Monsieur Paul Et Les Peintres 2

Jean-Jacques doit se contenir. Après tout, comme dit son ami, il ont tout leur temps. Et maintenant, les plaintes de la jeune femme sont tellement enivrantes qu’il faut absolument la faire chanter à pleine voix. Il s’agenouille devant le lit et loge son torse dans le compas ouvert. Ses mains brûlantes se posent en haut des cuisses, et ses lèvres font un ballet tout autour du string, Odette soulevant le bassin pour une rencontre qui ne se fait pas. Et puis, la sentant au bord de l’hystérie, il plaque enfin sa bouche sur le tissu trempé de sécrétions odorantes. S’en suit un oh de libération de la bacchante.
Par-dessus le tissu, il masse la vulve de la bouche, en lèche le sillon apparent , et finit par écarter le string.
Disparu un petit moment sans éveiller les soupçons d’ une Odette toute aux caresses prodiguées, Monsieur Paul est allé derrière le grand paravent pour mettre en marche la caméra d’en haut et en régler le zoom. Le spectacle de cette langue qui balaie la faille cernée de sa fourrure taillée, jusqu’à l’œillet fripé ou elle broute et s’enfonce en pointant est admirable. Et quand elle lutine la perle goulûment pendant qu’ une paume pelote les nénés, Jean-Jacques s’ offre les délices d’un majeur cerné de convulsions spasmodiques du trou de balle embroché.
Odette gémit de plus en plus fort et le pharmacien a juste le temps de revenir pour voir le ventre bondir et écouter la gorge hurler tellement le plaisir était fort.
Une légère accalmie succède à l’orage, mais pas de signe de lassitude chez Odette ; produits du pharmacien ou jouisseuse convulsive ?.
Le peintre est maintenant tellement au bord de la rupture que Monsieur Paul le laisse faire. Vu les dispositions naturelles de la jeune femme imprudente, il va pousser encore leur avantage en lui faisant faire des choses qu’elle n’a certainement jamais faites.
Jean-Jacques met du gel lubrifiant en douce, tire doucement Odette vers lui, la croupe au bord du lit et les jambes dans le vide tellement celui-ci est surélevé.

Oui, c’est la bonne hauteur se dit-il en touchant de sa grosse prune les chairs gluantes du berlingot. Avec lenteur, il avance vers le sanctuaire. L’entrée de l’ogive tire un « aah » de surprise à la jeune femme, mais d’une poussée lente et volontaire, il met son imposante épée au fourreau.
Il est temps d’entamer les échanges verbaux, qui vont eux aussi être enregistrés, pour que ces deux malotrus puissent les lui faire écouter plus tard et la mettent en situation de faiblesse ou d’excitation de voyeuse ; les deux sont jubilatoires.
Il lime longuement en lui tenant la taille, bien comprimé dans la gaine chaude.
A mon tour, se dit le pharmacien, qui met un coussin sous le cou de la jeune femme pour lui renverser la tête à peine en arrière, avant de s’agenouiller près de son crâne, le gourdin pas loin de ses lèvres de turluteuse.
Voilà, se dit-il, l’ami Jean-Jacques et moi on va se regarder se faire faire du bien par ses deux bouches ; la troisième dégustera plus tard.
Lui, s’il est raffiné, n’a pas de limites à l’invective verbale et sait mener le jeu.
- Il est bon son gros manche ? Il te remplit bien ?
Elle ne répond pas, un peu désarçonnée, mais il insiste ; ça va être trop bandant de l’entendre se laisser aller.
- T’en veux encore de sa grosse pine ? Hein ?
Le peintre la pilonne maintenant avec vigueur, et ça lui fait tellement de bien qu’elle s’entend répondre :
- Oui j’en veux encore !
- Dis-le que ça te plaît de te faire ramoner la moule ! Dis ça me plaît de me faire ramoner la moule !
- Ca me plaît de me faire ramoner la moule !
Juste avant de râler sous l’orgasme ravageur qui salue sa reddition, due en grande partie à sa propre audace verbale. Elle découvre la puissance du parler pendant l’acte.
Il va être temps de la foutre une première fois se dit Monsieur Paul. Et de ses mains douces sur ses joues, il approche le visage d’ Odette de son membre congestionné et raide.

- Tu vas me pomper le dard maintenant ?
Et il lui pose son gland sur les lèvres ; c’est terriblement pornographique.
- Tu vas me pomper le dard ?
- Oui !
- Fais des phrases mon petit chat !
- Oui je vais te pomper ton dard de salaud ! Dit-elle avec de l’énervement dans la voix.
Cette fois-ci on y est. La jeune femme arrivée sage tout à l’heure est maintenant au diapason de sa vraie nature, et elle meurt d’envie de proférer des gros mots.
- Tu aimes piper des grosses queues ?
- Oui j’aime ça piper !
- Tu aimes le bon lait ? Tu en veux du bon sirop ?
Odette n’est plus Odette ; c’est une chienne d’amour.
- Vas-y ! Donne ton beau morceau, tu vas voir !
Et c’est avec ébahissement qu’il la voit d’abord lui lécher le membre tout autour, les burnes pleines, avant de se précipiter sur le bigarreau pour une succion bien bruyante.
Monsieur Paul est grisé, et malgré l’éjaculation qui s’annonce, prend le temps de regarder encore quelques fois se reproduire la scène, avec des doigts fins qui lui palpent les bourses. Il ignore si c’était une baiseuse mais il est évident qu’elle adore ça.
Aussi, boosté par la frénésie, c’est presque sur le ton d’un ordre qu’ il dit à Jean-Jacques, :
- Maintenant c’est le nourrissage ! Tu la niques fort et on lui envoie la gelée !
Qu’à cela ne tienne. Le concerné la prend à la taille et la pistonne comme un soudard, faisant toujours attention à ce que la caméra du haut filme son nœud qui fourrage la mangue.
Odette jute une première fois, et le peintre, qui sent monter la purée, la laboure encore jusqu’à une nouvelle gerbe de mouille, qui déclenche le flot brûlant de son jus de couilles.
Monsieur Paul n’est pas en reste et grogne longuement avant de tenir la tête de la suceuse pendant qu’il lui remplit la gorge de sauce bien crémeuse et qu’elle n’en perd rien.
- Avale ma cochonne ! C’est un baume pour ta peau !
Odette a adoré que le liquide chaud lui tapisse l’intérieur du vagin ; elle est friande de cette sensation.
Quant au nectar blanchâtre, ce n’est pas si mauvais que ça.
Les glaives sont encore durs et réclament d’ autres glissades. Alors les bouches tètent, les doigts rampent, caressent, s’insinuent ; on met la pouliche dans toutes les positions pour la doigter à loisir.
Elle geint, s’offre, goûte à nouveau à cette pénétration inédite de leurs phalanges dans l’ opercule.
- Oh c’est bon ! Scande-t-elle. Oooooh !!
- Tu ne t’étais jamais pris un doigt dans le trou mignon mon bébé ?
Alors l’ ergot lustré, la rondelle limée, excitée en paroles, elle se livre encore :
- Oh non, on ne m’a jamais fait ça !
- Tu vas voir comme c’est bon par là aussi ! Lui assène Jean-Jacques.
- Laisse-toi bien faire ma petite poule ! Ajoute le pharmacien à son oreille. Tu vas jouir des délectations de Sodome !
- Vous n’allez pas m’…….
- Chttttt ! La coupe Monsieur Paul. Viens encore sur mon doigt ma jolie !
Et un autre oooh salue cette autre intromission digitale.
Odette est toute retournée ; par ce qu’on lui prédit, et par le plaisir qu’elle prend là et qui lui donne l’envie d’aller pus loin.
Ses yeux grands ouverts, comme un félin craintif mais soumis, décide les deux hommes à l’ entreprendre tout de suite, pendant qu‘elle est chaude.
Elle a peut-être déjà bien joui, mais ils sont sûrs qu’elle va encore gémir longuement de sa voix métallique, avant d’aller haut dans les décibels quand elle sera bien embrochée.
Un la retourne doucement sur le ventre dans le sens de la longueur du lit, et les fines bretelles blanches rejoignent la robe à la taille. Pendant ce temps, l’autre règle la caméra près de, et face à la fourche poilue.
Les mains s’enduisent d’huile de massage, et la préparation commence.
L’un fait des arabesques sur le dos et les bras, les lèche, regardant en même temps l’autre qui remonte des mollets aux cuisses, puis aux hanches, avant d’enfin s’aventurer sur les rondeurs jumelles.

Là, le pharmacien insiste longuement en étalant l’huile : il écarte en pelotant, palpe, et se rince l’œil en même temps que Jean-Jacques, qui zieute en attendant son tour.
Il redescend jusqu’aux mollets, pour la forme, avant de gravir à nouveau les jambes jusqu’aux lombes généreux.
Là, il ouvre à nouveau de la main gauche, se régale de la vue du petit trou vierge et prometteur, et enfile la tranche de la main droite dans le sillon culier. Il remet la main gauche sur la fesse gauche, et commence le ballet huilé.
Le peintre passe une main sous le buste d’ Odette pour saisir un téton et en pincer le bout, lèche le dos, et suit d’un œil averti le va-et-vient de la tranche qui monte et descend dans la raie en badigeonnant abondamment la bague fripée qui y est logée.
Puis monsieur Paul inverse avec l’autre fesse, toujours l’œillet bien parcouru par la main, oignant et oignant encore sous les gémissements de contentement d’ odette.
Elle soulève le bassin et ils savent bien ce que ça veut dire ; elle prend du plaisir.
- A toi ! Lance-t-il au peintre. Bouffe-lui bien le cul ! Fais-moi miauler cette délicieuse !
Et il s’en va prendre la caméra pour ce moment mémorable.
Jean-Jacques est presque en transe de fringale sexuelle pour cette croupe tant convoitée, mais il va devoir se canaliser. Alors, c’est doigt après doigt qu’il presse le médaillon, l’encercle, le pénètre, le parcourt de la langue jusqu’à y glisser la pointe. Il y presse les lèvres pour le baiser en le léchant longuement.
- Mmhh ! Fait la jeune femme, qui découvre le raffinement de la caresse.
Monsieur Paul en profite pour continuer le dialogue verbal :
- Tu aimes ça ? Ca te fait du bien ?
Odette ne voit plus de raison de ne pas répondre ; de toute façon ça l’excite et ces deux saligauds savent y faire.
- Oui, c’est bon !
S’en suit la mise en action des dix doigts dans le fossé au trésor. Chacun d’eux enfile à son tour le petit pétale de rose, s’enlisant et lubrifiant de plus en plus loin.
Et puis le peintre lui fourre lentement son pouce :
- Ahhhh ! Râle-t-elle, toujours poussant son cul à sa rencontre.
- C’est ça ma poupette ! L’encourage Monsieur Paul. Tu en veux encore de ce beau doigt ?
- Oh oui !
- Tu vas voir, tu ne vas pas regretter d’être venue !
Pendant que Jean-Jacques tourne son pouce dans tous les sens, il en profite pour élargir petit à petit l’ampleur de la rotation, faisant en même temps couler un long filet d’huile dans le conduit qui se dilate.
Le pharmacien prend à nouveau l’initiative, s’aidant de ses doigts vicieux pour la positionner au bord du lit :
- Mets-toi à quatre pattes et écarte bien tes cuisses !
Puis il fait signe du menton au peintre pour qu’il règle la hauteur de la caméra.
Odette se met docilement comme le demande Monsieur Paul.
- A moi de te faire la pastille ! Décrète-t-il, utilisant alternativement du doux et du cru, pour la mordre dans sa libido. Et toi mon cochon fais-toi téter la pine !
Odette encaisse encore le propos d’un frisson le long de la colonne vertébrale. Elle connaît bien tous ces termes, mais ignorait l’effet produit à les entendre.
Jean-Jacques s’agenouille devant elle, la matraque tendue menaçant ses lèvres entrouvertes. Et quand elle l’embouche, il frôle toute la peau à sa portée, fixant les doigts du pharmacien qui commencent à s’animer.
D’abord, celui-ci s’assoit lui aussi sur le bord du lit, contre sa hanche droite et à l’envers d’elle, les mains brillantes d’ huile. Puis il pétrit fermement les rotondités en les écartant de plus en plus loin l’une de l’autre, dégageant bien l’œilleton et la fente embroussaillée, pour sa satisfaction visuelle comme pour l’objectif qui filme.
Et puis les doigts deviennent pénétrants. Ils forent à tour de rôle, s’enfoncent en vrillant pour napper de lubrifiant le tunnel serré, allant toujours plus profond.
- Mmmhh ! Fait Odette en offrant sa croupe.
Monsieur Paul en profite pour y glisser un deuxième doigt ; tout en lenteur, la douceur est une des clés.
- Ooohhhh ! Feule-t-elle en lâchant le gros sucre d’orge qu’elle dévorait.
- Laisse-toi faire mon poussin ! Monsieur Paul va t’emmener dans la cour des délices !
Les mots doux contrastent avec l’effraction, mais c’est le but. Et Odette reprend les léchouilles sur la hampe et les noix du peintre.
Le pharmacien joint les cinq bouts des doigts très glissants d’une de ses mains, puis passe l’autre sous le ventre de sa victime maintenant plus que consentante pour aller tirer sur le globe charnu gauche et bien dévoiler la rosace brune ; sur laquelle les cinq bouts de doigts se posent. La main écarteuse revient, se loge sous la craquette, positionne le médius sur le pistil dur, et la corrida commence.
Les bouts de doigts tournent en vrillant sur la petite lucarne, poussent plus lourdement, par à coups, comme s’ils voulaient y entrer et l’élargir.
Alors quand le médius se met à titiller en même temps la petite fève rose, Odile se jette encore sur le gros bigarreau pour une sucette bruyante.
- C’est ça ! L’encourage Jean-Jacques. Goinfre-toi son boutoir, tu vas bientôt y passer ! Tu vas adorer te faire enfiler !
Les mots la galvanisent de plus en plus et elle se lâche encore avec un vocabulaire qu’elle n’aurait jamais pensé entendre sortir de sa bouche :
- Je vais te dégorger le poireau mon salaud !
Depuis le temps que la branlette était maintenant accompagnée de pénétrations profondes d’un doigt, puis de deux dans son rectum, le pharmacien, aux paroles qu’elle osait prononcer, se dit qu’elle était mûre pour la chevauchée : et il venait de lui en enfouir trois à travers l’ourlet rond, au diamètre de leurs mandrins encore bien bandés.
- Aaahhhhhh ! Gémit-elle.
Le pharmacien savait y faire, parce qu’ Odette ne ressentit pas de douleur, comme elle l’ avait pensé. Les scélérats, ils l’avaient bien mise en condition ! Elle était remplie, certes, mais le faible coulissement, qu’accompagnait la masturbation de son clito, lui remplissait le corps d’une chaleur inhabituelle. Comment se faisait-il que son mari ne lui ait jamais fait découvrir ce qu’elle qualifierait en ce moment présent de baise ?
Et ce Monsieur Paul qui continuait à lui lustrer la groseille en même temps qu’il lui dilatait la cocarde ; sans qu’elle puisse lui échapper. Parce que les doigts plongeaient plus avant maintenant, tournoyaient par allers et venues, graissaient le tunnel et la faisaient bramer de satisfaction.
Jean-Jacques mit sa bouche dans le cou de la jeune femme, léchant près de son oreille. Il se délectait à l’avance des cris de plaisir qui allaient se faire entendre dans l’atelier sans en sortir.
Le pharmacien avait ouvert le joufflu à deux mains et positionnait son bulbe contre le macaron entrebaîllé. Matant comme un pervers sa lente progression, il salua d’un « voilààààà » sa disparition.
- Oooooohhh ! Se lamenta la sodomisée, toujours surprise de n’y prendre que du plaisir.
- Ca y est, je t’encule ! Je te dépucelle le trou du cul !
- Ooohh ! Fit-elle encore.
Car Monsieur Paul avait retiré sa grosse prune avant de la remettre sans tarder ; et il y eut autant de « oohhh » que de passages de collerette.
- Allez, vas-y Jean-Jacques ! Raconte-lui comme ça va lui plaire !
Et le pharmacien prit le devant d’une cuisse d’une main pour qu’elle reste bien en place, et de l’autre il s’attaqua au bouton d’amour.
Pour électriser tout le monde, le peintre se fit disert :
- On va te régaler ma petite biche ! Tu sens comme c’est bon un gros nœud dans l’oignon ? Dis, tu en veux encore, hein ?
- Oh oui c’est bon ! Ooohhh !
Monsieur Paul avait augmenté l’amplitude de son bassin à lentes glissades et l’avait emmanchée à fond, ses grosses roupettes venant buter contre le minet inondé de cyprine. Et avec la conjugaison des mots, de la branlette et de l’empalement total, elle venait encore de jouir.
- C’est pas fini petite chérie ! Continuait le peintre.
Il prêtait maintenant main forte au pharmacien en écartant bien les deux hémisphères, de manière à contempler en même temps la chorégraphie débridée.
- Il va continuer à te planter son gros braquemart, mais il faut que tu le demandes ! Tu en veux de la bonne bite au cul !? Ça te plaît de te faire tringler par derrière !? Tu veux l’avaler encore sa belle olive ?
Le peintre s’exaltait lui-même.
La tirade salée, le claquement du ventre sur ses fesses, le bouton dardé sous le doigt branleur, et Odette se mit à haleter fort, au bord du spasme :
- Oh ouiiiii, je la veux encore ! Oh oui c’est ça, astique-moi la perle en même temps ! Besogne-moi bien ! Aaahhhhh !
Ce fut un cri formidable, et qui déclencha un long jet de semence jailli du pieu perforateur.
Un court moment de pause, avec le peintre malaxant la figue et titillant la petite excroissance toujours turgescente, le temps que Monsieur Paul change la caméra de place et d’angle, pour filmer le rodéo qui s’en venait.
Nul doute ne pouvait persister, pour Jean-Jacques, Odette était une grande jouisseuse ; car toujours à quatre pattes en attendant la suite qu’on lui réservait, elle mouvait son bassin en cadence sur ses doigts, à la recherche d’un nouveau jaillissement de sa source. Et c’était tant mieux parce qu’il ne voulait pas finir l’après-midi sans se l’être empalée sur le nœud.
Et puis on allait à coup sûr pouvoir, à coups de pièges tendus, de souricières intelligentes, embringuer cette salope en herbe dans des jeux pour adultes discrets, dont les scenarii foisonnaient déjà dans la tête du peintre.
Monsieur Paul, la tige toujours tendue, donna les ordres :
- Mets-toi sur le dos au milieu du lit Jean-Jacques !
Et puis il installa leur marionnette à sa guise : au-dessus du peintre dans le même sens que lui, en appui sur ses bras tendus de chaque côté du torse du mâle en rut, les jambes repliées et grandes ouvertes de chaque côté de ses hanches.
- Maintenant ma chérie, tu vas te faire du bien en lui gobant le chybre avec ta petite bouche pleine de mon sirop de corps d’homme.
Odette obéit, et descendant son cul lentement, s’envoya le champignon dans la lunette.
- Oohhhh ! Fit-elle encore, toute tremblante.
Elle fut vite fascinée à regarder le membre épais qui la taraudait en douceur, en se sachant scrutée par les yeux de Monsieur Paul ; qui alternativement plongeaient dans les siens, ou mataient la rondelle écartelée.
- Tu la prends bien ma cochonne, hein ? Tu vas devenir accro à la sodomie tu sais ?
Puis il dit au peintre, qui venait de lui mettre un doigt dans la fente :
- Oui c’est ça mon Jean-Jacques ! Bourre son trou du cul ! Astique son clito ! Bourre ! Astique ! Elle vient !
Puis à elle, pendant que le peintre la pilonne :
- Tu en veux de la bonne confiture ? Tu veux te faire remplir ?
- J’en veeeeeeeux !
Et le peintre éjacule sur un « aaaahhh » tonitruant, pendant qu’une nouvelle coulée d’huile essentielle de fille lui inonde la biroute.
Odette s’ affale sur le torse du peintre, jambes allongées de chaque côté des siennes. Celui-ci a la bite encore raide plantée tout au fond d’elle. Ils ont l’air infatigables !
Elle se demande s’ils ont encore des sévices aussi délectables à lui infliger ; tout en se découvrant plutôt salope d’en être arrivée là et prendre de tels pieds. Va-t-elle pouvoir se regarder dans la glace ?
Mais elle pense aussitôt : oh que oui ! Pendant que je me ferai bien troncher ! Ces petits salopards m’ont donné l’envie de pimenter mon quotidien ! Alors je vais voir si je peux exalter un peu mon tiède de mari, au risque qu’il me prenne pour une gourgandine, comme il dit.
Elle est coupée dans ses vues du futur par un pharmacien toujours vert lui aussi :
- Mets ses cuisses en prison mon Jean-Jacques !
Visiblement, ils ont une certaine connivence car le peintre sait quoi faire.
Tout en s’accrochant des mains aux nichons pointus, il passe ses cuisses à lui par-dessus celles de la jeune femme, vers l’extérieur, et pèse légèrement dessus. Ainsi bloquée, elle ne peut pas se dérober à ce qui l’attend.
Monsieur Paul s’agenouille devant la toison de son compas ouvert, et prend un malin plaisir à fixer ses grands yeux attendrissants en se huilant les phalanges, puis le bâton.
« Oh non ! » Objecte-t-elle, incertaine quand même.
- Oh que si ! Riposte-t-il. Une jolie petite garce comme toi a droit au bouquet final ! Un concert de grosses quéquettes !
Il saisit sa hampe, en présente le mufle contre les grandes lèvres de la minouche, et l’embroche tout entier d’un coup de reins interminable.
- Aaahhhhhhh ! Chante la gorge d’Odette tout le temps de la progression.
Le temps qu’elle s’habitue, et le peintre donne des hanches.
- Mmmhhh ! Fait-elle.
- Possède-la fort Jean-Jacques ! Harangue le pharmacien ! Ouiiii ! Comme ça, enfourne !
- Ooohh ! Fait-elle encore, grisée par le verbe et pointes de tétons massées et étirées.
- Tu n’es pas une mijaurée, toi, tu savoures ! Il faudra absolument qu’on se revoie ! Dit Monsieur Paul.
Puis il se met à la défoncer, sans attendre de réponse, maintenant bien appuyé sur ses bras tendus
- Allez, je te baise ! Prends ça, goûte le bon sandwich ! Tiens ! Tiens !
Le peintre le laisse à son tour la travailler rudement, bien compressé dans le boyau culier.
- Oh putain je suis bien fourrée ! Je vous sens bien dans mes trous !
 « Oh oui ! » Pense Monsieur Paul. Toi, avec ce « putain » explicite, il ne faudra pas te pousser bien fort pour te laminer dans une autre partie fine !
- Mets-toi debout ma poupée ! Lance-t-il.
En se disant à lui-même : Un autre plan de caméra savoureux pour que tu t’en délectes plus tard mon trésor.
Et on la positionne de côté pour la prendre, dans tous les sens du terme, en plein assaut lubrique.
Pour la finir, le pharmacien laisse son ami lui labourer les reins, de manière à suivre la montée de la jouissance dans ses prunelles captivées. Le dit ami ploie sur ses jambes, pointe son épieu sur la rondelle, et l’investit.
- Oh oui ! Souffle la donzelle.
A son tour, Monsieur Paul plie, puis remonte doucement pour l’éperonner.
- Ouiii !
- Voilà, délurée baiseuse ! Fais-toi bien ramoner ! Je veux t’entendre gueuler ! Tu vas nous asperger avec ce qui te reste de miel ! Goinfre-toi de nos grosses bananes !
La tirade l’ébranle, elle a les yeux qui chavirent, l’orgasme est proche ; et le sirop des deux hommes aussi.
Comme des métronomes, les belles bananes s’activent, chacune à leur tour, puissantes.
Odette a la tête en arrière sur une épaule du peintre, qui lui pelote les nibards, et « han » , un remplissage de cul ; suivi d’un retrait. Puis « han », un remplissage de motte de Monsieur Paul, qui lui ceint la taille fermement.
- Allez ! Plus vite jean-Jacques !
Puis à l’assaillie :
- Tu en veux de la bonne purée ?
Ils intensifient la monte ; elle geint.
- Tu veux te faire tartiner le minou et le troufignon avec du bon élixir, c’est ça ?
- Oui, donnez-moi de la bonne sève de pine ! Oui ! Oui !
Elle va juter ; ça vient ; sous l’intense matraquage, aidé du dialogue à mots cochons.
- Allez Jean-Jacques, on la crème !
Trois cris s’élèvent en même temps, longs, gutturaux.
Odette se prend de longs jets de semence brûlante tout en giclant de la foune.
Il faut l’aider à s’allonger, rompue qu’elle est par le traitement personnalisé qu’on vient de lui administrer. Et elle ne tarde pas à s’endormir.
Elle revient à elle un petit moment plus tard, en entendant des voix derrière le paravent. Elle a, elle trouve ça galant, un drap qui la recouvre.
- Il y a une …? Commence-t-elle en arrivant à la hauteur des deux hommes, assis à un bureau et visionnant un écran.
En fait, les voix qu’elle entendait venaient de celui-ci, et la sienne n’était pas en reste. Quant aux images, c’étaient celles d’une femme se faisant triquer de belle manière ; en l’occurance, elle.
Elle prit un autre coup de fouet sensuel et eut du mal à détacher son regard de la nique.
- Vous n’allez pas diffuser ça sur internet quand même ?
- Non mon petit chat ! La tranquillisa le peintre. C’est comme une photo souvenir, mais vivante, et qu’on regardera ensemble un de ces jours. Là, on comptait combien de fois tu avais joui.
- Et ? Voulut-elle savoir, curieuse de sa performance tellement inattendue.
- On n’était pas à la fin ! Mais crois-moi, tu le sauras ! Et pour la douche, si c’est ce que tu voulais savoir, c’est la porte là-bas !

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