Mon Infirmière.
Jacques : Mon infirmière
(dans les opus précédents, nous avons découvert lattirance que linfirmière avait eu pour son patient Jacques Rocier et ce quil en était advenu. Voyons maintenant comment le dénommé Jacques a vécu cela).
Je mappelle Jacques Rocier et je suis le patron dune entreprise délectricité dune petite ville du centre de la France. Jai 52 ans, je suis mariée à Sylvie. Nous navons pas ds.
Je suis grand, costaud, et surtout je suis doté dun sexe aux dimensions supérieures à la moyenne, dont je sais admirablement me servir. Et jadore men servir.
Et jai souvent des gros besoins. Sylvie le sait et laccepte, dautant que je lui ai appris à en profiter de son côté.
Lan dernier, javais remarqué de Karim, un de mes employés, était moins présent et semblait fatigué. Je décidai alors un soir de fouiller dans son armoire, ayant peur quil ne se drogue. Je navais rien trouvé, hormis une clé USB dissimulée entre deux tee shirts.
Intrigué, je retourne au bureau, insère la clé dans mon ordinateur. Des fichiers apparaissent. Jouvre le premier intitulé « J ». Ce sont des photos. On y voit un homme que je reconnais comme étant Paul Guibaud, un de mes clients, avec une jeune femme, le plus souvent nus tous les deux, en train de baiser. Il y a au moins deux cents photos. Je regarde attentivement la femme, son visage ne mest pas inconnu, mais impossible de mettre un nom dessus. Visiblement, les photos ont été prisses à différents moments, mais toujours au domicile de Guibaud.
Je passe au deuxième dossier. Même décor, même homme mais une autre femme, la quarantaine. Elle aussi me dit quelque chose. Je flashe sur elle. Elle me plait. Cheveux mi-longs châtains clairs, peau claire, beaux yeux bleus, assez grande. Une poitrine encore bien ferme. Une belle allure, style BCBG, mais sans en rajouter. Un air BCBG, mais les photos la dévoilent dans de multiples postures, le plus souvent dénudée et appréciant à lévidence lart amoureux.
Le lendemain matin, je duplique la clé sur lordi, et vais attendre Karim pour avoir des explications. Il me raconte alors quil a surpris un jour la première femme se rendant le soir chez Paul Guibaud. Il avait pu sintroduire dans le jardin, et par la fenêtre avait surpris leurs ébats. Il sétait organisé pour pouvoir les espionner, les photographier, puis faire chanter la femme pour pouvoir en faire sa maitresse. Cest ainsi que jappris que cette femme était Judith, la femme dun boulanger de notre ville.
Un peu plus tard, il avait surpris un soir par hasard la deuxième femme sortir de chez elle habillée de manière sexy, il lavait suivie et découvert quelle avait pris la suite de Judith chez Guibaud. « Et cest qui, elle ? » lui demandai-je. « Elle cest une infirmière, elle sappelle Clotilde ». « Démerde toi, je la veux. Tu as carte blanche. Et pas dans six mois. ».
Le hasard fit que je me blessai à la main sur un chantier et, ayant négligé de me soigner, je fus contraint de consulter aux urgences de lhôpital. Le médecin décela une infection et ordonna un traitement par antibiotiques. Je lui suggérai de me le faire administrer en piqures afin que je puise guérir plus rapidement compte tenu de mes obligations professionnelles. Sortant de lhôpital, jappelai Karim pour lui demander dappeler le cabinet infirmier de Clotilde pour les soins. « Je moccupe de tout, je vous la prépare, dans quelques jours elle sera à vous. » Sacré Karim !
Le lendemain, jeu affaire à son associé, et cest le 3ème jour que je vis débarquer Clotilde.
Plus belle que sur les photos. Il dégage delle un mélange de douceur, de timidité (tu parles, quand tu as vu les photos !), un côté BCBG mais aussi une touche danimalité que je ressens. Elle me plait et pendant quelle prépare son injection mon regard sattarde sur sa poitrine, ni trop volumineuse ni trop petite, dissimulée sous un pull large, sur ses fesses que lon sent encore fermes et sur ses cuisses dissimulées dans un pantalon beige qui se rejoignent en dessinant un renflement tentant.
Elle nest pas habillée sexy mais elle me fait de leffet.
Je me tourne vers la glace et adresse un clin dil. Car cest une glace sans tain derrière laquelle deux personnes peuvent prendre place dans un recoin aménagé dans la cloison. Et aujourdhui il y a Karim. Karim qui dirige les opérations.
Le lendemain, mon infirmière a troqué son pantalon contre une jupe qui descend sous le genou. Je la regarde saccroupir pour me piquer. Jimagine ses cuisses et cette évocation entraine un frémissement agréable de ma verge. Le jour suivant, la jupe est plus courte. En saccroupissant elle moffre une vue fugace sur ses cuisses. Il me semble quelle porte des bas.
Le lendemain. Sa jupe est courte. Elle tire sur mon slip pour dégager une fesse. La glace me renvoie mon image, slip un peu baissé, racine du sexe visible. Elle, accroupie, écarte légèrement les cuisses. Elle a des bas. Je surprends son regard qui remonte vers mon bassin. Je bande à moitié, mais cest bien visible. Et elle le voit, sa pupille semble se dilater. Dans un mouvement lent, elle écarte davantage les cuisses, faisant semblant de devoir garder son équilibre. Je vois sa culotte blanche qui moule son sexe. Je sens ma bite se déployer, arrêtée par mon slip. Elle prend son temps la garce. Je vais lui faire payer.
Le lendemain, elle vient. Je suis déçu : jean et baskets. Elle fait le soin, non sans jeter un regard sur mon bassin. Rien que ce regard me fait bander. « Ne vous inquiétez pas, demain vous allez en prendre plein les yeux » me dit Karim. « Elle est presque à point cette salope ».
Le lendemain, elle arrive, petite jupe courte. Elle tire sur mon slip. Mon sexe est à moitié découvert. « attention, je pique ». Je grimace, la piqure est douloureuse. Je feins de fermer les yeux et je la vois écarter largement les cuisses, découvrant une chatte lisse et nue. Une fois partie, Karim sort de derrière la glace « Demain, cest le grand jour Jacques.
Le lendemain, jattends son passage avec impatience. Jen bande à lavance. Sonnerie à la porte. Cest elle. Elle enlève sa veste. Elle est vêtue dune robe noire mini, avec des bretelles fines. On distingue nettement ses têtons sous le tissu. Je baisse moi-même mon pantalon et mon slip. Seul le gland reste caché par le tissu. Elle est penchée en avant pour préparer linjection. De côté je distingue le bas de ses fesses nues. Elle saccroupit, cuisses légèrement disjointes. Elle tire mon slip vers le bas jusquà mi-cuisses. Je bande. Elle regarde ma bite qui pulse. Pendant quelle injecte le produit, elle écarte largement les cuisses. Je vois son sexe entrouvert, de la cyprine sen échappant. Elle a fini dinjecter, elle masse à présent ma fesse plus longtemps quil ne faudrait. Je nen peux plus. Je pivote vers elle, amenant mon sexe tendu à hauteur de son visage « vas-y, suce-moi salope » Elle tend les mains et approche sa bouche. Elle me branle et me suce en même temps. Cest divin. Elle me fait un effet denfer. Je sens que je viens. Cest trop tôt, quest ce qui marrive ? Putain, ça vient. Je crache des jets de sperme dans sa bouche. Je maffale sur le fauteuil. Je la vois se diriger vers la salle de bain. Je vois Karim, nu, entrer à sa suite dans la pièce qui nest pas éclairée. Jentends des bruits, des halètements. Le salaud, il la baise. Sylvie sort à son tour du réduit, elle a les seins nus et la jupe retroussée. « Cétait bon mon chéri à ce que je vois. Karim se paie sur la bête. Heureusement pour toi, sinon cest moi qui y passais. Il est en superforme, elle va déguster. » Un peu plus tard, je la vois passer devant moi. Je fais semblant de dormir. Elle sest rhabillée et jette un regard sur moi. Elle quitte la pièce et jentends la porte dentrée claquer. Karim sort ensuite du réduit. Il sest rhabillé également. Il sourit béatement. « Désolé Jacques, mais cétait trop tentant. Elle est super bonne.
Mercredi. Je reçois un SMS de Karim : ce soir 22 heures chez Guibaud- portail sera ouvert. Jarrive dix minutes en avance. Le portail est entrouvert. Je rentre dans la cour. La porte dentrée nest pas fermée à clé. De la lumière provient dune chambre au bout du couloir. Je mapproche sans bruit. Sur le lit, je vois Clotilde couchée sur Karim qui la laboure, lui arrachant des soupirs. Je me déshabille dans le couloir. A lidée de la baiser enfin, je bande comme un ado. Elle me plait cest animal. Je mapproche du lit. Karim ma vu. Il ralentit le rythme. Je pose une main sur ses fesses et une autre sur ses cheveux. Elle tourne la tête. Sa peau est douce et chaude. « Suce-moi. Je bande tous les jours en pensant à toi. Ce soir je vais te baiser ». Elle suce comme une reine. Mieux quune professionnelle. Cest bon. Mais cette fois ci je me retiens. Je la veux. Je veux la prendre, menfoncer en elle. Je mallonge sur le lit et lui demande de venir. Elle se couche sur moi. Cest elle qui guide mon sexe en elle. Je my enfonce sans difficulté tellement elle est trempée. Je la baise sans ménagement. Elle aime. Karim se place derrière elle et la sodomise. Prise par nos deux bites, elle perd pied. Nous jouissons presque en même temps. Karim se relève, madresse un petit signe et sort de la pièce. Elle est à moi. A moi seul. Ma verge reprend de la vigueur. Je nen reviens pas. Je la fais basculer, lallonge sur le dos, relève ses cuisses et la pénètre sans un mot. Après dix minutes de ce traitement, un long cri déchire la nuit. Elle se tortille sous moi, balbutiant des mots incompréhensibles. Longtemps après, je me vide en elle en grognant. Putain, cétait bon. Cétait trop bon.
Trois mois ont passé. Je lai croisée quelques fois et à chaque fois jai senti une envie animale me tordre le ventre. Je me suis fait mal à lépaule. Je demande au toubib quil me prescrive des piqures. « cest pour guérir plus vite, je suis artisan, je ne peux pas marrêter ». Jappelle le cabinet. Je tombe sur elle. « Je passerai en fin de tournée. Après vingt heures ». Rien que dentendre sa voix, je bande. Il est vingt heures. Je me suis préparé : juste un peignoir. Je bande et une bosse déforme le devant du peignoir. Je vais la baiser. Cest sûr. Sonnerie à la porte dentrée. Elle entre et me sourit. Il y en a qui fondraient, moi je sens ma bite pulser toute seule. Elle est vêtue dun imperméable bleu ciel. Cest vrai quil pleut dehors. Il a plu toute la journée. Elle me regarde droit dans les yeux et retire son vêtement. Hormis un porte-jarretelle et des bas noirs, elle est nue. Intégralement nue. A mon tour, je me débarrasse de mon peignoir. Elle fixe ma bite tendue. Elle fait son soin et, un air de défi dans les yeux, sallonge sur le tapis, cuisses largement écartées. Javance vers elle. Mallonge sur elle et la prend dun coup sans la quitter du regard. Elle est trempée. La joute dure trois heures. Je la baise sans ménagement, variant les positions. Je ne compte plus ses jouissances. Elle en veut, elle en a. A la fin, sa chatte est rougie par mes assauts. Jéjacule entre ses seins. Jai encore envie. Elle me rend dingue cette nana.
Quelques semaines ont passé. Jai eu plein de boulot, notamment la réfection de la maison des associations. Jai accepté de faire une partie des travaux gratuitement car je sais que la municipalité na pas trop dargent, et puis
ça peut servir un jour. Justement, aujourdhui cest linauguration de la « nouvelle » maison des associations. Je suis certain dy retrouver mon infirmière préférée. A lidée je bande déjà. Après les discours, je me mêle au public. Jai vite fait de la repérer. Elle est accompagnée de la petite boulangère. Tiens, les ex de Guibaud. Et si je me faisais les deux ? Je mapproche delles. Elles sont ravissantes. Clotilde me regarde. Je sens du désir dans ses yeux. Cest gagné. Elle sent lamour à cent mètres cette nana. Je les aborde. Je lui demande, devant lautre « as-tu mis une culotte ma salope préférée ? je parie que non » Lautre a entendu. Elle baisse les yeux. Je leur propose de filer à langlaise. Clotilde, pose sa main sur ma bite pour en vérifier la dureté. Nous quittons la salle. Direction le parking. La boulangère monte derrière. Je lui demande si elle veut que jappelle un de mes employés pour soccuper delle pendant que je vais baiser sa copine. Elle est intimidée. Je lui demande décarter les cuisses. Elle a un string blanc. « Quand on vient chez Jacques, on ne met pas de culotte. Parce quon va baiser ». Sur ce, je me tourne vers Clotilde et envoie ma main sous sa jupe. Comme je my attendais, elle est nue et sa chatte ruisselle déjà. Nous arrivons chez moi. Elles sont en face de moi. Clotilde me fixe dun regard de braise. Elle fait passer son pull par-dessus la tête. Ses seins sont arrogants. Pointes dressées. Elle sapproche de moi. Je sens que je bande. Elle se frotte à moi. Elle est plus petite que moi. Jenvoie mes mains sur ses fesses, retrousse sa jupe et pelote les fesses. « Allez les filles, mettez-moi la bite à lair ». Clotilde saccroupit. Ouvre ma braguette et descend mon pantalon. Ma bite est dans le fourreau de sa bouche. Elle me suce. Elle aime ça. Moi aussi. Jatt la boulangère par le bras et lattire à moi. Elle ne va pas rester passive. Je la débarrasse de son pull et de son soutien-gorge. Elle a de beaux seins. Clotilde me branle et me suce en même temps. Cest trop bon. Bientôt elles sont face à moi. Deux beautés en porte-jarretelles. Jattire Clotilde contre moi, passe mes mains sous ses fesses et la prends debout. Mon sexe la pénètre dun coup. Elle ruisselle. Je sais que ça va être bon. Je la défonce littéralement. Cest du sexe animal. Je la sens qui séchappe. Je lui mets un doigt, puis un deuxième dans le cul. Je fixe sa copine des yeux. Elle est tétanisée. Clotilde hurle sa jouissance. Je la repose par terre et mavance vers la boulangère qui ne nous a pas quittés des yeux. Je la plaque au sol et la prends fébrilement. Elle est bonne. Ce nest pas Clotilde mais cest bon. Je la baise sauvagement. Elle me griffe le dos. Elle jouit bruyamment. Je me retire et éjacule sur son ventre, lui envoyant plusieurs giclées de foutre.
Je les raccompagne à la maison des associations et les laisse sur le parking. Jai la bite anesthésiée.
Trois semaines plus tard, je passe un soir devant le cabinet infirmier. La voiture de Clotilde est là. Cest vrai que je nai pas payé les derniers soins. Je gare le camion. Je rentre dans le cabinet. Elle est assise en train de faire de ladministratif. Rien que de la voir, jai une érection. Je jette un billet de cinquante euros sur le bureau. « tu me rends la monnaie en nature ». En la regardant, jouvre ma combinaison et dégage le haut. Le pantalon tombe. Je mapproche delle, la queue droite. Jatt son pull que je fais passer par-dessus tête et enlève son soutien-gorge. Jatt ses seins. Je les caresse, les embrasse, les suce. Je passe mes mains dans son dos et descends vers le bas du dos. Elle ronronne déjà. Elle se recule et se débarrasse de son pantalon et de sa culotte. Je lallonge sur le bureau. Nimporte qui pourrait rentrer dans le cabinet mais on sen fout lun et lautre. Je la prends dun trait, ma queue coulisse dans sa chatte détrempée. Lassaut ne dure pas longtemps mais lorgasme est puissant pour les deux. Je me rhabille. « Salut poupée ! A la prochaine »
Justement, la prochaine, cest ce soir. Je me suis débrouillé pour les inviter, Judith, la boulangère, et Clotilde, sans leur dire pourquoi. Elles savent juste que cest pour une soirée baise. Il y aura six mecs : Karim, Frédéric, Mourad, Sylla, Minh, tous mes employés et moi. Et trois filles : Judith, Clotilde et Sylvie, mon épouse que seul Karim connait intimement. Sylvie, convertie fraichement au libertinage.
Nous, les mecs sommes tous réunis dans la pièce. Torses nus. Nous attendons nos invitées. Ils ne savent pas de qui il sagit. Il va y avoir de la surprise car certains sont clients de la boulangerie, et dautres ont été vaccinés par Clotilde. Et tous connaissent Sylvie et son engagement catéchèse.
Il est à peine vingt heures. Un bruit de moteur. Des portières qui claquent. Nous sommes en arc de cercle. Judith savance. Elle a une jupe courte arrivant à mi-cuisse et des bas, on voit la couture. Ses seins sont nus sous une chemise légèrement translucide. Les ouvriers nen reviennent pas. Elle en reconnait certains et semble gênée. Clotilde rentre à sa suite, uniquement vêtue dune grande chemise ouverte sur le haut des seins et dont labsence de boutonnage en bas découvre sa chatte épilée. Puis Sylvie fait son apparition, nue. Murmure détonnement. Je bande sec. Les autres aussi. Jexplique les règles. Le jeune Minh (il a vingt ans) est encore puceau, et ce soir, il connaitra les trois femmes. Pour le reste, toutes les combinaisons sont permises. Je les ai baisées toutes les trois, à tour de rôle, seul ou à plusieurs. La soirée touche à sa fin, tout le monde se repose. Clotilde vient vers moi « Jai envie de ta queue. Fais mois jouir. Fais-moi hurler. Jen veux encore. Fais de moi ce que tu veux. Baise-moi devant eux. ». Elle sagrippe à moi et mescalade. Je la soutiens sous les fesses. Elle sempale. Je la besogne. A chaque poussée je cogne le fond de son vagin. Je me retire presque entièrement à chaque fois pour mieux linvestir. Elle nest plus quune poupée avide de sexe qui soliloque. Lassaut dure un gros quart dheure. Je nen peux plus de me retenir. Je la sens qui part, qui vient dans un grand cri rauque. Je me vide en elle, terrassé par un orgasme qui me laisse pantelant. Cette fille me rendra dingue.
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