Les Jeunes Hommes
Les jeunes hommes
Deux mois sétaient écoulés depuis cette soirée dautomne dinauguration de la maison des associations. Au cours de cette soirée, Judith avait été entrainée, avec son amie Clotilde, chez lartisan Jacques Rocier, un quinquagénaire rustre et sans éducation, mais possédant un sexe hors du commun et un coup de rein dévastateur. Après avoir honoré les deux amies, Rocier les avait déposées sans un mot sur le parking municipal. La jouissance de Judith avait été brutale et intense, et à chaque fois quelle y repensait, elle ressentait un mélange de honte et de désir.
Ce jour-là, regardant par-dessus son comptoir, elle vit Roncier sentretenir avec son mari. Celui-ci était boulanger, et se couchait tôt pour se relever vers trois heures. Les soirées de Judith étaient ainsi souvent un peu tristes, passées devant la télévision. Les deux hommes se séparèrent, et Roncier, devenu client de la boulangerie, entra dans la boutique, vide à ce moment présent. « Salut chérie, bon, tu peux commencer à te préparer, je tinvite pour une grande soirée baise avec ta copine. Putain, ce que vous mexcitez toutes les deux, tas pas idée. Et tu connais la règle, pas de culotte quand on vient voir le beau Jacques. Ah, et jai laccord de ton mari. Vendredi 20 heures chez moi. Et tinquiète, ton mari est daccord. Et soyez à lheure, je te laisse prévenir ta bonne copine. Jen bande déjà. ». Joignant le geste à la parole, après avoir vérifié que personne ne pouvait le voir, il déboutonna son jean et le tira vers le bas, dévoilant son sexe en semi-érection. Cette vision déclencha un frisson chez la jeune femme. « Allez salut ! et lave toi le cul ! ».
Le soir, le mari de Judith lui raconta quil avait rencontré Jacques Roncier, qui lui avait demandé sil pouvait inviter sa femme à une réunion de projet de création dune association de fleurissement de la ville, association qui avait bien besoin dune touche féminine. Dailleurs Clotilde, linfirmière, avait déjà répondu favorablement, les deux femmes iraient ensemble.
Judith était atterrée par la manigance de Rocier qui avait raconté cet énorme baratin à son mari qui ny avait vu que du feu. Le lendemain matin, profitant dun moment de calme, laissant la surveillance de la boulangerie à son apprentie, elle sortit et appela Clotilde pour la mettre au courant du projet.
Jétais en train de me laver les mains après avoir fait la toilette de la vieille Jeanne quand mon téléphone sonna. Le nom de Judith safficha. « Clo, je ne te dérange pas ? » « Non, quest-ce qui se passe ? ». Cest ainsi que jappris létrange invitation, le faux prétexte. Javais croisé Rocier une fois depuis la fameuse soirée, quand il était venu régler ses derniers soins quil me devait depuis un certain temps. Il était passé au cabinet un soir, avait jeté quelques billets sur le bureau. Il portait un bleu de travail. Il me regarda avec un sourire pervers. « Tu vas me rendre la monnaie. En nature. Il tira sur sa fermeture éclair quil abaissa entièrement, et dégagea ses épaules, faisant glisser la combinaison. En dehors dun marcel blanc, il était nu sous son bleu, et sa verge se redressait déjà. Il se pencha en avant, saisit le bas de mon pull et le fit passer par-dessus ma tête. Mon soutien-gorge rejoignit le pull sur le bureau. Il empoigna mes seins sans ménagement, déclenchant un mélange de douleur et de plaisir. Je sentais que mon sexe devenait humide. Je me levais, et fis glisser mon pantalon et ma culotte. Comme à chaque fois, le « miracle » se produisit, je mouillais comme une folle, tous les sens en alerte, mon corps réclamant la joute animale et la délivrance.
Il me poussa sur le bureau, écartant les papiers et le clavier de lordinateur, mallongea sur le dos, releva mes jambes et menfourcha dun trait. Sa verge était tendue, grosse, longue et épaisse, mais comme à chaque fois, il trouvait son chemin sans difficulté.
Ainsi est ma relation avec cet homme. Du sexe, uniquement du sexe, mais qui me transporte à chaque fois. Cest une machine à jouir
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Vendredi, à 19 h 45, Judith vient me chercher avec sa voiture. Pour loccasion, elle a mis une jupe noire très courte, des bas de couleur chair dont on voit distinctement limite, et un chemisier blanc, dans la transparence duquel on distingue nettement la pointe de ses seins. « Salut Clo. Heureusement, Christophe était déjà couché, il na pas vu comment je mhabillais, sinon il aurait eu une attaque. ». Pour ma part, javais opté pour une simple chemise blanche et légère, marrivant au haut des cuisses, généreusement ouverte sur mes seins nus, et dont labsence de fermeture des deux boutons du bas laissait voir mon sexe encadré par un porte-jarretelle et des bas noirs. « Salut Judith. Ne me regarde pas comme ça, je me suis habillée pour baiser. Je suis déjà trempée. Jai envie de sa bite. Jai hâte ».
Peu avant vingt heures, nous arrivons chez Rocier. Nous garons la voiture dans la cour. Le portail électrique se referme derrière nous. Connaissant la maison, nous rentrons et arrivons dans le salon. Une surprise nous attend. Rocier est debout, un verre à la main, torse nu. Mais il nest pas seul. Il y a là ses ouvriers : Karim, Frédéric, un grand brun tatoué, âgé dune trentaine dannées, Mourad, un algérien massif, Sylla, un camerounais dune cinquantaine dannées et Minh, le nouvel apprenti vietnamien. Tous nous dévisagent, nous scrutant de haut en bas avec des regards lubriques, pervers et concupiscents. Une chose est sûre, ils ont tous un point commun : à ce stade des présentations, ils ont tous une protubérance prometteuse qui déforme lavant de leur pantalon.
Rocier sadresse à nous « Ce soir, cest dépucelage de Minh. Et baise pour tout le monde ! trois filles pour six mecs ! Minh, vas vérifier ce que je tai dit. » Minh contourne Judith, il se place derrière elle et palpe sa poitrine. Il descend ses mains le long de la jupe et les insinue dessous. « Alors ? » « La fille na pas de soutif ni de culotte. Et elle est mouillée ». Il se place à présent derrière moi et entreprend sa vérification. Je mappuie contre lui, je sens quelque chose de dur contre mes fesses. « Elle pareille. Et elle nest pas mouillée, elle ruisselle ». « Bien. Cest bien Judith tu as écouté mes conseils. Tu apprends vite petite salope. Vous verrez les gars elles sont chaudes. Elles sont à vous ce soir, elles sont à nous. Et Minh va les baiser ! » Je demande à Rocier. « Tu as dit six mecs et trois filles. Mais nous ne sommes que deux ? ». A ce moment, on entend une porte qui souvre, et Sylvie, la femme de Rocier apparait. Elle est plus jeune que lui, environ quarante ans, et est entièrement nue à lexception de ses bas noirs. Sylvie Rocier ici ! dans cette tenue ! elle qui anime le catéchisme dans notre petite ville. Pour une surprise, cest une surprise
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Sylvie se dirige vers Mourad quelle enlace et embrasse sauvagement, envoyant une de ses mains vers la bosse qui déforme son pantalon. Frédéric les rejoint. Judith se dirige vers Karim. Sylla qui na dyeux que pour elle, latt au passage et la plaque contre lui, retroussant sa jupe sur ses reins pour caresser ses fesses.
Je nai plus trop de choix. Je regarde Rocier, lui souris et avance vers Minh. Mon regard capte le sien. Je déboutonne ma chemise et men débarrasse. Nue, je maccroupis devant le jeune vietnamien et lui enlève son pantalon. Son sexe est de taille modeste, très fin, il se redresse dans ma main. Je le prends dans ma bouche, et passant mes mains derrière lui, je pétris ses fesses. « Attention, le fais pas jouir tout de suite, il doit vous sauter toutes les trois, le fatigue pas trop vite ».
On nentend plus que des bruissements, des gémissements. Sylvie est prise en sandwich entre Mourad et Frédéric qui se frottent à elle. Judith, à genou suce alternativement Karim et Sylla dont le sexe est tendu à lhorizontal. Quant à moi, je suce la gigantesque mentule de Rocier, offrant mon sexe trempé aux doigts inquisiteurs de Minh.
A vingt et une heures, Rocier déclare que lheure est venue pour Minh de connaitre la femme. Sylvie est allongée sur le tapis, Mourad lui maintient les jambes levées. Minh sapproche, hésitant, sagenouille entre les cuisses de la femme de son patron et senfonce en elle. Son sexe nest pas gros mais Sylvie semble y prendre plaisir. Quelques va et vient suffisent pour avoir raison de lui et il jouit dans les entrailles de la jeune femme. Sylla sapproche de moi, me courbe en avant et me prend en levrette. Son sexe est épais mais moins gros que celui de Rocier. Je suis tellement excitée quil na aucun mal à me pénétrer. Son ventre claque sur mes reins. Frédéric se place devant moi et me présente son sexe. Sylla se révèle doux. Le coït dure longtemps. Frédéric se retire de ma bouche. Sylla, tout en me pistonnant, déniche mon clitoris quil agace avec ses doigts. Sous ce traitement, je ne mets pas longtemps à jouir. Sylla est obligé de me retenir pour que je ne tombe pas. Il accélère le rythme, puis ralentit, il me fait durer. Je sens une nouvelle vague me submerger pendant quil décharge en moi. Je passe de bras en bras, nous papillonnons.
Vingt-deux heures. Rocier prend Judith par la main et lamène devant Minh. Il bande à nouveau. Rocier place Judith à quatre pattes pour que Minh puisse la prendre en levrette. Lassaut dure cinq bonnes minutes. Sylvie se couche sous Judith et entreprend de lécher le sexe de la jeune boulangère. Minh et Judith explosent en même temps. Nous reprenons la bacchanale. Mourad vient à moi, sallonge sur le tapis. Je lenjambe et massois sur lui, mempalant sur sa queue. Il mattire davantage vers lui, membrassant et fouillant ma bouche. Karim vient derrière moi et senfonce entre mes reins. Prise par ces deux amants entreprenants, je perds la notion du temps. Dans un brouillard, je distingue Sylvie subissant les assauts de Sylla, montant et descendant frénétiquement sur sa colonne de chair en hurlant de plaisir.
Vingt-trois heures, à mon tour de moccuper de Minh. Il a du mal à bander, et je dois utiliser toute ma science de la fellation pour réanimer son sexe. Il est un petit plus petit que moi, je décide que nous allons baiser debout. Je me colle à lui, fléchis les jambes et mempale sur lui. Je le sens à peine. Je comprends quil ne va pas y arriver, que ça ne va pas durer. Effectivement, il sagite et jouit rapidement, maspergeant de quelques gouttes de sperme.
Les hommes semblent avoir épuisé leurs munitions, Sylla a allongé Judith sur le ventre et la prend par derrière sans ménagement. Sylvie est à califourchon sur Karim, suçant le sexe de Frédéric, pendant que Mourad lui caresse les seins. Elle ne tarde pas à jouir dans des feulements inépuisables.
Je tourne la tête, à la recherche de Rocier. Je croise son regard. Sa verge est raide et dressée. Il vient vers moi et, comme la fois dernière, me soulève comme un fétu de paille pour mempaler sur son sexe. Je croise les jambes dans son dos. Le contraste avec Minh est saisissant. Mon sexe ruisselle. Il cherche ma bouche et membrasse passionnément. Il me pistonne. Je lance mon ventre contre le sien pour mieux sentir son sexe. Cela dure longtemps, jusquà ce que la jouissance nous renverse.
Il est minuit passé. Judith cuve sa béatitude. Du sperme sécoule de sa vulve. « vas la nettoyer » me demande Rocier. Je rampe vers mon amie, mallonge tête bêche sur elle et nous nous léchons, enlevant toute trace de sperme de nos chattes rougies par les assauts répétés. Judith se met à onduler du bassin, à gémir puis crie une nouvelle jouissance. Pour elle comme pour moi, cest une première.
Nous nous rhabillons. En partant, Jacques Rocier membrasse et me glisse à loreille « Jaimerais que tu reviennes un soir. Envie de te baiser encore. Rien que dy penser, ça me fait bander. » Nous nous séparons. Judith me ramène chez moi. Arrivée devant la maison, elle coupe le moteur. « Merci de mavoir donné du plaisir. Pour moi, cétait la première fois avec une femme » « Pour moi aussi » « Mais toi, tu nas pas joui, laisse-moi faire ». Elle pose sa tête contre mon épaule et sa main vient caresser mon sexe. Je ferme les yeux ; je la sens se contorsionner, et sa langue vient accompagner le ballet de ses doigts. Le plaisir monte lentement, doucement, inexorablement. Un plaisir doux et tendre. Un plaisir entre femmes
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