Je Me Découvre De Nouvelles Facettes (2)
- Non mais attendez, faut que je vous explique, jai un rendez-vous dans quelques jours sur Paris
- de quel style le rendez-vous ?
- euh et bien je dois rencontrer un couple que jai rencontré sur un site internet. Ils veulent que je prenne le train, habillé en femme, préparé, maquillé, épilé
- haha ok je comprends alors ta venue dans mon salon. Et bien tu sais quoi, tu vas me mettre en relation avec ces gens
-mais pourquoi ça ?
- jai des projets pour toi, et je vais devoir leur expliquer que la donne a changé. Tu travailles pour moi et mon mari désormais !!
-JE travaille pour vous, mais comment ça dis-je apeuré
- cest quoi que tu comprends pas, tu es devenu notre pute ma chérie, on va vendre ton cul à des amis, des gens qui adorent les personnes comme toi. On va te modeler à nos envies, on va faire de toi une vraie poupée du sexe. Tu vas rencontrer des tas dhommes et de femmes. Mais si tu préfères je peux aussi te mettre sur le trottoir, tu vas connaître les joies de la rue, les pervers, les mecs qui vont te violer pour à peine 20
.
-
.
- dailleurs ce serait une bonne idée pour commencer ta formation, quen penses-tu ?
- mais non
..
- mais non ? Dit-elle dun air légèrement sévère. Deux semaines à tapiner sur le trottoir, et après ça tu parleras un peu moins, et tu suceras plus et mieux !
Je me sens un peu plus piégé.
- allez ma chérie, ya plus grave non ? Elle me caresse la joue
- Tu vas être entretenue, tu auras des soins esthétiques régulièrement, et on va tacheter une nouvelle garde-robe.
Nous partons pour le centre ville. Cest la première que je croise autant de monde étant habillé de la sorte. Les regards sont parfois étonnés, intéressés, curieux. Jai quand même droit à de beaux sourires de la part dhommes.
- défait un peu ton chemiser me dit Elodie. tin mais je vais être jalouse, tout le monde te regarde dit-elle amusée.
- allez on va commencer par les dessous. Tu connais la marque Aubade jimagine
Si je connais. Jai toujours fantasmé sur cette marque, et surtout sur les modèles de leur publicité.
Nous rentrons dans le magasin. Bien entendu à lintérieur il ny que des femmes, excepté quelques hommes qui accompagnent leur femme.
Nous nous dirigeons vers les culottes.
- quest ce que préfères, string, shorty ?
- euh jaime bien les strings, mais jadore les tangas
- mais quelle coquine nous avons là. Taille 38 je pense
Nous choisissons différents modèles, mais aussi des strings
-jai dhâte de te voir avec une petite ficelle dans le cul.
Nous choisissons deux porte-jarretelles, des bas, et des bas autofixants.
- tu nas pas encore de vrais seins, quoique tu ais un tout petit peu de poitrine, très mignonne dailleurs, mais on va te choisir quelques soutien-gorges sexy.
Nous arrivons au rayon des corsets et des bodys. Elle me choisit une guêpière rouge avec porte-jarretelles, un body string en dentelle. Je me sens de plus excité à la vue de ses tenues. Cela doit se voir car elle me dit :
- tu rêves de les porter hein ?
- oui je crois
- on va te choisir deux nuisettes et tu passes à la cabine dessayage.
Arrivés à la cabine, deux ou trois femmes patientent. Devant lemployé qui gère les cabines, Elodie lui dit
- cest pour mademoiselle, le body, le corset et les soutien-gorge.
- cabine 6 dit-elle en me regardant avec un petit sourire.
- rentre et déshabille toi
Jenlève mon chemisier, ma jupe, mais je garde ma culotte
- tu enlèves aussi ta culotte, tu dois essayer le body.
jenlève ma culotte et essaye dabord le body. cest la première fois que je mets un habit comme cela.
- viens dehors pour quon te voit devant la grande glace
- ça va pas dis-je, ya trop de monde
- et alors ? Quand on est belle il faut se montrer, dehors je te dis !
Je sors de la cabine et me regarde dans la glace.
- parfait, va essayer la guêpière maintenant, et tiens tu mettras ces bas aussi. Elle me tend des bas noirs.
Jessaye la guêpière tout excité, là jatteins un autre niveau. Elle me va parfaitement bien. Et puis ce rouge
. Mmmmh, je mets les bas, cette douce sensation sur la peau, cest divin. Je les attache à la guêpière.
- alors tu viens de te montrer petite coquine ?
Je sors de la cabine, Elodie nen revient pas :
- alors là, je suis sur le cul, si je peux me permettre. Tu es vraiment faite pour ça ma petite. Marche un peu pour voir. Un peu gêné, je déambule sous le regard des autres femmes, mi amusées mi jalouses.
Revenant vers ma cabine, je tombe nez à nez sur un jeune couple dune vingtaine dannées. Lhomme me regarde dun air gourmand et émet un petit sifflement à mon égard. Sa compagne le regarde un peu méchamment.
- te gêne pas surtout, tu veux rentrer avec elle aussi ?
- rhoooo ma chérie je lui fais juste un compliment dit-il
- taimes les salopes toi maintenant ?
Nouveauté, je suscite de la jalouserie.
- et toi la pétasse, touche pas à mon mec ok ! Allez on se casse.
Le couple quitte les lieux, le mec passant à mes côtes en profite pour me mettre la main aux fesses, et me sussure à loreille : « je te veux »
- si en plus tu crées des scènes de ménage, que vais-je faire de toi me dit Elodie ?
- cest quand même pas de ma faute dis-je
- tiens essaye plutôt cette nuisette
Je retire la guêpière et enfile la nuisette. Elle est un peu courte, et montre une partie de mes fesses. Je nose pas sortir. Elodie ouvre grand le rideau.
- allez viens tadmirer ma chérie
je vais devant la glace. Elodie vient derrière moi, et me caresse les cheveux.
- regarde comme tu es belle, cest la tenue parfaite pour exciter ton futur client.
Elle pose ses mains sur mes hanches. Et soulève très légèrement la nuisette.
- imagine toutes ses mains qui vont te caresser.
jimagine tellement que je commence sérieusement à bander. Elodie commence à me caresser le sexe.
- mmmmmh mais tu es excitée comme une jeune pucelle ma parole
Nous sommes toujours devant la glace, et personne dautre nest rentré. Je suis terrorisé entre lidée de savoir que des personnes peuvent venir et excité à la fois.
En même temps quelle me caresse le sexe , son autre main vient derrière, et passe entre mes jambes pour venir titiller mon petit trou.
- mmmmmh ouiiiiiii
- tu aimes ça petite salope
- oh ouiiiiii
- suis moi dans la cabine
- mets toi à genoux sur le banc, et écarte les cuisses.
Je me mets à genoux sur le banc, face au miroir. Elodie se met derrière moi. Je sens sa main gauche venir entre mes fesses, tandis que sa main droite vient me branler. Je sens un doigt forcer mon passage. Ce doigt va et vient dans mon petit trou.
Elle me doigte ainsi pendant quelques minutes, puis elle me dit :
-assieds toi sur le banc.
Je massois, elle se mets à genoux devant moi, écarte mes jambes, et tout en me regardant dans les yeux, recommence à me doigter le cul. De lautre main, elle prend mon sexe déjà bien dur, et me branle. Puis elle descend la tête et je sens le contact avec sa bouche. Elle tourne autour de mon gland avec sa langue, pour ensuite absorber mon sexe. Elle me suce lentement, comme jaime.
Puis elle se relève, relève sa jupe, enlève sa culotte.
-ouvre la bouche.
Elle la met dans ma bouche
-comme cela on ne tentendra si tu jouis trop fort.
Elle sempale direct sur moi. Sa chatte est bien humide. Elle me prend dans ses bras, et me serre contre elle.
- oh ouiiii ma chérie, on va être bien toutes les deux.
Elle monte et descend sur sa bite, jatt ses fesses.
Elle menlève sa culotte de ma bouche pour membrasser.
-mets moi un doigt dans le cul.
Je ne me fais pas prier, je mouille un doigt et lui met direct sans la ménager. Je ne suis pas loin déjaculer, et lui dit.
- dans ma chatte ou ma bouche me réponds elle ?
- ta bouche
Elle se retire, vient entre mes jambes, et avale ma queue. Je sens la jouissance arrivé, ça monte lentement, puis je me décharge dans sa bouche. Je me retiens pour ne pas hurler, mai je lâche quelques petits gémissements.
Elodie se redresse devant moi, mouvre la bouche, et me force à avaler mon jus quelle avait en bouche, puis me roule une pelle.
Le rideau souvre, apparaît lemployée qui gère les cabines dessayage.
- vous avez fini ? Il y a des clientes qui attendent nous dit-elle dun air mécontent
- on sen va, dit Elodie, on a encore des boutiques à faire
Nous quittons les lieux sous le regard mi-amusé mi-choqué des femmes présentes.
- jirai bien boire un verre dis-je, je suis assoiffé
- bonne idée, je connais un endroit idéal
Je pensais que nous allions dans un café sympa du centre ville, au lieu de cela nous prenons la voiture, et nous dirigeons vers une zone industrielle. Au milieu se trouve un café, style PMU. Sur le parking, quelques camions. Elodie sarrête devant le café.
- descends dit elle
- quoi ici, mais cest glauque !
- cest parfait pour commencer. Je te récupère dans deux heures, jai des courses à faire dans le coin pour le salon.
- comment ça tu ne viens pas ? Et je commence quoi dailleurs ?
- ton nouveau travail ma chérie. Tu vas aller tapiner dans ce bar ; Il paraît quil est connu pour ça. Prends ce petit sac, à lintérieur tu trouveras un peu de maquillage. Et mets ce soutien-gorge.
- mais
.
- ah au fait, si bien entendu dans deux heures tu reviens sans argent, je sens que des vidéos vont circuler
Elle démarre et me laisse sur le parking, sans téléphone, sans argent, avec mon petit sac à main. Jenlève mon chemisier, mets le soutien-gorge triangle rouge.
Je me dirige hésitant vers le café. Jouvre la porte et pénètre dans ce bar. A lintérieur, une quinzaine de clients, que des hommes. Ça sent la fumée de cigarette, le juke-box diffuse du rock. Jentends des boules de billards qui sentrechoquent.
Tous les regards se tournent vers moi. Je me sens comme une proie toute fraiche.
Je me dirige vers le comptoir. Il me faut du lourd là. Étonnamment, cest une femme derrière le comptoir. Chevaux courts, style camionneuse :
- on sest perdu ma jolie ?
- euh je ne sais pas trop
- écoute ma belle, si tu veux boire un verre ya dautres endroits. Si tu es là pour vendre ton cul, ok mais je te préviens je prends 30 % sur chaque passe, ok ?
- ah euh
(il faut que je me lance)
- cest daccord
- quest ce que je te sers ?
- un whisky, single malt si vous avez, avec une pointe deau
- une pute exigeante, cest nouveau ça !!
- tant quà faire autant que ce soit bon
Je massois sur une chaise haute et commence à déguster mon Aberlour en essayant davoir des gestes gracieux.
il ne faut pas longtemps pour que je sois rejoint par un homme, la soixantaine, assez massif et un peu gros.
- salut ma jolie, tes nouvelle dans le coin ?
- euh oui
- ça te dirait quon aille discuter à côté, ya une pièce plus tranquille.
- euh daccord
nous nous dirigeons dans une pièce plus petite et plus sombre, avec un billard au milieu. À peine rentré, lhomme ferme la porte et mentraîne vers le billard. Il commence à mettre ses mains sur moi.
- euh attendez dis-je, il faut, euuh, payer davance.
- on verra après non ?
- je préfère maintenant
- ok, cest combien pour une pipe ?
- 50 ?
- allez tiens, prends les
il se met contre le billard. « suce moi maintenant »
je me mets à genoux devant lui, je défais son pantalon et sors une bite déjà bien épaisse. Je commence à la caresser, elle prend déjà une autre taille. Je sens sa main venir sur ma nuque. Javale sa bite.
- allez suce moi salope, et regarde moi
Javale cet engin tout en le regardant de ma position plus basse. Ça doit lexciter de me dominer car sa bite atteint une très bonne taille. Il a ses deux mains sur ma tête et mimpose son rythme. Il me rentre sa bite jusquau bout. Jai un peu de mal là car pas lhabitude dun tel traitement, et puis jai déjà donné avec mes deux camionneurs ce matin. . Il relâche un peu son étreinte. Il a lair mécontent.
- alors on suit pas le rythme traînée ?
- si mais jai pas lhabitude
- tas intérêt à tappliquer
il me refout son sexe dans ma bouche. Je dois faire mon travail correctement, et je repense aux mots dElodie. Je commence à me défouler sur son sexe.
- aaah voila là cest mieux
il matt les cheveux, et me force à aller plus vite. Je commence à avoir mal aux mâchoires, mais je ne dis rien.
- ah putain tu mas bien excité, lève toi je vais te prendre le cul
- daccord mais cest pas le même prix dis-je
- on verra plus tard
il me prend par le bras, me fait lever et me plaque contre le billard. Il relève ma jupe, et enlève ma culotte.
- écarte les jambes pétasse ! Putain si je ne voyais pas ça, je jurerai que tes une gonzesse !
Avec sa bite il me donne des coups sur mon petit trou. Puis il crache dessus. Je sens un doigt me pénétrer.
- un cul bien rasé, jadore ça.
Taptaptap, il me remet des coups de bite. Puis je sens son gland se positionner. Mes mains se cramponnent sur le tapis vert du billard. jai la tête tourné vers la droite.
- haaaaa fis-je
- sale chienne. Il me pénètre un peu plus
Je sens ses mains sur mes hanches. Il veut me dominer complètement. Il rentre un peu plus en moi. Il se retire pour mieux rentrer. Dun coup.
- taimes ça hein sale putain
javoue que que je suis moins en forme, mais je nai pas le choix. Je dois lui donner ce quil veut.
- oui oui, vas-y baise moi
- oui je te baise traînée !!
il accélère la cadence, pus se retire dun coup. Je sens un grand vide.
- quel trou tu as !
Et dun coup, il me pénètre jusquau bout. Il se déchaîne sur moi. Il matt les chevaux de la main gauche et me tire en arrière, pendant que sa main droite magrippe la hanche.
- tes bonne quà te faire tirer salope ! Je vais jouir dans ton cul de salope.
- ha ouiiiiiii
- oh putain cest bon, aaaaaaaaah saloooooope.
Je sens quelque chose de chaud se rependre en moi
- putain ouaaaaaaaaaais. Il me donne un dernier grand coup et seffondre sur moi. Il est lourd.
Il se redresse et se retire sans ménagement.
- allez, tu les as bien mérités. Il me jette des billets à côté de mon visage.
Je le sens séloigner. jai un peu de mal à reprendre mes esprits. Je regarde les billets, 50. Bon déjà 100 de gagné. cest pas si mal, et puis cest mieux quun SMIC. Pour moi cest suffisant pour aujourdhui. Je remets ma culotte et tente de retrouver une allure normale. Je vois une salle de bain. Je pénètre à lintérieur et regarde dans le petit sac que ma laissé Elodie. Je trouve du maquillage. Sauf que je ne sais pas me maquiller. Tant bien que mal, jessaye un rouge à lèvre pliutôt discret. Déjà la base je déteste le rouge à lèvres mais bon
.. jessaye darranger ma coiffure.
Je sors des toilettes, et retourne vers la salle du bar en espérant quitter les lieux discrètement.
- tu vas où ? demande la patronne derrière son comptoir
- euh eh bien je vais y aller, au revoir et merci
- tu plaisantes jespère ? jai parlé de toi aux clients, je pense que tu as avoir du boulot ma petite. Jespère que Régis ne ta pas trop démonté.
- mais jai un rendez-vous
- ça attendra, jai déjà 4 clients qui tattendent
- mais
- ne discute pas. Et là je là vois faire signe à un homme.
- voila Gérard. Tu le suis, tu le branles et tu reviens.
Je trouve cela bizarre mais bon.
Je suis mon mon client. Lunettes de soleil, chevaux courts, tout ce quil de plus normal. Il mamène dans la pièce de tout à lheure, et sassoit dans un fauteuil. Il attend. Je ne sais pas trop quoi faire. Il me regarde sans rien dire. Bon. Je me mets à genoux devant lui, défait sa braguette, sors son sexe et je commence à le caresser. Il commence à grossir, je le prend à pleine main et le branle. Il me regarde, toujours sans rien dire. Je le branle de plus en plus vite. Son corps a des petits sursauts. jai presque envie de mettre cette bite dans ma bouche, mais jhésite. Je continue de le branler, puis je me penche vers lui pour le sucer, mais il me repousse. Puis il se lève. Je le branle toujours du mieux que je peux. Il ouvre la bouche, mais sans rien dire. Sa main gauche vient sur ma nuque. Il rapproche mon visage à quelques centimètres de sa queue. Sa bite est tout chaude, et tout dun coup je me prends en plein visage quelques giclées de sperme chaud. Il enlève sa main de ma nuque, remets son sexe dans son pantalon, fouille dans sa poche et jette au sol un billet de 50. il part sans rien dire.
javoue que tout cela est un peu humiliant. Et en même temps un peu excitant. Je suis payé pour vider les couilles dinconnus.
Je retourne à la salle de bains afin de me nettoyer le visage. Mon maquillage en a pris un coup. Je fais au mieux.
De retour dans la salle, je me dirige vers le comptoir, en espérant un moment de répit. La patronne me ressers un whisky. Je vais lapprécier celui-là. Tout en nettoyant ses verres et sans même me regarder :
- les deux maghrébins assis à droite
Pour le répit je peux repasser, et cest moi quon va repasser.
Je me dirige vers une table où sont assis mes prochains clients.
- assieds toi me dis lun
- voila et donc je te disais, si tu as envie delle fonce cousin.
- ouais mais elle veut pas
- quest ce tu ten branles putain ! Tu la baises et tu la jettes
En fait ils parlent entre eux comme si je nétais pas là.
- excusez moi dis-je
- on ta autorisé à parlé toi !
- non mais
.
- alors tu la fermes spes de pute
ils ne rigolent pas, et je me soumets. Je reste assis, bien sage à côté deux, attendant quils veuillent bien soccuper de moi.
Jen profite pour faire un retour sur ma situation. Hier encore je me contentais de montrer mon cul sur les Internets à quelques personnes. Aujourdhui je tapine habillé en femme dans un bar sous les ordres dune femme, et jattends que mes clients soccupent de moi. Et demain ? La rue ? Dans un bordel à la Jonquera, une maison close en Suisse ? Vais-je continuer à vivre ma vie selon mes souhaits ou serai-je sous les ordres dune ou dun mac. Un objet à la merci des autres.
- mais merde Rachid cest un mec
je reviens à la réalité, à ma réalité.
- et alors si elle suce bien, et tas vu son cul tout à lheure ?
Je sens quils parlent de moi. Ils se lèvent.
- toi tu nous suis me dit Rachid.
Nous sortons du bar, et nous dirigeons vers une petite terrasse avec quelques tables. Une route assez fréquentée passe juste à côté. Ils sassoient à une table.
- déshabille toi, lentement.
Je me sens un peu gêné par lenvironnement, jhésite.
- dépêche
je commence à déboutonner mon chemisier, lentement. Je défais un à un les boutons, puis je lenlève complètement. Je passe mes mains sur mes hanches . jai limpression dêtre dans un film américain. Une danseuse de bar. Au Bada Bing de Tony Soprano !!
Très lentement je fais glisser ma jupe. Des voitures passent à côté. Des regards se sont posent sur moi. Ma jupe descend le long de mes hanches, de mes cuisses, pour tomber à mes pieds.
- tourne toi
- mmmmh quel cul, caresse toi
je passe mes mains sur mon corps, tout en me mouvant langoureusement. Je nai jamais vu de danse sexuelle, mais jessaye. Je commence à me frotter à eux.
- regarde cette chienne comme elle se trémousse
je leur montre mes fesses et prends quelles fessées. Je massois sur Rachid dos à lui. Je sens une bosse dure à travers son jogging. Il me pétrit les fesses, et me claque les fesses.
- à genoux salope
je me retourne et magenouille devant eux. Ils sortent leur sexe en même temps, et se caresse.
- suce nous la bite
Je prends en main ces deux engins. Je commence par mettre en bouche celle de Rachid. De suite sa main vient se poser sur ma tête. En même temps je branle son ami.
- ouais cest bon ça. Suce Ahmed maintenant.
Je passe de lun à lautre
- alors, elle suce bien non ?
- ya pas à dire, une bonne suceuse de bite.
- taimes ça la bite dArabe hein me dit Rachid. Sa question ne demandait pas ment de réponse car sa main moblige à le sucer.
Pendant 10 bonnes minutes, je suis agenouillé, en petite culotte et soutien gorge, sur une terrasse de bar PMU, en train de sucer deux bites.
- allonge toi sur la table.
Je mallonge sur le ventre.
- non, mais toi sur le dos, je veux que tu me vois en train de te baiser ! Dis Ahmed
je mallonge sur le dos, et replie mes jambes vers moi. Ahmed se positionne devant moi, et crache sur mon anus. Il positionne son gland. Puis appuie sur mes cuisses pour bien ouvrir mon cul.
- tu dois être bien ouverte déjà ma salope. Il rentre sans difficulté.
-mmmmh cest une bonne chatte
Rachid viens vers ma tête.
- suce moi putain
je tourne la tête vers lui et avale sa queue. Ses deux mains viennent sur ma tête et il me baise la bouche, comme un objet. Ahmed ma lamine le cul.
- putain comme elle est bonne cette salope.
- haha cest clair, jai bien envie de la ramener à la téci pour la partager aux copains.
Vla une nouvelle chose
. Mais impossible de parler.
- allez on change.
Rachid vient menculer, Ahmed me présente sa queue. Pendant une dizaine de minute les deux lascars se déchaînent sur moi, ou plutôt en moi.
- je vais féconder cette salope dit Ahmed. Après ça tu mappartiendraaaaaaaaas. Putain ouiiiiii.
Il expulse son jus au fond de mon cul. Il se retire.
- à mon tour de la remplir. Rachid vient entre mes cuisses, il mempale dun coup, me met des grands coups de bite en minsultant.
- sale chienne, traînée, putain, salope. Voila ce que tu mérites. Haaaaaaaaaaannnnnn.
Il se décharge en moi. Puis les deux me prennent par les bras, et me mettent à genoux.
- nettoie femme.
Je lèche bien leurs bites pour leur rendre tout propre.
- bon tas bien bossé. cest qui ton mac
- elle va bientôt arriver
- elle ? Ton mac est une nana ?? hahahaha mais tes une vrai lopette ma parole. Ils rigolent.
- allez prends ça. Ils me filent 150.
ils partent, je remets ma jupe, mon chemiser, et mapprête à quitter les lieux. Elodie doit bientôt arriver.
- hé la pute. La patronne est sur le perron. tu noublies rien ?
joubliais sa commission.
- fais voir combien tu as fait. Pas mal. Allez je te prends ça.
A ce moment là, Elodie arrive. Elle sarrête devant nous.
- alors ma chérie, bien travaillé ?
- elle bosse pour vous ?
- oui
- quand est ce que vous pouvez me la renvoyer ? Je vais avoir pas mal de demandes je pense.
- eh bien jai prévu de la mettre 15 jours sur le trottoir, donc je peux vous la laisser la première semaine, ça vous irait ?
- parfait
- euuuh dis-je
- tais toi la pute on cause affaire !
- combien de client elle a eu ?
- 4, mais jaimerai bien être la cinquième dis la patronne du bar
- héhé mais oui. Vous allez voir cest une bonne lécheuse
- jai dautres projets pour elle
- ça vous dérange si je filme ?
- tant quon ne me voit pas à limage, ok
- ça se passe là haut
ok, il va marriver quoi encore ? Je commence à fatiguer
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