Domination De Madame Et Monsieur 12 Et Fin
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -
Le grand soir est venu. Les maîtres étaient là, les gardiens baiseurs aussi et l'on n'attendait plus que l'arrivée des pensionnaires. La grande allée de l'étable numéro trois avait été lavée à grande eau et décorée de fanions multicolores et de bouquets de fleurs. Des projecteurs éclairaient l'endroit où l'on a aligné quelques rangées de fauteuils rouges imposants pour les maîtres. Les gardiens, équipés de fouets et le sexe pendant en dehors des pantalons se tenaient de part et d'autre de l'allée.
Je devais rejoindre l'étable avec maître Lopez quand l'un des gardiens nous annonça l'arrivée de trois jeunes femmes : Odette, Geneviève et Susanne. Trois bombes malheureusement emmitouflés dans des tenues austères qui les vieillissaient. C'étaient les activistes amies de Lucie. Elle avait tenu parole : c'était l'une des conditions de Hassan le Marocain pour s'occuper d'elle et la baiser sauvagement le plus souvent possible.
Les féministes voulaient en savoir plus sur la situation des femmes volontaires qui venaient ici. Étaient-elles réellement libres ? N'y a-t-il pas atteinte à leur intégrité physique et exploitation de leur faiblesse psychologique ? Un tas d'autres questions emmerdantes pour Lopez qui répéta le même cours dispensés à Lucie.
Odette, Geneviève et Susanne furent conduites à l'étable pour s'enquérir par elles-mêmes de la nature des jeux adultes pratiqués dans la ferme. Quand Hassan apparut sous la lumière d'un lampadaire, les trois femmes faillirent s' : le chibre du Marocain s'offrait à leurs regards et elles furent choquées ! Elles se cachaient les yeux avec leurs mains et demandèrent au Marocain de faire rentrer son engin. Ce dernier répondit qu'il respectait les ordres de maître Lopez et que c'était l'une des obligations pour les gardiens. Elles ne purent rien faire et suivirent Hassan jusqu'à l'étable. Et la, ce fut un autre choc puissance 10 : en effet, douze gardiens baiseurs se tenaient devant elles avec dix pénis très gros et longs bien visibles.
Les féministes étaient écoeurées et demandèrent à voir Lucie. On les fit patienter. Elles s'assirent au premier rang. Le gardien en face d'elles jouait avec son sexe : il le leur montrait d'une façon on ne peut plus vulgaire, le malaxait, le masturbait. Odette insista pour parler à Lucie.
On fit venir Lucie harnachée comme un cheval et traînant un attelage où avait pris place Don Pedro, un richissime libertin andalou. Elle galopait et ses fesses blanches de balançait au rythme de sa cavalcade.
- Est-ce bien Lucie, notre camarade féministe se demanda Susanne ?
- Ils ont dû lui donner une saloperie à boire !
- Lucie, Lucie ! Cria Geneviève...
Lucie, impassible, les nichons pâles à l'air libre, avançait sans écouter son ami. Enfin, elle s'arrêta et Hassan s'avança vers elle et lui murmura à l'oreille : " tu as un bon point, pute ! Tu as réussi à faire venir ces futures trois vide-couilles ! Je vais te récompenser tout de suite..."
- Oui, maître, j'attendais ce moment...
- Tu dois m'aider à corrompre ces trois coincées !
- Oui maître"
Et devant ses trois amies, Lucie se mit à pomper le chibre phénoménal de Hassan. Après une pipe royale, elle se mit à quatre pattes et le Marocain demanda à deux autres gardiens de la fouetter.
Odette fut la première à ressentir quelque chose d'inhabituel dans son corps. Elle lisait sur le visage de Lucie un bonheur qu'elle ne lui connaissait pas ! Ensuite, Hassan tira de sa poche la pommade anale qui l'aide généralement à fourrer les vide-couilles et s'en servit pour faciliter l'accès de son sexe dans l'anus de Lucie. Cette dernière demandait à haute voix qu'on l'encule et qu'on la fouette, qu'on la rabaisse... Hassan ne se fit pas prier. Il mit sa bite au plus profond du cul de Lucie. Odette tremblait...
L'un des gardiens approcha son sexe du trio. Geneviève se leva et le giffla :
- tu n'as pas honte !
- ici c'est nous qui gifflons, tu le verras plus tard.
Les maîtres se levèrent et se mitent derriere Lucie. Ils avaient leurs sexes dans les mains. Ils baisèrent tour à tour le corps blanc qui s'offrait à eux.
Un autre gardien s'approcha d'Odette. Son sexe debout effleura les lèvres de la jeune femme qui haletait à force d'excitation. Mais elle arrivait à se maîtriser. Enfin, on introduisit Océane vêtue seulement d'un string noir. Elle était encore plus belle. Elle fut accrochée à une croix de St André et fouettée en regle. Puis, on l'installa sur un sling et dix gardiens baiseurs en profitèrent. Mais, au moment de jouir, ils retiraient leurs sexes pour remplir une coupe de leur précieux liquide. Quand la coupe fut pleine, on l'offrit à Lucie qui se tenait tout près.
Mais le clou de la soirée fut arriver de Lilly Rose, totalement transformée, une vraie femme rayonnante de beauté. Elle fut présentée aux maîtres qui l'honorèrent avant de l'offrir à la meute de gardiens qui se ruèrent sur elle avec leurs sexes en érection, leurs pommades et leurs fouets. C'est à ce moment que les trois féministes découvrirent que Lilly Rose n'était pas une femme.
Le Marocain fit introduire Mélissa. Maître Lopez qui était loin de douter que c'était sa propre femme.
- pourquoi, cette pute porte-t-elle un masque ?
- c'est la femme d'un grand ponte de la ville...
- Le corniaud ! Il est peut-être là parmi les invités.
C'était l'occasion de m'occuper de la belle Mélissa qui me faisait bander. Je pris la jeune femme dans mes bras et l'embrassais tout en lui malaxant les seins qu'elle avait libres. Je la fis fouetter par deux gardiens avant de l'enculer devant son mari. Je n'étais pas loin d'Odette et je vis que l'excitation la devorait. Je fis un clin d'oeil au Marocain qui tenait la laisse de Melissa. Il lâcha la chaîne et se dirigea vers les trois femmes dont la tenue sévère contrastait avec la nudité environnante.
Hassan invita les jeunes femmes à le suivre pour le dîner. Elles avaient faim et puis, avec toutes ces émotions.
Au dessert, Hassan attaquait Suzanne.
- Et maintenant, au dessert suivant !
Il présenta son sexe à la jeune femme dont les joues avaient rougi comme par miracle. Sans comprendre pourquoi, elle prit le zob et le fit courir sur ses lèvres avant de l'introduire dans sa bouche :
- je suis a vous, maître !
Hassan la giffla, la débarrassa de ses vêtements admirant les lignes pures d'un corps parfait. Il la fit courber sur la table et, au moment où il allait fourrer le cul de la belle, il vit Odette avancer sa bouche vers le sexe :
- Maître, je peux sucer avant l'introduction !
Odette était lucide ! Elle fera une parfaite vide-couilles !
Geneviève observait la scène tout en se masturbant. Hassan baisa sauvagement Suzanne. Puis, il s'occupe de Geneviève ;
- tu as osé giffler un gardien ! Tu le paieras cher ! Il lui cracha dans la bouche avant de la retourner et de la flageller. Ensuite, il l'encula violemment. La salope en redemandait !
Odette fut la dernière à recevoir le fouet et le sexe du Marocain !
Les trois femmes furent ensuite emmenées à l'étable numéro trois. Elles n'avaient plus aucun habit sur le corps et le Marocain les faisait avancer à quatre pattes en tenant d'une main ferme les trois laisses.
Dès qu'elles se présentèrent devant les gardiens, ces derniers s'en saisirent pour leur faire subir toutes sortes d'humiliations. Elles en redemandait. Libérées, elles voulaient rattr le temps perdu. Six blacks les baisèrent dans toutes les postures. On leur fit boire le sperme de six autres gardiens maghrébins.
Le gardien qui a été gifflé par Geneviève la saisit sans ménagement, il introduisit son énorme sexe dans sa bouche.
la giffla, lui cracha sur le visage :
- suce, salope, hurla le gardien !
Geneviève était à quatre pattes, recevant une correction en règle sous forme de flagellation royale ! Odette pompait un immense sexe alors qu'un autre remuait dans ses entrailles.
Suzanne saisit maladroitement le chibre d'un black et le mit dans sa bouche.
Hassan fit trainer Lucie jusqu'au cul de Suzanne. Il demanda à Lucie d'ouvrir les fesses de son amie :
- allez, ouvre tes fesses pour recevoir le pénis royal de mon maître ! Ouvre, salope ! Il te fait l'honneur de te sodomiser ! Tu dois le remercier !
Au premier assaut, Geneviève hurla à faire trembler les murs.
Le spectacle se termina par l'alignement des culs des trois invitées plus Océane, Mélissa et Lilly Rose, toutes à quatre pattes. Maîtres et gardiens s'en servirent, soit pour les fouetter, soit pour les sodomiser. Fatiguées, les maîtres quittèrent les lieux entre une heure et deux heures du matin. Mais les blacks et les arabes prolongèrent les débats jusqu'aux premières lueurs de l'aube.
Pour moi, ainsi que pour Océane et Lilly Rose, le séjour se terminait. Les trois invitées demandèrent à signer l'acte de soumission. Odette voulait devenir Ponygirl alors que Geneviève et Suzanne demandèrent le statut de vide-couilles dans les étables. Suzanne préférait les blacks et demanda une douzaine de bites par jour. Geneviève avait une forte envie d'être prise là, tout de suite, dans le bureau de Lopez. Le Marocain s'en chargea et bientôt il se trouva en train de se payer les trois nouvelles recrues, de parfaites vide-couilles...
Dans le train, j'étais au milieu de deux femmes heureuses et épanouies. J'étais venu avec une dame et son mari et je repars avec deux nanas prêtes à tout pour assouvir les besoins sexuels de leur maître. Et j'en avais, et des plus extravagants !
FIN
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