Mon Prof De Français (4)
Je viens de découvrir que je ne suis pas la seule étudiante à subir les perversités de M.Guy, mon prof de français. R. et moi assistons au même cours de philo, mais on ne peut pas dire que nous soyons vraiment des camarades de classe. Disons que nous avons quelques antécédents appartenant à un registre différent, je vous laisse lire (ou relire!) « Examen blanc » si cela vous intéresse. En tout cas, le voir se faire branler férocement, je ne trouve pas dautre terme, par mon séduisant professeur est un tableau des plus excitants. R. a renversé sa tête en arrière et halète bruyamment, de sa bouche séchappe de temps à autre quelques exclamations : « Oh ! Oui
oui
Merci monsieur, merci ! » tandis que tout son corps semble se tendre sous la main experte de M.Guy. Soudain, sans crier gare, ce dernier interrompt totalement les puissants va-et-vient quil exerçait sur sa verge. R. pousse un gémissement désespéré, il devait être tout près de lorgasme. M.Guy, quant à lui, pousse un soupir exaspéré et essuie dun geste dégoûté sa main souillée par le liquide pré-séminal de R. sur le torse de celui-ci.
« Vous mavez énormément déçu, je pensais vous avoir enseigné la maîtrise de soi et le respect des consignes. Mais je vois que vous restez obstinément ancré dans vos vilaines habitudes, puisque vous vous êtes cru autorisé à profiter dune camarade que je vous avais explicitement désignée comme dévolue à mon usage personnel. »
La tournure professionnelle et distinguée de ses propos natténue en rien le choc que leur contenu provoque en moi. Quoi ? Dévolue à son usage personnel ? Et comment a-til su pour notre rencontre dans les toilettes ? Je nai pas le temps de me poser davantage de questions : M. Guy se tourne vers moi et mordonne dune voix sèche :
« Déshabillez-vous, et appuyez vous contre mon bureau. Vous êtes familière avec la position. »
Mon corps semble agir indépendamment de mon esprit, je mexécute.
« Je suis prêt à passer léponge. Vous pourrez même jouir aujourdhui, si vous y mettez du vôtre. Vous allez baiser Mademoiselle Gibert, qui nattend probablement que ça, et si vous parvenez à la faire jouir je consentirai à vous accorder un orgasme. Autrement
Nous verrons bien ce quil se passera autrement. »
La situation est foutrement excitante. Je ressens une certaine reconnaissance envers M.Guy, comme sil était linstrument de la justice divine, me rendant lorgasme que ce goujat na pas pris la peine de me donner lorsquil ma baisée violemment dans les toilettes du premier étage. Je ne suis pas moins outrée par lidée quil me touche à nouveau, cependant. Sommes-nous donc tous les deux des poupées, des marionnettes entre les mains de notre maître, dont il peut disposer, quil peut punir et manipuler à sa guise ? Il semblerait, et cette pensée provoque en moi un frisson.
« Vous ny voyez aucun inconvénient, nest-ce pas ? »
Cette fois-ci cest à moi quil sadresse, en effleurant du bout de ses doigts lentrée de mon sexe. Je suppose que le gémissement que je pousse nest pas assez clair, puisquune de ses mains sabat violemment sur mes fesses nues.
« Jexige une réponse, lorsque je madresse à vous. »
« Non, Monsieur, je ny vois aucun inconvénient. »
Il intime dun claquement de doigt à R. de sapprocher. En temps normal je ne demande quà jouir, personnellement, mais je suis quasiment certaine quil y parviendra avant moi.
« Touche-toi
» grommelle R. à mi-voix.
Je jette un coup dil interrogateur vers mon professeur. M.Guy a très bien entendu, et réplique dun ton sec :
« Cest à vous de la faire jouir, elle na pas à participer. Si vous estimez nécessaire quelle se touche, comme vous dites, faites le vous même. »
R. passe une main sous mon ventre et la glisse entre mes cuisses.
« Eh bien Mademoiselle Gibert, on dirait que vous commencez à perdre pied ? Vous haletez comme une petite chienne, je naurais honnêtement pas parié sur la victoire de votre camarade. »
Jai tellement envie de lui montrer quil a tort, que je peux me contrôler bien mieux que cela, mais le fait est que je ne peux plus me concentrer que sur le corps musclé qui me prend en levrette sous les yeux de mon professeur, à la masse de chair qui me pénètre encore, et encore, et encore, au doux picotement que ses doigts provoquent en touchant mon clitoris
Je nai plus quune envie, cest de laisser éclater ma jouissance, en oubliant que cest R. qui me la donne, que mon professeur me regarde. Je nai plus conscience de rien dautre, je vais jouir. Soudain, tout sinterrompt. Abandonnée par les assauts de R., je lentends gémir puis pousser un cri rauque tandis quun liquide chaud sécoule au creux de mes reins, et entre mes fesses.
« Eh bien mes s, ça sest joué à peu de choses. Mademoiselle Gibert, je ne vous avais promis aucune récompense si vous lemportiez, et vous nen aurez pas. A lavenir vous penserez à conserver avec respect les objets que jai la générosité de placer en vous. Je vais vous demander de quitter les lieux, après tout cette séance était supposée être un cours de latin et vous êtes helléniste. Je dois moccuper de corriger votre camarade. »
Je reste pantelante face à lui, la semence de R. dégoulinant le long de corps, sans pouvoir faire un pas. Il va vraiment me laisser repartir comme ça, pour la seule raison que jai laissé luf vibrant chez moi ? Jétais si près de jouir !
« Peut-être désirez vous également une correction ? » dit-il en constatant mon inaction.
Le ton menaçant quil prend me ranime. Je me rhabille prestement et file sans demander mon reste et quitte létablissement sans même passer par les toilettes. Avant de sortir de la salle, un dernier regard sur R. me surprend. Je mattendais à le voir tout penaud, mais il me fait un petit sourire narquois. Il na pas lair si effrayé par la perspective de sa punition. Il sait quà quelques secondes près, cest moi qui aurait été à sa place, et je pense que notre rivalité connaîtra à nouveau loccasion de se manifester
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