Le Peintre Et Sa Muse Chapitre 15

Le peintre et sa muse
Chapitre 15
Les peintres
Deuxième couche

Voilà déjà quelques temps que Jeanne ma coauteure et moi-même nous n’avions pas écrit un nouveau chapitre pour ceux qui n’aurai pas lu les chapitres précédents un petit rappel s’impose à moins que vous n’ayez l’envie de les lire avant de passer à celui-ci.

Anne : jolie mature toujours habillée sexy et toujours prête pour de nouvelles expériences
Bernard : son compagnon plus âgé participe mais il est plutôt candauliste
François : artiste peintre et amant d’Anne


François était resté avec elle toute la nuit qui fut calme, d'ailleurs François était parti alors qu'elle dormait encore profondément.
Annie se réveille vers 9h, elle constate avec regret le départ de son amant.
Elle se lève et descend nue au salon pour lui téléphoner mais pas de réponse, elle rappellera plus tard se dit-elle.
Elle prend un petit déjeuner rapide et elle passe à la salle de bain, toilette et maquillage, elle se sent belle, attirante et même amoureuse.
Avant de passer une robe d'été elle se pose la question : sous vêtements ou pas ? Et elle décide soutien-gorge oui mais pas de culotte, François n'aime pas.
Voilà une envie qu’elle lui conçoit facilement maintenant.
Et puis elle quitte la maison, direction l'atelier de son peintre.

La porte qui donne sur la rue n'est pas fermée, François doit être dans son atelier se dit-elle.
Annie traverse le petit jardin mais arrivée à la porte de l'atelier, elle trouve porte close avec un petit mot sur la porte ("Je rentre dans deux jours").

De dépit Annie fait une ballade en ville sans but et sans goût pour finalement se retrouver devant La brigantine, le restaurant de François.
Et pourquoi pas déjeuner là !
Annie s'installe à une table au fond du restaurant.
Le serveur la reconnaît et lui demande si elle est seule.

- Oui, vous n'avez pas vu mon ami François par hasard ?
- Si, il est venu prendre le petit déjeuner, il m’a prévenu qu’il serait absent quelques jours
- Il ne vous a pas dit pourquoi ?
- Non, vous avez choisi ?
- Donnez-moi une salade et un verre de Chardonnay.

Après ce repas frugal Annie décide de rentrer chez elle, voir si François a laissé un message sur le répondeur de la maison, se faire un petit café et une petite sieste au soleil dans le jardin.

Aussitôt rentrée elle regarde le téléphone mais pas de message ni de François ni de Bernard. Dépitée elle se met nue et va prendre place dans la chaise longue au milieu de la pelouse.
Elle entame une sieste au soleil de ce début d’été.

Faisant sa sieste Annie a complètement occulté le fait que la société de peinture qui a en charge la rénovation de la chambre d’amis, n’avait pas fini le travail et pour cause (voir le chapitre 11).
Et de ce fait le patron de la société de peinture, Pedro Oliveira a décidé de venir terminer le travail ce même jour et il est accompagné de son apprenti Lissandro.

Ils arrivent à la porte et comme Bernard leur a confié une clé de la maison, ils entrent sans sonner. Et puis d’ailleurs en entrant ils constatent que la maison est vide.

Lissandro se dirige vers l’étage tandis que le patron lui se dirige vers l’atelier de Bernard qui est au fond de la propriété afin de récupérer l’escabeau et les bâches de protection comme la dernière fois.

Tiens la porte du jardin est ouverte se dit-il ; ils sont quand même cons c’est comme ça qu’on se fait cambrioler !

Mais en s’approchant de la chaise longue il aperçoit les bras d’Annie sur les accoudoirs.
"Putain notre salope est là !" Se dit il alors que son sexe trésaille dans le pantalon.

Il s’approche doucement et contemple le corps nu d’Annie qui comme d’habitude a les jambes écartées, exposant sa vulve au soleil.
Pedro se passe la main sur son sexe soudainement à l’étroit dans son pantalon.
Il retourne rapidement à la maison et va chercher son apprenti.
Arrivé dans le salon il lui vient une idée : s'il veut profiter de cette belle femelle, il lui faut de l’aide supplémentaire. Il prend son portable, appelle Aziz, un de ses ouvriers algériens qui est sur un autre chantier.
- Aziz, c’est Pedro rapplique 6 allée des fauvettes et rapidos si tu veux te dégorger le poireau !

Pedro monte voir Lissandro qui a commencé le travail et lui dit d’aller à la porte d’entrée pour faire entrer Aziz dés qu’il arrivera.

Tous les deux redescendent Lissandro va à la porte tandis que Pedro guette depuis la porte-fenêtre une réaction éventuelle de l’objet de sa convoitise.

10 minutes passent et arrive Aziz. Pedro lui explique la situation :
- Dans le jardin il y a une salope, c’est la proprio,
elle adore la bite, mais il va falloir la prendre par surprise et la maîtriser après on pourra la baiser comme on veut.

Pedro explique aux deux hommes comment procéder, et sans bruit tous les trois s’approchent de la chaise longue.
Pedro et Aziz se saisissent d’Annie par les bras et les jambes, tandis que Lissendro enferme la tête d’Annie dans la serviette de bain qui est par terre.

Annie se débat autant qu’elle peut mais les deux hommes sont costauds et ils n’ont aucun mal à maîtriser Annie et ainsi le quatuor regagne la maison.

Ils montent jusqu’à la chambre conjugale.
Pedro et Aziz maintiennent Annie sur le lit tandis que Lissandro attache les poignets d’Annie aux barreaux du lit avec le cordon des rideaux.

Et tandis que Pedro et Aziz se déshabillent, Lissandro retire la grande serviette autour de la tête d’Annie qui enfin découvre ses ravisseurs en quelque sorte.

Elle se radoucit et se calme en voyant qui sont ces hommes elle en reconnaît deux.
Il lui revient à l’esprit le moment passé avec Pedro et son apprenti et en plus devant Bernard son compagnon et François son amant et puis surtout le plaisir qu’elle y a pris. (voir le chapitre 11).

Et cette fois-ci il y a un nouveau, ils sont donc deux vrais mâles, l’apprenti ne compte pas, bien que la dernière fois elle l’ait sucé avec plaisir.
Elle tourne la tête et elle aperçoit les deux hommes Pedro avec son gros ventre mais surtout son gros manche de pioche qui lui a fait tant de bien.
Mais quand Aziz qu'elle ne connaît pas, se retourne vers elle, elle découvre la matraque brun foncé qui pend entre ses jambes, pratiquement jusqu’à mi-cuisse et en plus il ne bande pas mais le diamètre est identique au sexe de Pedro mais lui il bande.

Annie est calmée, rassurée et son ventre crie famine.
Pedro s’approche d’Annie et commence à lui prendre les seins pour bien les malaxer. Des seins de femme mature, denses et gonflés.
Aziz fait le tour du lit et prenant son sexe à pleine main le frotte sur l’autre sein titillant bien le mamelon qui se met à bander.
Pedro demande à Annie :
- Si on te détache, tu ne cherches pas à te barrer ?
- Non
- Lissandro détaches la !
Lissandro retire les liens autour des poignets et à peine libre, Annie referme les mains sur les deux bites à sa portée.
A peine a-t-elle refermé les mains sur les deux mandrins vibrants du désir d’être masturbés, qu’Annie sent sa vulve couler.
Tandis qu'elle caresse ses gros tétons, tendus, devenus ultra sensibles en y frottant les queues et qu'elle les couvre de pré sperme, les deux mâles lui écartent les cuisses et chacun d'un doigt viennent lui préparer la vulve.
Pedro s'adresse à Lissandro :
- Cette fois c'est toi qui va la fourrer le premier et tu peux venir dans sa chatte elle a besoin de lubrifiant.
Lissandro vire sa tenue de travail, enlève son slip et la bite raide monte sur le lit et se place entre les jambes d'Annie.
Décalotte ta bite que tu sentes bien quand tu vas la lui fourrer.

Alors Pedro d'une main, retrousse la bite de son apprenti juste avant qu'il ne s'écroule sur le ventre d'Annie, propulsant de ce fait son gland jusqu'à l'utérus à cause de la longueur de son sexe.
Quelques allers-retours dans le vagin brûlant de désir qui lui enflamme le gland, Lissandro décharge comme un fou dans la grotte d'amour inondant le fond de la fente de toute sa juvénile semence.

Pedro prend son apprenti par le cou et il le vire manu militari du lit.
Puis il grimpe sur le lit pour venir planter sa grosse tige à l’orée du vagin d’Annie, qui continue d’une main experte à prodiguer une savante masturbation à Aziz.

Mais elle stoppe net tout mouvement. Le gros gland de Pedro vient de s’introduire sans douceur entre ses lèvres et commence une lente pénétration, la grotte est encore tellement étroite que Pedro a l’impression que ça lui pèle le sexe.
Annie, bouche grande ouverte, essaye de retrouver son souffle, il lui semble que le sexe qui la pénètre est jusque dans sa gorge tellement cette grosse tige la dilate.

Pedro ne peut pas attendre plus longtemps car l’envie de défoncer cette petite salope est devenue trop irrésistible.
Alors commence le labourage de la chatte d’abord sur un rythme lent, mais l’excitation montant, les allers-retours s’accélèrent, le vagin s’évase et la cyprine aide au pistonnage.
Maintenant Pedro n’a qu’une idée en tête, déverser sa liqueur au fond de la chatte d’Annie, lui tapisser l’utérus de sperme.

De la gorge d’Annie sort une mélopée d’amour constituée de soupirs et des ouiiiiiiiiii
encoreeeeee ! Baise moi bien !
Aziz dont la queue prend de l’ampleur, vient poser cette dernière sur les lèvres d’Annie qui sent ce gros gland sur sa bouche elle essaye bien de le prendre entre ses lèvres mais l’engin est vraiment trop gros elle doit se contenter de lécher le mandrin comme si elle dégustait une glace, sa langue glisse le long de la hampe brune jusqu’à la forêt couvrant les gros fruits gorgés de sperme.

Pedro prend les chevilles d’Annie et il lui replie les jambes sur la poitrine afin d’avoir un accès complet à sa chatte, qu’il baratte maintenant frénétiquement Mais à force de baratter le fruit chaud et juteux, la cyprine lui échauffant le gland, Pedro accélère le mouvement butant à chaque fois sur le col de l'utérus envoyant à chaque une décharge dans le ventre d'Annie.
Elle a les seins tendus, les tétons raides à en avoir mal et maintenant Aziz lui triture tantôt le droit tantôt le gauche ne lui laissant aucun répit.
Et cette grosse queue qui se frotte sur sa bouche et son visage répandant un jus translucide et odorant sur sa peau.
Mais cette double agitation sur et en elle finit par avoir raison de toute résistance, encore le pourrait-elle, alors qu'elle a dépassé le point de non retour Annie explose de tout son être tel un volcan reposant ses pieds sur le lit elle en arrive à soulever la masse du corps de Pedro Pour mieux
s'empaler sur ce gros sexe qui maintenant lui déverse un sperme épais et brûlant au fond du vagin
Pedro grogne comme une bête en rut traitant Annie de grosse salope entre chaque giclée de semence et ce gros finit par s'affaler sur Annie comme brutalement foudroyé par leur jouissance commune.
Pedro semble s'être évanoui au point qu'Aziz est obligé de faire basculer Pedro sur le côté non pas pour soulager Annie mais pour prendre la place de Pedro.

Tandis qu’Annie tente de retrouver ses esprits et aussi son souffle, Aziz prend Annie par la taille, la retourne comme une crêpe, la positionne en levrette et passe son gourdin entre les lèvres distendues qui s’offrent à lui.
- Tu vas savoir ce que c’est une vraie bite !
Encore dans l’engourdissement d’après orgasme, Annie réalise brusquement que l’arabe est en train d’essayer de lui enfoncer dans le vagin, le gros sexe qu’elle n’a pas pu sucer.
Elle tente de fuir mais Aziz la tient fermement aux hanches et d’un coup de rein perfore la chatte pourtant bien lubrifiée. Une douleur fulgurante se vrille jusque dans le cerveau d’Annie, elle suppose qu’Aziz vient de la déchirer, de mutiler sa vulve. Annie passe une main sous son corps afin de vérifier cette déchirure, mais elle tombe en syncope avant, Aziz sentant le corps d’Annie fléchir et se détendre, en profite pour pénétrer plus loin la grotte
L’énorme champignon de chair entame une lente progression dans le tunnel d’amour, dilatant les chairs comme jamais.
Malgré le lubrifiant laissé par Pedro, le pal a du mal à entrer dans la grotte d’Annie.
Aziz prend son temps, l’après midi est à lui et il pense déjà à la nuit qui va suivre il veut profiter au maximum de cette belle mature à la chatte si accueillante, aux formes si charnelles, aux mamelles si attirantes.

Quand Annie revient à elle c’est pour sentir le gros gland d'Aziz buter régulièrement sur le fond de son vagin et raclant les chairs sur toute la longueur. Annie passe une main entre leurs corps afin de constater les dégâts qu’a pu causer un pareil monstre sur et dans son sexe. Mais c’est juste pour s’apercevoir qu’Aziz n’a pas pu entrer la totalité de sa hampe dans son ventre et voilà pourquoi à chaque mouvement vers l’avant le gros gland bute sur sa matrice lui provoquant une décharge électrique à chaque contact. Il n'y a plus de douleur, mais que du plaisir. Annie sens monter en elle une vague qui va déferler dans tout son corps et le tsunami se déclenche au moment où Aziz lui enfonce son pouce dans l’anus et soudain un flot de semence épaisse gicle au fond du vagin, nappant l’utérus d’un jus gras.
Annie a l’impression qu’elle s’enfonce dans le lit, elle perd toute notion de temps, elle ne sent même pas Aziz se retirer de son ventre.

Le calme relatif de la chambre, l’absence des deux hommes, mais aussi la fraîcheur du soir et la nuit qui tombe la ramènent à la réalité.
Rapidement elle passe une main sur son intimité afin d’être sûre de ne pas avoir rêvé, l’écartement de ses chairs, la quantité de sperme répandu sur le drap lui confirment qu’elle a bien subi mais aussi apprécié les assauts auxquels elle s’est prêtée sans retenue.

Le réveil lui confirme qu’il est déjà vingt heures, elle décide de se lever et de passer à la salle de bain. Elle se dit qu’une douche bien chaude devrait lui faire le plus grand bien.
Enfin sous la douche elle dirige le jet d’eau sur sa vulve tentant de la nettoyer de tout le sperme qui la couvre, et puis, collant le pommeau contre ses chairs elle prend un réel plaisir à sentir l’eau chaude lui nettoyer le vagin.
Après quelques minutes à savourer ce plaisir elle passe un doigt sur son clitoris, elle ne rêve pas elle est à nouveau excitée et pas loin de se faire jouir de nouveau, mais la raison l’emporte.
Elle ferme le robinet et sort de la douche pour prendre une serviette et là, elle fait un bond se cognant même à la porte de la douche parce que devant elle, l’attend Aziz avec un serviette.
- Allez viens ma jolie que je t’essuie avant que tu nous prépares un bon petit repas avant de remettre ça pour la nuit.

Aziz passe la serviette sur tout le corps de la belle Annie, insistant bien sur toutes ses parties sensibles.
Comment rester insensible quand elle voit ce qui se dresse entre les jambes d’Aziz.
Aziz la prend dans ses bras il la porte comme si elle ne pesait rien et ils rejoignent la cuisine.
En passant par le salon Annie voit Pedro nu dans le canapé un verre à la main.
- Salut ma belle, prête pour une deuxième tour de manége ?
La nuit va être longue et mouvementée !