attr les parties mais il ne la laissa pas faire, elle finit par capituler et laisser Jonas avoir le dessus il lui dit :
« Jouis pour moi, tu es ma chienne désormais.
- Oui Jonas, je suis ta chienne »

Elle se pris au jeu et se mis à jouir à sa demande. Ce retournement de situation dura quelques minutes, jusqu’à que Jonas dans son élan de rébellion, sentit l’éjaculation monter. Il relâcha la pression sur la tête de Gladia, et commença à donner des coups de bassin plus amples, à la limite de ce que la taille de son sexe lui permettait.
Gladia profita de cette ouverture pour y glisser sa main, et empoigner les parties de Jonas qui se mis à crier de souffrance. Il s’arrêta net et supplia
« Pardon Princesse, je ne sais pas ce qui m’a pris, je recommencerais plus je te le jure »
Mais Gladia ne pris pas la peine de répondre, elle descendit du lit en tenant toujours fermement Jonas et lui attacha les mains dans le dos, elle le fit mettre à quatre pattes et munie de sa brosse, lui donna la fessée de sa vie. Jonas suppliait autant qu’il le pouvait, mais Gladia ne s’arrêta pas avant que les fesses de Jonas commencent à virer au bleu.
« Maintenant mets toi dans la coin je ne veux plus t’entendre ! »
Jonas obéis et se mis au coin, la verge toujours tendue et tournée vers sa princesse qui se touchait en lisant, le fixant par moments de façon intense. Jonas qui venait d’avoir un orgasme ruiné, vivait la scène comme un véritable supplice et ne tarda pas à demander :
« Fais-moi éjaculer Princesse je t’en prie, j’ai trop mal. »

Gladia lui adressa un sourire, et posa un de ses pieds toujours habillé de ses bas noirs sur un des barreaux de l’armature de son lit, à la hauteur du pénis de Jonas et replongea les yeux dans sa lecture.
Jonas s’avança prudemment et approcha son pénis du pied de Gladia qui ne bougeait pas. Il commença à se frotter doucement, et voyant qu’elle ne réagissait pas, continua à se masturber sur ce pied, remerciant sa princesse de l’autoriser à éjaculer de la sorte.
« Merci princesse Gladia, je t’en serais éternellement reconaissant »
Gladia, silencieuse, observait la scène d’un air moqueur, elle ne le fit pas paraitre mais elle aussi eu droit à un orgasme lorsque Jonas éjacula sur son pied.
« Eh ba, mon pied seul suffit à te faire jouir, j’imagine que je dois prendre ça comme un compliment. Tu ne vas quand même pas laisser ton sperme là ? Dépêche toi de nettoyer.
- Mais… Princesse, il faut que tu me délie les mains pour ça.
- Je veux rien entendre débrouilles toi.

Elle laissa son pied ainsi exposé et se concentra sur sa lecture. En réalité elle ne lisait pas, elle jubilait intérieurement de voir Jonas ainsi se soumettre à ses ordres, et ce qu’elle s’apprêtait à lui faire faire réveillait en elle un instinct sadique.
Jonas se dirigea vers la salle d’eau et saisit une petite serviette de ses dents, il revint auprès de Gladia et s’agenouilla pour être à hauteur du pied qu’il avait souillé, pour tenter d’essuyer sa semence. D’un geste maladroit, il fit tomber la serviette au sol. Il se baissa pour la ramasser mais Gladia le stoppa dans son mouvement, et inséra le bout de son pied dans la bouche de Jonas. Ce dernier, rebuté, compris où sa Princesse voulait en venir et rechigna d’abord, mais devant l’insistance de cette femme sublime qui le regardait maintenant d’un regard amoureux, il n’osa pas refuser et se mis à lécher sa propre semence avec dégoût d’abord, puis avec conviction. La satisfaction qu’il procurait à sa Princesse en valait largement la peine. Au même moment, Minaya fût irruption dans la pièce par la petite porte d’entrée restée entrouverte, elle était essoufflée et avais visiblement couru depuis le palais de la Reine.
« Gladia ! Il faut que… »
Sa phrase s’arrêta subitement lorsque ses yeux croisèrent ceux de Jonas, toujours agenouillé et nettoyant le pied de Gladia de sa langue, il s’arrêta et baissa honteusement la tête.
« Continue ! ; lui ordonna Gladia, et Jonas se remis au travail ;
- Tu l’as bien dressé à ce que je vois ; Minaya ne masquait pas son enthousiasme ;
- Méfie-toi, il a encore des restes de mâle irrespectueux, j’ai eu droit à une scène tout à l’heure, mais ça va mieux il s’est calmé. Pas vrai Jonas ?
- Oui, Princesse. Encore désolé pour ce comportement irrespectueux de ma part. ; il dit cette phrase et continua sa besogne ;
- Alors Minaya comment ça s’est passé avec la Reine ? »

Mais Minaya ne décrochait pas son regard de Jonas, elle s’approcha de lui, s’accroupi à ses côtés et caressa ses petite fesses boursouflées.
- On a pris une vilaine fessée ? Ne t’en fais pas, Minaya est là pour te consoler, je vais prendre soin de toi tu verras. »
Elle empoigna le pénis de Jonas et commença à la masturber. Mais ce dernier, loin d’être habitué à une aussi haute fréquence de stimulation sexuelle, sentais son membre endolori et tentais de se dégager de la prise de la guerrière.
- Pitié Minaya ! Je viens d’avoir une éjaculation j’ai mal !
Gladia ne supportas pas de voir Minaya toucher son Jonas et se laissa emporter à la colère et à la jalousie :
« Laisses le ! »
Elle se rua sur la guerrière et la fis tomber au sol, mais cette dernière était une combattante, et, blessée dans son ego elle riposta. Elle chargea Gladia tête baissée en la saisissant par la taille et la bloqua contre un mur. Gladia ainsi coincée se débattait en frappant du mieux qu’elle pouvait le dos de la guerrière et finit par tirer de toutes ses forces sur sa queue de cheval. Minaya lui rendit en mordant à pleine dents sa cuisse, Gladia poussa un hurlement de douleur et réussi à se dégager de Minaya en lui donnant un puissant coup de pied dans le bassin. La guerrière recula de quelques mètres avant de s’écrouler sur le lit, furieuse d’un tel affront.
Jonas lui était terrorisé, il avait rampé pour se cacher derrière une commode et assistait, impuissant au spectacle.
Gladia n’attendit pas que la guerrière se relève de son coup pour fondre sur elle. Elle lui griffa à sang le visage, les seins, arrachant au passage son soutien-gorge de cuir qui tomba au sol.
Les deux femmes étaient maintenant seins nus, dans un combat acharné pour savoir laquelle aurait Jonas en première.
Minaya parvint à esquiver un coup de griffe qui s’abattait sur elle et à passer son bras sur la gorge de Gladia qui se débattit quelques secondes avant de s’évanouir, privée d’oxygène. La guerrière lia chevilles et poignets de Gladia à l’armature du lit, la mis à nue et fit de sa jupe un baillon sur la bouche de la Princesse inconsciente.
A cette vue, Jonas savait qu’il devait intervenir, mais attaché ainsi et avec Gladia dans les vapes c’était peine perdue.
La guerrière avança d’un pas lent mais sûr en direction de Jonas et s’arrêta au centre de la pièce. Il pouvait apercevoir ses bottes de cuir qui l’attendaient d’un pied ferme.
« Sors de là, et viens honorer ta maîtresse » dit-elle de sa voix dominatrice.
Jonas sortit doucement da sa cachette et vint embrasser les pieds de sa guerrière, il n’avait guère d’autre choix.
Minaya observait avec satisfaction son soumis à l’œuvre et sans prévenir, lui décocha un violent coup de talon dans la mâchoire.
Jonas roula sur le dos, jambes pliées et écartées en signe de soumission, il était déjà pris d’une violente érection mais il dit tout de même :
« Je t’en supplie belle et puissante guerrière, fais moi ce que tu voudras mais laisse Gladia tranquille. »
La guerrière ricana et plaça sa botte sur les parties de Jonas, appuyant juste assez pour lire la douleur sur le visage de sa victime et lui dit :
« Ne t’en fais pas, je ne vais pas me gêner pour te faire souffrir, et quand cette pétasse là se sera réveillé elle assistera à ta castration en direct, première place je suis sûr qu’elle appréciera le spectacle. Après ça, j’irai dévoiler à la Reine sa trahison et elle sera exécutée sur la place publique. Ne t’en fais pas, je me débrouillerais pour que tu puisses assister au spectacle… Sans ta petite bourse ! »
Elle éclata d’un grand rire qui fit frissonner Jonas, décidément cette femme était timbrée, il aurait mieux fait d’écouter les gens du village. La situation l’excitait terriblement mais le plan de la guerrière lui faisais froid dans le dos, elle n’avait pas l’air de rigoler. Une question lui vint en tête :
« - De quelle trahison parles-tu ? Pourquoi Gladia aurais trahis sa reine ? ; La guerrière s’appuya plus fortement sur Jonas en se penchant sur lui avant de lui répondre :
- Pauvre petit ignorant, tu n’es donc pas au courant ? Gladia a couvert ton petit manège en m’impliquant dedans. J’ai accepté de marcher à condition qu’elle me prête son petit jouet sexuel, donc toi. Et voilà qu’elle me fait une crise de jalousie ? Elle l’a bien mérité cette salope de traîtresse. »
Jonas avait mal, il osa répliquer malgré sa posture :
« - Si tu as marché dans sa combine, alors toi aussi tu n’es qu’une salope de traîtresse, et je me ferais un plaisir d’assister à ton exécution ! »

Piquée au vif, la guerrière s’appuya de tout son poids sur les bijoux de Jonas qui se tordait dans tous les sens criant de douleur en les sentant prêts à exploser et elle rétorqua :
« Comment oses-tu me répondre petit être minable, soumets-toi devant la gente féminine et accepte ton infériorité ! Tout de suite ! »
Jonas cessa de lutter et offrit sa soumission totale. Les larmes aux yeux il sanglota :
« Oui maîtresse, je reconnais mon infériorité et me soumet devant ta puissance divine, je suis à toi. »

Satisfaite, Minaya relâcha doucement la pression et caressa le pénis de Jonas du bout de sa botte qui ne tarda pas à donner de léger coups de bassin pour se frotter et montrer son allégeance.
« Voilà exactement le comportement que tu dois adopter, tu aurais fait une bonne soumise dommage que je doive te castrer. »
Elle se mit à rire et Jonas ne répondit pas, il masquait sa colère réfléchissant à un moyen de sauver Gladia.
« Debout ! Couches toi sur le lit. »
Jonas s’exécuta et s’allongea aux côtés de sa princesse endormie, elle était si belle quand elle dormait…
« Je vois que tu as beaucoup d’admiration pour elle, et bien, je vais t’offrir une dernière séance avec elle avant de te démunir de tes petites boules.
- Mais elle est inconsciente !
- TAIS-TOI !! »
Elle avait hurlé cette phrase et Jonas déglutit, Minaya tenait en main un pot de lubrifiant et il ne pût s’empêcher de lui dire :

« Je n’en ai pas besoin tu sais.
La guerrière éclata de rire.
- C’est sûr qu’avec le minuscule outil que tu portes entre tes jambes ça ne vas pas servir à grand-chose, maintenant fermes la et baises moi cette pute.
- Je n’y arriverais pas avec les mains dans le dos. ; la guerrière réfléchis un instant avant de le détacher.
- Pas de coup fourré compris, la seule chose que tu dois fourrer c’est ta salope de princesse.
- Je ne suis qu’un être inférieur, mon seul but est d’assouvir tous tes désirs.


Jonas commença pénétrer sa partenaire immobile, ce qui sembla la faire réagir quelque peu, elle tourna la tête en prononça quelques mots inaudibles.
« Réveilles toi ! » Pensait Jonas. Soudain, il sentit quelque chose de froid sur son anus et sursauta brusquement.
La guerrière se mit à rire, le pot de lubrifiant toujours en main, un godemiché dans l’autre.
« Regardes ce que j’ai trouvé, cette cochonne a l’air de bien s’amuser en solitaire. Vu la taille de ce sextoy je me demande quel intérêt elle porte à ta petite bite !
- Non… Pas ça s’il te plaît, maîtresse je t’en prie ! »
Elle empoigna ses couilles et fit pénétrer avec force le godemiché en Jonas qui se laissa faire en sanglotant.

« Allé, baise là maintenant ; Jonas obéis péniblement ; Plus vite ! allé ! Jouis maintenant ! »
Jonas s’exécutait en gémissant de la manière que Gladia lui avais appris, lorsqu’elle se réveilla, elle fut stupéfaite et tenta de se débattre mais elle ne pouvait ni bouger ni crier, elle finis par se détendre et sentant Jonas en elle, pris plaisir à cet ébat et se mis elle aussi à gémir derrière son bâillon.

- Fais-la taire ! insulte là cette garce, obéis Jonas !
- Alors sale chienne, regarde ce que je vais te mettre !
Jonas se projeta brusquement en arrière, faisant pénétrer le sextoy de toute sa longueur dans son orifice, et se retrouva au sol avec la guerrière. Prise par surprise, elle tenta de s’emparer des testicules de Jonas mais il fut plus rapide il réussit à lui saisir les poignets et à les attacher au pied du lit, usant de toute sa force cette fois. Cette guerrière était sexy mais c’est Gladia qu’il avait choisi. Il retourna la guerrières à quatre patte et commença à la fesser
- C’est qui la salope maintenant hein ?
- Mais, Jonas, je plaisantais mon amour, détache moi je t’en prie…
Elle regardait Jonas avec des yeux d’anges, usant de son charme puissant sur Jonas, qui commença à avoir de l’empathie pour la guerrière.
Gladia se débattait de toutes ses forces pour se libérer, hurlant derrière son bâillon mais Jonas ne l’entendait pas, il était hypnotisé par la douce guerrière. Il s’approcha d’elle et embrassa la belle guerrière qui savait qu’aucun homme ne pouvait résister à son envoutement. Elle rendit son baiser et chercha son pénis de ses lèvres, Jonas lui présenta et ne tarda pas à gémir de plaisir au contact de sa bouche si sensuelle.
- Oh ma belle guerrière, comment ai-je pu douter de toi ?
Mais l’instinct de la guerrière pris le dessus sur son image de femme docile et mordit à pleine dents le sexe de Jonas qui hurla, usant de toute sa force pour desserrer les mâchoires de la guerrière en furie.
Il réussit à se dégager mais Cette erreur mis fin à l’envoutement. Aveuglé par la colère, Jonas saisit sa queue de cheval et commença à la gifler.
Minaya se mis à sangloter doucement et jonas, encore une fois, se laissa attendrir. Minaya remuait maintenant ses deux belles fesses et Jonas ne pouvait plus en décrocher son regard, il avança doucement vers elles sans pouvoir controler ce qu’il faisait, il retira son string et commença à la pénétrer avec douceur tandis que la guerrière lui parlait d’une voix envoutante :
- Oh mon beau Jonas, mon amour, détaches moi que je puisses t’enlacer.
- Bien sûr ma belle Minaya, il faut que je te détache.
Il retira son sexe de la guerrière pour la détacher, quand Gladia réussit à se dégager de son baîllon elle hurla :
- Jonas ! Non !
Jonas sortit de son état d’hypnose et, comprenant qu’il s’était encore fait voir, fessa la guerrière de toute ses forces, qui se débattait en hurlant de rage.
Il l’immobilisa et lui dit :
« Ca c’est pour tout à l’heure »
Il enduisit son anus de vaseline, et la sodomisa violement.
« Je vais te ! attends que je sortes de là je vais te couper en morceau !
- Ma petite bite te fait de l’effet à ce que je vois !
Il continua ainsi jusqu’à que la guerrière capitule et s’effondre en pleurant. Elle n’avait jamais été humilié ainsi et Jonas était fier de lui avoir donné une bonne leçon.
Il s’approcha de sa belle qui lui souriait tendrement, il commençait à la détacher et elle lui chuchota à l’oreille.
« Prends moi comme ça, ça m’a beaucoup excité de te voir faire, maintenant à mon tour.
- Tout ce que tu voudras Princesse… »
-
A suivre…