L'Estimation
On a sonné. Je traverse le jardin, et vais ouvrir le portail. Surprise ! alors que javais pris rendez-vous avec une grande bringue aux cheveux chatain, je me retrouve face à une brunette à la peau mate, vétue dune mini et dun haut noirs, les yeux cachés derrière des lunettes, noires, elles aussi
« Bonjour, je viens pour lestimation de votre maison. »
« Il est vrai que je pense à vendre mais javais rencontré une autre personne
»
« Oui, je sais, ma collègue. Nous sommes deux, en fait, et nous nous partageons le travail. Puis-je entrer ? »
« Oui, bien sur, je vous en prie » dis-je en ouvrant grande la porte
« ah, on imagine pas ce jardin avant dentrer. »
Le jardin est clos de hauts murs, et il est difficile de distinguer le petit espace, planté en jardin anglais.
« Et la maison est imposante. »
« Oui, merci cest assez grand. Voulez vous voir lintérieur ? »
« Tout dabord, pouvons nous nous poser quelque part, car jai quelques questions à vous poser. »
Je la précède dans la fraicheur de la batisse et loriente vers mon bureau. Je lui désigne un fauteuil, avant de contourner le bureau pour minstaller dans le mien. Là, un nouveau choc mattend. Elle a oté ses verres solaires et je découvre deux yeux dun bleu translucide qui illuminent son visage bronzé.
Nous devisons quelques instants, et elle attaque son questionnaire : nom, profession, age, date de naissance. Quand jannonce ma date danniversaire, elle sexclame :
« ça alors, on peut se serrer la main je suis née le même jour que vous. » dit elle en se levant et en me tendant sa main.
Je latt en prenant garde de ne pas trop serrer, et la dévisage, sans la lâcher des yeux
« Quelle heureuse coincidence » fais-je remarquer.
Nos mains restent enlacées quelques secondes de trop. Nos yeux se perdent le bleu des siens, dans leau verte des miens. Je trouve son sourire charmant, et suis persuadé de sourire comme un crétin.
Le contact est rompu et elle reprend sa place sur le fauteuil Starck jaune, qui tranche avec le noir de sa jupe et ses cuisses bronzées, découvertes au deux tiers.
Elle me pose des question, et, tandis que je mémeus pour le carmin de ses lèvres pulpeuses, qui souvrent sur un sourire éclatant, que mes yeux ségarent sur ses cuisses, cherchant à deviner ce qui se cache dans lombre du tissu, que je détaille ses petits pieds mignons dont les ongles au vernis nacré, sont laissés libres par des nu-pieds à petits talons, je dois faire un effort colossal de concentration pour répondre à ses demandes, des éléments cohérents.
Enfin, nous en avons fini avec la paperasse. Nous nous levons, de concert, et je la précède pour la visite des lieux, le séjour, la cuisine, le cellier, une salle deau, un wc. Chaque pièce est étudiée avec soin et je réponds en automate, aux demandes concernant déventuels travaux. Elle est plus décontractée que moi. Cest normal, car je sais déjà quil faut que je tente quelque chose pour la séduire, quitte à me prendre le rateau du siècle. Elle demande à voir la cave, et nous descendons dun étage.
« Il fait frais ici » commente telle.
Les pointes durcies de ses tétons nettement visibles confirment laffirmation. Nous montons, à présent au premier étage. Elle sextasie devant la salle de bains, apprécie les chambres des s et leur déco personnalisée. Arrivée à la chambre parentale, les dimensions ont son attention.
« Le lit nest pas standard, cest un 160 ? »
« deux mêtres » dis-je tandis quelle sasseoit sur la couche et en tate le moelleux.
Je me retiens de ne pas la culbuter, là, tout de suite. Elle est déjà debout et passe devant pour accéder au second étage. Je la suis, sans pouvoir détacher mes yeux de sa croupe qui ondule à quelques centimêtres de moi, et de cette jupe qui dévoile, en contre-plongée, ses cuisses pleines, presque jusquen haut.
La salle de cinéma, le billard, et les instruments de musique.
« cest à lusage de celles qui sont invitées ? » demande telle
« Cest à lusage des sportifs en tout genre » dis-je en évitant de me compromettre.
Je redescends en premier, et elle me suit ensuite pour un tour des dépendances, en passant par le garage.
Nous voici de retour dans le séjour. Je lui propose un café, quelle accepte. Quand je reviens avec un petit plateau, portant les expressis, elle est assise dans un des canapés. Je lui donne son café et minstalle dans un fauteuil face à elle. Elle me complimente sur la tenue de la maison, et nous échangeons sur le marché de limmobilier. Sa jupe est remontée en sasseyant et jai une vue imprenable sur son entrejambe et sa culotte noire. Alors que nous parlons, je me dis quil est impossible quelle nait pas remarqué mes yeux posés sur ses cuisses.
elle se saisit de son ordinateur portable quelle ouvre sur ses genoux, me cachant ainsi ses trésors. Elle pianote quelques instants avant de me donner son estimation provisoire de mon bien. Jergote un peu, pour la forme. Elle finit par replier son ordi, et le range à ses pieds. Dans le mouvement pour se rasseoir, sa jupe est encore remontée dun cran, et la totalité de ses cuisses est maintenant au jour, et seule sa culotte me masque encore son intimité.
Pris dune inspiration, je me penche et pose ma main sur sa cuisse. Les yeux azur, se posent sur moi et elle proteste
« Eh, où allez vous comme çà ? »
« Je suis désolé, mais depuis que vous êtes entrée, jai envie de vous toucher, de vous caresser. Alors, quitte à prendre une gifle, je fais ce que me dicte mon instinct. Jaime le grain de votre peau, son toucher. » mes doigts caressent sa cuisse, et remontent vers laine.
« Mais, monsieur, je suis mariée ! »
« Et moi aussi hélas, mais vous ne sentez pas ce lien entre nous ? »
« Vous êtes complètement fou ! et mes s ? »
« Ils nont rien à voir dans cette affaire, comme les miens.
« A des années décart. »
« Peu importe, cest un signe ! »
Mes mains sont maintenant sur sa culotte et jexerce un massage à deux doigts, à travers le tissu.
« Allez, faites moi, au moins cadeau de votre culotte, que jaie un souvenir de vous. »
Elle devrait être outrée, mais je la sens également amusée
« Et après, vous voudrez toucher aussi ? »
« Seulement si cela vous agrée. »
« la suite de tout cela serait quoi ? »
« un mandat pour la vente de ma maison. »
« vous essayez de macheter, maintenant ? »
« Non, jessaie de faire en sorte de vous revoir
. »
« Un mandat exclusif ? » demande telle, entrant dans le jeu
« Contre une simple culotte ? il men faudra un peu plus. »
« Jaurais dû men douter, quoi, par exemple ? »
« Vous voir nue, contre lexclusivité. »
« Un striptease ? sans musique ? » demande telle
« ça peut sarranger » repond-je en me dirigeant vers le meuble qui abrite la chaine stéréo.
Elle me regarde faire, sans mot dire, et quelques instants plus tard des notes chaudes de bossa nova envahissent la pièce.
« Après tout, pourquoi pas » lache telle en se levant et en commençant à onduler sur place.
Je nous sers deux rhums arrangés et
Je minstalle confortablement pour profiter du spectacle, un verre à la main
Sans cesser de danser, elle sapproche de la table, et se saisit du verre quelle avale, cul-sec, avant de me le balancer.
Je le remplis aussitôt et le lui tends.
Elle passe ses mains dans son dos, puis, sort de sa manche son soutien-gorge noir, qui atterrit à mes pieds. En tanguant, à petits pas, elle sapproche et me prend des mains, le verre, quelle boit dun coup, en rejetant la tête vers larrière, avant de le reposer sur la table basse.
Au rythme de la musique douce et chaude, elle tournoie devant moi, tout son corps collant au tempo langoureux.
Elle me repousse, et se remet à onduler devant moi, avec un sourire, avant de se retourner, et dagiter son postérieur devant mon nez. Elle commence à faire descendre la fremeture éclair de sa jupe, qui retenue par ses hanches tient en place, malgré la danse du ventre quelle pratique.
Est-ce une invite ? Je tends la main et ouvre la glissière jusquen bas. Les mouvements de la danseuse suffisent ensuite à faire tomber le vêtement sur ses chevilles. Son postérieur ferme et hâlé sagite devant mes yeux. Elle se penche alors, pour dégager sa jupe, moffrrent une perspective sur son minou rasé et son petit trou frippé. Elle se relève et me fait face.
Son sexe à quelques centimêtres de mon visage, je saisis soudain ses fesses, et lattire à moi, collant mes lêvres à sa chatte, ma langue fouillant sa vulve qui souvre et suinte légèrement.
Le léger mouvement de recul passé, elle plaque ma tête contre son intimité, ouvrant les jambes. Je déniche son bouton damour et la fais tressaillir. Elle pose un pied sur le canapé, mouvrant largement laccès à tous ses trésors. Je lape son jus et tente dintroduire ma langue dans sa chatte, béante. Ma langue ne suffisant pas, jinvestis les lieux dun, puis de deux doigts, que le fais tourner subtilement.Elle nest pas insentible à ma caresse, et projette son bassin, au devant de mes doigts. Je les retire et agace le pourtour de son sexe, mattardant sur son clitoris, ou explorant de phalanges humides, le périnée, jusquà pousser mon avantage sur son petit trou. Elle se raidit et je retire mon doigt pour revenir lui donner du plaisir par devant. Je la branle à trois doigts et elle les lubrifie abondamment. Elle a du mal à garder le rythme de la musique sans soubresauts. Jinsiste sur son anus, et mon doigt finit par senfoncer sans rencontrer de résistance. Je lui branle le cul un moment avant dajouter un second doigt qui est avalé, aussi vite que le premier par sa porte arrière qui désormais les accepte souplement. Elle jouit doucement en se mordant les lèvres, puis se rendant compte de sa tenue, elle se recule brutalement.
« Cest un peu facile de mater en restant habillé » dit elle. Elle fond sur ma ceinture quelle déboucle, avec lintention de me deshabiller. Il va de soi que je laide du mieux que je peux, et je suis prestement défait de mon jean et de mon boxer. Elle me repousse au fond du canapé et saisissant mon sexe dressé, menjambe et vient sempaler sur mon mat. Je lens le fourreau de son sexe enserrer souplement ma bite qui se fraie un passage jusquau fond de son vagin. Elle entame alors, une danse endiablée, rebondissant sur mes cuisses, sa chatte baveuse venant percuter mon pubis . Elle saccroche à mes épaules et jen profite pour malmener un peu ses seins, fermes et doux à la fois, ce qui semble augmenter encore son excitation. Elle jouit une deuxième fois, et se dégage après quelques secondes pour se positionner à quatre pattes sur le canapé.
« Tu voulais me baiser ? maintenant, il va falloir te montrer performant ! » me lance telle, les yeux fous avant davaler un nouveau verre de rhum.
Je me rue derrière elle et lembroche directement, jusquà la garde, pour lui imprimer un mouvement de va et vient ample et rapide, quelle accompagne du balancement de son bassin, et de ses cris de plaisir. La bouche ouverte, les seins ballotant sous elle, elle oscille sous moi en gémissant de plaisir. Dans un mouvement plus ample que les autres, mon chibre séchappe de son fourreau intime. Alors que je vais pour la réinvestir, une pensée osée me traverse. Je pointe mon gland sur sa rosette et javance. Elle se raidit un peu.
« non pas là » murmure telle
je minterromps et lui caresse les seins avant de revenir pénétrer son vagin.
Petit à petit elle se décontracte, et balonce son bassin vers moi en soupirant daise.
Mon index vient caresser son clito et cueillir son jus. Jen tartine sa raie et son petit trou, qui souvre légèrement ;mon doigt y entre bientôt, et suis le rythme de mes reins. Toute à son plaisir, elle continue à danser sur ma queue, en gémissant. Mon majeur rejoint bientôt lindex sans quelle cesse notre chevauchée. Elle accélère, en sempalant de plus en plus profondément sur ma queue et sur mes doigts. Des bruit humides accompagnent notre coit. Elle sagite soudain, de manière désordonnée, en poussant de petits cris aigus, avant de simmobiliser, dans un soupir de bonheur.
« Humm, cétait bon » dit elle alors que je suis toujours fiché en elle.
« Tu as aimé ma queue ? »
« Oui » soupire telle
« et mes doigts ? » dis-je en les retirant
« Oh, non, laisse les. »
« Ne tinquiètes pas, je vais les remplacer » reponds-je en mettant mon gland contre sa rondelle.
« Tu es tétu » commente telle en se tournant vers moi avec un sourire.
« disons que jai de la suite dans les idées » dis-je en poussant un peu, et en sentant sentrouvrir sa rosette.
« Eh bien voyons » dit elle en tendant les bras derrière elle pour écarter ses fesses.
Linvitation est trop belle et je rentre lentement mais fermement dans son anus, qui avale mon gland.
« Ouh ! ça fait mal ! » crie telle
« Jy vais tout doucement » réponds-je en continuant mon avancée.
Centimêtre par centimêtre, jinvestis progressivement son boyau jusquà me retrouver collé à ses fesses. Après une ou deux minutes sans bouger, je commence un mouvement de va et vient, très lent.
« ça va ? je ne te fais pas mal ? »
« un peu au début, me dit elle, mais maintenant le passage est fait. Tu peux aller un peu plus vite. »
Nattendant que cet ordre, je coulisse dans ses reins, bien serrés autour de moi.
Elle se contente de me laisser faire, mais après un temps, je sens un changement sopérer en elle. Elle est moins passive, et vient au devant de mes élans.
« Ah ! ça vient, je sens que ça monte. Hmmm, de ce côté là aussi, je peux prendre du plaisir. Ah, vas y ! éclate toi ! » me dit elle.
Je latt par les hanches et la ramone de plus en plus fort, mon pubis venant claquer en rythme sur ses fesses. Elle a glissé une de ses mains entre ses jambes et entre deux doigts dans sa chatte.
« Hummm, je te sens au bout de mes doigts. Vas y, encules ! » crie telle en écartant les jambes au maximum pour que je puisse mieux la pénétrer
Je sens le plaisir monter en moi, mais je résiste. Je la sens tendue comme un arc, vibrant sous mes coups de boutoir. Elle est maintenant à genoux, le cul en lair, la tête sur le canapé, un bras occupé à lui donner du plaisir, lautre tirant sur sa fesse pour louvrir davantage.
Lun comme lautre, nous nous mettons à râler, à éructer notre plaisir, dans le claquement des chairs qui sentrechoquent. Jai limpression quun geyser de feu va jaillir de mon sexe. Je sens la tension monter. A ses cris, je sais quelle est proche elle aussi. Jaugmente la cavalcade, et elle me suit dans de furieuses ruades, jusquà ce que jinonde ses reins, alors quelle jouit à grands cris.
Je mécroule sur elle, et nous restons de longues minutes ainsi. Couché sur son dos, jécoute les battements de son cur qui ralentissent peu à peu. Ses fesses méjectent doucement dans un débordement de sperme. Sans se tourner vers moi, elle me déclare.
« On se revoit pour le contrat ? »
Quel contrat ?
Le son de sa voix me ramène à la réalité ; sans trop comprendre, je suis assis à mon bureau et elle est assise face à moi. Sa jupe courte dévoile largement ses cuisses et sa culotte mais elle ne sen rend pas compte.
« Euh, pardon ? » fais-je
« Le contrat pour me donner le mandat pour la maison ! vous y êtes ? »
« ah, oui bien sur, dis-je en la raccompagnant, venez la semaine prochaine, en début dapres midi.
Nous sommes près de la porte. Jallais lembrasser quand elle me tend sa main, très professionnelle. Pensif, je la regarde monter dans son auto.
Après tout, la semaine prochaine jaurais une occasion de plus de voir mon fantasme devenir réalité !
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