Collection Lesbiennes. Ma Robe De Mariée (1/1)
Après ma rencontre avec Bastian et le serment damour que nous nous sommes faits, jentre dans la boutique où pour la première fois, je vais essayer ma robe de mariée.
Notre mariage est prévu pour dans six mois en juin alors que nous sommes dans les froidures de janvier.
Bastian et moi nous nous connaissons depuis lâge dun an.
Quand il ma demandé en mariage, jai été la plus heureuse des jeunes filles.
Jeune fille, pucelle qui lui promet dêtre à lui le soir de nos noces.
Je suis peut-être vieille école, mais si jai su attendre 22 ans pourquoi précipiter les choses, le temps passant si vite.
Par chance Bastian a reçu la même éducation que moi et à 23 ans il est encore puceau.
Dans cette boutique choisie non loin de chez moi, jéchappe à la robe de mariée standard de grande série, cest un modèle unique que je vais acheter.
Certes elle est plus chère, mais ce modèle exclusif pour cette journée unique vaut bien ce petit sacrifice.
La propriétaire de cette boutique est la créatrice qui dessine ses modèles suivant les critères que je définis avec sa vendeuse qui me fait essayer des formes différentes afin détablir une première ligne de ce que je souhaite.
- Bonjour madame, je mappelle Noémi, jai pris rendez-vous par téléphone pour un premier contact.
- Oui, je vais fermer la porte du magasin, car quand nous faisons des essayages avec les clientes afin de définir la robe que vous souhaitez, les critères doivent être pensés sans que lon soit dérangé.
Pour commencer, je me présente je mappelle Geneviève et nous serons tranquilles, doublement, Gaétan mon patron est absent jusquen fin de soirée.
- Merci Geneviève, appelez-moi Noémi, je sens que le courant passe entre nous et que vous allez être de bon conseil pour le choix que je souhaite en vue de la plus belle journée de ma vie.
- Pour commencer venez dans le salon dessayage où jai tout ce quil faut pour définir votre premier choix.
Je la suis dans la pièce voisine, pour la première fois de ma vie, je me surprends à regarder le roulé de ses hanches quaccentuent ses talons aiguilles.
- Pour commencer, Noémi déshabillez-vous, il sera difficile de faire ces essayages emmitouflés dans vos vêtements dhiver.
Je fais tomber mon manteau, ma grosse écharpe pour lui apparaître dans le type de vêtements que jaffectionne jeune et légèrement sport.
- Bien, je vois votre style, je vais définir avec vous, les premières base de ce que vous aimeriez porter pour être la plus belle dans cette journée qui doit rester inoubliable.
Cela sera facile, vous avez une silhouette qui minspire déjà.
- Au premier regard, tu vois ce qui va me plaire ?
- Tu sais, je suis ici depuis quelques jours, mais jai vendu tellement de robe de mariée que neuf fois sur dix, jarrive à déterminer ce qui va te plaire dun simple regard !
Sans nous en rendre compte nous sommes passés du vous au tu, de façon si naturelle que nous continuons sans nous en offusquer.
- Enlève toutes tes affaires garde seulement ta petite culotte.
- Et mon soutien-gorge ?
- Tu vas essayer des robes qui se portent sans alors mets-toi à laise, nous sommes entre filles.
Cest la première fois que je me retrouve presque dans la tenue dÉve devant une autre femme depuis que je suis majeure, jen suis un peu troublée.
- Tes chaussures vont me poser un problème pour faire mon choix.
Je vais te prêter des talons aiguilles, je pense que tu fais du 38, je veux voir comment tu te déplaces.
Ces chaussures je peux te les vendre.
- Je vais tomber.
- Je vais taider au début, pour ce grand jour, il te sera impossible davoir des talons plats, tu vas thabi.
Dit donc on ta déjà dit que tes seins sont magnifiques, forme de poire et téton de fraise, ton copain doit en raffoler, tu es une corbeille de fruits à toi toute seule.
- Pas du tout, il les verra le soir de nos noces.
- Je peux les caresser, je raffole des poires et des fraises.
Comment refuser à cette belle femme ce plaisir qui ne me coûte rien surtout quau moment où je passe vers elle, je me tords la cheville et arrive dans ses bras ?
Le cri que je pousse lui fait comprendre que je me suis fait mal alors elle me conduit sur le sofa qui garnit la pièce, ce qui permet de reposer ma cheville.
- Viens que je te masse, il faut éviter le gonflement, dommage que je naie pas de glace.
Mon pied dans sa main, elle me masse montant de plus en plus haut sans quà aucun moment, je ne larrête.
- Cest bon Geneviève !
Son nom est marqué sur un badge à son revers.
- Cest bon, que je te masse, veux-tu que je marrête.
- Surtout pas, cest trop bon.
Avec mon accord sa main gagne les centimètres pour finir au bord de mon intimité qui commence à me chauffer.
Je me caresse quelquefois, mais rarement, trouvant ces pratiques dégradantes.
Je suis née dans une famille très rigoriste et mes parents mont éduqué avec de nombreux interdits.
Jai retrouvé un peu de souplesse quand je suis venue à Paris pour travailler dans une banque où un jour, jai rencontré Bastian.
La main de Geneviève sinsinue négligemment par le côté de ma petite culotte, elle va jusquà venir toucher la petite excroissance que jai en haut de mes grandes lèvres et qui est très sensible quand on la touche.
Pas plus tard quil y a deux jours jai été chez ma gynéco qui a été surprise de me trouver toujours vierge à mon âge, sans en avoir lair son doigt ganté la touché me faisant frisonner.
Cest comme cela que jai appris que cette excroissance sappelait un clitoris, nunuche que jétais, je lignorais.
« Votre clitoris réagit bien, vous devez prendre beaucoup de plaisirs en vous caressant. »
Jai failli lui dire que je refusais ce genre de conversation, mais comme elle en est restée là, le problème a été réglé.
- Noémi, laisse-moi prendre ton clito dans ma bouche, jaimerais te faire jouir, attends avant, moi aussi je vais me dénuder.
Je suis tellement soufflé de limpudeur de Geneviève que je la regarde et après quelle se fut déshabillée, replongeant sa tête en moi, après avoir écarté le bord de mon sous-vêtement elle me laspire.
Si jouir est-ce qui marrive, je jouis mon corps pour la première fois monte au-dessus de mon esprit, volant jusquà ce que certains appellent le septième ciel, je le découvre.
- Ma chérie, tu restes passive, jaime quune femme soit active, mettons-nous en position de 69.
69, à part le département, jai du mal à comprendre ce quelle veut, aussi quand elle mattire hors du sofa pour me faire glisser vers elle, je réagis le nombre 69 semble dire être tête-bêche.
Je suis fière davoir trouvé seule évitant de montrer à mon amie quelle cruche, je suis dans les jeux de lamour.
Jignore le goût de ma chatte, mais celle que je suce est dun goût un peu fade, mais dégoulinant dun liquide qui me permet de lui faire pénétrer ma langue comme elle le fait avec la sienne.
Ces cuisses enserrent ma tête et jai du mal à respirer, mais le cri que je pousse quand mon corps séclate une nouvelle fois me fait sortir la tête du berceau qui lenserre et je récupère un grand bol dair avant de replonger.
- As-tu aimé ?
- Oh ! oui, c'est la première fois.
- Je men étais aperçu, tu étais touchante dans ton envie de me donner et te donner du plaisir.
- Cest la bonne heure là sur ta pendule.
- Le temps a filé.
- Jai un rendez-vous.
- Revient demain si tu le peux !
- Oh ! oui, je suis en vacances.
Je reviens le lendemain, le surlendemain.
Je nai pas eu besoin de faire un dernier essayage de ma robe.
La créatrice a refusé de doubler son modèle par superstition.
Elle a apporté un détail qui pour elle fait le modèle unique.
Une petite rose jaune sur celle de Geneviève, rose pour moi.
Nous avons essayé nos robes chacune dans une pièce différente de lappartement que nous avons choisie ensemble pour vivre.
Mariage il y aura, mais après que jai rendu sa bague à Bastian et que nous nous en soyons offerte avant dans trois jours nous échanger nos alliances.
Jai trouvé ma route et ma moitié, je sais que je vais vivre heureuse.
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