Collection Zone Rouge. Matricule 100 605. Fin De La Saison Iii (9/9)
- À ce moment là, tes-tu senti libre ?
Étrange sentiment, de haine, pour celui qui avait été capable de de sang-froid la femme du tailleur, même si je savais que cétait lui ou tous sil sétait dévoilé.
Moi-même a quoi aurais-je servi à Josef sil avait eu son traitre.
Jétais mal en point, je lai vu quand jai remis mes affaires que Günther avait récupérées dans la chambre de son supérieur.
Les vêtements, qui mont été faits sur mesure pour ma mission, je flotte dedans.
Nous avons roulé, arrêté près dune rivière, rempli le réservoir avec lessence dans le jerrican présent dans le coffre.
Je me demandais comment Günther sy retrouvait dans toutes ces routes la plupart sans panneau.
Au bord dun lac dont jignore encore le nom, Günther en vrai mâle allemand a voulu se baigner.
La nudité pour eux semblait naturelle, mais pour moi, jétais plus pudique.
Jai fini par faire comme lui et avec un peu de mal jai fini dans leau.
Nous avons joué à nous asperger, cétait la première fois que je revoyais un homme nu en dehors dexpérience infâme que je tai dit vouloir éviter den parler.
Jaurais dû me sentir tendu même si les plans pour rejoindre le Danemark de Günther semblaient avoir été bien préparés.
Le lac était un peu froid aussi, je suis sortie de leau mallongeant sur le carré dherbe fraîche près de la voiture.
Je me sentais tout de même libre et cest en toute impudeur que je montrais ma touffe à mon amant les cuisses écartées.
Le soleil chauffait lintérieur de mon corps en me faisant lamour.
Je voyais mon bel allemand séloigner dans un crawl parfait.
Le soleil a dû mendormir ainsi que la clarté sur le lac car cest la fraicheur des gouttes tombant de son corps qui me ramène dans ce monde si perturbé depuis que jai décidé de quitter mon village.
Ça me fait sursauter, mais surtout lorsquil se couche sur moi, le cri que je pousse est dû à mes seins quil écrase douloureusement.
Je lenserre de mes bras et me retrouvant dessus, cest en toutes consciences que je prends sa verge en main.
Il ma donné froid, il a froid, pardon, elle a froid, je me laisse glisser dans limpossibilité de la rentrer en moi.
Nouvelle fellation, mais consentit cette foi avant de remonter et de me la planter dans le vagin.
Depuis combien de temps, mes règles ont-elles disparu, mais sans pour autant être enceinte ?
Une ou deux fois depuis que jétais à Treblinka sans pour autant que je men inquiète.
Le docteur Ebert sen serait fichu, voir contre fichus, seule ses expériences sur moi et sur des détenus limportaient.
Dailleurs, qui peut me prouver quil est réellement médecin.
Assez parlés de ce tortionnaire, espérant quun jour des gens auraient assez de courage pour le r autant quil nous a torturés.
- Tu redevenais femme, alors que dans ce camp tu étais le simple numéro tatoué sur ton bras.
Excuse, je revis la scène et sétait bon.
Je le fais entrer doucement en moi jusquà massoir sur ses couilles.
Cest mon cul que le soleil chauffait et cest avec délice sans pour autant jouir énormément que jai reçu sa semence en moi.
Ce devait être, pour lui, la dernière fois où il a fait lamour à une femme.
- Mon dieu, je crains le pire !
Tu as raison, son plaisir pris, nous nous sommes rhabillés et nous sommes repartis.
À peine dix kilomètres plus loin, à un croisement un barrage de soldats nous a fait stopper.
Un camion et une voiture avec sur ses ailes des fanions avec le signe des SS.
Günther a montré des papiers par sa vitre ouverte à un officier.
Il est venu vers moi me saluant a demandé les miens.
Jai tendu la carte que Günther mavait donnée.
En lui tendant, ma manche de chemisier est remontée dévoilant mon tatouage et le chiffre 100 605.
Par malchance, ce gradé avait servi dans un camp dAdolphe et savait ce que cela signifiait.
Cest en allemand quil a donné lordre.
- Sortez tous les deux et agenouillez-vous devant ce talus.
Nous lavons fait, jétais terrorisée, je sentais le sperme de mon amant couler entre mes jambes.
Comment pouvons-nous passer de plaisirs comme ceux quil mavait donné peu de temps avant au bord de ce lac à lhorreur de la balle qui a traversé son cerveau ?
Jattendais la balle suivante, pensant à mes parents tendrement enlacés dans leur synagogue certainement non loin de lendroit où nous nous trouvions.
Je me suis jeté sur son cadavre, retombant dans les horreurs de la guerre.
Lordre est tombé froid comme létaient ces hommes.
Cétait le chef qui la donné comme le faisait un bon SS.
Lui a regardé alors que les quatre pauvres troufions qui étaient avec lui se soient empressés de me violer.
Ils mavaient arraché mes vêtements et alors que lun était en moi, un autre agenouiller a entrepris de me pilonner la gorge.
Entre ses jambes, je voyais le regard mort de Günther qui pour toujours aura été un amant mayant rendu ma liberté.
Quatre, ils sont passés à quatre sur moi, même cinq, car le chauffeur du camion qui les avait conduits est venu participer à la fête.
Une nouvelle fois leurs couilles vidées, les hommes mont libérée et ils sont remontés dans leur camion avant de disparaître.
Le SS ma tiré jusquà sa voiture où un chauffeur lattendait et nous avons pris une route sans ce que je sache ou il me conduisait.
- Tu tes de nouveau trouvée dans camp de concentration !
Après des kilomètres, cest une nouvelle fois nue que jai vu ce qui ressemblait en plus délabré à ce que javais découvert à Treblinka.
Jai rapidement appris que lon maffectait aux cuisines du camp de Buchenwald.
Cest Odette qui ma chaperonnée, écartant de moi toutes les convoitises dautres femmes.
Odette se retrouvait là, non pas, car elle était juive, mais parce quelle était communiste française et sopposait à la dictature dHitler.
Nous préparions la soupe pour les prisonniers, il y avait des Tsiganes, leur façon de vivre déplaisait et ils préferaient les enfermer.
- Jai lu que dans ces camps et autour de ces camps, lodeur était insupportable !
À Treblinka, jétais relativement isolée dans la prison de ce pourri dEbert.
À Buchenwald, cétait une tout autre chose, Odette ma dit que ce camp avait été créé pour les condamnés politiques.
Lodeur était si forte que cest seulement après guerre que lon a trouvé les fours crématoires ayant servi à exterminer tant de gens.
Lorsque je suis arrivée je tai dit que mes vêtements mavaient été arrachés.
Le commandant qui a reçu son collègue nous ayant arrêté voulait me faire rejoindre le bordel quil avait organisé pour ses soldats, mais à la vue de mes seins, il y a renoncé.
Jétais persuadé quune balle allait interrompre tout ça, mais comme je viens de te le dire, cest aux cuisines du camp que je dois ma vie aujourdhui.
Avec dautres détenus six hommes et trois femmes aux fil des mois qui sont passés ce que nous mettions dans leau étaient de plus en plus clairsemés.
Quelquefois, nous amenions la pitance à ces filles après lavoir préparé.
Un jour deux dentre nous et lautre deux autres, car les salopes qui gardaient cette gamelle était à laffut du moindre dentre nous ayant trempé leurs doigts dedans.
Pour elles, le commandant voulait quelle reste femme avec des attributs de femme alors que dans le camp, les autres la plupart avaient des seins tombants.
Le système employé pour nous garder se faisait en deux parties.
Lenceinte du camp gardé par des soldats allemands dans des miradores prompts de la gâchette si nous nous approchions un peu de la clôture.
Le deuxième, cest là quils étaient malins surtout au fil du temps ou les soldats devaient aller servir au front.
Les kapos nous surveillaient muni de bâtons dont ils se servaient dès que lun ou lune de nous leur déplaisait.
Odette a joué un grand rôle dans ma protection.
Les quatre femmes, nous avions une partie dun baraquement avec deux lits superposés.
La nuit elle me rejoignait et ce fût ma période lesbienne.
Ma chatte, cest elle qui se la réservait.
Elle me suçait chaque fois quelle le pouvait et lors des rondes des kapos aucune dentre elles semblaient voir que nous étions deux dans le même lit.
À ce jour, jignore, comment elle sy prenait pour les avoir dans sa poche.
Sa langue passait mes grandes lèvres et cherchait mon clitoris.
Elle me faisait jouir comme elle le faisait lorsque cétait moi qui lui passais ma langue.
Après quelques jours mes seins coupés me faisaient de moins en moins mal et elle adorait me les sucer.
Grâce à elle, jai été relativement protégé par les kapos et les soldats allemands.
Nous commencions à entendre des rumeurs comme quoi des troupes susceptibles de venir nous délivrer arriveraient dans les jours ou les semaines suivantes.
Les soldats allemands étaient de plus en plus jeunes.
Les plus vieux partant au front.
Un jour lun deux se trompant de baraquement sest trompé et est rentré dans le nôtre.
Odette aimait les femmes, mais aussi les hommes en dehors de notre lieu de détention.
Cest elle qui lui a ouvert son pantalon pour sortir sa queue.
Nous étions seules toute les deux à ce moment là.
Nous avons sucé sa queue chacune dun côté.
Il avait une petite bite.
Helmut, cest le nom quil nous avait donné bandait pour la première fois dans la bouche de deux femmes.
Il était puceau.
Il tenait toujours sa mitraillette tout au long de la fellation.
Je lavais à quelques centimètres de mes yeux.
Depuis mon viol par les cinq soldats, à part sous la langue dOdette, lorsquil ma pris à quatre pattes mes seins posés sur mon lit, ce fut divin.
Odette a son tour, sest faite enfiler, par camaraderie elle mavait laissée passer la première.
Ce fut la seule fois où une telle opportunité sest fait jour.
Helmut lui aussi jignore ce quil est devenu.
Mort au front ou grand-père dans un coin dAllemagne.
Si cest le cas, parle-t-il de son dépucelage par deux femmes prisonnières !
Un midi, apportant la soupe à ces demoiselles, jai pu voir une voiture arrêtée devant lentrée du camp.
En temps normal, je voyais les soldats sur les miradors, bizarrement, pas lombre dun dentre eux.
Cest à ce moment que je me suis aperçue que la porte était ouverte et auprès du véhicule se tenait un homme noir...
Voilà, nous sommes au terme de la saison III des aventures dAleksandra.
Dans la saison IV, nous verrons qui ce noir était à la porte de ce camp semblant avoir été abandonné par les Allemands.
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