Collection Zone Rouge. Poupette. Fin De La Saison Iv (36/36)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je suis sur la corde raide.
J’ai réussi à berner Tex l’inspecteur qui court après mon mari, comme le coyote après les Bips-Bips.
J’espère qu’à la fin, je le prendrais de vitesse et que je deviens la femme l’une des plus riches du pays.
L’ouverture du coffre sera un moment crucial dans la captation de l’argent et des réseaux de ma moitié.
Mon quart d’homme, c’est trop quand je le vois couché sur son lit de misère.

- Il faut y aller Abby, l’inspecteur veut une partie des archives de Miguel, il faut que je l’emmène chez lui.

Je prends conscience que je viens de prononcer ces mots devant celui à qui je veux faire un petit dans le dos.
Je le regarde.

- N’aie crainte, il ne t’entend pas, mais tu as raison, une fois sur peux être mille, ils se réveillent ayant retenu dans leurs subconscients certains propos qu’ils ont entendus.

J’ai la main couverte de cyprine, il y a un lavabo ou sans plus de respect pour mon allongé, je me lave les mains.

- Cristopher, rentrer au garage comme votre oncle l’a déjà fait.
Inspecteur allons y, vous m’emmenez.

Quand je suis seule avec Tex, je le tutoie bien que je lui interdise la porte de mon sexe et que je lui impose le respect en me vouvoyant.
Je garde cette possibilité de remettre le couvert si je me sens en danger, les hommes perdent le sens des réalités quand nous prenons leur queue en main.

Nous rejoignons mon immeuble dans sa grosse limousine.
Il se gare quand son portable sonne.

- Oui, Ludivine.
Que faite vous de Trevor que nous avons arrêtés pour un excès de vitesse après sa trahison.
Il a signé les papiers reconnaissant les faits !
Relâchez-le, il sera convoqué par le procureur qui lui fera un accord à l’amiable.

Et il raccroche.

- Pourquoi s’emmerder avec un connard, il veut vivre plus dangereusement que dans la police, avec toi il va être servi ?

Quoi répondre à temps de haine, je sors de la voiture faisant celle n’ayant rien entendu.



- On y est, mon avancement dépend de ce que nous allons trouver derrière ce tableau dans ce coffre.

Il semble jubiler.

- On est bien d’accord, à toi ses livres de comptes, à moi l’argent !
- Je n’en doute pas le moins du monde ton mari était très prévoyant.
Je n’ai qu’une parole.

Combinaison inchangée, j’ouvre et je lui donne le registre, le seul à l’intérieur.

- Tu te fous de ma gueule, où sont les autres.
- Je l’ignore, je suis comme-toi, j’avais vu qu’il y en avait trois.
- Tu n’en sais rien, le sénateur aurait-il si peu confiance en toi qu’il t’a caché un secret.
- Lequel ?
- Il est propriétaire de technologie nouvelle dont une boîte d’informatique.
Avec le patron, quatre d’entre eux sont venus informatiser sa comptabilité de l’année 2017 et 2018.
Tu vas pouvoir garder tous ces lingots sauf un, nous surveillions cette société trouvant étrange cet achat bien différent des autres.
Nous y avons infiltré un inspecteur préalablement embauché pour ses compétences en informatique.
La compta se trouve sur une clef USB dissimulée dans l’un de ces lingots d’or.
Il nous suffit de trouver le bon et à moi la promotion et à toi les bracelets.
L’autre jour, j’ai eu grand plaisir à te baiser, tu es une vraie pro du sexe.
Je t’ai manipulé allant même jusqu’à te dire que j’allais t’épouser.
Quelle conne tu fais.

Il prend un lingot, le soupèse, le repose, en fait de même avec les autres un par un, les reposant pour trouver sa clef USB.
Il recommence après le sixième, essayant de pousser là où son inspecteur infiltré a dû lui faire voir comment on pouvait faire sortir la clef entrant dans l’ordinateur.
À nouveau son portable sonne, il décroche et se met à hurler.

- Quoi Ludivine, vous venez d’être prévenus que Trevor vient de se cracher avec sa Mustang.

Bande d’incapables, vous lui aviez laissé ses clefs au lieu de lui faire un retrait de permis.
Une ambulance vient de l’amener à la morgue de l’hôpital !
Tenez-moi au courant.

Il raccroche.

- C’est la merde, Poupette, ou est cette clef USB.

J’ai envie de lui dire « certainement dans la mallette sous le siège de la Buick, » mais n’étant pas sûr, une nouvelle fois, je ferme ma gueule.

- Tu auras de mes nouvelles.

Il me quitte.
Abby vient de perdre son sexe noir.
Mon cerveau est en ébullition, bien que ce ne soit pas le moment, j’ai une idée derrière la tête.
N’oublions pas qu’elle me doit un gage ayant perdu son pari, mais nous verrons ça plus tard.
Je vais dans ma chambre, n’oublions pas aussi, que je suis toujours en robe de marier avec ma tache de sang sur le cœur.
Je regarde par le balcon, merde c’est haut, je comprends mieux pourquoi Bob l’éponge a eu mal à la tête après un tel saut.
Là encore, je comprends pourquoi Miguel mon sénateur avait mal à la tête depuis des jours, c’était le début de son hémiplégie.

La voiture de Tex est partie.
Sous la douche, je me caresse avec le jet.
Il est dix heures et comme nuit de noce, j’ai simplement fait une fellation à Bill dans sa Buick et une caresse digitale à mon amour féminin.
Je me fais jouir bien qu’à ce moment une bonne bite serait la bienvenue.
Je sais que celle de Tex aurait pu me satisfaire.
Mais je sais en mon for intérieur qu’après le coup au plexus que je viens de lui asséner à mon corps défendant en lui volant sa clef d’ordinateur, il n’en sera jamais plus question !
Surtout si j’ajoute sa confidence à la fin de vouloir me doubler en m’arrêtant, tout devient impossible.

Quand j’enfile une tenue décontractée avec mon jean et mes baskets, chemisier poitrine dénudée simplement attachée sous mes seins, je me pose des questions.
J’aime Abby pure lesbienne à la base moi qui suis bisexuelle et qui tient à avoir des bites me déchirants.

C’est là toute l’ambiguïté d’une situation comme la mienne.
La prostituée que je suis, ma fellation à Bill le noir dans son auto en étant la preuve même si c’est moi qui ai payé, devrait m’avoir vacciné des hommes, mais un gros morceau bien dur, vos mieux que Gai-Luron.

Un vieux mourant, des amants que je commande maintenant comme Cassidy ou ex comme Tex, il va falloir que je me construise une vie sexuelle à la hauteur de mes envies.
C’est là toutes les contradictions d’une femme ayant mon vécu, même si je suis encore très jeune.
On dit que l’argent fait le bonheur, il l’aide, mais il entraîne d’autres soucis que je commence à entrevoir.
Je décide d’aller voir mes hommes pour savoir si mes ordres ont bien été exécutés ou si de nouvelles tuiles ne nous sont pas arrivées sur le museau.
Je veux que Tex continuant certainement à me surveiller surtout après avoir loupé sa clef USB, je vais dans le local des poubelles et je prends le passage pour rejoindre le garage.
Je prends mon portable et j’allume pour me guider.
Ayant fait le chemin hier, je sais que je vais pouvoir rejoindre l’atelier, de ce côté des barres de sécurité me permets de les ouvrir, appeler l’élévateur et de me retrouver entre les voitures de collection.
Je suis à mi-chemin quand la lampe de mon portable malencontreusement s’éteint.
Je cherche à la rallumer mais je n’en ai pas le temps, je me sens plaquée contre le mur en brique, une main fouiller mon corsage alors que l'autre dégraphe mon jean.
Moi qui rêvais avoir une verge en moi, je sens un bon morceau coller à mes fesses.
En bonne salope que je suis, pas de soutien-gorge pas de petite culotte.
Un pied écarte mes jambes, je suis littéralement en train de me faire violer.
J’ignore qui était tapi dans la nuit où si apercevant ma lumière l’homme a éteint sa torche avant de m’agresser.
J’entends bien une respiration légèrement accélérée, mais pas suffisante pour que je reconnaisse l’auteur de mon agression.


- Salopard lâche-moi, je te retrouverais et je te ferais couper les couilles, je ferais de toi un eunuque.
Oh !...

Voilà encore quelques épisodes de Poupette.
Elle finit d’écrire la suite qui sera publié en juillet.
Mois de juillet, mois des vacances.
Et si Chris71 prenait l’avion pour quelques jours de vacances auprès de notre héroïne en Californie.
On verra…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!